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    Steve Jobs
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    Nicolas L.
    Nicolas L.

    14 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2016
    M'intéresser à ce film et aller le voir au cinéma, a fait naître en moi des sentiments contradictoires. Steve Jobs est aujourd'hui présenté comme un modèle dans de nombreux domaines avec sa vision paternaliste de l'entreprise. Il a su transformer Apple en immense conglomérat de puissance mondiale, puissance qui fait aujourd'hui débat et sujette à diverses controverses sur sa politique de confidentialité de données (en autres). Le succès même de Steve Jobs est même remis en cause. Est-ce qu'il l'a mérité ? Sachant qu'il n'a visiblement jamais rien créé de ses mains ? Ce film m'intéressait davantage pour son réalisateur, Danny Boyle, que j'affectionne tout particulièrement. Trainspotting, La Plage, 28 jours plus tard, Shunshine, Slumdog Millionnaire, 127 heures, Trance...des films qui ont révélé un réalisateur au style particulier et de qualité. Style que je n'ai pas forcément retrouvé avec ce Steve Jobs. Le film est tout de même audacieux et a plus de couilles que le Jobs sorti en 2013 avec Ashton Kutcher. Ici, le réalisateur se focalise sur trois événements forts du personnage : le lancement du Macintosh, son épisode NEXT après son départ d'Apple et le lancement de iMAC. Un film en trois actes, entièrement composés de dialogues dans lesquels on assiste à la gloire mais aussi (et peut-être surtout) aux échecs de Steve Jobs. On a tendance à penser que le génie cache bien souvent une part de folie chez une personne. C'est peut-être vrai. Steve Jobs était un personnage fascinant mais en même temps un leader tyrannique qui est dans l'incapacité d'être aimable et qui a des relations catastrophiques avec les gens qui l'entourent. Michael Fassbender assure bien dans le rôle titre et confirme une nouvelle fois qu'il est l'une des figures de son temps. J'ai également apprécié la prestation de Seth Rogen, habitué à des rôles comiques au ton pipi-caca, ce rôle sérieux (Steve Wozniak) lui allait bien. Bref, un bon hommage qui a davantage des allures de film sur "les coulisses" de Steve Jobs. Intéressant malgré tout.
    Mélanie Marie A
    Mélanie Marie A

    8 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2016
    Excellent film à condition d'avoir lu la biographie officielle de Steve Jobs et de s'intéresser un minimum au personnage.
    Excellent comédien, décors parfaits, mais parfois dur à suivre dans sa chronologie
    Pauline G.
    Pauline G.

    39 abonnés 561 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 février 2016
    Décevant au possible, Steve Jobs est d'une monotonie exaspérante. Se contentant de coller bout à bout de longs dialogues qui reposent tous sur l'invariable répétition de la même boucle d'échanges au cours de laquelle se mêlent deux conversations en une seule, il parle beaucoup pour ne finalement rien dire d'intéressant, la seule critique de la personne de Steve Jobs n'étant pas suffisante en elle-même. Le débit de parole est si élevé qu'il ne laisse pas plus de cinq secondes de répit - certainement pour insuffler un semblant de dynamique à un scénario qui manque de profondeur, à l'image des personnages, d'ailleurs, dont la description reste très superficielle. Pour ce qui est de la mise en scène, l'ensemble de l'histoire se passe à l'intérieur, accentuant encore la tension des interactions et est invariablement filmée en plans américains. Ce manque d'aération et de structure rythmique font de Steve Jobs un film étouffant et vide de sens que les qualités de jeu des acteurs ne peuvent aucunement rattraper.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    214 abonnés 2 862 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2016
    Aaron Sorkin a donné vie à l'inaccessible. Les trois actes orchestrés par Danny Boyle ne sont pas égales non pas dans la forme mais dans notre relation à l'homme. Et pour tel, Il devient difficile de le quitter tant il renoue dans ces succès et ses échecs avec le public qui participe depuis toujours finalement à son image. Les dialogues sont d'une importance telle que la vie si justement décrite ne repose que sur trois actes. Sait- on vraiment tout de Jobs? J'ose penser qu'on en sait jamais davantage, même de nos proches.
    matt240490
    matt240490

    85 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2016
    Joshua Michael Stern avait dirigé Ashton Kutcher dans le rôle clé, Danny Boyle prend la relève avec Michael Fassbender. Steve Jobs, biopic consacré à l'un des cofondateurs d'Apple Inc. (n'oublions pas Steve Wozniak), se distingue des autres par son approche segmentée. Ainsi, il ne contente pas de retracer linéairement la vie de l'homme, mais axe son développement autour de trois événements majeurs : le lancement du Mac, du NeXt cube et de l'iMac. Et, au-delà de cette simple idée, le spectateur se voit transporté à trois époques différentes, chacune avec ses points forts : la réalisation en 16mm, le plan avec le conseil d'administration sous une pluie battante, les applaudissements finaux. Derrière l'excellent travail qui a été fait du côté du maquillage, Fassbender et Winslet crèvent l'écran. Belles prestations, mise en scène de qualité, scénario puissant : on reste partagé entre le dégoût et l'admiration pour celui qui, à preuve du contraire, révolutionna l'informatique.
    T-rhy
    T-rhy

    81 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 février 2016
    Steve Jobs.... Réalisé par Danny Boyle (28 jours plus tard, Transpotting, La plage, Petit meurtre entre amis, Slumdog Millionnaire, 127 heures, Sunshine, etc...), écrit par Aaron Sorkin (The social network, À la maison blanche, etc... ) et avec Michael Fassbender, Kate Winslet et Seth Rogen en têtes d'affiche. Ce long métrage est l'adaptation de la biographie de l'ancienne figure de proue de Apple, la firme américaine dont la renommée n'est plus à faire, et dont les produits ont une popularité telle qu'elle s'apparente presque à un culte dans certains cercles (si les files d'attentes des jours avant la sortie d'un iPhone devant les Apple store ne vous font pas penser à du pur fanatisme religieux, je ne vois pas ce qui vous y fera penser). Biographie écrite à la demande de l'intéressé qui a également participé à son écriture. Le livre "Steve Jobs" est sorti le 24 octobre 2011, soit trois semaines après le décès du co-fondateur d'Apple. Le film va se concentrer sur trois événements majeurs dans la vie de l'homme par lesquels il va développer les relations conflictuelles de son protagoniste principale avec ses proches mais aussi en profiter pour établir un bilan de sa vie, ses réussites et échecs à chacun de ces moments. D'ailleurs le long métrage est littéralement construit autour de ces 3 séquences faisant chacune 40 minutes. L'avant présentation du Macintosh en 1984, l'avant présentation du NextCube en 1988 et enfin l'avant présentation de l'iMac en 1998.
    Ce fut un projet à longue gestation auxquels beaucoup de grands noms ont été attachés. Il était par exemple question de David Fincher à la réalisation jusqu'en 2014, et pour le premier rôle les noms de Matt Damon, Tom Cruise, Leonardo Dicaprio ou encore Bradley Cooper avait été évoqués.
    Je n'attendais pas particulièrement ce film. En effet il s'agit du second long métrage se voulant adapter la vie du co-fondateur de Apple. Celui sorti le 21 août 2013, et se nommant sobrement "Jobs", était correct, mais avais déjà à cœur d'enscencer l'homme, et finissait par être trop lisse au vue de ce que tout un chacun s'intéressant un peu à l'informatique ou son évolution pouvait découvrir en se renseignant un minimum (je vous conseille d'ailleurs vivement le documentaire "Les pirates de la Silicon Valley" datant de 1999 et s'intéressant aux parcours de Steve Jobs et Bill Gates jusqu'en 1997). Du coup que vaut "Steve Jobs"? Et bien c'est pas mal du tout en fait.
    La réalisation est l'un des premiers bons point du film. Elle est léchée. On se croirait au théâtre, à ceci près qu'il y a des caméras qui tournent et des changements de plans sous nos yeux. C'est très efficace.
    Le scénario est intéressant plus dans sa forme que dans son fond. Il s'agit d'un drame assez poignant en trois étapes, où l'on relie les événements entre eux grâce aux dialogues travaillés de Aaron Sorkin. D'ailleurs à ce propos le film est très bavard. Il ne s'agit que d'un enchaînement de discussions entres personnages. Des personnages particulièrement bien introduits et caractérisés dont l'approche va évoluer au cours des trois actes composants le film. Et pour tout saisir des enjeux de chacun il est important de se montrer attentif à tout ce qui est dit. Un tour de force qu'avait déjà réalisé le scénariste américain en 2010 avec son The Social network réalisé par David Fincher.
    La bande son est vraiment une bonne surprise. Rien de transcendant, mais des pistes sonores et thèmes à la fois discrets et parfaitement de ton à chaque scène. Certains s'avèrent même très déroutants, et contribuent parfaitement à faire monter la tension à l'écran. Daniel Pemberton, (qui a travaillé entre autre sur les bandes originales du "Cartel" de Ridley Scott ou encore plus récemment du The Man from U.N.C.L.E. de Guy Ritchie) a fait un travail de composition particulièrement soigné.
    Les acteurs sont évidemment le second point fort de ce long métrage. Michael Fassbender est simplement impressionnant. Dans sa gestuelle, ses tocs, sa présence,... Le Steve Jobs qu'il nous présente est tantôt brillant, tyrannique, touchant, glaçant, détestable, admirable. Une prestation bien plus impressionnante que celle de Ashton Kutcher dans le Jobs sorti en 2013. Kate Winslet est toute aussi bluffante que son partenaire à l'écran. Elle incarne parfaitement le rôle de Joanna Hoffman, une amie de Steve Jobs, l'ayant épaulé et suivi depuis l'époque du Macintosh. Seth Rogen est un Steve Wozniak diablement convainquant. Jeff Daniels et Michael Stuhlbarg complète ce casting déjà fort solide avec des prestations de même qualité.
    Bref, Steve Jobs est une agréable surprise. Autant le propos du film vous touchera plus ou moins en fonction de l'image que vous avez de l'ancien PDG de la firme à la pomme croquée, autant vous ne resterez certainement pas de marbre face à tout le reste. Une bonne pioche qui mérite d'être vue au moins une fois. ☺
    cceintrey
    cceintrey

    22 abonnés 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 février 2016
    L'affiche minimaliste du film - en flat design propre à la marque Apple - traduit le parti-pris original du film : 3 moments précédents les keynotes (qui sont les présentations de lancement de produits, à destination des geeks et du grand public, caractérisées par la verve de Steve Jobs et leur mise en scène marketing) sont mis en lumière en 1984, 1988 et 1998. Ce qui est intéressant c'est qu'on ne voit pas ces keynotes mythiques : on se situe juste avant leur début, lors de moments d'échanges et de retrouvailles.

    Ainsi, le premier moment du film se situe en 1984, c'est le lancement du Macinstosh, après la conception des ordinateurs Lisa et Apple II. La pub TV 1984 Big Brother d'Apple a été l'événement du Superbowl quelques jours auparavant. Elle positionne Apple comme un révolutionnaire, qui pense autrement, en mode disruptif.

    Michael Fassbender ne ressemble pas physiquement à Steve Jobs, mais les attitudes sont présentes. La relation avec sa fille, qui passe d'une enfant de 5 ans en 1984 à une ado étudiante de 19 ans en 1998, tient une place importante et particulière dans la narration.
    Kate Winslet, directrice marketing, qui ose lui dire certaines choses personnelles, joue le rôle de confidente et de conseillère.
    Seth Rogen incarne Steve Wosniak, le complice des débuts. Les scènes du lancement d'Apple dans leur garage sont anecdotiques ici.

    David Fincher était initialement pressenti sur ce projet. Avec Aaron Sorkin au scénario, cela aurait recréé le binôme gagnant de The Social Network sorti en 2010.
    Danny Boyle impose une vision originale et forte, qui ringardise le film Jobs sorti en août 2013 avec Aston Kutcher dans le rôle titre, biopic classique suivant un déroulé linéaire. Je ne sais pas si tout est vrai (comme à la fin quand Steve Jobs dit à sa fille qu'il lui créera un outil pour mettre 1 000 chansons dans sa poche et remplacer son vieux Walkman, annonce de l'Ipod) mais on s'en fiche ! On est embarqué dans une vision orientée vers l'humain, vers un personnage qui n'est pas là pour se faire des amis, qui selon ses propres termes "play the orchestra" tel un chef d’orchestre à la baguette.
    tony-76
    tony-76

    1 081 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2016
    « Les musiciens jouent d'un instrument, moi je joue de l'orchestre ». Après le convenable Jobs avec Ashton Kutcher, personne n'était intéressé de faire un second long-métrage sur le co-créateur d'Apple. Une exception pour ce nouveau projet doté d'une distribution cinq étoiles qui est réalisé par Danny Boyle (Slumdog Millionnaire) et scénarisé par Aaron Sorkin (The Social Network). Une équipe de choc qui fait presque de Steve Jobs, un grand film. Oui, presque... La construction du récit est découpé en trois actes spoiler: qui est centrée autour de lancements importants (le Macintosh en 1984, le NeXT en 1988 et le iMac en 1998). Le film traite essentiellement sur des discussions et des conflits que Jobs a eu avec ses proches, en particulier avec Joanna Hoffman, la responsable marketing, Steve Wozniak, son associé des débuts, John Sculley, le PDG d'Apple, et sa fille Lisa.
    Dès le départ, un rythme démoniaque s'empare de l'écran. spoiler: Tout le monde crie et passe dans les coulisses : une sensation d'étourdissement qui rappelle Birdman.
    La caméra pleine de tension ne lâche plus les personnages, campés par des acteurs étincelants. L'excessif Michael Fassbender offre une interprétation exceptionnelle dans la peau de cet être aussi brillant que manipulateur, dévoré par son ego. Kate Winslet utilise sa raison, elle s'avère très crédible. Plus effacé, Seth Rogen est élégant et Jeff Daniels reste satisfaisant... Les dialogues d'Aaron Sorkin sont reconnaissables et ils s'avèrent souvent bons. Une bande sonore éclatante et fort distrayante. La mise en scène, comme à son habitude propre de Danny Boyle n'est pas sans faille non plus. Le spectateur a tendance à s'ennuyer à quelques reprises, ce qui est dommage. spoiler: La relation intime et personnelle entre Jobs et sa fille, Lisa semble plus importante que toutes les autres.
    Certaines émotions sont au rendez-vous, et les 15 dernières minutes sont extrêmement merveilleuses, on verse une larme ! Pour conclure, Steve Jobs est un biopic honnête, même si on aurait aimé que se soit plus prenant et plus efficace dans sa mise en scène. Presque un grand film !
    L?c!s_H00d
    L?c!s_H00d

    188 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2016
    C'est principalement pour la performance de Michael Fassbender, qui est mon acteur favori, que je voulais regarder ce "Steve Jobs". Le personnage ne m'intéressant pas plus que cela. Toutefois, l'équipe dans l'ensemble m'a intrigué. Projet initialement prévu pour David Fincher ("Fight Club") avec Christian Bale ("The Dark Knight"), la production de "Steve Jobs" a été chaotique. Danny Boyle, réalisateur de "Trainspotting" et "127 Heures", a finalement mis en scène ce Biopic, pour un résultat pour ma part très satisfaisant.

    En effet, "Steve Jobs" est à mes yeux une réussite qui ne méritait pas son Flop au Box-Office, un divertissement entrainant porté par la plume de Aaron Sorkin à qui l'on doit l'excellent "The Social Network", long-métrage sur la création de Facebook, et "Sunset". Le scénariste a su rendre un homme qui ne m'intéresse guère fascinant à suivre, grâce à un rythme prenant et immersif ainsi que des dialogues intelligents. L'écriture est de qualité, de même pour la mise en scène. Danny Boyle a choisi de retranscrire 3 étapes de la vie de l'ingénieur, à savoir la création du Mac, de Next et du iMac. Théâtre filmé se déroulant majoritairement dans les loges avant les conférences pour présenter les créations informatiques, "Steve Jobs" m'a captivé, m'a entrainé avec lui. L'indéniable talent du scénariste s'est encore une fois montré efficace, au rendez-vous. Danny Boyle a mis en scène un script envahit sous les punchlines des personnages avec fulgurance et élégance. Un script sous les punchlines oui, car en effet les protagonistes ne font que parler durant 2 heures : les répliques sont percutantes, les échanges très intéressants ; chaque conversation est un bijou scénaristique. La réalisation vient aider le scénario à rendre le récit coupé en 3 parties plus beau encore. Celle-ci est vraiment magnifique. les plans sont léchées, très travaillés ; les plans-séquences superbement composés et fluides. Les couleurs de l'image rendent cette merveille technique éblouissante. Les teinture sont très belles, les décors bien exploités ; l'ambiance est vraiment immersive pour ma part. Si je regrette toutefois un rythme en peu moins rapide lors de la dernière partie (la redondance sans doute), l'ensemble reste très bon à suivre.

    Bien évidemment, les acteurs ont servi à rendre cette expérience cinématographique vivante. Michael Fassbender ("Macbeth") est parfait dans la peau de son personnage. Tantôt touchant, tantôt antipathique, son rôle lui va à merveille ; la prestation du comédien est d'une grande justesse, et aurait mérité son Oscar. Kate Winslet ("Triple 9") est elle aussi très convaincante dans la peau de Joanna Hoffman, tout comme Seth Rogen ("Délire Express") en Steve Wozniak. Celui-ci change de genre filmique, et trouve un ton plus sérieux qui lui réussit. Jeff Daniels ("Looper") est quant à lui très crédible en John Sculley, idem pour Michael Stuhlbarg ("Le Prodige") interprétant Andy Hertzfeld. Chaque comédien trouve sa place, et se l'accapare brillamment.

    Si le sujet informatique n'est pas ce qui m'intéresse le plus, les sujets abordés sont bien traités, et l'homme derrière l'ingénieur qu'est S. Jobs est bien exploité. Exploité, à l'instar de la Bande Originale, certes se rapprochant du "Social Network" de D. Fincher. Celle-ci s'inscrit bien dans la pensée du long-métrage avec ses intonations et compositions sonores. Légère et informatisée, la musique accompagne bien l'ensemble de ce nouveau Biopic. Un divertissement que je recommande car c'est un très bon film, malgré un rythme qui ne peut plaire à certains. Loin d'une démarche classique et ennuyeuse comme je le pensais, j'ai aimé *Steve Jobs*.
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