Mon compte
    Steve Jobs
    Note moyenne
    3,4
    4761 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Steve Jobs ?

    354 critiques spectateurs

    5
    19 critiques
    4
    103 critiques
    3
    126 critiques
    2
    59 critiques
    1
    31 critiques
    0
    16 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 février 2016
    Je suis très déçu. J'espérais mieux que du blablabla. Les acteurs sont bons mais les dialogues trop long et pour ne rien dire. Ce film n'apporte rien sur la carrière de Steve Jobs. Quelques bons passages mais le reste barbant.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 février 2016
    A part le jeu des acteurs et quelques idées de mise en scène plutôt sympathiques, je n'ai trouvé aucun intérêt à ce film.
    Je ne sais pas quoi dire de plus... lisez les bouquins si vous voulez en savoir plus sur Steve Jobs, c'est mieux.
    Loïck G.
    Loïck G.

    339 abonnés 1 673 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 février 2016
    Si l’aura de Steve Jobs est bien évidemment au centre des préoccupations scénaristiques d’Aaron Sorkin et de Walter Isaacson (d'après son livre éponyme), la maestria dont fait preuve Danny Boyle élève le débat bien au-dessus du simple biopic. Un genre que le cinéaste renouvelle en lui conférant une dynamique sans relâche, des apartés qui fusent à la vitesse de la lumière, celle là-même qui ne cesse d’éblouir l’ensemble des comédiens. Michael Fassbender plus captivant que l’original, Kate Winslet excellente dans le rôle de l’assistante- confidente pour ne citer que ce duo éclairant de vérité. Qui rejaillit bien évidemment sur une mise en scène lumineuse qui peut pendant des plombes vous offrir des face à face incroyables, des moments d’une grande intensité, des instants hallucinants et palpitants. Et tout ça, même si vous ne connaissez rien à la révolution numérique, au développement des produits Apple ou des innovations techniques. C’est fascinant, on frôle le chef d’œuvre.
    Pour en savoir plus
    Nyns
    Nyns

    218 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 février 2016
    J'ai entendu quelqu'un dire à la sortie du ciné "pour apprendre quelque chose fallait taper Steve Jobs sur Wikipedia". Ben c'est triste, mais vrai. En gros ce film n'est qu'un dialogue interminable de 2h ou on apprend rien d'important qui ne soit pas de notoriété publique. L'homme qui a révolutionné le marketing en rendant indispensable ce qui est complètement inutile reste pour moi après le visionnage... L'homme qui a révolutionné le marketing etc. C'est dommage parce qu'en fait l'idée de ce biopic a le mérite d'être original et de sortir vraiment des sentiers battus du biopic. Ici, exit l'enfance du protagoniste etc... On se concentre sur 3 événements qui sont 3 présentations de produit déterminantes. Les plus grands moments de la carrière de l'entrepreneur sont là (quoi que, où est l'Iphone et l'Ipod... Au moins un des 2 non... ? ) donc c'est plutôt intéressant, en même temps Danny Boyle c'est pas le réalisateur lambda donc bon. Sauf que cet atout en apparence devient un véritable handicap très rapidement : on y croit pas une seconde. Rien d'important se passe avant de tels événements donc j'ai vraiment eu trop de mal à valider le concept. Le sempiternel défilé des personnes entourant Steve Jobs devient très vite d'un ennuie... Et puis oui il était arrogant, tout le monde le sait, et alors ? Il n'avait quasi aucune notions d'informatique et a révolutionné le milieu et donc ? Biopic obligatoire ? Non. Je vote archi contre. Typiquement le genre de parcours tout sauf taillé pour le cinéma. Mais bon, c'est la mode que voulez-vous... Enfin bon voilà une histoire trop proche de la réalité tout en écartant des passages gênants car incasables dans le format (son mariage et ses 3 autres enfants ? ) donc c'est très étrange. Puis les engueulades au boulot, j'ai pas envie de me détendre au cinéma pour voir ça. Un gros point positif quand même, car grâce à cette façon de raconter on évite le côté mélodramatique de la fin de vie, parce là pour le coup la sienne était vraiment trop délicate... Bref, je ne pense pas que ce film va marcher, j'ose espérer que les gens en ont un peu marre. Next ! ( c'est le cas de le dire ah ah....)
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 février 2016
    Toutes nos critiques, émissions & débats sur notre site
    Critique Esteban : 8/10
    Michael Fassbender illumine ce biopic. Bien que centré sur le dialogue, les choix scénaristiques forment un contexte de tension permanente. Les coulisses de "quelques heures avant le show mondiale". Danny Boyle a réussis a documenté de façon quasi-unique les principaux faits & traits de caractère qui marquerons la personnalité de Steve Jobs. Mais il a surtout réussis a dynamisé "l'indynamisable". Cette oeuvre fascine, les acteurs et le montage sont tout aussi performant. Un film a salué et a apprécier : "Steve Jobs".
    Christian M.
    Christian M.

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 février 2016
    Du rythme du début à la fin. Une histoire dense est prenante. Bref, pour moi un très bon moment de cinéma.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    399 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2016
    Trois petites années après le Jobs de Joshua Michael Stern voilà donc le nouveau biopic consacré au célèbre co-fondateur d’Apple, le projet avait déjà fait couler beaucoup d’encre comme chacun sait pour ses multiples désistements, que ça soit Fincher, DiCaprio, Bale ou même Sony. Universal reprit la main pour introniser Danny Boyle à la réalisation puis Michael Fassbender dans le rôle titre, le scénario signé Sorkin posé sur la table depuis le début demeura je pense la source principale du maintien à flot, celui qui avait rendu passionnant le parcours de Mark Zuckerberg dans The Social Network, de quoi rester malgré tout confiant de la qualité du rendu final, il n’y avait pas de raison (...).

    Le film est distinctement découpé en trois actes représentant trois moments de la vie de Steve Jobs, c’est je pense la principale qualité du film car il sort du schéma traditionnel du biopic, il n’a pas l’envie de se perdre dans une ligne communément appliquée et c’est tout à son honneur, d’ailleurs le fait que ces séquences soient quasiment en temps réel pour créer une immersion et une fluidité de mise en scène reste ambitieux. La première partie va se concentrer sur le lancement du Macintosh en 1984, échec commercial retentissant de la marque à la pomme, sur la mégalomanie maniaque du personnage, Boyle le dépeint comme un type détesté de tous, tel Jules César entouré d’ennemis guettant sa chute, cet acte est réussi dans le sens où il plante directement le contexte et ses protagonistes avec une efficacité redoutable, notamment grâce au jeu de Fassbender reflétant très bien le caractère hautain et vaniteux de Jobs. Demeurent quelques figures complaisantes lui tenant tête comme sa collaboratrice (Kate Winslet) et son PDG (Jeff Daniels), le film établit également les relations compliquées entre sa femme (Katherine Waterston) et sa fille ainsi qu’avec l’autre co-fondateur d’Apple Steve Wozniak (Seth Rogen), on comprend que l’ambition démesurée du créateur s’absout de tout sens philanthropique et murement raisonné, que ce dieu autoproclamé domine son destin, qu’il le provoque.

    C’est bien ce thème de la fermeture qui est mis en avant, qu’elle soit à l’image de l’architecture conceptuelle de ses produits, de sa personnalité mais également du cadre, car dès la seconde partie se déroulant quatre ans plus tard précédée d’une ellipse statistique nous voilà replacé une nouvelle fois entre les quatre murs d’un auditorium à l’aube du lancement du cube NEXT. Cette redondance résonne comme une dégradation, montrant un Jobs blessé mais certainement pas à terre, délaissé par sa propre société ne supportant plus son entêtement, où la logique commerciale prend le pas sur l'innovation artistique, la double confrontation avec Wozniak et Sculley image bien cela, autant la première pousse un peu la symbolique de l’homme orchestre (dans une fosse orchestrale, la belle affaire) que la seconde use de flashbacks admirablement intégrés pour encore une fois placer le contexte, c’est malin, sans doute la meilleure scène d'ailleurs. L’unique progression altruiste de Steve Jobs réside dans sa relation paternelle, sa maladresse puis ce rapprochement presque naturel envers sa fille font que ça reste assez touchant, on arrive à distinguer le point sensible du personnage et cette cloison dont apparemment elle seule détient la clé, et la troisième et dernière partie va principalement tourner autour de l’idée de la reconquête, autant du marché informatique que de son devoir de père.

    Pourtant cet acte qui nous téléporte en 1998 pour son retour à la tête d’Apple et le démarrage de la production de l’iMac trouve tout de même ses limites en terme de mise en scène, cette fois la redite à tendance à fatiguer, surtout en ce qui concerne la confrontation avec Wozniak, on en revient toujours au même point, la joute dans l’auditorium m’a semblé définitivement de trop, ça n’a plus rien à proposer à ce niveau là mais le scénario insiste en vain pour appuyer encore et toujours leurs désaccords idéologiques, il me semble qu’on avait très bien compris. Le personnage de Winslet est d’ailleurs à mon goût trop omniprésent, bien que l’actrice soit formidable (je l'adore mais j'ai vraiment fini par en avoir marre de la voir débarquer à tout bout de champ), cette constante répétition de séquences de dialogues s’étirant, et en définitive très/trop écrite voire théâtrale, fait que le film peine à véritablement trouver un second souffle et surtout un sursaut, Boyle habituellement adepte du montage survolté parait freiné par son sujet, reste tout de même une palette esthétique assez remarquable soulignant les époques et les représentations symboliques avec une élégance certaine. Le final quant à lui m’a paru basculer dans la facilité émotionnelle, venant régler les enjeux familiaux de manière bien peu subtile, tout en accentuant la glorification totale du type, ça tombe malheureusement à plat, bien que pour tout dire je ne sais pas trop comment il aurait pu en être autrement.

    Steve Jobs reste un biopic qui prouve son originalité dans sa structure, Sorkin a réussit à donner un intérêt scénaristique à la vie de ce personnage pas nécessairement adaptable, le casting est exempt de tout reproche avec un Fassbender appliqué pour incarner les nuances de son rôle avec retenue et habileté, ce triptyque en un garde une évolution et des points d’ancrage identifiables, le tout dans un écrin harmonieux. Seulement je dirais que le film a en quelque sorte le défaut de ses qualités, car à force de nous enfermer à l’intérieur de ce concept narratif il fini par provoquer la lassitude, certainement trop sage, posé et causeur pour un metteur en scène survitaminé comme Danny Boyle, il est fort dommage que le film ne trouve pas son rythme de croisière en deux heures avec cette multitude d’idées de départ.
    selenie
    selenie

    6 315 abonnés 6 199 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2016
    Adapté de la biographie (2011) de Walter Isaacson le film se dote d'un scénario judicieux signé Aaron Sorkin, lequel s'est fait remarqué pour son excellent travail sur "The Social Network" déjà de Fincher. Sorkin signe un scénario qui se focalise sur les minutes précédant le lancement médiatique, et où Jobs commandent, gèrent et surtout croisent, discutent et se fâchent avec ses proches, famille et collègues. Le soucis c'est que Sorkin imagine quasi la totalité des dialogues et que le tout reste quand très subjectif. Le bon point c'est que les dialogues percutants, toujours sous un fort effet énergisants qui sonne toujours vrais et pertinents.
    crachou94
    crachou94

    23 abonnés 427 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 février 2016
    Steve Jobs est remarquablement interprété par Michaël Fassbender mais le film en lui-même est très long, sans relief, souvent technique, je me suis ennuyée.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    111 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 février 2016
    Le fondateur d’Apple apparaît, en trois mouvements, comme un gourou visionnaire et machiavélique dans un portrait complexe. Sagement réalisé mais intelligemment écrit.

    LA SUITE :
    Jonathan M
    Jonathan M

    134 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 février 2016
    Du bavardage, encore et encore. Qu'est-ce que c'est barbant. Steve Jobs est vu comme un dieu, car ledit se voyait comme tel. Pourquoi pas. Non, je ne tenterais pas le rapprochement avec Shakespeare ou je ne sais sais qu'elle comparaison avec la vanité. Le personnage en lui-même est intéressant. Matière à faire deux films (je n'ai pas vu celui avec Ashton Kutcher) aussi pauvres? Fassbender très bonne idée, Danny Boyle pas mieux, mais le tout ne match absolument pas. Palme de l'ennui.
    papalou
    papalou

    15 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2016
    Comment dire .... Aficionados de apple et de job, je ne pouvais que me précipiter en salle....mais avec beaucoup de craintes.... Comment allait il passer a l'écran Steve ?
    Les premières minutes, passer 2 h avec un mec arrogant, méchant et dénué d'émotion .... allaient être difficile....
    Non non non ... très bonne surprise....Danny Boyle et le scénariste de fincher a transformé sa vie en pièce de théâtre ... En 3 actes fondateur pour apple/Jobs et en mettant autour de ces moments 4 relations prégnante pour Jobs .... Excellent et passionnant partie pris
    Et tout va très vite, Michael F rend ce Jobs fantastique .... Et visionnaire ! Kate Winslet, son âme, bluffante et méconnaissablement résistante ...
    Scène extrêmement travaillées et en mouvement, comme dans Bird Man sans traveling continu....
    Les discutions entre Jobs et sculley sont superbe à la fois pour cette joute oratoire mais aussi pour le choc manager vs visionnaire ...
    Jobs a définivement changer notre manière de voir le monde....mais aussi la manière des startuper de vendre leurs idées!
    Yes! Vivifiant sur la détermination d'un créateur d'un entrepreneur sans concession !
    Pour ceux qui ont vue Joy.... Ou pas encore courrait voir Jobs vous serait au cœur de la révolution permanente qu'entraîne des homme tel que lui...!
    Oui je sais je suis parti pris!
    Jorik V
    Jorik V

    1 278 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 février 2016
    Nous ne sommes absolument pas face à un biopic traditionnel tel qu’a pu l’être la version peu connue et moyennement réussie avec Ashton Kutcher (le « Jobs » de Joshua Michael Stern) qui est logiquement passée inaperçue dans les salles. Ici point de schéma narratif trivial avec naissance, enfance, évènements marquants, remise en question suivi de la chute puis de la renaissance d’un destin hors normes, en gros celui de la quasi-totalité des biopics sur grand écran, mais un film fragmenté en trois parties. Trois coulisses des lancements d’un produit Apple.
    Une originalité mais aussi une drôle de façon d’appréhender cet homme qui a changé la face du monde avec ses produits révolutionnaires mais qui, au final, est pleine de sens. Trois moments cruciaux de sa vie qui permettent de le cerner aussi bien sous le prisme du travail que le prisme amical et familial tout en mettant en place un profil psychologique concis sur une personnalité complexe mais passionnante. La structure du film est donc très particulière et on ne s’étonne guère de retrouver Aaron Sorkin (« The Social Network », qui était tout de même beaucoup plus réussi) à l’écriture.
    Ses tunnels de dialogues le caractérisent bien, et il faut s’accrocher pour ne pas en perdre une miette quand bien même ils sont passionnants et parfaitement écrits. Bizarrement la première partie étonne et rend perplexe, la seconde ennuie un peu et la troisième passionne. Étonnant puisqu’elles suivent le même schéma, les mêmes personnages, le même sens des dialogues et la même temporalité (du temps réel juste avant le lancement des produits).
    « Steve jobs » est donc très particulier et pourra décourager certains spectateurs mais c’est également très instructif, quoique bien connaître la société Apple avant d’aller voir le film est un plus et donne des clés de compréhension supplémentaires. Aucun des côtés négatifs de Jobs n’est écarté et les relations avec sa fille lui donnent un tout autre éclairage, plus sombre mais aussi plus humain. Le casting d’acteurs de haut vol finit de trancher en faveur d’un film qui ne semble pourtant pas celui de Danny Boyle mais davantage un film de scénariste. On regrette juste que les coulisses du lancement de l’i-Phone ne fasse pas partie des moments sélectionnés pour être représentés.
    Mapofparis
    Mapofparis

    28 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2016
    Le deuxième film en trois ans sur l'ex-PDG d'Apple se place plus sur la personnalité de Steve Jobs et moins son parcours, se focalisant sur trois moments clés de sa vie professionnelle. Le résultat donne une bonne biographie du gars, même si ma préférence reste envers celle de 2013.
    PLR
    PLR

    470 abonnés 1 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2016
    Il y a des films comme ça difficiles à raconter. Le spectateur est témoin, observateur, suiveur. Complètement accaparé. Ecrasé par le tempérament du personnage. Un interprétation extrêmement crédible et réaliste y compris des seconds rôles, principaux eux-aussi. Est-ce qu'elle correspond exactement à la réalité, est-ce que les traits ne sont pas grossis, le cheminement accéléré, simplifié, compressé ? Peut-être, peut-être pas. C'est toujours l'incertitude qu'il y a dans ce type de récit. Un portrait de Steve Jobs, caractériel, possessif, visionnaire qui plait bien.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top