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Votre avis sur Steve Jobs ?
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J'ai vu ce film a sortie et je suis content de pourvoir envoyer mon avis. Steve Jobs se compose de quatre montages d'argumentation de 30 minutes tous placés juste avant un lancement de son produit devant la presse. Apparemment chaque version sort juste avant qu'il ne libère quelque chose que j'ai beaucoup de mal à croire vrai. Ensuite il s'agit d'un match de cris que Steve a avec cinq personnes alors qu'il gémit se plaint, se met en colère et ne résout rien. Sérieusement un seul de ces arguments obtient une forme de résolution à la fin et les quatre autres sont balayés sous le tapis. Et nous ne voyons jamais aucune des conférences de presse. C'est comme regarder le déroulement du spectacle mais jamais le spectacle lui-même. Nous n'avions pas besoin de voir le tout juste quelque chose qu'il nous montre aux spectateurs qui ne connaissent pas la personne la conclusion de l'histoire. Si vous avez peu ou pas de connaissances sur Steve Jobs ce film sera non seulement déroutant mais vous fera également détester le gars pour des choses qui n'étaient pas vraiment de sa faute. Et il manque beaucoup, sa femme, ses enfants, l'iphone, l'ipad sa maladie et sa mort. C'est vraiment Steve Jobs qui crie sur des gens sans contexte ni aucune connaissance de l'histoire intermédiaire. Par exemple une minute il monte sur scène pour montrer le Mac puis la scène suivante il nous revient par les coulisses. Nous découvrons par l'argumentation qu'il a été rejeté mais nous n'en voyons jamais la cause...
Si le film est bon, avec un très bon Michael Fassbender, je suis tout de même assez surpris. Je pensais que le film s'attarderait sur la création d'Apple, si l'on voit une scène dans le garage de Bill Gates, on ne connait rien du contexte. C'est assez surprenant de ne pas voir la création de la marque. De plus, il y a une énorme ellipse visible aux cheveux de Bill Gates sans vraiment en comprendre l'intérêt. Au final, sa relation avec sa fille paraît un peu forcée dans le sens qu'on a l'impression que Danny Boyle ne voulait pas spécialement en parler.
C'est pour cela que je trouve le film dommage sur ces aspects.
C'est pour cela que je trouve le film dommage sur ces aspects.
Bah déjà je pigeais pas l'intérêt du biopic, à part faire plaisir aux fans (nombreux, trop) d'Apple. La vie de Jobs sort de la routine habituelle du commun mais on est loin d'un Mandela ou d'un Gandhi, enfin on n'est pas sur un personnage mythique, son histoire n'a rien d'extraordinaire, la trame encore moins (normal pour un biopic me direz vous, toujours la même formule), le jeu de Fassbender est un peu plat, le rythme aussi, non rien d'emballant dans ce truc, mais c'est à la mode et ça se vend donc...
Un biopic passionnant et bien foutu qui arrive à décrire subtilement la personnalité complexe du génie et cofondateur d'Apple, porté par l'énorme presta de Fassbender.
Bien que le fond soit intéressant, la forme adoptée nuit grandement à ce film. Qu’est-ce qui a pris au réalisateur d’axé sur seulement trois lancements de produits. Tout se résume autour de la préparation à la conférence de presse de chacun. Elles vont toute durée 40 minutes, ce qui est considérable quand on reste sur le même environnement. Cela fait qu’on aura un manque cruel de dynamisme. L’impression de faire du surplace revient souvent. Pourtant, l’information distillée est prenante mais cette mauvaise répartition du rythme fait qu’on n'aura pas mal de lenteur. On ne verra pas ici Steve Jobs de manière complaisante, mais avec de l’impartialité. Ses défauts, et ses qualités, telles que perçu par l’extérieur, seront abordés. Celui qui nous à quitter en 2011 était un personnage extrêmement charismatique. L’acteur pour le jouer se devait donc d’être à la hauteur. C’est le cas pour Michael Fassbender dont le talent n’a pas de limite. Il retranscrit à merveille la personnalité de celui qui a révolutionné le monde du digital. Ses accrochages avec Seth Rogen, dans la peau de Steve Wozniak sont un des points d’orgues de ces lancements. Ils vont ajouter un côté vivant et fort. Heureusement qu’ils sont là d’ailleurs car sans eux ça aurait pu être beaucoup trop plat.
Je ne connais Steve Jobs que de nom, je ne sais pas quel genre de personne il pouvait être avec les autres mais ce film laisse entendre qu'il était tout simplement horrible avec ses collaborateurs et même sa famille. C'est également un film bavard, bien trop et en plus les dialogues ne sont aucunement intéressants. Les personnages sont en conflit constant, sur trois époques différentes, et ça n'évolue pas. J'ai rarement vu des films sans intérêt, celui-ci est dans le lot.
Je ne connais Steve Jobs que de nom, je ne sais pas quel genre de personne il pouvait être avec les autres mais ce film laisse entendre qu'il était tout simplement horrible avec ses collaborateurs et même sa famille. C'est également un film bavard, bien trop et en plus les dialogues ne sont aucunement intéressants. Les personnages sont en conflit constant, sur trois époques différentes, et ça n'évolue pas. J'ai rarement vu des films sans intérêt, celui-ci est dans le lot.
Un Jobs intimiste, (trop) en avance sur son temps, puise au fond de lui même
spoiler:
jusqu'à sa rédemption finale, professionnelle et personnelle.
gabdias
Biopic en 3 actes sur la construction personnelle et professionnelle d’un génie de l’informatique, qui met bien en valeur ses forces mais aussi ses faiblesses. Bavard très bavard trop bavard même si les prestations des différents acteurs sont toutes de belle facture. D’ailleurs avait-il besoin d’un biopic ? Pas sûr…
Loin d'être un énième biopic fade sur une icone, ce film est une œuvre digne de ce nom, avec des partis pris, qu'on peut d'ailleurs discuter. Danny Boyle choisit de raconter la vie de Steve Jobs, gourou de l'ère moderne, à travers 3 moments clés de sa carrière de marchand informatique visionnaire, et livre un film bizarre. Un film fait de dialogues, de joutes verbales dans des scènes très théâtrales et grandilloduantes qui finissent par sonner "artificielles "tant elles se répètent sur le même mode. Série d'échange avec son boss, son ami, son aide de camp, sa fille. Trois représentations avec les mêmes personnages, les mêmes débats à plusieurs années d'intervalle. Cette narration un peu cérébrale semble aussi froide que Dogville" de Lars von trier, et pourtant ça m'a finalement convaincu. C'est une vraie vision du personnage, et Michael Fassbinder est vraiment incroyable. Un film foisonnant, intelligent, nerveux, pas dénué d'intérêt. Tout sauf une production hollywoodienne sans saveur.
Difficile de se faire une opinion. On voit un Jobs colérique toujours en conflit avec quelqu'un. Réalité ou pas, je suis très dubitative. Si l'homme était aussi imbuvable, comment a t'il réussi a créer une entreprise aussi innovante, comment a t'il pu avoir autant de collaborateurs avec un caractère pareil ? Bref...
NeoLain
Étant un pro anti-Apple je n'attendais pas grand chose sur le biopic d'un certain Steve Jobs. Personnage emblématique ce qui n'empêche pas le fait d'être devant un tyran et homme détestable. Cela m'ennuie que Boyle est à la réalisation de ce film sachant qu'il fait parti de mes best réal all-time. Enfin bon, c'est comme ça faut accepter. Je garderai tout de même en mémoire deux passages, quant il tient impérativement et avec obsession que son MAC puisse dire bonjour puis quand il parle à sa fille du
spoiler:
I-Pod bien avant la venue de l'appareil. en question.
Bon, sinon dans la filmo Boyle la musique est toujours un régal. Je précise pas mais Fassbender est bon. Oui j'ai voulu voir vraiment par curiosité. La curiosité de quoi ? Et bien ça va répondre à ta dernière question. Je suis contre son écosystème fermer. Et Steve tenait à être conservateur. Offrir un système de partage seulement d'Apple à Apple et non pas avec d'autres machines. D'ailleurs dans le texte de Fassbender, il exprime parfaitement à son pote. Ce sont des éléments comme ceci que je tenais à entendre ce qui me rassure de mon désaccord envers la politique de la pomme de Californie. Au moins je nie pas que le film est honnête sur certains points.
Bon, sinon dans la filmo Boyle la musique est toujours un régal. Je précise pas mais Fassbender est bon. Oui j'ai voulu voir vraiment par curiosité. La curiosité de quoi ? Et bien ça va répondre à ta dernière question. Je suis contre son écosystème fermer. Et Steve tenait à être conservateur. Offrir un système de partage seulement d'Apple à Apple et non pas avec d'autres machines. D'ailleurs dans le texte de Fassbender, il exprime parfaitement à son pote. Ce sont des éléments comme ceci que je tenais à entendre ce qui me rassure de mon désaccord envers la politique de la pomme de Californie. Au moins je nie pas que le film est honnête sur certains points.
Un biopic chef d'œuvre sur le patron fascinant d'Apple, pas d'iPhone mis de côté pour ce film, ni de Mac commercial, juste un homme avec une personnalité, son gosse eu d'une aventure éphémère, qui diverge avec ses collègues associés.
On ne comprend ses histoires personnelles jusqu'à ce que ça chauffe au fur et à mesure, intrigue interpellatrice et le débat houleux passionne, moment d'émotion pour le croisement final pour le fils et le père caché.
On ne comprend ses histoires personnelles jusqu'à ce que ça chauffe au fur et à mesure, intrigue interpellatrice et le débat houleux passionne, moment d'émotion pour le croisement final pour le fils et le père caché.
Biopic assez intéressant, servi par un bon comédien et de bons dialogues, mais le film est trop long et soporifique.
Ni mauvais, ni exaltant, ce biopic louvoie entre la vie privée, plus particulièrement des relations avec sa fille enfant, et la carrière peu banale de Steve Jobs, personnage atypique, cartésien et artiste à la fois. Le film semble chercher à faire des parallèles entre les univers de l'homme sans y parvenir, à mon humble avis. Pas vraiment de fil rouge, une fin qui survient "un peu au hasard", au détour d'une scène avec sa fille qu'il a vient tout juste de laisser entrer dans sa vie. Entre deux, peu d'explications, mise en scène froide (ou "trop sobre", à l'image de Jobs à la fin de sa vie ?) . Intéressant si on s'intéresse à Jobs. Sinon, un peu ennuyeux.
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