Derniers Avis : Steve Jobs - Page 18

Autopsie d'un génie visionnaire.
Entre bipède caractériel autoritaire et surhomme surdoué entier, mon coeur balance.
Comme le dit "Woz" dans le film, la réalité n'est pas binaire, mais un trait composé des contraires..
Comme le montre la fin...

Un exercice de style que je n'ai que peu apprécié : les coulisses du lancement de 3 produits phare lancés par Steve Jobs sont l'occasion de faire connaître son avancée professionnelle, sa vie personnelle et les relations avec les gens qui l'entourent. S'en suit un mélange brouillon de dialogues, vire-voltant à toute vitesse, sans retenue et jusqu'à plus soif d'un sujet à l'autre. On a grand mal à suivre, on ne comprend pas bien où l'on veut en venir. L'exercice veut sûrement transcrire la modernité du personnage, il nous perd très rapidement. Un comble...

Loin de l'hagiographie d'un génie, un portrait sans concessions de l'homme, obsessionnel, autoritaire et visionnaire, qui a changé notre quotidien. Un casting en or, des dialogues au scalpel, une bande son envoûtante, la réalisation ludique de Danny Boyle.
Passionnant sur le fond, un vrai plaisir de cinéma sur la forme.

Ce biopic 2.0 sur la vie de Steve Jobs, n en est pas réellement un, comme l' a été son méconnue prédécesseur avec Ashton Kutcher. Le scénario Aaron Sorkin qui avait déjà écrit le biopic du créateur de facebook pour the social network se focalise sur 3 périodes de la vie de Jobs, que Danny Boyle filme de manière différentes pour marqué les époques. L interprétation de Michael Fassbender est quand a elle excellente ou il arrive a nous montrer les différentes facettes de la personnalités du personnage. Le film est globalement bon dommage qu'on ne voit pas son ascension de ses débuts dans son garage jusqu'à la consécration avec ses hauts et bas.

Un autre regard sur ses relations aux autres et à ses erreurs du passé notamment dans les liens familiaux et dans le business

Très déçu de ce film que j'attendais de pieds fermes...
J'aurai voulu le voir à l'université ou enfant, savoir de quoi il est parti pour comprendre ce qu'il est devenu. Savoir comment il a battit sa fortune, ses débuts avec Apple..
spoiler: Là, le film commence, Steve est déjà riche... On ne voit pas le chemin qu'il a parcouru pour le devenir. Ensuite, le film s'arrête peu après le Mac 2. On ne parle pas du Iphone donc...
J'aurai largement préféré un film autour de l'iphone pour comprendre toute la psychologie qu'il y à eu autours de cette invention. Savait il à quel point le smartphone allait changer le monde ? Savait il que nous allions tous en être dépendant ? On t'il eu des pensées diaboliques ? Etait il conscient de l'ampleur que ca allait prendre ? j'aurai préféré un film un peu sombre autours de ca plutot que de voir un film uniquement composé '' d'avant conférence de presses" sans transition.
Et pourtant j'ai adoré cet acteur dans Inglourious bastard ou Xmen !
Bref, on est très en dessous du film sur facebook par exemple..

On suit trois moments précis vécus par Steve Jobs dans les coulisses : en 1984 pour le lancement du Macintosh, en 1988 pour le lancement de Next et en 1998 pour le lancement de l'Imac.
Les trois fois on suit le même schéma : il est quasiment en permanence en présence de son assistance (Kate Winslet) et il est confronté à des problèmes personnels et professionnels (en particulier avec une ex-compagne et sa fille).
Le film est bien fait et interprété.
Cependant pratiquement tout le long du film ce ne sont que des disputes, des engueulades, des conflits et c'est assez pénible.
Ces conflits sont liés au travail et à sa vie personnelle notamment avec son ex-compagne et sa fille qui ont besoin de sa reconnaissance et de son aide financière.
J'ai bien aimé dans l'ensemble, cependant, toute cette histoire conflictuelle est assez stressante.
En tout cas Kate Winslet a un super rôle.

Steve Jobs s'impose comme l'un des chef-d'œuvre de cette année 2016 mais pas que. Car il réussi à se démarquer des autres films biographiques en précisant sur les défauts du génie qu'est Steve Jobs. Le film est composé de la même sorte qu'une pièce de théâtre; en 3 actes. Le scénario est exceptionnel de même pour la réalisation et pour les acteurs qui mérite bien des oscars.Le voilà le grand film de ce début d'année : à aller voir absolument!!

Un biopic centré sur certains principaux événements de la vie de jobs, orienté business et marketing, on a droit a des dialogues plutôt sympathique et intéressant, mais surtout révélateur de la philosophie de steve jobs ainsi que des personnages marquant de sa vie. Bien sur si vous cherchez de l'action allez voir ailleurs, personnellement le film a sur me tenir en haleine tout le long, mais la fin est a prendre avec des pincettes, tout comme surement une bonne partie du film. 3.5/5

Steve Jobs était certainement visionnaire (n'a-t-il pas révolutionné notre façon d'écouter de la musique et de "téléphoner" ?) spoiler: mais ce n'était pas un mec sympa. C'est en tous les cas la première impression que donne ce film. Et puis, finalement, on se dit que ce gars était peut-être seulement complexe. Abandonné à sa naissance avant d'être adopté, Steve Jobs semble avoir été en recherche de contrôle toute sa vie (ou au moins, entre 1984 et 1998, période couverte par le long métrage). Le contrôle de ses produits (pas d'open source, oh que non), de ses keynotes, de sa carrière, de ses émotions, de sa relation avec sa fille Lisa qu'il a longtemps reniée. Son indéniable talent a été de s'entourer de personnes talentueuses même s'il était souvent odieux avec eux.

Hyper bien écrit et construit, ce film montre les coulisses d'Apple et de l'homme derrière le Mac. Tous les acteurs sont formidables, à commencer par Michael Fassbender et Kate Winslet, la seule à lui tenir tête et à voir qu'au fond, Steve Jobs était un humain.

Visionnaire pour les uns, PDG tyrannique pour d'autres, Steve Jobs, on l'aime ou on le déteste. Mais ce qui est certain, c'est qu'il méritait qu'on s'y intéresse au cinéma, si possible via un portrait complexe et sans propagande pro-Apple. Trois ans après une première tentative (un peu ratée) de biopic avec Ashton Kutcher, Universal se lance dans un projet beaucoup plus enthousiasmant, réunissant toute la fine fleur de la production audiovisuelle actuelle : La première raison pour laquelle vous devez absolument voir ce film se nomme Aaron Sorkin, scénariste de renom auquel nous devons l'excellent The Social Network et qui prouve une nouvelle fois avec Steve Jobs (Golden Globe du meilleur scénario) qu'il est l'un des meilleurs dialoguistes à Hollywood. Via une subtile construction narrative en trois parties entrecoupées d'habiles flashbacks alternés, le fondateur d'Apple nous est présenté dans les minutes qui précèdent le lancement de plusieurs de ses ordinateurs, un choix plutôt original donc. Avant chacune de ses conférences, l'homme est sans cesse en conflit avec collègues et ex-collègues, ou encore avec son ex-femme et sa propre fille ( spoiler: dont il aura renié la paternité pendant des années
), se livrant souvent à de jouissives joutes verbales, car la patte Sorkin, c'est avant tout un art des punchlines, des répliques qui tuent, s'enchaînant à une vitesse hallucinante, et ce sans jamais perdre le spectateur. Et pour chorégraphier tout cela, qui de mieux que le toujours aussi énergique Danny Boyle ! Certes, dans la filmographie du cinéaste (Trainspotting, Sunshine, Slumdog Millionaire, pour citer ses chefs-d’œuvre), Steve Jobs pourrait paraître un peu trop sage, voire classique, mais on relève tout de même quelques effets et cadrages notables : des gros plans vraiment très gros, des plans d'ensemble vraiment très beaux, des couleurs chatoyantes, des murs qui s'animent, un montage très pêchu, des changements de format (pellicules 16 et 35mm, puis numérique) en fonction des époques... Et puis il y a cette caméra toujours en mouvent, suivant un Jobs en ébullition, jamais capable de rester en place. Bref, par le biais d'une mise en scène extrêmement dynamique (et d'une musique entraînante signée Daniel Pemberton), Boyle réussit l'exploit de nous intéresser pendant deux heures à ces personnages excessivement bavards. D'ailleurs, chaque personnage est passionnant à suivre et ces derniers sont interprétés par un casting aux petits ognons (réforme orthographique oblige), à commencer par un Michael Fassbender épatant, réussissant à incarner Steve Jobs dans toute sa complexité, c'est-à-dire terriblement perfectionniste, brillant pour les affaires, mais peu doué pour les relations humaines. Les rôles secondaires ne sont pas en reste : Kate Winslet n'a pas démérité son Golden Globe et Jeff Daniels fait preuve de beaucoup de charisme, mais la révélation du film n'est autre que Seth Rogen, habituellement abonné aux rôles comiques, qui est ici plus que crédible dans la peau de Steve Wozniak, cofondateur d’Apple tentant désespérément d'arracher à son ancien ami un simple mot de reconnaissance envers ceux qui l’ont accompagné à ses débuts. Le nouveau long-métrage de Danny Boyle est en conclusion une belle réussite. Sans être aussi virtuose que The Social Network en termes de réalisation et d'écriture (on peut notamment reprocher à Steve Jobs son côté répétitif), le film sait tout de même être prenant du début à la fin et, comme on s'y attendait avec de tels noms sur l'affiche, parvient à se démarquer dans le paysage si académique du biopic contemporain.

Après le mauvais biopic avec Ashton Kutcher, on pouvait s’interroger quant à la pertinence d’un nouveau projet cinématographique sur Steve Jobs. Eh bien, au lieu de filmer une bête page Wikipédia, Danny Boyle adapte un scénario très malin du scénariste de The Social Network et Le Stratège. L’histoire permet alors de découvrir Steven Paul Jobs, en grattant le mythe pour découvrir l’individu. Le tout dans une configuration théâtrale propice à des échanges verbaux aussi affûtés que des épées et livrant des passages émouvants. La recette d’un biopic ciné intéressant et pertinent. La recette d’une réussite totale.

La demie étoile simplement parce que c'est Danny Boyle ,sinon c'était zéro.Film soporifique , dialogues pauvres,bref on apprend rien sur ce prétendu "génie" . Le "Jobs" de 2013 était bien au dessus,film inutile ,passez votre chemin...

j'ai été voir ce film uniquement pour Kate Winslet que je suis dans tous ses films depuis TITANIC en 1998 mais j'ai failli ne pas le voir : malgré le succès aux GOLDEN GLOBES la France le sort dans peu de salles et en VO en majorité ! il n'est pas dans mes cinéma UGC habituels, uniquement en VO dans le UGC Confluence accessible pour moi et dure 2h02 !
pour le voir en VF il aurait fallu courir à Vaux en Velin, ce que j'avais pas envie de faire !

UGC ne cesse d'augmenter ses tarifs ! il y a une dizaine d'années, le tarif du matin était autour de 5,50euros et maintenant c'est 6,70 alors que très récemment c’était encore 6,50 !
ça devient de pire en pire pour aller voir un film quand on est au chômage comme c'est mon cas !

N'ayant jamais eu de MAC, seulement des PC, je ne connais pas du tout cette ordi et j'ai rien compris à toutes ces histoires des années 80 à 1998 ! Par contre, Kate Winslet est extraordinaire campant un rôle primordial du début à la fin du film sans qui Steve ne pourrait rien faire ! elle gère tout pour lui et fait attention à tout ! elle est admirable et mériterait tellement l'OSCAR pour lequel elle est nominée !!!

Fassbender est stupéfiant et sa relation avec sa fille qui grandit très poignante !
on se sent motivé pour sa battre pour sa vie et ses passions en assistant à ce film !

belle histoire joli prestation de l acteur principal
dommage que ça se finisse comme cela
c'est à dire trop court j en aurait voulu plus
je le conseille