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j'ai adoré ce film déjà l'interprétation de Kate winslet et Michael fasbender est remarquable Dani boyle montre pas que apple dans ce film mais surtout montre que jobs était un remarquable directeur marketing mais surtout montre que ce type pouvait changer avoir un côté humain que certainement on ne connaissait pas et qu'il avait du mal à l'exterioriser
Et bien c'est une grande déception pour moi... je n'attendais pas spécialement de ce film, mais j'aurai tant aimé en sortir et me sentir informé et cultivé désormais sur Steve Jobs, connaitre vraiment son parcours, ses moments clés, mais il en est tout autre !
Vous allez finalement sortir frustré du film, pourquoi ? simplement car ce film est découpé en 3 parties, identiques, qui consistent à voir Steve Jobs avant chaque discours important se livrer à des dialogues inutiles et de bas niveau avec des personnes totalement tertiaires (sa femme, sa fille, des assistants) et ensuite, la séquence est coupée au moment que nous attendons tous : la présentation sur scène.
C'est frustrant ! vous voyez que la tension monte, les salles se remplissent, les gens applaudissent, hurlent, et hop ! on coupe, on remet la même scène 5 ans après, et on recommence avec des dialogues pauvres en intérêt dans les coulisses de la scène. Enfin, c'est frustrant 2 fois, la 3e, vous savez que ça se passe comme ça, et vous anticipez toute la suite.
Vraiment, vous n'apprendrez rien ou très peu sur l'histoire d'Apple (je pense que la société a d'ailleurs du émettre beaucoup de réserves et le producteur ne s'est pas aventuré dedans), rien sur Steve Jobs si ce n'est quelques traits de personnalités : dur, intelligent, cassant (oui on avait vraiment besoin du film pour le savoir !), rien sur les concurrents de l'époque qu'on aurait aimé voir intégrés.
Bref, on se retrouve devant un film frustrant, tel un film sur le monstre du Loch Ness qui raconterait l'histoire sociale d'un jeune couple habitant en Ecosse. Car il s'agit bien de cela ! on est occupé dès le début du film par l'histoire de la fille de Steve Jobs et de "sa femme". Qui a payé ses études ? Combien de pension alimentaire je te dois ? est-ce vraiment ma fille ? voilà les sujets abordés tout au long du long-métrage. Passionnant n'est-ce pas ?
Et la ressemblance physique est si lointaine ... je pense qu'ils se sont trompés car au moment de la présentation de l'iMac, Steve Jobs ne ressemblait absolument pas à cela en 1998 (présentation du G3). L'acteur ressemble à ce moment au Steve Jobs des temps modernes, lors des présentations d'un iPad ou autre, mais absolument pas au Steve Jobs un peu enrobé et aux cheveux longs de 1998. C'est le marketing du film qui a pris le pas : "vite on doit avoir un Steve que connaissent les gens ! ok pas de souci, on va se tromper de 10 ans, personne ne le verra".
Réelle déception, ce n'est ni passionnant, ni intéressant, ni un film qui vous fait passer un bon moment. C'est un moment d'égarement...
Vous allez finalement sortir frustré du film, pourquoi ? simplement car ce film est découpé en 3 parties, identiques, qui consistent à voir Steve Jobs avant chaque discours important se livrer à des dialogues inutiles et de bas niveau avec des personnes totalement tertiaires (sa femme, sa fille, des assistants) et ensuite, la séquence est coupée au moment que nous attendons tous : la présentation sur scène.
C'est frustrant ! vous voyez que la tension monte, les salles se remplissent, les gens applaudissent, hurlent, et hop ! on coupe, on remet la même scène 5 ans après, et on recommence avec des dialogues pauvres en intérêt dans les coulisses de la scène. Enfin, c'est frustrant 2 fois, la 3e, vous savez que ça se passe comme ça, et vous anticipez toute la suite.
Vraiment, vous n'apprendrez rien ou très peu sur l'histoire d'Apple (je pense que la société a d'ailleurs du émettre beaucoup de réserves et le producteur ne s'est pas aventuré dedans), rien sur Steve Jobs si ce n'est quelques traits de personnalités : dur, intelligent, cassant (oui on avait vraiment besoin du film pour le savoir !), rien sur les concurrents de l'époque qu'on aurait aimé voir intégrés.
Bref, on se retrouve devant un film frustrant, tel un film sur le monstre du Loch Ness qui raconterait l'histoire sociale d'un jeune couple habitant en Ecosse. Car il s'agit bien de cela ! on est occupé dès le début du film par l'histoire de la fille de Steve Jobs et de "sa femme". Qui a payé ses études ? Combien de pension alimentaire je te dois ? est-ce vraiment ma fille ? voilà les sujets abordés tout au long du long-métrage. Passionnant n'est-ce pas ?
Et la ressemblance physique est si lointaine ... je pense qu'ils se sont trompés car au moment de la présentation de l'iMac, Steve Jobs ne ressemblait absolument pas à cela en 1998 (présentation du G3). L'acteur ressemble à ce moment au Steve Jobs des temps modernes, lors des présentations d'un iPad ou autre, mais absolument pas au Steve Jobs un peu enrobé et aux cheveux longs de 1998. C'est le marketing du film qui a pris le pas : "vite on doit avoir un Steve que connaissent les gens ! ok pas de souci, on va se tromper de 10 ans, personne ne le verra".
Réelle déception, ce n'est ni passionnant, ni intéressant, ni un film qui vous fait passer un bon moment. C'est un moment d'égarement...
Au lieu de vouloir survoler toute la vie de Jobs, ce film se concentre sur quelques moments clefs précédents les célèbres keynotes qui ont jalonné sa légende. On en apprend finalement plus sur sa personnalité, sa stratégie, sa philosophie que dans les autres biographies qui lui ont été consacrées. Y compris ses aspects les plus sombres. Mais la grande force du film c'est surtout qu'il a un intérêt esthétique et scénaristique indépendamment du personnage réel. Il ne cède pas à la facilité de tout faire reposer sur le mythe et même quelqu'un qui n'aurait jamais entendu parlé de Jobs (donc un extraterrestre) y trouvera un intérêt.
Excellent film notamment grâce à la performance de Michael Fassbender et du réalisateur bien entendu. 3 grandes périodes sont narrées, qui nous font revivre ce qu'on peut appeler une révolution informatique domestique, et partager la difficulté d'être à la fois un visionnaire et aussi un homme et père.... Tout est dans la nuance - entre le noir et blanc - les intonations sont parfaites... les images également - Grand Personnage !! **
Danny Boyle prend la suite du projet abandonné par David Fincher (avec Christian Bale). Le second portrait au cinéma du créateur d'Apple, interprété finalement et cette fois-ci par Michael Fassbender, est brillant. Le scénariste de The Social Network, nous présente en 3 actes, toute la complexité personnelle et professionnelle de Steve Jobs, à travers des dialogues de haut niveau.
Cinememories
Danny Boyle répond à l’oeuvre de Joshua Michael Stern, portée par un Ashton Kutcher fébrile. Il arpente une nouvelle fois la voie de la critique, celle d’une icône gargantuesque de notre époque. L’avancée technologique a bien des facettes que l’on ne nous dévoile pas. Nous, consommateurs, sommes arrogants et égoïstes, à un tel point que ce sont bien nous qui avions conçu ces divers produits, “d’une certaine façon”.
Ce qui est encore plus surprenant, c’est ce découpage distinct en trois actes du film. Sur ces différentes lignes temporelles, on remodèle légèrement le décor, bien que le support narratif soit identique. Chaque personnage revient avec un tout nouveau contexte, suggérant et améliorant la situation de Jobs dans sa manière de procéder. Cela dit, l’orgueil de chacun est à la fois leur faille et leur force de persuasion. Il faudra alors insister sur l’homme en question pour valider toutes ces observations.
Ici, Michael Fassbender campe un Steve Jobs refermé sur lui-même. Grâce à son charisme médolieux comme on l’admire, il séduit par des répliques tout aussi construites que sa personnalités troublantes et fort en caractère. Ses problèmes sont d’ordre émotionnel, comme chacun des protagonistes qui l’entoure et qui l’accompagne. Cet entrepreneur manie les mots comme source d’inspiration et annonce à ses consommateurs, ce qu’il voulaient entendre. Ce qui n’est pas forcément fondé quand on connaît le succès de son système “fermé”.
Ce qu’il faut également considéré, c’est tout d’abord l’omniprésence de Joanna Hoffman (Kate Winslet), l'assistante de direction et proche de Jobs. Son objectivité est essentiel dans la compréhension de Jobs et de sa manière de voir les choses.
De même pour Lisa Brennan, qui dans sa jeunesse, prouve le confort le personnage face à celui de Jobs. Elle apporte cette partie émotive, retirée du personnage à l’ouverture du rideau. C’est bien la pièce maîtresse qui apporte toute la tendresse du film, jusqu’à son dénouement certain, rendant hommage au visionnaire.
En somme, ce dernier “Steve Jobs” s’est illustré théâtralement délicieux, le décalage attendu entre la mission d’une grande innovation et le devoir d’un homme ambitieux !
Ce qui est encore plus surprenant, c’est ce découpage distinct en trois actes du film. Sur ces différentes lignes temporelles, on remodèle légèrement le décor, bien que le support narratif soit identique. Chaque personnage revient avec un tout nouveau contexte, suggérant et améliorant la situation de Jobs dans sa manière de procéder. Cela dit, l’orgueil de chacun est à la fois leur faille et leur force de persuasion. Il faudra alors insister sur l’homme en question pour valider toutes ces observations.
Ici, Michael Fassbender campe un Steve Jobs refermé sur lui-même. Grâce à son charisme médolieux comme on l’admire, il séduit par des répliques tout aussi construites que sa personnalités troublantes et fort en caractère. Ses problèmes sont d’ordre émotionnel, comme chacun des protagonistes qui l’entoure et qui l’accompagne. Cet entrepreneur manie les mots comme source d’inspiration et annonce à ses consommateurs, ce qu’il voulaient entendre. Ce qui n’est pas forcément fondé quand on connaît le succès de son système “fermé”.
Ce qu’il faut également considéré, c’est tout d’abord l’omniprésence de Joanna Hoffman (Kate Winslet), l'assistante de direction et proche de Jobs. Son objectivité est essentiel dans la compréhension de Jobs et de sa manière de voir les choses.
De même pour Lisa Brennan, qui dans sa jeunesse, prouve le confort le personnage face à celui de Jobs. Elle apporte cette partie émotive, retirée du personnage à l’ouverture du rideau. C’est bien la pièce maîtresse qui apporte toute la tendresse du film, jusqu’à son dénouement certain, rendant hommage au visionnaire.
En somme, ce dernier “Steve Jobs” s’est illustré théâtralement délicieux, le décalage attendu entre la mission d’une grande innovation et le devoir d’un homme ambitieux !
Film tourné en trois actes : 1984,1988, 1998, chaque fois juste avant le lever du rideau sur le lancement de nouveaux produits par Steve Jobs.
Les coulisses des lancements, lieux d'échanges très denses entre Steve Jobs , ses associés, mais aussi son ex petite amie et sa fille Lisa.
1998 est l'année où la marque Apple connaît un nouvel essor après avoir frôlé la faillite, grâce au I Mac. 1998, année du retour de Steve Jobs à la tête de la firme et du début d'un succès sans faille.
Je n'ai pas vu le temps passer, captivée par la performance de Mickal Fassbender, une fois de plus brillant dans le rôle de cet homme qui semblait tout à la fois insupportable et génial.
Les coulisses des lancements, lieux d'échanges très denses entre Steve Jobs , ses associés, mais aussi son ex petite amie et sa fille Lisa.
1998 est l'année où la marque Apple connaît un nouvel essor après avoir frôlé la faillite, grâce au I Mac. 1998, année du retour de Steve Jobs à la tête de la firme et du début d'un succès sans faille.
Je n'ai pas vu le temps passer, captivée par la performance de Mickal Fassbender, une fois de plus brillant dans le rôle de cet homme qui semblait tout à la fois insupportable et génial.
En préambule je dirais que je ne suis pas fan d Apple, que je ne connais pas l histoire de Steve jobs ça ne m a jamais intéresser . je suis allée voir le film par simple curiosité et puis Danny Boyle !!!
C est important pour moi de commencer comme ça pour vous expliquer mon ressenti du film ! Ce film est un chef d œuvre je ne mâche pas mes mots !
Un script uniquement en dialogue avec trois situations a trois époques différentes ! Je ne dirai pas plus ! Cela permet au réalisateur de fonder sa vison sur l homme mais aussi sur la place des technologies qu ont sur notre quotidien avec une citation en début de film !
Filmer par un maître avec un scénario écrit par un maître ! On a la un petit bijou de dynamisme de situation de cinéma !!
Sans extravagance sans Parti pris le film nous donne pas son avis dur le personnage mais l humanise !
Le casting est parfait qu elle joue de retrouver Katherine Waterson toujours aussi belle !!!
C est important pour moi de commencer comme ça pour vous expliquer mon ressenti du film ! Ce film est un chef d œuvre je ne mâche pas mes mots !
Un script uniquement en dialogue avec trois situations a trois époques différentes ! Je ne dirai pas plus ! Cela permet au réalisateur de fonder sa vison sur l homme mais aussi sur la place des technologies qu ont sur notre quotidien avec une citation en début de film !
Filmer par un maître avec un scénario écrit par un maître ! On a la un petit bijou de dynamisme de situation de cinéma !!
Sans extravagance sans Parti pris le film nous donne pas son avis dur le personnage mais l humanise !
Le casting est parfait qu elle joue de retrouver Katherine Waterson toujours aussi belle !!!
Un biopic qui se déroule bien tout au long du film laissant entrevoir un M. Fassbender entre plus tiraillé que dans ses autres rôles. Défi pourtant difficile de représenter le génie, la complexité et l'amertume d'un tel cerveau, ce film ne se laisse pas déstabiliser et nous présente une vie en version condensée (difficile de mettre toute une vie dans un film, vous m'avouerez) et pourtant suffisamment explicite. Le casting qui accompagne Fassbender tire lui aussi son épingle du jeu dont K.Winslet, que j'apprécie beaucoup et un étonnant Rogen, en informaticien rempli d'amertume (premier film où j'arrive pratiquement à le prendre au sérieux).
Bon film, bien rythmé, ni trop pesant ni trop caricatural, il tente de nous familiariser avec l'esprit d'un homme qui se voulait bien plus. Bonne réalisation
Bon film, bien rythmé, ni trop pesant ni trop caricatural, il tente de nous familiariser avec l'esprit d'un homme qui se voulait bien plus. Bonne réalisation
Le film nous présente seulement le lancement des produits et c'est regrettable. Il est coupé en 3 parties bien distinctes : le lancement du Macintosh, celui du cube de NExt et enfin de l'iMac. Au delà de ces coupures, je trouve regrettable que le film ne rentre pas plus dans le côté technique et la concurrence qui faisait rage dans la Silicon Valley à cette époque. Ce n'est finalement qu'une histoire de marketing. Michael Fassbender est bluffant, bien que je ne sois pas un expert, il arrive à nous faire croire qu'il est Jobs. Je ne suis peut-être pas objectif en disant cela (je n'apprécie guère Apple et le culte de la personnalité instauré autour de Jobs, là où Wozniak le mériterait plus selon moi, à l'instar des Gates, Brin et Page,Zuckerberg, Musk...), mais je n'ai pas trouvé beaucoup d'intérêt au film simplement parce que la vie de Jobs ne méritait peut-être pas un film, ou en tout cas, pas ce genre de film. Il a certes révolutionné l'approche que l'on a avec la technologie, mais pas la technologie elle-même. Les sentiments autour de sa relation avec sa fille prennent selon moi la place qu'aurait dû avoir son génie du marketing. On ne le voit jamais parler devant le public presque... Et c'est regrettable
Un très bon film en 3 actes, représentants chacuns un moment de la magistrale ascension de ce génie que fut Steve Jobs. Mais il est aussi très bien ponctué par des scènes avec sa fille Lisa. À mon avis ce biopic dépasse largement "Jobs" et dresse un admirable portrait de Steve J. de part la performance d'acteur et les dialogues ultra-fournis. Je le recommande à tout les passionnés du créateur de la marque à la pomme.
Encensé par la critique, le nouveau film de Danny Boyle donnait envie or il me semble que son nouveau long métrage a été très largement surévalué. Si le point de vue est original et empêche le film d'être un simple biopic, il enferme aussi ses personnages dans un milieu bien trop restreint. Salle de conférence, bureau informatique, le film traite essentiellement des lancements des produits apple et ennuiera ceux et celles qui n'y connaissent pas grand chose en jargon informatique. Si les trois premiers quart d'heure sont plutôt réussis, la suite du film trop répétitif et verbeuse finit par faire décrocher le spectateur.Cependant Michael Fassbender sauve in-extremis le film en proposant une interprétation magistrale de ce génie narcissique de l'informatique, ses rapports avec sa fille sonnent justes et on regrette aussi qu'il ne soit traité que sur une toute petite portion du film. Quand à la mise en scène de Boyle, elle est aussi à saluée, la fluidité des plans malgré le caractère fermé des lieux est un gage de réussite. Cependant, rien à faire, Steve Jobs est un film plutôt hermétique...
Attention : ce film n'a rien à voir avec un biopic, catégorie dans laquelle il est abusivement classé. Il n'a d'ailleurs pas grand chose à voir avec un film tout court ; il s'agit plutôt d'une pièce de théâtre en 3 actes sans véritable transition entre eux. Aucune scène d'action ni suspense, tout l'art du film consiste dans les dialogues ciselés à la perfection par Aaron Sorkin, déjà à l'oeuvre dans le génial The Social Network et la série A la Maison Blanche. On pourrait s'ennuyer, mais non, on est tout simplement aimanté par le personnage de Steve Jobs, mi-génie mi-tyran. Reste un manque de je-ne-sais-quoi au film, qui se repose un peu trop sur son acteur principal, Michael Fassbender.
Sans doute un des pires films que j'ai pu voir. C'est simple, le film est composé de trois scènes donc il n'y a aucun rythme, que de l'ennui et le supplice d'attendre la fin de la scène en se disant "est ce qu'il va se passer quelque chose d'intéressant ?". Le pire dans tout ça c'est que les trois scènes du film se ressemblent toutes, on n'apprend rien, c'est pitoyable. Ce film est sans doute destiné aux gens qui adulent Steve Jobs et qui doivent donc vénérer tout ce qui touche à lui sinon je ne vois pas en quoi le 3,7/5 des spectateurs est justifié. J'ai perdu 2h de ma vie en voyant cette daube, ne faites pas la même erreur que moi et fuyez !
Livre au grand public des éléments de la personnalité de Steve Jobs, et rappelle les quelques dates clés de lancement de ses grands produits, mais ne creuse absolument pas sa vision de ses produits, juste quelques allusions qui de coup ne nous apprennent pas grand chose. Par contre, on tourne en boucle sur la non-reconnaissance de son pote et l'équipe de l'Apple 2, ou ses discussions sans fin avec l'ancien pdg, et puis surtout on tombe dans le melo-drame de sa relation avec sa fille. Enfin, ça parle, ça parle, ça parle, accrochez-vous !
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