Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
WalterDiBobyLapointe
32 abonnés
346 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 11 février 2016
Franche déception pour un film pour lequel pourtant je n'attendais rien de particulier. Le parti pris de ne montrer que l'arrière-scène de la vie de Steve Jobs, même s'il aurait pu être intéressant, est tout à fait curieux. Certes, la volonté du réalisateur était très probablement de dévoiler la face cachée de cette icône commerciale, mais montrer le personnage constamment dans les coulisses, derrière le rideau, dans les loges, sans jamais l'amener sur scène et le confronter à ses échecs (ces moments étant tout simplement éludés) donnent la désagréable sensation que le film ne démarre jamais et que Steve Jobs n'a jamais connu l'échec ou la remise en question. On voit bien sûr une face inconnue de l'homme, mais il me semble que l'on pouvait aussi attendre une alliance entre la personnalité publique et celle privée. Ici, que des messes basses, des conflits sous-jacents, et tout ce que l'homme a construit est une ellipse générale, ou alors à peine esquissée. En plus de ce parti pris raté, le film est extrêmement bavard et compliqué concernant le montage. Les conflits d'intérêts sont nébuleux, souvent inintéressants et mal exploités. On rentre dans des détails qui ne nous concernent pas ou ne nous intéressent pas, aussi les enjeux de fonds ne sont esquissés qu'en surface et c'est bien dommage. Ainsi, « Steve Jobs » déçoit beaucoup car il manque toute la moitié de l'intrigue, celle exploitée est quand à elle une sorte de grand flou artistique. On peine à trouver des qualités dans le film, on peut dire que les deux acteurs principaux (Michael Fassbender et Kate Winslet) sont là tout l'intérêt. J'ai donc toujours beaucoup de mal avec le style de Danny Boyle, c'est pourtant pas faute d'essayer.
Steve Jobs est un bon film. Pas particulièrement admirateur ou fan de l’écurie Apple ou encore du bonhomme même s’il faut reconnaître qu’il a fait du bon job. J’attendais tout de même un peu plus de ce qu’offre ce vrai faux biopic. Découpé en trois parties se déroulant dans les minutes précédant les lancements médiatiques respectifs du Macintosh en 1984, du NeXT Computer en 1988 et de l’iMac en 1998. C’est donc uniquement concentré sur les discussions et conflits qu’il a eus avec ses proches justes avant les grandes conférences en particulier avec Joanna Hoffman, la responsable marketing, Steve Wozniak, son associé des débuts, John Sculley, le PDG d’Apple et sa fille Lisa. Pour un tel personnage y avait moyen d’en montrer plus même si ce qu’il nous est montré bien que parfois redondant, est maîtrisé. Le film est présent aux 88ème Oscars 2016 et est nominé pour l’Oscar du Meilleur acteur pour Michael Fassbender qui serait non démérité et pour l’Oscar de la Meilleure actrice dans un second rôle pour Kate Winslet qui serait non démérité également. L’aspect réellement technologique, dans le film de Danny Boyle, est en fait présenté et presque évacué en préambule. L’introduction du film nous livrait pourtant une archive fascinante et pleine de promesses, dans laquelle on y voit l’écrivain de science-fiction Arthur C. Clarke, coauteur de «2001 : L’Odyssée De L’Espace» avec Stanley Kubrick, décrire le début du XXIème siècle, en 1974. Il y dévoile sa vision du futur en prophétisant l’informatique d’aujourd’hui. Bonté divine cette intro est juste géniale. L’œuvre reste suffisamment intéressante pour ne pas trop s’ennuyer sur les 2 heures même si on n’en est pas loin vu qu’on tourne quelque peu en rond. Au final le portrait est brossé sous son côté du personnage détestable et le film ne mise que sur ça. Je retiens tout de même une excellente BO avec de belles compositions originales électrisantes qui apporte grandeur à la mise en scène et à l’ambiance atypique de l’œuvre. Le réalisateur Danny Boyle que j’adore signe ici son 11ème long métrage et l’on n’y reconnaît pas forcément sa patte habituelle. En revanche ses plans, et sa réalisation sont d’une justesse incroyable. Le casting fonctionne à merveille puisque Michael Fassbender y est plus que convaincant et les seconds rôles sont extra avec Kate Winslet, Seth Rogen, Jeff Daniels, Katherine Waterston, Michael Stuhlbarg, Sarah Snook. Perla Haney-Jardine, Ripley Sobo et Mackenzie Moss jouent toutes trois bien dans le rôle de Lisa sa fille à âges différents. Loin d’être un biopic fascinant ni même passionnant, il reste néanmoins un film plutôt bon dans son ensemble puisque maîtrisé surtout par des prestations bluffantes. Maintenant je m’en vais manger des pommes, des poires et des… avec Scooby-Doo ^^. Ma note : 7/10 !
Trois raisons nous laissaient espérer un biopic réussi :
1/ Danny Boyle a évité l’écueil du larmoyant biopic à Oscars et les interprétations sobres mais réussies de Kate Winslet et Michael Fassbender sont de qualité, sans être grandiloquentes.
2/ La personnalité très dérangeante de Chrisann, la mère de la fille de Jobs, est très intéressante. Baba cool cupide, elle utilise sa fille dont elle s’occupe mal pour soutirer de l’argent à Jobs.
3/ La rancœur de Steve Wozniak est montrée de façon tout à fait percutante et juste.
Hélas, le parti pris narratif de Steve Jobs se révèle plutôt ennuyeux et semble avoir plus de raison d’être au théâtre qu’au cinéma.
Mettre Danny Boyle aux commandes d'un biopic sur Steve Jobs ne pouvait être décevant ! C'est un effet un excellent film, davantage basé sur le côté obscur et parfois méconnu, d'un génie qui a révolutionné le monde informatique. Dans le rôle phare, Michael Fassbender est sublime ! Tour à tour antipathique, attachant, génial et faisant preuve d'une abnégation hors du commun, il campe un Steve Jobs plus vrai que nature et révèle la face cachée de l'iceberg qui a fait trembler Microsoft. Incapable d'assumer son rôle de père, d'une exigence folle avec ses collaborateurs, sans pitié pour ceux qui ne pouvaient suivre son rythme, Steve Jobs possédait un charisme hors du commun qui faisait se déplacer les montagnes. Cofondateur, puis directeur général et président du conseil d'administration d'Apple après avoir été écarté de la société, ce personnage haut en couleurs a démontré (s'il le fallait) qu'à force de volonté, on pouvait réaliser ses rêves ! S'il n'avait pas succombé à une maladie incurable à l'âge de 56 ans, nul doute que cet inventeur d'exception aurait certainement produit bien plus encore ! Malheureusement absent de la liste des films nominés aux prochains Oscars, "Steve Jobs" sera néanmoins présent à travers son interprète principal pour celui du meilleur acteur. La compétition avec Leonardo Di Caprio et Eddie Reydmane sera rude mais on peut y croire... Côté féminin, Kate Winslet postulera dans la catégorie Meilleure actrice dans un second rôle où ses adversaires seront Jennifer Jason Leigh (Les Huit Salopards), Rachel Mc Adams (Spotlight) et surtout Rooney Mara (Carol) : une belle compétition en perspective ! Rendez-vous dans la nuit du 28 au 29 février !
Je l'attendais avec une certain réticence ce Steve Jobs. Il faut bien dire que c'est Sorkin (et un peu Fassbender parce que quand même... sans dire qu'on aurait pu se coltiner l'autre Christian Bale) qui m'a motivé. Je n'aime pas particulièrement Danny Boyle et j'adore Fincher et forcément le film va souffrir de sa comparaison avec The Social Network. Qu'on se le dise c'est pas aussi bon mais c'est quand même très bien. Tout le travail de Sokin c'est de faire une variation autour de la même thématique des nouvelles technologies à travers un salaud de génie. J'adore. Vraiment je suis fan de son travail. Je pense que c'est sûrement un des plus grands scénariste à Hollywood. Il est extrêmement dense, précis, intelligent, ses personnages sont incroyables parce que complexes justement. Et puis là découper le film en trois parties qui se font écho. Ce qu'il y a de chouette c'est qu'il ne fait pas doublon avec le premier. Déjà je pense que le changement de réalisateur aide mais aussi parce que Sorkin varie son approche, il modifie des petites choses, en fait passer certaines au premier plan, en met d'autres plus en retrait et du coup on a l'impression que Steve Jobs c'est un peu le Mark Zuckerberg dix ans plus tard. Après j'ai trouvé certains passages déchirants. J'ai failli chialé à plusieurs reprises fragile que je suis. Mais bon la thématique du père ça me parle et j'ai beaucoup aimé qu'il aille sur ce terrain, j'aurais même aimé que le film ne soit que ça. Enfin on a d'autres scènes très belles également comme celles avec Seht Rogen, toujours excellentes, le personnage se dévoile, plus en intimité, il ose dire ce qu'il a en tête. Après dans les scènes que j'ai trouvé vraiment dingues je pense à toutes celles avec sa fille dans la deuxième partie. J'adore la manière dont Sokin te fait sentir que la gamine est surdouée. Ou la peinture abstraite. Le dernier plan reste assez énigmatique personnellement, je ne sais pas si c'est la fille qui projette ou bien réellement son père qui revient à elle. En tout cas j'ai trouvé tout ça vraiment très beau, très intense, le film ne laisse aucune seconde de repos ce qui crée une réelle tension tout au long des trois chapitres. Dès les vingt premières minutes j'étais nerveux et ça ne tombe jamais. En plus il met des pressions au niveau du temps, il y a une sorte de chaos affolant qui marche très bien et la caméra de Boyle ne se pose jamais ce qui renforce cette sensation (je pense à la scène dans la loge dans la première partie tellement rivée sur les personnages qu'on ne distingue plus réellement l'espace avec les miroirs). Pareil j'ai bien aimé la manière qu'à Boyle de suivre un personnage pour revenir sur le premier en un cut. On arrive à suivre et pourtant on a l'impression d'être paumé dans la conversation. C'est une sorte de variation sur ce qu'avait fait Fincher sur la communication. Simplement qu'ici ça ne sert pas un discours sur la communication comme pour Facebook (bien que tout se passe avant une conférence). Bon même si Boyle à bien fait son job... pour ainsi dire. Je ne suis pas non plus en osmose avec toute son approche. La musique bien que très réussie est omniprésente, on a l'impression qu'il ne veut jamais laissé de silence. Par contre j'ai beaucoup aimé le changement de caméra pour chaque époque. Fassbender est vraiment incroyable mais les autres acteurs que j'aime moins ne sont pas en reste non plus. En bref, c'est un film fort brillamment écrit avec des personnages vraiment complexes et c'est ce que j'aime, il correspond assez bien à l'idée que je me faisais du personnage avant d'aller le voir et honnêtement même si ça ne vaut pas The Social Network ça reste un gros coup de coeur pour moi, aussi parce qu'il aborde plein de thématiques qui me son chères.
Bien que chronologique, le biopic consacré à « Steve Jobs » est totalement unique en son genre. Déjà parce qu’il ne couvre qu’une période de 12 ans et aussi parce qu’il a été pensé en 3 actes qui correspondent à 3 présentations de produits décisifs. Sur le papier, cela peut sembler léger pour relater la vie d’un tel personnage, pourtant, à l’écran, cela fonctionne à merveille grâce à des acteurs impeccables (que l’on voit tous évoluer aussi bien physiquement que mentalement) et des dialogues omniprésents, denses et très bien ficelés. Amateurs de joutes verbales avec du sens, vous serez ravis, il faut tout de même pouvoir suivre la cadence imposée car les moments de repos sont rares ! Tout au long du film, le spectateur est placé dans les coulisses des présentations, tel un employé de haut rang d’Apple qui serait un témoin privilégié de l’intimité du visionnaire tyrannique. Bien que le cœur du sujet soit axé sur les révolutions informatiques que Steve a apportées avec ses équipes, le film est surtout concentré sur l’humain avec ses failles, ses contradictions et ses frasques. Un film quasi théâtral, loin d’être statique bien que presque exclusivement en huis-clos et doté d’une photographie et d’un montage impeccable. Le sens du rythme frôle la perfection et apporte une énergie incroyable au film. Au final, le film est très original dans sa conception et montre intelligemment et avec honnêteté la vie d’un homme aussi détestable que génial.
La réticence pouvait être de mise pour ce film centré sur Steve Jobs. Huis clos, trois actes, vérités fantasmées, nombreux étaient les pièges. Le résultat ? Sensationnel du début à la fin !
Danny Boyle n'a pas réalisé ici le traditionnel biopic qui suit la chronologie de toute une vie. Le film se structure autour de trois moments essentiels de la vie de Steve Jobs que sont les lancements de nouveaux produits en 1984, 1988 et 1998.
Trois moments déterminants où Jobs se confronte à d'autres personnages : le mentor, l'ancien compagnon de découvertes, sa femme, sa fille, des apparitions quelquefois fois fantomatiques, toujours conflictuelles. Comme le duel au thème répétitif entre Jobs et le véritable inventeur, le véritable scientifique, Steve Wozniak, compagnon des premières inventions resté injustement méconnu mais qui n'avait pas son charisme. Jobs n'apparait pas seulement comme un tyran manipulateur qui a le sens de la com, du marketing, mais aussi un visionnaire qui tâtonne au long d'un parcours semé d'échecs pour arriver au succès final. Les scènes se déroulent dans l'espace clos des coulisses de ses célèbres shows, dans le stress et la précipitation qui précèdent l'entrée en scène tant attendue par les fans de Jobs. Durant les moments qui précèdent ces grand-messes on est noyés sous un flot de paroles, de dialogues abondants, nourris de réparties mêlant cynisme et humour, notamment avec Joanna Hoffman, la fidèle directrice de marketing, au milieu des affrontements personnels et des problèmes techniques de dernière minute. Tout cela donne un rythme haletant à ce film qui dure 2 heures sans ennui. Un bémol cependant, le langage technique qui largue quelques spectateurs, même ceux qui sont Apple-compatibles depuis longtemps.
Réalisation excellente avec de gros plan qui sont très prenants!! Petit bémol sur les discours très rapides, mais le fait d'entre-couper les scènes est digne du génie!
Le biopic est consacré à Steve Jobs mais aussi à sa fille Lisa, qu’il n’a pas voulu reconnaitre à la naissance. Tout au long du film, on va nous parler de la relation père/Fille. On nous présente Steve Jobs à travers trois étapes importantes du patron d’Apple : le lancement du Macintosh, de NeXT puis de l’iMac. Le film est autant sur la vie privée de steve jobs que sur sa vie pro. L’homme est intransigeant, et les relations avec les autres sont difficiles. Les dialogues sont ciselés et très présents. Michael Fassbender est formidable dans le rôle. Il porte presque le film à lui tout seul Même si Kate Winslet, Seth Rogen et Jeff Daniels sont tout aussi impeccables. La rencontre avec ce grand patron visionnaire est fascinante. La mise en scène est sobre et Michael Fassbender est incroyable.
Un peu plus de deux ans après Jobs (avec Ashton Kutcher), déjà consacré au directeur d'Apple, c'est au tour du réalisateur du mythique Trainspotting, de s'y coller. Dans son style particulier, il nous livre une vision plus intimiste de Jobs, en se concentrant sur ses relations avec ses proches (famille et collègues). [...] Monsieur Apple est quant à lui joué par Michael Fassbender, une fois encore irréprochable. Le film se verra une fois. On s'en lassera peut-être ensuite. Mais l'ensemble est d'un parfait équilibre. Les acteurs, donc, mais aussi la réalisation, la façon de filmer et la musique, toujours à propos... Lire ma critique complète :
Un biopic atypique sur le célèbre fondateur d'Apple. Centré sur les coulisses de trois des lancements de produits parmi les plus importants de Jobs, le film s'intéresse surtout à l'homme derrière le personnage. Le spectateur le suit de sa loge à la scène en passant par les coulisses. On voit le patron tyrannique, le génie condescendant, le père pétri de doutes... Steve Jobs est à nu. La mise en scène de Danny Boyle, plus sobre que d'habitude, n'en est pas pour autant moins élégante, au contraire, elle évite certains ressorts démonstratifs fréquents chez le réalisateur qui ne conviendraient pas tellement au sujet du film. Le scénario d'Aaron Sorkin, concis et touffu, donne au long-métrage un rythme condensé et intense qui ne faiblit presque jamais, ne laissant aucun répit aux acteurs, obligés de déblatérer des détails techniques et commerciaux à cent à l'heure, et aux spectateurs, contraints, eux, de bien suivre pour ne pas perdre le fil. Et, si c'est la force du film, c'est aussi sa faiblesse. Car le public a du mal à accrocher et à comprendre tous les enjeux racontés... Le scénario a tendance à tourner en rond autour du caractère ambigu du personnage, et à insister assez péniblement sur certains aspects du récit. Et puis, la sphère familiale et l'angle paternel sont assez mal amenés, bien qu'ils aient plus tard une grande importance dans le récit. Quoi qu'il en soit, "Steve Jobs" est un portrait on ne peut plus efficace et fidèle à la réalité, en témoigne l'excellent casting 4 étoiles, mené admirablement par Michael Fassbender, qu'on a jamais vu aussi impliqué et aussi gracieux : il est Jobs, sans transformation physique ! Un film littéral mais théâtral.
"Steve Jobs" est un très bon film avec des dialogues cinglants et percutants. Le format original peut effectivement en dérouter certains, mais je trouve à juste titre très intéressant de se focaliser sur les coulisses juste avant ses interventions sur scène. On voit l'envers du décors et toute la complexité du personnage. Un film différents et de surcroît très captivant.
Quand le meilleur dialoguiste d'hollywood rencontre un blaireau de la mise en scène qui prendra le pas sur l'autre? Le scénariste est excellent le réalisateur est une bonne grosse tache donc c'est blaireau incontestablement qui prend le pas sur le scénariste,même si la mise en image est bien plus sobre qu’habituellement,cette fois ci Boyle n'en fait pas trop visuellement ce qui est incroyable pour le cinéaste,c'est même plutôt pas mal. Mais malgré les efforts déployés par Boyle celui-ci n'arrive pas à rendre ce récit passionnant. La construction de Sorkin est bonne pourtant, il n'aborde pas le biopic comme les autres en faisant simplement un déroulement de la vie du sujet auquel il s'attaque. Non le scénariste est bien plus malin que ça. Il découpe la vie de Steve Jobs en trois actes,qui sont trois présentations de produits. Par ce biais Jobs parle de sa vision d'apple et des avancées technologiques qui feront demain. Car l'homme n'est pas un génie mais il sait exploiter ce qu'il faut quand mais faut il encore que la technologie soit capable de répondre à ses attentes. L'idée d'exploiter la vie et l’œuvre de l’homme de cette façon est très malin de la part de Sorkin,mais la mise en scène de Boyle avec son rythme linéaire case le bel effort fait par le scénariste. Ce qui aura pour rendu de faire passer ce film pour quelque chose qui ressemble à une pièce de théâtre monocorde alors qu'il pourrait être tellement plus que cela. Steve Jobs est loin d’être parfait dans les relations humaines et dans le travail c'est un beau connard qui n’hésite pas à faire du chantage pour obtenir ce qu'il veut. Le gars est complexe et muliti facette,c'est un humain tout simplement et certainement pas un dieu comme les adorateurs d'apple peuvent le penser. Boyle à vraiment fait des efforts de réalisation sur ce film d’ailleurs c'est l'une des seules fois ou il ne le termine pas à la hache.
malgré jeux des acteurs le film ne tourne uniquement sur la vie privée de Jobs ses relations avec ses proches dont sa fille ce qui ne m'a pas touché du tout en plus j'ai bcp toussé pdt le film ce qui a dû dérangé mes voisins pdt la projection moi pas