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    Steve Jobs
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    354 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 février 2016
    aucunes histoires, statique, ennuyeux...
    on apprend rien à part sa fille....
    bref je ne conseille pas.
    😔
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 février 2016
    Comparé au superbe "The Social Network" de Fincher à maintes reprises, "Steve Jobs" attire les regards, dira-t-on même plus, on se jette dessus. Alors que les biopics sont évidemment des terrains houleux, l'équipe du film et le casting rassurent, il faut d'ailleurs admettre que Michael Fassbender et Kate Winslet sont assez bons.

    On retrouve un format semblable à celui de "Birdman" de Alejandro González Iñárritu : dialogues sur dialogues, courses d'une pièce à l'autre, le tout sur un fond musical entraînant. Seulement... N'est pas génie celui qui le veut. "Birdman" est un chef d'oeuvre, "Steve Jobs" est ennuyant.

    Pourtant, à partir de là, le film semble commencer de manière plutôt entraînante sur quelques scènes bien rythmées. Cependant, c'est au bout de deux longues heures, alors qu'on se demande encore quand est-ce que le film va enfin commencer, que la scène finale nous achève, et nous fait regretter de ne pas avoir re-regardé "The Social Network".

    D'ailleurs, on dit "biopic" mais... Que savons-nous de plus sur cet homme après ces deux heures perdues ? Mise à part que c'est un con, mais qui, certainement en vue de ce film, semble devenir humain à un moment si peu hasardeux...

    Bref, film qui cherche les Oscars, une B.O. formidable (d'où la demi étoile), des acteurs et des jeux d'acteurs assez bons, mais sinon... rien.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    534 abonnés 953 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2016
    Steve Jobs venait à peine de rendre l'âme que Hollywood était déjà prêt à tout donner pour la sonder sur grand écran. Le cofondateur d'Apple décédé en fin d'année 2011 allait très vite avoir les honneurs du 7ème Art. Et à deux reprises. Le premier film, Jobs, avec Ashton Kutcher dans le rôle-titre, n'a suscité aucun engouement à l'été 2013. Il restait cependant une tentative pour réussir son coup. Hollywood opportuniste? Évidemment. Un projet sur Facebook a bien vu le jour. Le truc, c'est que ça a donné le classique instantané The Social Network, réalisé par David Fincher. D'un coup, on comprend que la critique n'a plus beaucoup d'intérêt si on sait à qui confier le boulot. Et c'est précisément à Fincher que Sony voulait filer le Jobs (excusez le jeu de mots). Et il a suffit d'une annonce pour oublier complètement le premier film: David Fincher retrouve Aaron Sorkin (scénariste de The Social Network) pour Steve Jobs. En gros, le génie à la caméra de nouveau en duo avec le patron du verbe. Immanquable quoi. Pourtant, ce rendez-vous sera manqué. Au final le film est là, basé sur le scénario du même Sorkin mais c'est Danny Boyle aux manettes. Le réalisateur de Trainspotting et 28 Jours plus Tard dissèque donc l'esprit de l'homme derrière l'image, le tyran derrière le démiurge. Trois moments dans la vie du patron d'Apple, trois lancements médiatiques (le Macintosh en 1984, le Next en 1988, et l'iMac en 1998), trois angles d'attaque pour lever le voile sur Steve Jobs. Le procédé métaphorique (on passe la quasi-totalité du film en coulisses) est efficace mais un peu redondant. L'écriture de Sorkin est une fois de plus admirable. Les dialogues et joutes sont de toute beauté, et les acteurs sont au sommet de leur art. Michael Fassbender est merveilleux dans la peau d'un Jobs irascible et contradictoire. Kate Winslet est également épatante en Joanna Hoffmann, seule semblant d'amie indéfectible pour Jobs. Autour d'eux se succèdent les proches avec qui Jobs doit régler ses comptes: Steve Wozniak (parfait Seth Rogen), John Sculley (génial Jeff Daniels), son ex-petit ami (excellente Katherine Waterston) et sa fille. On a pas le temps de souffler, Danny Boyle confère un rythme très soutenu à cette "pièce en trois actes". Ce qui manque à Steve Jobs et qu'avait The Social Network (qu'il évoque immanquablement), c'est ce regard acide sur une société dont les transformations s'opèrent à grande vitesse avec le numérique, et où l'accession au sommet s'accompagne d'une solitude meurtrie. Enfin tel quel, Steve Jobs est déjà un joli Requiem pour un sale C**.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 février 2016
    Steve Jobs, un film en 3 actes, chaque fois 30 minutes avant le lancement d'un nouveau produit qui devrait révolutionner le monde.
    J'ai beaucoup aimé la réalisation, rien de vraiment original mais certains n'avaient pas été fait depuis longtemps dans un film. Évidement, les acteurs se débrouillent mais reste que le film n'était pas utile, n'ajoute rien sur le personnage avec Steve Jobs, hormis ses relations personnelles puisqu'il s'agit du sujet principal du scénario, qui n'avait rien d'exceptionnel.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 351 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 février 2016
    Bon… ça va peut-être en choquer plus d’un, mais moi, ce film, il ne m’a apporté qu’une seule chose : il m’a juste fait prendre conscience que je n’en avais rien à faire de Steve Jobs. Mais vraiment rien à faire… Le pire, c’est que c’est sûrement là un sentiment trompeur. Peut-être qu’en vrai, si je me renseignais un temps soit peu sur la vraie vie du vrai Steve Jobs, peut-être qu’alors je pourrais trouver de l’intérêt à la vie de Steve Jobs. Mais là, c’est triste à dire : raconter comme ça, pour moi, c’est niet. Le film commence sur le lancement du Macintosh en 1984. Salle bondée, effervescence générale, enjeux économiques posés d’emblée… Alors pourquoi pas… Un « In medias res » pour commencer, ça met tout de suite du rythme et de l’intrigue. De la part d’un Danny Boyle, je n’en attendais pas moins. Mais bon, un « in medias res » à partir de quoi ? Du début jusqu’à la fin, le film ne semble limiter la vie de Steve Jobs qu’à ses présentations de machines ! Alors, encore une fois, pourquoi pas. Sur le papier ça aurait pu marcher : Jobs est un chef d’orchestre, son talent est dans la mise en lumière nous dit-on, et la répétitivité des présentations permet de jauger l’évolution du personnage, notamment en observant tout ce qui se raccorde à lui dans sa vie privée, notamment sa femme et surtout sa fille. C’était là la garantie d’une incarnation du propos et la promesse d’une vision globale de cette figure emblématique et controversée. Mais bon, entre le papier et l’écran, il y a clairement tout un monde. Parce que bon, en toute honnêteté, la mise en chair n’a absolument pas fonctionné sur moi. Au contraire, la démarche me semblait tellement artificielle que pas un instant je ne suis parvenu à m’y plonger. Et franchement, pour le coup, j’ai peur que la faute en revienne à Boyle lui-même. Faire dans le sous-entendu, dans la retenue, l’ami Danny ne sait pas faire. Transcrire des émotions, des passions, des transcendances, ça oui, il sait faire, il sait les incarner. Le gars dispose d’une réelle science du rythme dans la manière de gérer les flux d’images et de sons. Dans chacun de ses films, quand il fallait donner de l’élan, sa réalisation y parvenait toujours. Seulement voilà, dans un cadre aussi posé, dans une démarche aussi introspective, je trouve la réalisation de l’ami Boyle totalement hors de propos. Tout est beaucoup trop discursif dans le propos, trop nerveux dans le montage, trop chargé d’élans musicaux pour qu’à un moment donné la mayonnaise prenne. De mon point de vue, le liant entre la question des relations familiales de Jobs et son esprit d’homme d’entreprise ne s’opère jamais. Le premier devient clairement un kyste douloureux pour le second. Surtout qu’en fin de compte, le premier n’est finalement abordé que de manière très sèche, presque réservée qu’à ceux qui connaissent le personnage. L’Histoire du Mac, de Next, du Newton, de l’iMac, les bans concernant sa relation avec Steven Wozniak… Finalement tout cela ne peut parler que pour quelqu’un… qui en a déjà entendu parler ! Et vu que ceux qui en ont déjà entendu parler sont également ceux qui connaissent certainement le fin mot de l’histoire, une question se pose alors : « mais à qui peut s’adresser ce film ? » En tout cas, une chose est sûre, pas à moi. Seules les astuces formelles de Danny Boyle m’ont évité l’ennui, et dire cela, pour le coup, ça me fait mal. Parce que oui, autant pour ses précédents films je n'étais pas du tout d'accord avec cette idée que beaucoup reprochaient à Boyle comme quoi il n'était en fin de compte qu'un auteur de clips à la réalisation totalement surfaite, autant pour ce « Steve Jobs » je suis clairement en train de me demander si, à force, le pauvre Danny n'est pas en train de se rapprocher de la caricature qu'on fait de lui... Triste...
    Tof L
    Tof L

    19 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 février 2016
    J'ai vibré !!! Alors, je préfère être clair, je ne suis pas un "fan boy" du Monsieur. Mais c'est, à mon sens, un très très grand film réalisé par un très grand réalisateur, Dany Boyle, des acteurs qui excellent dans leur Art. Un film très bavard qui se concentre sur 3 moments majeurs dans la vie de Steve Jobs. Passant du privé au professionnel ou de l'ombre à la lumière dans un chassé croisé très intelligent. Et c'est là qu'on reconnait un grand réalisateur et aussi un grand scénariste, Aaron Sorkin. Un super travail de mise en scène entre les coulisses et la scène. Après, le vrai du faux, je m'en moque pas mal et puis le film a cette intelligence de ne pas tomber dans le biopic. J'ai kiffé cette histoire et comment elle m'a été racontée.
    Laure.mtg
    Laure.mtg

    19 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2016
    J'ai donc décidé d’aller voir Steve Jobs. Le deuxième. Oui car il y en a un Jobs qui est sortit en 2013 avec Ashton Kutcher comme acteur principal. Je l’avais vu aussi. Sans bande annonce je ne savais pas de quoi le film parlait se ce n’est de la vie de Steve Jobs. je m’installe donc dans mon fauteuil, feuillette le journal mensuel et gratuit de l’UGC, je regarde les quelques bandes annonces qui passent. certains films ont l’air vraiment cool. Quand d’autres en revanches se font moins attendre. La salle plonge dans le noir et le film commence. Des images d’archives, une bande sonore intéressante. Je me demande si on va nous parler de la jeunesse de Steve jobs à la suite de ses images mais il n’en est rien. C’est juste une mise en abîme de la relation d’un père avec son enfant. Ce qu’on comprendra plus tard avec sa fille. Pour revenir sur la bande sonore, il y a une continuité tout au long du film ce qui permet au spectateur de ne pas être perdu mais tout en même temps poser des changements radicaux pour signifier les changements d’époques. Il y en aura trois. Ce qui représente trois des conférences que Steve Jobs a tenues. L’originalité de cette bande sonore n’est pas tant sa musicalité mais le poids qu’elle apporte aux images. La musique adoucit la violence des images qui nous sont présentés. Violence présente non pas à travers des coups mais des dialogues poignants et dérangeant entre Steve Jobs et son entourage. Ce Steve Jobs de Danny Boyle est extrêmement intéressant puisque nous ne sommes plus dans le côté créatif de l’ingénieur comme avec la version de Joshua Michael Stern. En effet nous sommes dans le côté sombre de cet homme qui à sa manière a fait bouger les choses. Ici Michael Fassbender nous livre une prestation qui a lieu d’être récompensé par un Oscar si ce n’est pas Leonardo Di Caprio qu’il l’emporte. En effet, Michael Fassbender interprète un Steve Jobs arrogant, prétentieux, infâme, que nous aimerions voir souffrir autant qu’il fait souffrir chaque personne qui est à ses côtés. Avec ce film, nous ne voyons plus l’inventeur de l’IMac, ni de l'IPhone, ni d’Apple en soi, non nous voyons juste un homme qui est contre la société qui l’entoure tout comme ses proches. Par ailleurs, Fassbender est très bien entouré puisque Winslet lui donne la réplique de façon impeccable comme elle le fait toujours et sa dévotion pour cet homme froid la rend touchante aux yeux du spectateur. Et Seth Rogen parait au début comme le grand méchant ami qui n’a pas réussi à avoir la notoriété de son ami et se vante mais il est finalement amicale et souhaitant changer son ami qui a lui même changé. En ce qui concerne l’esthétique de l’image, Danny Boyle nous propose des plans intéressants sur le visuel puisque nous avons des plans très réfléchis dans le sens où Steve jobs est toujours mis en avant et en supériorité physique vis à vis d’une autre. Cela relève encore de la puissance de Steve Jobs et de son influence envers les autres. Le montage est lui aussi intéressant dans le sens où il est à la fois très lent pour monter que la préparation des trois évènements présentés ont duré et ont soulevé beaucoup de problèmes concernant les produits et les présentations d'Apple.
    antony Z.
    antony Z.

    73 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2016
    intéressant... Il s'agit d'un biopic même si le scénario considère que l'on connait les grandes lignes de l'histoire d'apple et de son personnage central, Steve Jobs. En effet, si vous attendez un film retraçant les grandes étapes de la réussite de ce prodigieux entrepreneur et de son entreprise, préférez la version "Jobs" interprété par Ashton Kutcher.. Ici, la réalisation s'est attardé sur son portrait de manière intimiste au travers de 3 grandes étapes. Beaucoup de dialogues qui peuvent ennuyer les moins intéressés sur les aspects traités.. C'est avant tout un portrait livrant les failles, les névroses etc du personnage à défaut de mettre en avant tout son génie... Il est donc préférable de connaître un minimum l'histoire de la création d'apple... et comment Steve Jobs y est revenu après l'avoir quitté une première fois. La prestation de Michael Fassbender est époustouflante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 février 2016
    Incroyable surprise j'avais peur de voir de la propagande pro-Apple
    Mais c'est pas ça ce film est incroyable les plans et les flash-back donne un gros charme à ce filme une grosse réussite bravo
    Caine78
    Caine78

    6 769 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2016
    Qu'on aime ou pas, on ne peut pas reprocher à « Steve Jobs » de manquer d'audace dans son approche cinématographique ! En effet, tenter de percer le secret de l'homme derrière la révolution numérique en narrant le secret des coulisses avant la présentation de trois différents ordinateurs, de 1984 à 1998, c'était un sacré défi, et je le trouve personnellement plutôt réussi. Alors que je n'étais pas vraiment au courant de cette démarche, je me suis d'ailleurs pris au jeu assez rapidement, la bonne surprise venant également de la grande sobriété de Danny Boyle derrière la caméra (le dénouement excepté), s'appuyant sur la qualité du scénario d'Aaron Sorkin et l'interprétation remarquable des comédiens, Michael Fassbender livrant une de ses plus belles prestations, mais se faisant voler la vedette par une éblouissante Kate Winslet, confirmant qu'elle est, aujourd'hui, avec Cate Blanchett, sans doute la plus grande actrice de sa génération. Reste que sans m'être ennuyé (ce qui est déjà une bonne chose tant le risque était grand) et tout ayant la satisfaction d'en savoir plus sur cet homme ultra-perfectionniste, fascinant et légèrement psychorigide, dont l'ambiguïté est d'ailleurs relativement bien rendue, je n'ai pas été non plus transporté. C'est que la démarche a donc beau être originale et séduisante, elle limite un peu toute seule la portée du projet et sans doute pas mal d'éléments intéressants de la carrière et de la personnalité de Jobs. De plus, j'ai beau reconnaître beaucoup de talent à Sorkin, je ne suis pas totalement sensible à son écriture. Certes, c'est brillant, incisif, intelligent, mais elle manque régulièrement de naturel et d'émotion, même si le film compte tout de même quelques scènes touchantes et vraiment bien senties. Par ailleurs, l'œuvre parvient sans doute à nous en dire plus sur son « héros » que d'autres biopics nettement plus classiques sur le leur, laissant ici une part de mystère concernant le personnage tout en parvenant un minimum à toucher à l'intime. Bref, malgré spoiler: une conclusion un peu trop optimiste et positive
    (que la facilité nous rattrape vite, quand même!), quelques longueurs et certains personnages d'un intérêt mineur, voilà donc une œuvre proposant quelque chose de différent dans l'univers très standardisé du biopic, et le faisant plutôt bien : voilà qui est à saluer.
    Adrien B.
    Adrien B.

    19 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2016
    Un film interessant et une tres bonne prestation de Micheal Fassbender. Cependant on peut regretter qu il se base seulement sur les origines du createur d Apple. On peut le sentir inabouti.
    jaggg
    jaggg

    23 abonnés 197 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2016
    L’esprit de Steve Jobs a vraiment du pénétrer et inspirer l’acteur Michael Fassbender pendant le tournage, tant il était habité par le Maître et l’a incarné de façon aussi brillante. On découvre cette icône planétaire, le Tout-Puissant-qui-a-créé-le-ciel-et-la-terre-et-surtout-Apple, sous un jour ahurissant : odieux, infâme, infect, arrogant, mégalo, zéro en relations humaines. On comprend mieux pourquoi Mme Jobs, la 4è femme la plus riche des USA, a tant bataillé et tout fait pour s’opposer à l’idée même d'un film dont elle craignait qu'il ternirait l'image de ce génie.
    Sans hésiter : 3 étoiles pour la réalisation, et une supplémentaire pour l’interprétation de Fassbender.
    Ciné2909
    Ciné2909

    70 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2016
    A peine 3 ans après le Jobs de Joshua Michael Stern, l’arrivée d’un nouveau film centré sur Steve Jobs avait de quoi nous laisser perplexe mais la présence de Danny Boyle à la caméra donne une autre perspective au projet. On est loin du biopic ordinaire et on s’en réjouit puisque ici le génie créateur d’Apple se dévoile à travers 3 moments-clés de sa vie ou plutôt devrait-on dire de sa carrière ! On y découvre ainsi les différentes facettes d’une personnalité complexe ; un homme à l’esprit visionnaire, perfectionniste mais qui se montre bien moins doué quand il s’agit des relations humaines. Fassbender livre une vraie performance et trouve face à lui une non moins formidable Kate Winslet, un Coup de cœur Ciné2909 à croquer à pleines dents !
    the_fan_of_inception
    the_fan_of_inception

    26 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2016
    Jusqu'ici, le cinéma largement sur-estimé de Danny Boyle n'était pas en odeur de sainteté chez nous. Car pour un plaisant "Sunshine", il fallait supporter un "Trainspotting" (vision pop et fun des junkies) ou "28 jours plus tard" (film de zombies malsain). Aujourd'hui, l'anglais revient aux commandes d'un gros biopic qu'est celui de "Steve Jobs", tentant de faire oublier la douloureuse précédente adaptation avec Aston Kutcher dans le rôle-titre. Ici, le film de Boyle est une véritable réussite, principalement parce que le cinéaste s'efface derrière une lourde production (David Fincher était à l'origine du projet) et n'abuse pas de plans tarabiscotés comme il en a l'habitude(70% du film en plan-séquence). Le vrai point fort du film est à mettre au crédit de son incroyable scénariste Aaron Sorkin (à l'origine de Social Network ou A La Maison-Blanche) à l'origine d'un script incroyablement rythmés par des dialogues haletants et des acteurs hallucinants (Michael Fassbinder et Kate Winslet, excellents). Évitant subtilement le schéma classique du biopic (naissance-vie-mort), Steve Jobs se concentre sur trois moments-clés de la vie du PDG d'Apple (lancements du Mac en 84, du Cube en 88 et de l'iMac en 98) montré des coulisses, comme une rock star avant de monter sur scène. Ce qui ressort de cet excellent film est bien évidemment le travail du scénariste, grâce auquel les dialogues fusent comme un règlement de comptes de western, montrant avec brio l'évolution d'un visionnaire aussi fascinant que détestable et de son entourage incessamment en conflit avec lui. Deux heures trop vites passés pour un des plus grands films de ce début d'année.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 février 2016
    Biopic très théâtral, construit en trois actes, ce Steve Jobs de Danny Boyle, qui nous faisait peur sur le papier, nous a très agréablement surpris. Malin, évitant les écueils du genre, il livre un portrait subtil et intelligent du cofondateur d'Apple.
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