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    Steve Jobs
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    354 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 février 2016
    Nous suivons Steve Jobs a trois moments décisifs de sa vie : les lancements de Macintosh, NeXT et IMac. Chaque chapitre du film se déroule à une heure avant le lancement. Les mêmes personnages reviennent systématiquement. Le parti pris de ne montrer que le Steve Jobs des coulisses, jamais sur scène (en soit le vrai) m’a beaucoup plu et évite le côté trop biopic de success story.

    L'intégralité de la critique sur :
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 novembre 2015
    Excellente réalisation, très bons acteurs. Trop concentré sur ses problèmes relationnelles plutôt que sur sa carrière.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 février 2016
    La demie étoile simplement parce que c'est Danny Boyle ,sinon c'était zéro.Film soporifique , dialogues pauvres,bref on apprend rien sur ce prétendu "génie" . Le "Jobs" de 2013 était bien au dessus,film inutile ,passez votre chemin...
    Benito G
    Benito G

    663 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2016
    Génie, showman et père indigne : l'histoire de 3 lancements de produits par Steve Jobs. On ne pourra pas reprocher le format original, novateur et très prometteur utilisé ici : mais à l'image du travail de Jobs c'est un échec au 2/3. Le scénariste avait trouvé un fabuleux angle d'approche à son biopic mais son développement n'est en rien convaincant : la répétition est franchement lassante, la démonstration lourde et le film se transforme en une boucle peu probante puisque n'ajoutant quasiment rien à chacune des couches de ce tryptique ; présentation tendue et dictatoriale d'un produit informatique (souci obsessionnel du détail), deux échecs sur trois imputables au maestro, une maman qui vient irrémédiablement chercher du fric pour le gâcher, des relations assez fraîches avec sa fille supposée (il n'y a que la fin qui ouvre sur un espoir), discussion avec le boss, dialogues houleux avec le vieux pote...etc. A peine découvre-t-on à travers ceci un père pas vraiment préoccupé de sa progéniture, reproduisant le modèle parental, un homme buté, égocentré ; le tout noyé dans d'interminables dialogues pas toujours pertinents. J'ai même à ce sujet connu Boyle beaucoup plus inspiré derrière la caméra, comme s'il était ici quelque peu assoupi par le format emprunté. Je ne vois vraiment que les acteurs qui m'aient particulièrement enchantés : Fassbender traçant sa carrière de façon irréprochable, Winslet et Rogen confirmant la variété de leur talent. J'admire tous ses artistes mais j'avoue que je ne suis jamais vraiment rentré dans le film et il me manque un tas d'informations que j'aurais espéré voir ici : plus de technique, plus personnel et moins de pure stratégie diluant tout le reste. Je lui préfère amplement Jobs...
    bsalvert
    bsalvert

    404 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2016
    Comme d'habitude Danny Boyle nus emmène où il le souhaite et on le suit, nouvelle histoire, nouveau décor, nouveau rythme mais le spectateur est toujours absorbé. Les qualité des acteurs y est pour beaucoup.
    PLV : une autre vision de Steve Jobs
    traversay1
    traversay1

    3 552 abonnés 4 842 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2016
    S'il existait un Oscar du film le plus bavard de l'année, Steve Jobs l'obtiendrait haut la main. Evidemment, ce sont des dialogues hauts de gamme, non pas tant pour célébrer le génie du visionnaire mais plutôt pour cerner le personnage dans son intimité, le genre de type dont on aurait pu dire : "L'homme que l'on adorait détester." Et qui de plus se plaisait dans ce rôle de monstre de froideur et d'insensibilité, le tout expliqué par son statut d'enfant abandonné par ses parents et adopté. Danny Boyle exploite un scénario qui ne s'adresse pas aux geeks mais au grand public désireux d'en savoir plus sur Jobs, sa vie et son oeuvre, vus à travers trois moments clés de sa vie, avant de monter sur scène et de présenter quelques uns des produits phares qui ont façonné sa légende. Tout se passe donc en coulisses, auprès de son assistante (une Kate Winslet méconnaissable), de sa fille et de son ex, de ses partenaires, amis ou ennemis chez Apple. Une pièce en trois actes, comme du théâtre filmé si l'on veut, mais par Danny Boyle, ce qui fait toute la différence, par son rythme, son sens du cadrage, sa direction d'acteurs (Ok,Michael Fassbender est phénoménal). Plus qu'à Social Network, c'est à Birdman que l'on pourrait le comparer, toutes proportions gardées. C'est assez souvent passionnant, il faut l'avouer, malgré quelques chutes de tension et des scènes répétitives, mais pas pour les raisons que l'on aurait pu penser. Davantage pour les défis de mise en scène que Boyle s'est imposé et dont il se tire le plus souvent de façon brillante que pour le portrait d'un homme qui semble parfois binaire, sous le flot des dialogues qui submergent le film ad libitum.
    Jorik V
    Jorik V

    1 267 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 février 2016
    Nous ne sommes absolument pas face à un biopic traditionnel tel qu’a pu l’être la version peu connue et moyennement réussie avec Ashton Kutcher (le « Jobs » de Joshua Michael Stern) qui est logiquement passée inaperçue dans les salles. Ici point de schéma narratif trivial avec naissance, enfance, évènements marquants, remise en question suivi de la chute puis de la renaissance d’un destin hors normes, en gros celui de la quasi-totalité des biopics sur grand écran, mais un film fragmenté en trois parties. Trois coulisses des lancements d’un produit Apple.
    Une originalité mais aussi une drôle de façon d’appréhender cet homme qui a changé la face du monde avec ses produits révolutionnaires mais qui, au final, est pleine de sens. Trois moments cruciaux de sa vie qui permettent de le cerner aussi bien sous le prisme du travail que le prisme amical et familial tout en mettant en place un profil psychologique concis sur une personnalité complexe mais passionnante. La structure du film est donc très particulière et on ne s’étonne guère de retrouver Aaron Sorkin (« The Social Network », qui était tout de même beaucoup plus réussi) à l’écriture.
    Ses tunnels de dialogues le caractérisent bien, et il faut s’accrocher pour ne pas en perdre une miette quand bien même ils sont passionnants et parfaitement écrits. Bizarrement la première partie étonne et rend perplexe, la seconde ennuie un peu et la troisième passionne. Étonnant puisqu’elles suivent le même schéma, les mêmes personnages, le même sens des dialogues et la même temporalité (du temps réel juste avant le lancement des produits).
    « Steve jobs » est donc très particulier et pourra décourager certains spectateurs mais c’est également très instructif, quoique bien connaître la société Apple avant d’aller voir le film est un plus et donne des clés de compréhension supplémentaires. Aucun des côtés négatifs de Jobs n’est écarté et les relations avec sa fille lui donnent un tout autre éclairage, plus sombre mais aussi plus humain. Le casting d’acteurs de haut vol finit de trancher en faveur d’un film qui ne semble pourtant pas celui de Danny Boyle mais davantage un film de scénariste. On regrette juste que les coulisses du lancement de l’i-Phone ne fasse pas partie des moments sélectionnés pour être représentés.
    Marvelll
    Marvelll

    87 abonnés 295 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 février 2016
    Après le mauvais biopic avec Ashton Kutcher, on pouvait s’interroger quant à la pertinence d’un nouveau projet cinématographique sur Steve Jobs. Eh bien, au lieu de filmer une bête page Wikipédia, Danny Boyle adapte un scénario très malin du scénariste de The Social Network et Le Stratège. L’histoire permet alors de découvrir Steven Paul Jobs, en grattant le mythe pour découvrir l’individu. Le tout dans une configuration théâtrale propice à des échanges verbaux aussi affûtés que des épées et livrant des passages émouvants. La recette d’un biopic ciné intéressant et pertinent. La recette d’une réussite totale.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    175 abonnés 1 748 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2017
    Le film ne retrace pas l'histoire de Steve Jobs mais essaie de cerner le personnage à travers les lancements médiatiques de trois des innovations d'Apple (L'Imac, le mac et le next) et de son rapport avec sa fille. Michael Fassbender confirme encore tout son talent et à un moment on oublie même l'acteur derrière le personnage.
    On découvre un personnage antipathique se mettant tout le monde à dos mais un as sur le marketing et sur les besoins des gens. Le film est complémentaire au film Jobs avec Asthon Kutcher en étant au dessus. Un sucess story américaine.
    andika
    andika

    106 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2016
    Steve Jobs est un excellent film. Oui, dite comme ça, cette phrase peut prêter à confusion, mais c'est vrai, Steve Jobs n'est plus depuis quelques années mais ce film est là lui, ainsi qu'Apple d'ailleurs.

    J'avais déjà vu le précédent biopic sur le personnage qui s'intitulait sobrement Jobs. J'avais bien aimé mais il était trop classique, ennuyeux, il racontait l'histoire de la vie de Jobs depuis l'université jusqu'au lancement de l'Ipod. Toutefois, la ressemblance d'Aston Kutcher avec Steve Jobs était saisissante.

    Que nenni ici. On ne raconte pas la vie de Steve Jobs, on le suit simplement au cours de trois lancement de produits. Le Macintosh en 1984, le cube de Next en 1988 et enfin l'iMac en 1998. Mais le sujet de ce film, ce n'est pas Apple, ni jobs ou que sais-je encore, non, ce film est à propos de sa relation avec sa fille Lisa, qui est me semble t-il, l'aspect le plus intéressant de la biographie de ce type. Le scénariste Sorkin l'a bien compris d'ailleurs. Lisa était à peine effleurée dans Jobs, ici, elle est au centre de tout. A travers elle, on voit à quel point Steve Jobs est un homme complexe.

    Finalement, tous les personnages sont là pour révéler Steve Jobs, et grâce à tous ces dialogues, on en apprend plus sur ce mec que dans l'autre film. Woz par exemple, fait ressortir son côté inflexible, rugueux. Sculley, l'ancien CEO d'Apple essaye de connaitre l'impact de l'adoption de Steve Jobs dans sa vie. Andy fait ressortir son côté tyranique. Lisa, et Joanna font ressortir son côté humain, comme quoi, les femmes parviennent à nous adoucir quelques fois.

    Les dialogues sont vraiment excellents, l'écriture est très belle et Fassbender s'en sort brillamment en Jobs bien qu'il ne lui ressemble pas, l'important est ailleurs. On saisit le personnage lorsqu'il se compare à un chef d'orchestre, ou tout simplement à Dieu qui est quand même aimé alors qu'il a envoyé son fils mourir sur Terre, et ce, juste parce qu'il crée des arbres. Ou encore une simple phrase lorsqu'il dit à sa fille qu'il a un simple défaut de fabrication.

    De défaut, ce film en a peu, au contraire, il a un casting en or, un scénario excellent, une réalisation sobre et efficace (bien que quelques petits soucis avec les flashbacks).

    Il s'agit d'un bon divertissement qui ravira les maniaques d'Apple dont je fais malheureusement un peu parti !
    Caine78
    Caine78

    6 675 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2016
    Qu'on aime ou pas, on ne peut pas reprocher à « Steve Jobs » de manquer d'audace dans son approche cinématographique ! En effet, tenter de percer le secret de l'homme derrière la révolution numérique en narrant le secret des coulisses avant la présentation de trois différents ordinateurs, de 1984 à 1998, c'était un sacré défi, et je le trouve personnellement plutôt réussi. Alors que je n'étais pas vraiment au courant de cette démarche, je me suis d'ailleurs pris au jeu assez rapidement, la bonne surprise venant également de la grande sobriété de Danny Boyle derrière la caméra (le dénouement excepté), s'appuyant sur la qualité du scénario d'Aaron Sorkin et l'interprétation remarquable des comédiens, Michael Fassbender livrant une de ses plus belles prestations, mais se faisant voler la vedette par une éblouissante Kate Winslet, confirmant qu'elle est, aujourd'hui, avec Cate Blanchett, sans doute la plus grande actrice de sa génération. Reste que sans m'être ennuyé (ce qui est déjà une bonne chose tant le risque était grand) et tout ayant la satisfaction d'en savoir plus sur cet homme ultra-perfectionniste, fascinant et légèrement psychorigide, dont l'ambiguïté est d'ailleurs relativement bien rendue, je n'ai pas été non plus transporté. C'est que la démarche a donc beau être originale et séduisante, elle limite un peu toute seule la portée du projet et sans doute pas mal d'éléments intéressants de la carrière et de la personnalité de Jobs. De plus, j'ai beau reconnaître beaucoup de talent à Sorkin, je ne suis pas totalement sensible à son écriture. Certes, c'est brillant, incisif, intelligent, mais elle manque régulièrement de naturel et d'émotion, même si le film compte tout de même quelques scènes touchantes et vraiment bien senties. Par ailleurs, l'œuvre parvient sans doute à nous en dire plus sur son « héros » que d'autres biopics nettement plus classiques sur le leur, laissant ici une part de mystère concernant le personnage tout en parvenant un minimum à toucher à l'intime. Bref, malgré spoiler: une conclusion un peu trop optimiste et positive
    (que la facilité nous rattrape vite, quand même!), quelques longueurs et certains personnages d'un intérêt mineur, voilà donc une œuvre proposant quelque chose de différent dans l'univers très standardisé du biopic, et le faisant plutôt bien : voilà qui est à saluer.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    526 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2016
    Steve Jobs venait à peine de rendre l'âme que Hollywood était déjà prêt à tout donner pour la sonder sur grand écran. Le cofondateur d'Apple décédé en fin d'année 2011 allait très vite avoir les honneurs du 7ème Art. Et à deux reprises. Le premier film, Jobs, avec Ashton Kutcher dans le rôle-titre, n'a suscité aucun engouement à l'été 2013. Il restait cependant une tentative pour réussir son coup. Hollywood opportuniste? Évidemment. Un projet sur Facebook a bien vu le jour. Le truc, c'est que ça a donné le classique instantané The Social Network, réalisé par David Fincher. D'un coup, on comprend que la critique n'a plus beaucoup d'intérêt si on sait à qui confier le boulot. Et c'est précisément à Fincher que Sony voulait filer le Jobs (excusez le jeu de mots). Et il a suffit d'une annonce pour oublier complètement le premier film: David Fincher retrouve Aaron Sorkin (scénariste de The Social Network) pour Steve Jobs. En gros, le génie à la caméra de nouveau en duo avec le patron du verbe. Immanquable quoi. Pourtant, ce rendez-vous sera manqué. Au final le film est là, basé sur le scénario du même Sorkin mais c'est Danny Boyle aux manettes. Le réalisateur de Trainspotting et 28 Jours plus Tard dissèque donc l'esprit de l'homme derrière l'image, le tyran derrière le démiurge. Trois moments dans la vie du patron d'Apple, trois lancements médiatiques (le Macintosh en 1984, le Next en 1988, et l'iMac en 1998), trois angles d'attaque pour lever le voile sur Steve Jobs. Le procédé métaphorique (on passe la quasi-totalité du film en coulisses) est efficace mais un peu redondant. L'écriture de Sorkin est une fois de plus admirable. Les dialogues et joutes sont de toute beauté, et les acteurs sont au sommet de leur art. Michael Fassbender est merveilleux dans la peau d'un Jobs irascible et contradictoire. Kate Winslet est également épatante en Joanna Hoffmann, seule semblant d'amie indéfectible pour Jobs. Autour d'eux se succèdent les proches avec qui Jobs doit régler ses comptes: Steve Wozniak (parfait Seth Rogen), John Sculley (génial Jeff Daniels), son ex-petit ami (excellente Katherine Waterston) et sa fille. On a pas le temps de souffler, Danny Boyle confère un rythme très soutenu à cette "pièce en trois actes". Ce qui manque à Steve Jobs et qu'avait The Social Network (qu'il évoque immanquablement), c'est ce regard acide sur une société dont les transformations s'opèrent à grande vitesse avec le numérique, et où l'accession au sommet s'accompagne d'une solitude meurtrie. Enfin tel quel, Steve Jobs est déjà un joli Requiem pour un sale C**.
    Charles G
    Charles G

    33 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2016
    Danny Boyle est un intrigant personnage. Il s'est fait connaitre à la fin des années 90 et au début des années 2000 avec des films trash et réalistes comme Trainspotting ou 28 Jours Plus Tard. A ce moment de sa carrière adoubé par l'ensemble de la critique, il avait atteint le zénith de sa carrière en 2007 en sortant Sunshine, peut-être le meilleur film de son catalogue et le plus sous-estimé. Sauf que c'est un an plus tard, pour un film complètement différent et bien plus lourd, Slumdog Millionnaire, qu'il atteignit le Graal, l'Oscar du meilleur film. Après le poussif 127 Heures et l'incompréhensible Trance, il revient avec un projet qui semble bien différent de sa filmographie. Un biopic, qui plus est sur un personnage qui en a déjà inspiré un il y a 3 ans ; Jobs, Steve Jobs. Sauf que cette fois-ci, c'est Aaron Sorkin qui est à l'écriture du scénario, et qu'il ne s'agit pas de reprendre scène par scène toutes les étapes de la vie de Steve Jobs de manière linéaire et peu créative, mais au contraire de se focaliser sur trois d'entre elles. Le film a été monté comme un opéra en trois actes. Le fait que les trois se passent dans des contextes similaires, juste avant la présentation de produits phares de la marque à la pomme croquée donne une unité de lieu au film, très intéressante car ce sont donc les évènements qui vont apporter du contraste, et non les changements de décors ou les mouvements intempestifs de caméra. Nous assistons à travers les déceptions, les frustrations, les échecs et certaines réussites à la naissance de la légende, et nous parvenons à saisir sa personnalité. Manager né, avec une autorité naturelle et des idées fortes menées en fil rouge, nul besoin d'être passionné par cet univers pour trouver le film fort intéressant. Une belle pépite du début 2016.
    nokidoki
    nokidoki

    77 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 février 2016
    Michael Fassbender nous fait oublier la désastreuse prestation d'Ashton Kutcher. Faut dire qu'ils ne jouent pas dans la même catégorie.
    Si le scénario et la mise en scène sont de toute beauté, il y a deux autres acteurs qui m'ont impressionnés la caméra et les jeux de lumière. Cette manière de filmer l'histoire d'un visionnaire avec tous ses complexes et toute sa folie donne un plus à ce film. Et pour compléter cela, Danny Boyle joue des lumières d'une manière rare.
    Le seul reproche que je peux faire à ce film, les flashbacks sont assez mal incorporés, ils nous déroutent, il aurait dû les tamiser.
    Encore une fois, Michael Fassbender m'impressionne et confirme qu'il est un grand acteur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 février 2016
    Un bon film sur l'un dès génies de notre siècle, un visionnaire, mais malheureusement les acteurs ne sont pas convaincant, le fait de voir la vie de Steve Jobs a travers 3 scènes seulement, on aurait aimer en voir plus,
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