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Votre avis sur Tracers ?
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Un des meilleurs films de parcours je trouve avec un Taylor Lautner impressionnant
Félix F
Une grosse déception, tracers sonnait la reconversion de Taylor Lautner mais celui ci ne parvient pas à convaincre. Le scénario du film est vraiment trop pauvre pour intéresser le spectateur. Tracers n'est qu'un banal thriller d'action qui ne demande aucune réflexion. Un film vite oublié.
Qui a t'il dans ce film ? Une histoire qui est pas terrible avec que des invraisemblances. Des acteurs qui sont peut-être beaux mais qui jouent très mal. Le plus intéressant ce sont les cascades de Yamakazi. Mais comme elles sont servies à outrance, on finit par en avoir une grosse indigestion. A fuir.
4/5 de l'action et de biens belles cascades c'est tout ce que l'on demande à ce genre de film.
gimliamideselfes
Non le problème n'est pas que c'est "mal" réalisé (bon ça ne casse pas des briques non plus, mais on aurait pu s'attendre à pire), c'est juste qu'on s'en fout... mais totalement... ça se destine à qui ? sérieusement ? C'est une vrai question... parce que qui peut être intéressé par une histoire bidon sur fond de Parkour avec une romance niaise, des rebondissements prévisibles 1000 ans en avance, un héros qu'on a envie de baffer dès qu'on voit sa gueule... Qui ? Je ne pense pas que ça s'adresse aux filles... ni aux ados mâles... ça s'adresse vraiment à personne...
Ou alors c'est pour les rieurs comme moi qui viennent se moquer... Mais faire un film en comptant uniquement sur les rieurs, c'est pas forcément ce qu'il y a de mieux pour le business...
Bref c'est un film que je ne peux pas expliquer et que je ne peux pas m'expliquer, une aberration, une erreur de la nature, un truc qui sort de nulle part, qui ne va nulle part...
Alors on se moquait de Pattinson... qui a eu bien du mal à sortir de son rôle dans Twilight, qui a enchaîné les navets pour gonzesses et qui s'est finalement au vrai cinéma, au cinéma de mecs... avec Cronenberg... Là le pauvre Lautner... franchement il me semble totalement perdu, il perd son temps (et nous aussi), sa crédibilité... J'ose espérer que le film a fait un four monumental et qu'on ne verra plus jamais sa tronche et qu'il trouvera un vrai métier où il a du talent... Mais par pitié qu'il arrête le cinéma et qu'on arrête de vendre des films sur son nom... tout le monde s'en fout de ce gars... et surtout les mecs, donc vendre un film d'action sur lui c'est la plus grosse connerie du monde... c'est un peu comme Clara Morgane qui tente de vendre sa lingerie... sa "clientèle" n'a jamais été les filles...
Bref on a là une anomalie... un truc qui existe et qui ne le mérite pas...
Ou alors c'est pour les rieurs comme moi qui viennent se moquer... Mais faire un film en comptant uniquement sur les rieurs, c'est pas forcément ce qu'il y a de mieux pour le business...
Bref c'est un film que je ne peux pas expliquer et que je ne peux pas m'expliquer, une aberration, une erreur de la nature, un truc qui sort de nulle part, qui ne va nulle part...
Alors on se moquait de Pattinson... qui a eu bien du mal à sortir de son rôle dans Twilight, qui a enchaîné les navets pour gonzesses et qui s'est finalement au vrai cinéma, au cinéma de mecs... avec Cronenberg... Là le pauvre Lautner... franchement il me semble totalement perdu, il perd son temps (et nous aussi), sa crédibilité... J'ose espérer que le film a fait un four monumental et qu'on ne verra plus jamais sa tronche et qu'il trouvera un vrai métier où il a du talent... Mais par pitié qu'il arrête le cinéma et qu'on arrête de vendre des films sur son nom... tout le monde s'en fout de ce gars... et surtout les mecs, donc vendre un film d'action sur lui c'est la plus grosse connerie du monde... c'est un peu comme Clara Morgane qui tente de vendre sa lingerie... sa "clientèle" n'a jamais été les filles...
Bref on a là une anomalie... un truc qui existe et qui ne le mérite pas...
Ciné2909
Un brin de Yamakasi, un soupçon de Premium rush et une bonne dose d'ennui ; secouez le tout et et vous obtenez Tracers ! Sur le papier, mettre en scène une bande pratiquant le Parkour en plein New York, ça pouvait être éblouissant mais c'est loin d’être le cas ici. En dehors d'un bateau où les adeptes de cette discipline répètent leurs gammes sur des matelas, rien à se mettre sous la dent sans compter que l'intrigue est aussi improbable qu'elle nous laisse de glace. Comme si ça ne suffisait pas, on nous a également flanqué un héros au grand cœur qui va - attention big spoiler - tomber amoureux de la fille qu'il vient de rencontrer. Un divertissement bas de gamme.
Bjr, un "block" américain sans génie mais sans trop de faille qui remplit son rôle primitif : divertir pendant 1H45 en tenant le spectateur en haleine. Donc, côté action rien à redire c'est bien filmé et spectaculaire maintenant le scénario, comme souvent, patine assez vite et les rebondissements sont assez prévisibles. Un film qui se voit non sans plaisir mais s'oublie assez vite.
Benito G
Tracers ou la rencontre improbable entre Premium rush et Yamakasi (sur le principe des idées que dévelloppe le film...) ? Le pitch est d'ailleurs identique à ce dernier : une histoire de fric à trouver. Alors si ça reste visuellement impressionnant et même beau à voir, fondamentalement c'est con comme la Lune. Pas de nouveau concept, rien d'assez fort pour laisser le film submerger la marée des actionners actuels, n'évitant aucun écueil propre au genre : aller bêtement à l'essentiel, prendre de vilains racourcis en dépit du scénario et de l'histoire, éviter toute psychologie complexe chez les personnages et ne mettre en avant qu'un trauma basique, ne pas hésiter à employer des twists aléatoires et un scénario qui s'emmêlent généreusement les pinceaux et qui n'a vraiment rien d'original. Une petite production qui plaira peut être sans doute aux jeunes, mais qui se laisse regarder car peu de temps mort mais qui ne vaut sans doute pas une place plein tarif... Trop simple sur les bases et un ensemble qui montre un chemin qui aurait pu, du être plus tumultueux pour vraiment nous convaincre. Dommage, mais regardable pour les amateurs.
Un scénario mince comme une feuille de cigarette, un bon film pour faire son ménage ou sa manucure. Histoire grotesque, actions molassonnes, un comble pour un film du genre. le scénario est tellement absurde et irréaliste qu'il est incroyable de tourner ça, et plus incroyable que ça sorte au cinéma
darkvash
Film façon productions Besson mais en pire, c'est dire...
Histoire grotesque, d'ailleurs les acteurs eux mêmes ont l'air de ne pas s'en préoccuper, actions molassonnes, un comble pour un film du genre. le scénario est tellement absurde et irréaliste qu'il est incroyable de tourner ça, et plus incroyable que ça sorte au cinéma.
Le cinéma ne grandira pas avec ce film, ni mon cerveau evoluera.
Histoire grotesque, d'ailleurs les acteurs eux mêmes ont l'air de ne pas s'en préoccuper, actions molassonnes, un comble pour un film du genre. le scénario est tellement absurde et irréaliste qu'il est incroyable de tourner ça, et plus incroyable que ça sorte au cinéma.
Le cinéma ne grandira pas avec ce film, ni mon cerveau evoluera.
je pensais voir un thriller avec de l'action et je suis tombé sur un yamakasi à la sauce besson d'une longueur interminable et sans intérêt , ce genre de film ne devrait jamais sortir au cinéma
FaRem
Un film qui ne remplit même pas son rôle puisqu'il n'est même pas divertissant si bien qu'à côté de ce film, on peut considérer "Yamakasi" comme un chef-d'oeuvre. La simplicité de ce film est déconcertante, on pourrait zapper tous les défauts si seulement il y avait un gros rythme et beaucoup d'actions seulement ce n'est même pas le cas, je me suis ennuyé du début à la fin, et même les scènes de Parkour ne sont pas réussies. L'histoire est simple, Cam a besoin d'argent donc, il va franchir le cap est devenir un voleur, c'est tellement banal et pour ne rien arranger, les scénaristes ont bien sur rajouté une histoire d'amour totalement inutile et dénuée d’intérêt. En gros, c'est vraiment une déception même si j'en attendais rien.
tony-76
Tracers, le nouveau film de Taylor Lautner qui réussit a changé de registre, sans pour autant être transcendant. Avant tout, le film cible plutôt les adolescents. Le spectateur assiste à une aventure bourrée d’adrénaline dans les rues de cette ville. Au début, le récit fait directement à Premium Rush avec Joseph Gordon-Levitt où notre protagoniste est coursier. Puis, le personnage Cam rencontre une belle inconnue dans lequel elle fait partie d'un gang. Alors, celui-ci va entrer dans ce gang des rues qui pratique « le parkour ». Mais, Cam sera impliqué dans une sale affaire en faisant des activités illégales. Le scénario n'a strictement rien d'extraordinaire mais on se laisse prendre dans l'histoire avec cette bande de jeunes. Tracers avait, également des airs de Yamakasi avec ses cascades. Ces dernières sont bien réalisées. On tiendra en compte quelques séquences d'action assez réalistes et bien faites. Du rythme avec une caméra nerveuse efficace. De plus, une trame sonore très agréable à entendre. La star de Twilight possède un rôle qui lui va bien, sans défaut majeur. Et le personnage féminin, Marie Avgeropoulos est charmante et crédible. Rien de nouveau à l'horizon, Tracers est un petit film d'action sans prétention qui reste malgré tout, divertissant. Il se regarde sans ennui.
Un film a la point break mais sans véritable originalité ou intrigue, meme l'action est assez plate, il en ressort un film assez moyen que l'on oubliera assez vite
LBDC
(...) La première chose qui frappe, c’est l’énergie du film !
L’intro adopte ainsi l’esthétique skate, radicale, suivant Cam sur son vélo fonçant à toute allure dans les rues de la ville. le procédé, en plus d’être ultra-réaliste, est ultra-immersif. Il prendra une toute nouvelle ampleur en associant cette vitesse et cette énergie à une certaine verticalité. Vraiment kiffant.
Une certaine originalité pour un film à teneur hollywoodienne, en tous cas reposant sur ses recettes. Car au delà de son esthétique jeune et « dans l’air du temps », TRACERS n’est qu’un banal film d’initiation teinté de romance.
l’apprentissage de Cam, s’il est d’une linéarité confondante, reste toutefois très plaisant. Le parkour possède cette notion de vertige/danger qui donne à ses freerunners une allure de cape-crusaders entre surhumains et oiseaux. Très impressionnant… Surtout mis-en-scène par une caméra suivant les cascadeurs au plus près, même dans leurs impressionnants sauts de cabris. Génial !
Mais voilà. Le public ciblé par TRACERS est ad(u)lescent.
Ainsi, inutile de chercher l’originalité dans le déroulement de l’intrigue: la production à simplement repris les ingrédients les plus efficaces propres à ce genre, le teen-action-movie. La base: une intrigue à la Point Break. Un univers attirant et dangereux (le parkour), un leader charismatique détournant la liberté promise vers des desseins criminels. Malheureusement, TRACERS n’utilise aucune nuance à ce niveau, le manichéisme amenant la prévisibilité et le désintérêt progressif pour l’histoire.
Puis, la romance. Artificielle, clichée… Son rôle est uniquement scénaristique. Le personnage féminin (Marie Avgeropoulos) est sous-exploité et mal mis en valeur. C’est dommage car tout en sachant qu’il s’agit d’un passage quasi-obligé, un minimum d’alchimie et d’écriture auraient pu mieux l’intégrer au récit.
Enfin, le cachet-teen absolu: Taylor Lautner, aussi musculeux et anti-charismatique que dans Twilight. Heureusement, l’acteur est impressionnant lorsqu’il s’agit d’effectuer les cascades. Un cachet réaliste qui associé à l’esthétique susmentionnée, rajoute au kif éprouvé durant les scènes d’actions.
En bref, il faut voir TRACERS pour ses excellentes scènes d’action, misant sur la verticalité, l’intensité et une caméra en mode TPS* / skate, pour un rendu immersif et dynamique. Le reste (l’histoire, les personnages, la romance) n’est qu’un classique et cliché moteur scénaristique.
L'intégralité de notre critique, sur Le Blog du Cinéma
L’intro adopte ainsi l’esthétique skate, radicale, suivant Cam sur son vélo fonçant à toute allure dans les rues de la ville. le procédé, en plus d’être ultra-réaliste, est ultra-immersif. Il prendra une toute nouvelle ampleur en associant cette vitesse et cette énergie à une certaine verticalité. Vraiment kiffant.
Une certaine originalité pour un film à teneur hollywoodienne, en tous cas reposant sur ses recettes. Car au delà de son esthétique jeune et « dans l’air du temps », TRACERS n’est qu’un banal film d’initiation teinté de romance.
l’apprentissage de Cam, s’il est d’une linéarité confondante, reste toutefois très plaisant. Le parkour possède cette notion de vertige/danger qui donne à ses freerunners une allure de cape-crusaders entre surhumains et oiseaux. Très impressionnant… Surtout mis-en-scène par une caméra suivant les cascadeurs au plus près, même dans leurs impressionnants sauts de cabris. Génial !
Mais voilà. Le public ciblé par TRACERS est ad(u)lescent.
Ainsi, inutile de chercher l’originalité dans le déroulement de l’intrigue: la production à simplement repris les ingrédients les plus efficaces propres à ce genre, le teen-action-movie. La base: une intrigue à la Point Break. Un univers attirant et dangereux (le parkour), un leader charismatique détournant la liberté promise vers des desseins criminels. Malheureusement, TRACERS n’utilise aucune nuance à ce niveau, le manichéisme amenant la prévisibilité et le désintérêt progressif pour l’histoire.
Puis, la romance. Artificielle, clichée… Son rôle est uniquement scénaristique. Le personnage féminin (Marie Avgeropoulos) est sous-exploité et mal mis en valeur. C’est dommage car tout en sachant qu’il s’agit d’un passage quasi-obligé, un minimum d’alchimie et d’écriture auraient pu mieux l’intégrer au récit.
Enfin, le cachet-teen absolu: Taylor Lautner, aussi musculeux et anti-charismatique que dans Twilight. Heureusement, l’acteur est impressionnant lorsqu’il s’agit d’effectuer les cascades. Un cachet réaliste qui associé à l’esthétique susmentionnée, rajoute au kif éprouvé durant les scènes d’actions.
En bref, il faut voir TRACERS pour ses excellentes scènes d’action, misant sur la verticalité, l’intensité et une caméra en mode TPS* / skate, pour un rendu immersif et dynamique. Le reste (l’histoire, les personnages, la romance) n’est qu’un classique et cliché moteur scénaristique.
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