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Votre avis sur Tracers ?
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Un mix entre Premium Rush (pour le début du moins) et Yamakasi. Le jeu d'acteurs, la réalisation et la B.O sont corrects et le film est bien rythmé: il n'y a que très peu de longueurs. Bref, c'était pas mal, ça se regarde. 3/5
Cinéphiles 44
L’ado indépendant mais fauché, qui n’ose pas vendre la voiture de son défunt père… Comme une odeur de déjà vu. Sous ses allures sportives grâce à des performances de parkours, Tracers n’est finalement qu’un film au scénario vide. Si on pouvait être attiré par les acrobaties, on décroche finalement sur toute la deuxième moitié du film. Habitué aux seconds rôles, Taylor Lautner n’arrive pas à porter le teenage movie sur ses épaules. D’ailleurs son histoire d’amour avec la transparente actrice indiffère complètement. Tracers trace sa route incognito car vu ou pas vu, on l’a déjà oublié.
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PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Ce genre de job à haut risque n’est pas une activité que l’on ferait jusqu’à la retraite. Faut-il encore savoir s’arrêter à temps. Comme les Yamakasi nous l’avaient démontré en 2001, le parkour urbain est certes une discipline impressionnante, mais n’est pas à la portée du premier clampin en quête d’adrénaline et de sensations fortes. Les films du genre, comme Banlieue 13, ne sont pas une révolution en soi. Néanmoins, ce film du méconnu Daniel Benmayor percute dès les premières secondes avec la dextérité de Taylor Lautner sur un VTT, en coursier de l’extrême. Ce dernier qui, au passage, s’extirpe honorablement d’un rôle sur mesure et trop personnel dans Twilight. Et quoi de mieux que New York en guise de terrain de jeu et de jungle urbaine pour faire ses preuves ?! L’action immédiatement générée par le scénario palpitant, prend aux tripes sans la moindre interruption. Le rendu est donc tout à fait immersif. De plus, la réalisation très soignée rend jouissives chaque scènes, en une seule et même cavalcade effrénée pour la survie. Alliance, trahison, corruption ; seuls ne comptent que la robustesse et l’instinct de survie. Si certains trouvent niais cet échantillon de romance au milieu d’une violence sans pareil, je dirais que cela tempère avec justesse le rythme explosif du film. Beaucoup parlent de vide scénaristique ou d’erreur cinématographique en désignant ce métrage. Là encore, il ne faut pas prendre pour argent comptant les avis haineux de quelques cinéphiles blasés. Je me répète sans doute, mais j’estime qu’un film d’1h30 qui défile comme une poignée de minutes est tout sauf une erreur : c’est le but ultime du cinéma qui est avant tout de divertir, et ce mot s’adresse également aux coincés du bulbe. Hormis une fin bâclée qui aurait grandement mérité d’être plus travaillée, vous passerez un agréable moment devant un film d’action digne de ce nom. 4/5
Critique de "Tracers". Enfin un film avec Taylor Lautner que j'aime bien, ce film me rappelle étrangement Premium Rush avec J.G Levitt. En plus le parkour avec les cascades j'aime bien également. L'histoire est simple. Le film est bien rythmé et se laisse regarder facilement. J'ai bien aimé dans l'ensemble. 3/5
Qu'es que c'est que ce Film on se demande,Apparemment Besson est passer y mettre son grin de sel
Un Yamakazi facon Taylor Lautner complétement ridicule
a fuir
Un Yamakazi facon Taylor Lautner complétement ridicule
a fuir
Dik ap Prale
New-york est un superbe parcours à ciel ouvert avec son lot de truand, suffisant pour ajouter des embûches sur le tracé le Taylor Lautner. Les performances physique de l'acteur sont remarquées et le rendent tout à fait crédible, bien plus du moins que dans Identité secrète (2011) qui imposait l'acteur en héritier d'agent secret. Tracers prend pourtant à mauvais élan, avec un grand nombre de scènes démonstratives mais inutiles avant de finalement trouver son rythme avec l'aboutissement de scènes tonitruantes, comme celle qui le met face aux coréens. Un film détente qui redore les précédents essais sur le sujet.
je pensais voir un thriller avec de l'action et je suis tombé sur un yamakasi à la sauce besson d'une longueur interminable et sans intérêt , ce genre de film ne devrait jamais sortir au cinéma
Raphaël O
Ce film d'action porté par un Taylor Lautner en forme est efficace avec ses courses-poursuites époustouflantes, cependant le scénario manque de réels enjeux, de consistance et d'originalité, et se révèle parfois prévisible et peu crédible.
Un divertissement réservé aux ados.
Un divertissement réservé aux ados.
LBDC
(...) La première chose qui frappe, c’est l’énergie du film !
L’intro adopte ainsi l’esthétique skate, radicale, suivant Cam sur son vélo fonçant à toute allure dans les rues de la ville. le procédé, en plus d’être ultra-réaliste, est ultra-immersif. Il prendra une toute nouvelle ampleur en associant cette vitesse et cette énergie à une certaine verticalité. Vraiment kiffant.
Une certaine originalité pour un film à teneur hollywoodienne, en tous cas reposant sur ses recettes. Car au delà de son esthétique jeune et « dans l’air du temps », TRACERS n’est qu’un banal film d’initiation teinté de romance.
l’apprentissage de Cam, s’il est d’une linéarité confondante, reste toutefois très plaisant. Le parkour possède cette notion de vertige/danger qui donne à ses freerunners une allure de cape-crusaders entre surhumains et oiseaux. Très impressionnant… Surtout mis-en-scène par une caméra suivant les cascadeurs au plus près, même dans leurs impressionnants sauts de cabris. Génial !
Mais voilà. Le public ciblé par TRACERS est ad(u)lescent.
Ainsi, inutile de chercher l’originalité dans le déroulement de l’intrigue: la production à simplement repris les ingrédients les plus efficaces propres à ce genre, le teen-action-movie. La base: une intrigue à la Point Break. Un univers attirant et dangereux (le parkour), un leader charismatique détournant la liberté promise vers des desseins criminels. Malheureusement, TRACERS n’utilise aucune nuance à ce niveau, le manichéisme amenant la prévisibilité et le désintérêt progressif pour l’histoire.
Puis, la romance. Artificielle, clichée… Son rôle est uniquement scénaristique. Le personnage féminin (Marie Avgeropoulos) est sous-exploité et mal mis en valeur. C’est dommage car tout en sachant qu’il s’agit d’un passage quasi-obligé, un minimum d’alchimie et d’écriture auraient pu mieux l’intégrer au récit.
Enfin, le cachet-teen absolu: Taylor Lautner, aussi musculeux et anti-charismatique que dans Twilight. Heureusement, l’acteur est impressionnant lorsqu’il s’agit d’effectuer les cascades. Un cachet réaliste qui associé à l’esthétique susmentionnée, rajoute au kif éprouvé durant les scènes d’actions.
En bref, il faut voir TRACERS pour ses excellentes scènes d’action, misant sur la verticalité, l’intensité et une caméra en mode TPS* / skate, pour un rendu immersif et dynamique. Le reste (l’histoire, les personnages, la romance) n’est qu’un classique et cliché moteur scénaristique.
L'intégralité de notre critique, sur Le Blog du Cinéma
L’intro adopte ainsi l’esthétique skate, radicale, suivant Cam sur son vélo fonçant à toute allure dans les rues de la ville. le procédé, en plus d’être ultra-réaliste, est ultra-immersif. Il prendra une toute nouvelle ampleur en associant cette vitesse et cette énergie à une certaine verticalité. Vraiment kiffant.
Une certaine originalité pour un film à teneur hollywoodienne, en tous cas reposant sur ses recettes. Car au delà de son esthétique jeune et « dans l’air du temps », TRACERS n’est qu’un banal film d’initiation teinté de romance.
l’apprentissage de Cam, s’il est d’une linéarité confondante, reste toutefois très plaisant. Le parkour possède cette notion de vertige/danger qui donne à ses freerunners une allure de cape-crusaders entre surhumains et oiseaux. Très impressionnant… Surtout mis-en-scène par une caméra suivant les cascadeurs au plus près, même dans leurs impressionnants sauts de cabris. Génial !
Mais voilà. Le public ciblé par TRACERS est ad(u)lescent.
Ainsi, inutile de chercher l’originalité dans le déroulement de l’intrigue: la production à simplement repris les ingrédients les plus efficaces propres à ce genre, le teen-action-movie. La base: une intrigue à la Point Break. Un univers attirant et dangereux (le parkour), un leader charismatique détournant la liberté promise vers des desseins criminels. Malheureusement, TRACERS n’utilise aucune nuance à ce niveau, le manichéisme amenant la prévisibilité et le désintérêt progressif pour l’histoire.
Puis, la romance. Artificielle, clichée… Son rôle est uniquement scénaristique. Le personnage féminin (Marie Avgeropoulos) est sous-exploité et mal mis en valeur. C’est dommage car tout en sachant qu’il s’agit d’un passage quasi-obligé, un minimum d’alchimie et d’écriture auraient pu mieux l’intégrer au récit.
Enfin, le cachet-teen absolu: Taylor Lautner, aussi musculeux et anti-charismatique que dans Twilight. Heureusement, l’acteur est impressionnant lorsqu’il s’agit d’effectuer les cascades. Un cachet réaliste qui associé à l’esthétique susmentionnée, rajoute au kif éprouvé durant les scènes d’actions.
En bref, il faut voir TRACERS pour ses excellentes scènes d’action, misant sur la verticalité, l’intensité et une caméra en mode TPS* / skate, pour un rendu immersif et dynamique. Le reste (l’histoire, les personnages, la romance) n’est qu’un classique et cliché moteur scénaristique.
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Un des meilleurs films de parcours je trouve avec un Taylor Lautner impressionnant
YAMAKASI. Change d'agent Taylor ou cherche reconversion. Des rôles sans identité, sur un malentendu ça peut marcher. Razzie Awards de la pire filmographie, je nomme Taylor Lautner. Cet étranger du cinéma a l'art.....seulement du déplacement. Franchir des obstacles oui, surmonter Bella aussi, ameuter les loups ok, le grand saut dans le 7ème art par contre c'est dans le mur.
Un honnête divertissement, sans plus. Les acrobaties, aussi impressionnantes et bien filmées soient elles, ne font pas oublier un scénario qui ressemble avant tout à un petit muret qu'à une immense paroi.
Qui a t'il dans ce film ? Une histoire qui est pas terrible avec que des invraisemblances. Des acteurs qui sont peut-être beaux mais qui jouent très mal. Le plus intéressant ce sont les cascades de Yamakazi. Mais comme elles sont servies à outrance, on finit par en avoir une grosse indigestion. A fuir.
Un Yamakasi à la sauce US, une vague dimension policière en plus! Pour le reste, exceptées les scènes de parcours et les cascades, pas grand chose à se mettre sous la dent: des lenteurs, un méchant, une amourette, scénario ultra minimaliste, une bande de casse-cou et... c'est tout!
Bref, contrairement aux protagonistes du film, ça ne vole pas très haut...
Bref, contrairement aux protagonistes du film, ça ne vole pas très haut...
une course déjanté bourrée d'adrenaline!! un grand spectacle!
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