Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
ferdinand75
556 abonnés
3 879 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 5 avril 2020
Un film réussi au niveau de la mise sous tension. Ds l'arrivée à cette invitation surprise on sent une pression. Reçu dans une belle villa de L.A; le héros retrouve son ex et un groupe d'amis pour un dîner festif. Ils on ont vécus un drame ensemble dans le passé. On devine les hôtes sous l'emprise d'une secte, quelque chose cloche dans la soirée. Et puis le film bascule dans le fantastique , un peu gore. Les acteurs sont très bons, mais le scénario est vraiment light et pas très logique. Un petit film pour pour les Chanels TV.
Ce film dure 1h40 et il se passe rien pendant 1h10. Ca parle ca parle ca parle ...bref vous voumez voir un brin d'action commence le film à 1h10. Bref c'est chiant et long comme un jour sans fin.Comment peut on apprecier un tel navet.
The invitation nous enferme à clé dans une maison deluxe à Beverly Hills. Un de ces foyers aseptisés et froids qu'on ne peut voir qu'aux magazines de décoration, ce qui devient un des plus grand mérites du film: la réalisatrice arrive à créer une atmosphère dans un milieu cent pour cent impersonnelle. En plus, elle prend son temps pour filmer la malaise du protagoniste, arrivant la vraie action comme bouquet final. Un thriller dramatique qui dérive vers une critique sociale. Un monde apathique qui veut s'échapper de la réalité, chose qu'on comprend grâce au dernier plan du film.
Encore plus de fautes et d'erreurs sur le lien ci-dessous
Film vraiment trop nul. Une pure perte de temps. Le film est lent a mourir pendant 1h20..y a que les 20 dernières minutes où il y a un peu d action. Mais meme avec ca je suis très decue. Un navet ! On ne comprend pas pourquoi c est arrivé a cette situation. Pourquoi ils font ca ? C est quoi le but ?
C est un psychodrame d'un ennui ! J'ai perdu 1h40 de ma vie !! Ce genre de films devrait ne pas figurer sur Netflix ! A force d avoir ce genre de films pourris, on va finir par se desabonner de Netflix. Payer pour ca !!
Excellente surprise. Un très bon thriller très tendu pendant la première heure et qui explose pour sa dernière partie. Dans ces retrouvailles entre amis, on se sent comme l'invité de trop, tout comme le protagoniste principal. Une seule envie, quitter la maison, ou mieux, découvrir ce qui s'y passe. Quelques facilités scénaristiques qui nous pousse à prendre l'acteur principal pour un fou auraient pu être évité. Retrouvailles qui se relèvent d'abord être une invitation à faire partie d'une secte plus qu'étrange, et finalement une invitation pour la mort. Cette dernière partie, qu'on qualifierait de survival, est vraiment bien dosée. La fin laisse sans voix.
Un énorme gâchis. Les acteurs sont très bons, le sujet original, mais le traitement horriblement maladroit et lourdingue : l’ambiance est trop malsaine et le malaise latent devient vite insupportable. Le dénouement, tellement prévisible, arrive bien trop tard, et le twist final passablement puéril.... dommage.
Un film qui nous tient éveillés et intrigués malgré son déroulement en huis-clos (et non pas huit ou 8 clos comme massacré dans les posts ci-dessous!) et son rythme plutôt lent, un scénario original et surprenant, des acteurs tout à fait crédibles, j'ai juste été déçu par la scène finale qui elle, pour le coup, n'est pas vraissemblable.
Au début (disons la première demi-heure) j’ai cru que j’allais détester ce film, les retrouvailles entre amis où rien ne sonne juste, l’histoire du stigmate de l’enfant décédé rendu lourdingue, vraiment à la limite du supportable, puis grâce au personnage principal (sosie total de Tom Hardy) la plongée s’instaure superbement bien, comme lui on sait que quelque chose ne va pas, autant dans le comportement de ses potes que dans les situations étranges qui se multiplient puis se désamorcent, un sentiment d’insécurité malsain, inconfortable, et scotchant. Ce n’est pas formidablement écrit ou mis en scène mais il y a des sous-entendu dans la tension et ça fait vivre considérablement l’intrigue, on est constamment dans cette attente où un truc peut nous sauter à la gueule à un moment ou un autre, tout se joue sur des détails, difficile donc de ne pas être concerné face à cette idée de machination sectaire ou non, un peu comme dans "Rosemary’s Baby" ou "Shutter Island" par exemple, et j’ai bien aimé la fin, bien qu’un poil sensationnaliste, mais d’un autre côté fascinant. En clair ça manque de subtilité, avec des points de scénario assez inutiles ou mal exploités, mais l’immersion est excellente passé la première demi-heure environ, en définitive j’ai été aspiré par le film, mais il est clair que ça aurait pu être vraiment mieux.
Superbe idée mais une nouvelle fois pas exploitée comme il se doit. Sorte de home-invasion inversé, le thème est certes déjà vu au cinéma mais ici, Karyn Kusama y ajoute une réflexion très bien sentie sur les groupes sectaires et leurs méthodes de recrutement ainsi que leurs idéologies surannées. Le véritable problème rencontré ici est très clairement la lenteur de la mise en place et ce malgré la tension palpable que l'on ressent constamment. On navigue pendant longtemps en eaux troubles avec beaucoup de faux semblants appréciables ainsi que des scènes gênantes pour les protagonistes et pour nous. Jusque là c'est du tout bon, même au niveau du casting qui s'avère intéressant, mais on tourne malheureusement trop longtemps en rond avant que l'intrigue s'éclaircisse et que le violent final se montre, à noter également une scène finale originale et bien trouvée. A voir une fois.
Le film distille une ambiance qui confine au mal aise : les hôtes sont ils suspects ou le personnage principal est il parano à cause de sa dépression ? Plus le film avance (doucement), plus le trouble se fait jusqu'a un dernier tiers apre et son dénouement surprenant. Bonne pioche.
Je découvre la réalisatrice avec ce long métrage. Je dois avouer que je vais me pencher sur ses oeuvres avec sérieux. The Invitation est un film que ne ressemble à pas grand chose de ce que l'on connaît. Une sorte d'essai incroyablement bavard, dont on soupçonne rapidement la direction, ce qui rend chaque situation ambiguë et captivante. La force du film est cette latence, cette pression constante venant d'on ne sait où, mais que l'on ne peut ignorer en tant que spectateur. Quelques fausses pistes pas bien originales ont tout de même le mérite de piquer notre intérêt et de nous enfoncer dans l'intrigue avec ses personnages. Les rôles sont malheureusement inégalement écrits et certaines scènes souffrent d'un vrai manque d'intérêt, mais la qualité de la photographie rend le film très agréable à regarder. On aime quand les réalisateurs tentent des choses, et osent un aboutissement total de leurs idées. Le travail sur la lumière de la maison est formidable et ne souffre d'aucune concurrence. The Invitation, c'est une sorte de Carnage (2011) en plus subtil et plus jusqu'au-boutiste. Un drame intime et personnel qui s'efface au profit d'une intrigue moins esquissée mais néanmoins aboutie finalement. Si on peut regretter une dernière partie de film nettement moins maîtrisée que le reste, on ne peut cacher une certaine jouissance à savoir que la réalisatrice se lave les mains de toute bonne conscience. Elle a une histoire à raconter, elle la racontera. Au final, une presque délicieuse surprise à déguster, un peu comme on était contents d'avoir nos glaces bi-goûts à la cantine, mais qu'on ne mangeait que la fraise en laissant la vanille. La vanille a mauvaise presse, c'est un fait. The Invitation, c'est bien.
Quelle belle surprise que ce film passé totalement inaperçu sur le grand écran ! « The Invitation » est un huis-clos haletant au suspens efficace qui suscite de perpétuelles interrogations tout au long du film. Qui est dans le vrai ? Qui n’a pas les idées claires ? Ce dîner destiné au départ à reprendre contact entre des anciens amis tourne finalement au vinaigre. Certains comportements surprennent et en même temps ne semble pas être vraiment hostiles. Deux points de vue bien différents s’opposent afin de faire le deuil d’une personne décédée. Tout est dans les manières et nous ne sommes pas en mesure de savoir à 100% qui est fou… même si nos soupçons s’orientent vers 4 personnes que je ne citerai pas. En bref, quelque chose se trame mais il faudra attendre le dernier acte et une grande révélation pour comprendre.
J'ai adoré ce film. Un pur Thriller avec des acteurs peu connus ce qui renforce le côté réel. On a l'impression d'être un invité de cette malheureuse soirée entre amis !
La photographie est belle, le casting excellent et finalement peu d'incohérences. Ce qui est effrayant c'est vraiment le côté réaliste. On se dit que pour un peu nous aussi nous aurions pu tomber dans ce piège. Un must ses si vous êtes friand de bons thrillers où on est sur les dents du début à la fin.
Je ne regrette pas une seconde d’avoir pris le risque de regarder ce film car il est génial. On est ici dans un vrai thriller avec des moments qui sont limite angoissant. On sent une tension durant tout ce repas. Celle-ci va être accentuée par une musique qui intervient toujours au bon moment. La construction va se faire lentement. On nous plonge tranquillement dans cet univers en huis-clos bien particulier. D’apparence tout est normal mais on sent le truc qui cloche. On va donc pouvoir s’imprégner de l’ambiance sans pour autant s’ennuyer. Il se passe toujours quelques choses qui relance l’attention afin de ne pas décrocher. On se doute, on émet des hypothèses sur les intentions de ce couple et de leur dîner. C’est vraiment prenant. Pour mettre en avant tout cela, il fallait que les acteurs assurent et c’est le cas. Tammy Blanchard est un peu effacée. Par contre, Michiel Huisman qui joue son compagnon est impressionnant. Celui qui s’est fait connaitre dans GAME OF THRONES a une aura qui capte le spectateur. Le « duel » de mâle qu’il fait avec l’ex-mari, Logan Marshall-Green, rajoute une intensité particulière. Ce dernier est d’ailleurs irréprochable. Durant 1h40 j’étais vraiment dans une bulle à savourer ce film.