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    Jimi, All Is By My Side
    Note moyenne
    2,5
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    18 critiques spectateurs

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    Antoine T
    Antoine T

    11 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mars 2021
    Très partagé à propos de ce film. En soi le film est plutôt bien mais passe à côté de tellement de choses importantes ce qui est son gros défaut. John Ridley n'a pas eu les droits pour pouvoir utiliser les classiques de Hendrix, et il n'a probablement pas eu les droits non plus pour utiliser des guitares Fender. Donc globalement les musiques sont très biens mais on ne s'attend pas à ça, on est sur notre fin. De plus on passe à côté de moments très importants dans la vie de Hendrix, ça manque d'interaction avec d'autres personnages et certains événements.
    En parlant de personnages, on nous montre un Hendrix parfois violent battant sa copine, ce qui est totalement faux. On nous montre un père qui descend son fils et qui le déteste presque. Ce qui est faux aussi. Enfin, chose qui m'a gêné, Eric Clapton est présenté comme un salaud qui juge Hendrix. Dans la réalité il n'était pas si hautin, il a été si impressionné qu'il a quitté la scène en remettant en cause son niveau. Mais après cela il a été très amis avec Hendrix. D'ailleurs Hendrix connaissait très bien les grands groupes de la même époque, ce que l'on nous montre très peu.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 577 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 juillet 2020
    La note 1 étoile est pour André Benjamin. Ce n'est pas de sa faute si le scénariste/réalisateur John Ridley a écrit le rôle d'un guitariste idiot savant qui semblait au mieux idiot et parlait d'idioties cosmiques car il a très bien joué ce rôle. Si je ne savais pas que Ridley était impliqué et si je regarde simplement la direction, l'écriture, la réalisation, le montage et le mixage sonore de ce film je dirait que c'est un effort louable pour un petit film d'étudiant. Remarque à l'intention du cinéaste : si vous n'avez pas les droits musicaux sur un biopic musical ne faites pas le film. L'idée que nous serions intéressés par des copines concurrentes d'il y a 50 ans et que nous ne remarquerions l'absence de scènes a Woodstock ou a Monterrey est tout simplement inacceptable. Jimi, All Is By My Side est un échec digne de Razzie...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 mars 2020
    Même si le film comporte quelques tentatives audacieuses de mise en scène, il tombe parfaitement à plat. De surcroit, il réalise un double exploit assez inimaginable. A savoir, non seulement on y entends aucune chanson de J. Hendrix en dehors de wild thing en guise de générique de fin, mais sur la très courte carrière du personnage (5 ans), le scénario décide de se focaliser exclusivement sur la période 66/67 (avant Monterrey), c'est à dire incontestablement la moins intéressante. En dehors de quelques numéros musicaux assez mal mimés, restent d'interminables séquences de conversations chiantes et curieusement, murmurées, sans doute pour camoufler leur pesante platitude. L'ensemble est tout à fait raté.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    289 abonnés 3 120 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 août 2019
    Ouh la barbe ! Je savais que je risquais de m'ennuyer devant ce film car il ne traite pas réellement de la carrière de l'immense artiste qu'était Jimi Hendrix mais à ce point tout de même... on a presque l'impression d'être devant un documentaire, la BO est bonne mais pas mémorable (car du coup on a droit à aucun des titres phares d'Hendrix) et franchement son histoire de fesses avec la petite amie de Keith Richards, ça va deux secondes et je me suis ennuyé à mourir ! Encore un biopic musical raté !
    janus72
    janus72

    48 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 octobre 2017
    Film qui tente de faire le jour sur l'envolée d'un mythe, sur la période 66-67 et son premier séjour Londonien.
    La performance d'André Benjamin est assez remarquable mais le scénario semble avoir été malheureusement boosté par des scènes de violences que réfutent sa compagne d'alors, Kathy Etchingham.
    Manque aussi et surtout La Musique de J. HENDRIX qui plane autour de ses 2 premiers albums : "Are You Experienced" & "Axis: Bold as Love" . . . qui reste jalousement gardée - kidnappée par les ayants droit !
    Subsistent quelques lenteurs et scènes soporifiques qui plombent ce biopic qui reste tout de même un précis et joli voyage dans le temps et ces années explosives et charnière de la musique Pop.
    Eddy P
    Eddy P

    141 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 août 2016
    Faire un biopic sur Jimi Hendrix avec un acteur qui ne sait pas jouer de la guitare c'est à peu près aussi utile que de mettre un comédien qui n'a aucun talent comique dans un rôle de clown. Ah mince, ça aussi, ils ont osé avec Chocolat dans lequel pataugeait Omar Sy. Ce film sur l'immense Jimi Hendrix, musicien qui a réinventé la stratocaster, ouvert la voie à des milliers d'artistes, traite de tout sauf de la musique. La bluette amoureuse entre la petite amie interdite (Linda Keith) qui s'attarde trop, André 3000 qui aurait mieux fait de rester dans son hip hop plutôt que de nous amener une imitation vraiment pas très savoureuse d'Hendrix et cette lenteur de narration qui fait presque regretter un bon épisode de chasse et pêche. Ok le film n'a pas eu le budget qu'il aurait mérité ni l'accord des ayant droits. Mais ça PUE la mauvaise direction artistique et l'inculture musicale de producteur débile. La scène où Jimi joue seul un pauvre blues vraiment pas bandant (qui est le guitariste qui joue comme un pied et qui a enregistré la bande son? comment ont-ils pu prendre un musicien qui fait aussi peu rêver quand on sait qu'il y a tant de pointures et de spécialistes aux USA pour jouer cette fantastique musique?) Vous aimez Hendrix? Ecoutez ses albums. Ce film est à oublier.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 mai 2016
    Plutôt déçu. C'est la mode des biopics alors allons y hardi petit et peu importe ce que l'on a à montré. à quand un biopic sur sœur Emmanuelle, Brigitte Lahaie, Jean Pierre coffe, etc.... ? Même pas les bandes son de Jimi. Ça ma tué ! C'est le grand n'importe quoi. L'acteur qui joue le rôle du maestro encore s'en sort pas trop mal. Mais comment maintenant passer derrière ce film et réalisé un bon biopic ? Les gens qui ne connaissaient pas Hendrix risquent fort de ne pas l’apprécier avec ce film. Je suis dépité. à peine un télé film. Même le télé film sur Lady Diana était mieux fait. ;-) c'est pour dire.
    dai72
    dai72

    149 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 janvier 2016
    Difficile de se passionner pour ce film qui, à mon goût, ne met pas en valeur les réels talents de cet artiste, préférant se concentrer sur ses faces négatives, sur ses mauvais côtés. Je trouve que l'on s'éloigne de l'essentiel. C'est important de nous montrer le négatif mais il ne faudrait pas oublier le positif. L'un ne va pas sans l'autre. Bref, cette histoire, ce point de vue ne captive que très peu. À noter la prestation impeccable d'Hayley Atwell !!
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    58 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 janvier 2016
    je reste sur ma faim, l'histoire de ce monstre de la musique, basée sur les premiers mois de son arrivée à Londres, entrecoupée de ses histoires de coeur, le film aurait mérité plus de profondeur car les acteurs sont très bons
    zhurricane
    zhurricane

    83 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 avril 2016
    Je comprend pourquoi ce film a peu fait parler de lui maintenant. Parce que le réalisateurs n'a pas eu les droits pour exploiter les chansons de Jimi Hendrix. Du coup, on se retrouve avec il faut l'avouer de bonnes chansons, mais pas de Hendrix. Cela dit le film se concentre sur la période où Hendrix n'avait pas sortit d'album, donc cela peut justifier cela. Mais bon, ne pas avoir les classiques du chanteur, sa fait forcément baissé le film en qualité. Cela est fort dommage, car André Benjamin dit André 3000 un des chanteurs du groupe outkast livre une prestation sensationnelle de mimétisme avec Hendrix. Il tient le film sur ses épaules. Il transpire la classe, autant dans ses interprétations que dans ses relations avec sa copine de l'époque.
    Roub E.
    Roub E.

    958 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2016
    Un biopic classique, bien trop classique même et qui du coup ne rend pas vraiment grâce à Jimi Hendrix. Pourtant André Benjamin s en sort très bien dans le rôle du génie de la guitare électrique. J ai eu l impression d avoir finalement peu écouté la musique du dernier au cour du film et là aussi j'ai trouvé cela dommage. Pour avoir vu l excellent film sur les Doors d Oliver Stone quelques jours avant sur le même genre musical et la même époque cette évocation d Hendrix souffre terriblement de la comparaison.
    DavY Croquette
    DavY Croquette

    50 abonnés 1 183 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juillet 2015
    Un film plat sans contenu, les débuts de jimi hendrix mal exploité, long et mou. très déçu.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 juin 2015
    Ah bah quand même! C'est pas trop tôt! Le voilà enfin, le film sur la carrière fulgurante de Jimi Hendrix!! Le fameux biopic qu'on attend depuis…pfffff !! Yes!!! Oui…mais non. En fait. Bon comment annoncer la chose à ceux qui ne sont pas déjà au courant…Vous vous attendez à découvrir l'enregistrement du premier hit, "Hey Joe", l'écriture des paroles de "The wind cries Mary", la genèse de "Purple haze" ou "Foxy Lady"? Vous espérez que la sublimissime intro de "Little wing" va venir vous caresser les tympans, entendre rugir la pédale wha-wha de "Voodoo chile" ou vous délecter de la reprise de "All along the watchtower" écrasant l'originale de Dylan ?? Vous avez envie d'assister à la négo tendue avec Pete Townshend en coulisses du festival de Monterey pour décider qui jouerait en premier, suivi de son premier cramage de Stratocaster sur scène ?? Ou savoir pourquoi il a fait de l'hymne américain une déflagration sonore, au petit matin du dernier jour de Woodstock?? Ou admirer Cynthia "Plaster Caster", célèbre groupie (dont on peut aujourd'hui visiter le site internet totalement surréaliste), en train de débuter sa collection de moulages de sexes du rock avec celui réputé impressionnant de Hendrix?? Vous comptez vous régaler devant la session photo de la pochette censurée de "Electric Ladyland"? Ou bien enfin vous avez la volonté morbide d'être le témoin de l'entrée du guitariste dans le club des 27, de le voir caner piteusement dans son vomi trois ans seulement après avoir mis le monde du rock à genoux??? Et bien vous savez quoi: tous ces espoirs et autres fantasmes, vous pouvez vous les carrer bien profond dans une partie de votre anatomie qui n'est pas souvent visitée par la lumière du jour…Et pourquoi donc?? Z'avez qu'à lire la suite. Si vous êtes une feignasse ou que vous vous en foutez, et ben passez votre chemin!

    Alors, pour ceux qui ne sont donc pas découragés, le film commence comme ça: nous sommes à la mi-66 au Cheetah Club à New York. un certain Jimmy James se morfond sur scène, ses immenses paluches se baladant nonchalamment sur les cordes de sa guitare pour accompagner un modeste groupe de R&B, réussissant quand même à placer un petit solo avec une certaine dextérité devant l'indifférence feutrée des quelques personnes bavassant dans la pénombre de la salle. Une seule ouvre grand ses magnifiques yeux bleus, semblant ressentir comme une exaltante sensation de dénicher un vrai Modigliani dans une brocante. Il faut dire que la demoiselle s'y connaît un peu question talent guitaristique puisque c'est la petite amie officielle de Keith Richards, la bien-nommée Linda Keith. Après avoir fait gobé à Jimmy son premier acide puis lui avoir offert une six-cordes du guitariste des Stones (amusant d'entendre plus tard Keith Richards asséner qu'Hendrix est un drug addict pour inciter le père de Linda à rapatrier la belle en Angleterre), elle le présente à Chas Chandler, bassiste des Animals, qui se déboîtera sensiblement la mâchoire devant la prouesse blues du prodige au Café Wha?, avant de devenir son manager et de l'embarquer en Grande-Bretagne pour le faire découvrir au fameux Swinging London.
    Ce biopic non officiel sorti direct en vidéo, signé John Riley, le scénariste de "12 years a slave", n'en est donc pas vraiment un puisqu'il se concentre uniquement sur les débuts en 1966 du plus grand guitariste de tous les temps, jusqu'à son arrivée à Monterey mi-67 pour le célèbre festival pop qui lui permettra de conquérir l'Amérique et l'inscrira dans la légende. Un parti pris justifié par le fait que les producteurs du projet n'ont pas eu l'autorisation de la famille d'héritiers des droits d'utiliser la moindre note de la musique d'Hendrix! C'est ballot, hein? Pas le moindre morceau figurant sur les trois albums studio sortis de son vivant!! Ce qui constitue évidemment le plus gros problème du film (et qui, accessoirement, explique mon intro outrageusement longue). On n'entend donc que quelques-uns des titres repris live par Hendrix à l'époque, ses parties étant reproduites en 2013 par la guitare virtuose de Waddy Wachtel. Rien à dire là-dessus, le son et le style sont là, reconstitués nickel sur le chrome de l'instrument que manie le comédien, André Benjamin. Euh André qui ?? André 3000, si vous préférez, leader du groupe Outkast. Le tube "Hey ya". Absolument. C'est ça le plus réussi et frappant dans le film: l'incarnation du guitar-hero par une star du… hip-hop, certes multi-instrumentiste mais piètre guitariste selon ses propres dires, qui plus est droitier, ayant pris des cours de 6 heures par jour pour arriver à faire semblant de jouer comme le gaucher de Seattle, donc main droite sur le manche d'une guitare pour…droitier. Ouais. Il pouvait pas être ambidextre aussi?? Bon apparemment, c'est comme apprendre à marcher à reculons mais en gardant la même démarche que lorsqu'on marche en avant. Voilà. Bien, tout ça pour dire que la performance n'en a que plus de mérite. La ressemblance est à fortiori proprement édifiante. La façon de parler, la gestuelle, les grimaces achèvent d'en faire une prestation bluffante, rappelant celle toute aussi troublante de mimétisme de Val Kilmer en Jim Morrison dans "The Doors". D'ailleurs, à l'instar du biopic d'Oliver Stone, le film a suscité une grosse controverse quant à la véracité historique de certaines scènes, en particulier celle où Hendrix tabasse à coups de téléphone sur la tronche sa régulière de l'époque, la vraie Kathy Etchingham ayant vivement et publiquement contesté ce fait tout en attaquant en justice les auteurs du "crime". Il faut préciser que ceux-ci n'avaient même pas daigné répondre aux propositions de l'ex-girlfriend rouquine d'apporter son aide pendant l'écriture du scénario, qui en fait pourtant un personnage important du film (à juste titre puisque Hendrix lui consacrera plusieurs chansons). La comparaison avec "The Doors" s'arrête là car malgré la jolie reconstitution des couleurs chatoyantes de l'époque, on est assez loin de la mise en scène furieusement déjantée d'Oliver Stone et le rythme est parfois plombé par quelques scènes de dialogues longuettes, rappelant cruellement l'absence du moindre riff mythique.
    Le film n'en demeure pas moins un document intéressant pour tous les fans de rock (et donc forcément de ce génie, hein), notamment sur l'impact incroyable que cet autodidacte surdoué a eu sur ses contemporains dès ses débuts, avant même qu'il n'explose définitivement grâce à la qualité hallucinante de ses propres compos et qu'il n'explore comme personne ne l'avait jamais fait les territoires soniques et cosmiques de la guitare électrique. En témoignent certaines séquences véridiques et mémorables, à commencer par cette quasi-incruste (grâce au susnommé Chas Chandler) sur scène pendant un concert d'Eric Clapton et son super-groupe Cream à Londres. Hendrix débute une version d'anthologie du "Killing floor" d'Howlin' Wolf, rapidement suivi par la basse et la batterie. Clapton, lui, est littéralement pétrifié sur scène, humilié, incapable de plaquer le moindre accord. "God" décide plutôt de plaquer l'instant de solitude, débranchant alors violemment sa gratte et se cassant chafouin dans les loges, le manche entre les jambes. Chandler, hyper gêné, accoure fissa, Clapton lui balançant, assommé: " You never told me he was that fuckin' good…"
    Autre reconstitution musicale jubilatoire certifiée conforme: cette reprise de "Sgt. Pepper's Lonely Heart Club Band" en ouverture du concert au Saville Theater de Londres avec l'Experience, trois jours seulement après la sortie de l'album psychédélique des Beatles, devant une foule en délire, dont…George Harrison et Paul McCartney, estomaqués par le culot et le talent du bonhomme.
    L'intérêt du film réside aussi dans cette volonté de montrer à travers diverses séquences de débats, qu'Hendrix ne voulait surtout pas se laisser enfermer dans la moindre case, communautariste comme artistique, souhaitant avant tout que sa musique, qu'elle soit rock, pop, blues, soul, funk ou psychédélique, "pénètre l'âme des gens".
    Le film mérite donc malgré les défauts pré-cités le coup d'oeil ou même un achat en blu-ray pour ceux qui comme moi, prennent ça comme un agréable hors-d'oeuvre avant le service du plat de résistance, en l'occurrence la sortie d'un vrai biopic en salles qui aura reçu la bénédiction du sacro-saint clan Hendrix, une oeuvre définitive que je rêverais de voir réalisée par Maître Scorsese. Ca va, on sait jamais, non?? 'Scusez-moi pendant que j'embrasse le ciel!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 juin 2015
    Alors que dire que dire.. Étant un grand fan de Mr Hendrix et de la période des années 60/70.. Je note beaucoup de lacune sur les moments de vies de Jimi.. Ne prêtez pas attention à ce film et lisez plutôt le livre de Sharon Lawrence.. Une absurdité de connerie.. Bref le seul point positif est le bon jeu de Andre 3000.. Sinon rien
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 juin 2015
    Un scénar basé sur les "années Londres" d'Hendrix, avant son explosion à Monterey...

    Formellement pas inintéressant, John Ridley échappe au biopic plan-plan sans pour autant faire des étincelles, la faute à des longueurs et des partis pris discutables / ennuyeux (les relations amoureuses du guitariste notamment) au détriment d'un propos musical rapidement évincé du film.
    L'interprétation assez bluffante d'André 3000 est à soulignée : tout y est ou presque (attitude, langage, mimiques, ...). Sa performance ainsi que la retranscription de ce moment de vie assez méconnu d'Hendrix constituent le principal intérêt de ce biopic plutôt fadasse.
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