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Œuvre touchante et extrêmement personnelle pour son auteur, ce "Pinocchio" est de loin l'hommage le plus bouleversant que 'l'on pouvait rendre à ce mythe éternel [...].
Pinocchio devant la caméra de Del Toro semble fait d’un nouveau bois. Sa relecture du conte italien s’affranchit de l’image véhiculée par le classique d’animation de Disney, pour devenir une fable teintée d’humour et de sensibilité.
Obsédé depuis l’enfance par le livre de Carlo Collodi, le grand cinéaste en livre sur Netflix une adaptation magistrale, et très sombre. Un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
En dessin animé et en chansons, le réalisateur du « Labyrinthe de Pan » dévoile sa version somptueuse et personnelle du conte de Collodi. Epaulé à la réalisation par Mark Gustafson, Guillermo del Toro a façonné pour ce projet une esthétique artisanale de toute beauté. Des trois adaptations récentes de Pinocchio, celle-ci est la moins fidèle au texte original… elle est aussi la plus réussie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
[...] un discours incroyablement apaisé sur la mort et le deuil [...] hante le long-métrage dans son ensemble, et culmine avec l'épilogue le plus émouvant de la carrière de son auteur.
Si Pinocchio est d’abord affaire de tons et de matières, Del Toro pousse l’idée de confrontation du numérique et de l’organique à un niveau d’effroi et de fracas rarement atteint dans le cinéma d’animation récent [...].
Récit initiatique retravaillant plusieurs des thèmes chers à Guillermo Del Toro (la nécessité de trouver une famille, le prix de la vie, la valeur du temps, les « monstres » humanisés confronté à la monstruosité humaine) sous une forme nouvelle, ce Pinocchio ouvre une lecture doublement intime. Ce texte qu’il a découvert dès son plus jeune âge, contant la naissance d’une créature fictive miraculeusement devenue vivante, peut apparaître telle l’essence de son art, l’une des origines de sa vocation.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Pinocchio est un bonheur d’animation au service d’un récit bouleversant sur la mort et le deuil. Guillermo del Toro s’est pleinement réapproprié le conte pour en faire une adaptation qui ne ressemble qu’à lui. Brillant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le réalisateur mexicain arrive encore à nous surprendre avec de sublimes visuels, une écriture très poétique et surtout une plongée dans l'Italie fasciste des années 1930.
La nouvelle version de l’œuvre de Carlo Collodi, mise en ligne vendredi sur la plate-forme, est un conte merveilleux, écho des obsessions du réalisateur mexicain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Del Toro ne se contente pas de raconter l’histoire d’un enfant innocent au cours d’une sombre période historique pour donner une dimension plus mature à un conte que l’on pensait déjà connaître par cœur. Il parvient aussi successivement à faire rire [...] et pleurer, et aborde très frontalement des sujets aussi variés que notre propre finitude, le deuil et la futilité de la guerre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La noirceur de certaines scènes fait perdre de la magie au sujet. Seuls les intermèdes chantés, que l’on doit au génial Alexandre Desplat, donnent un côté Broadway au tout. Finalement, Disney n’est jamais loin… ou presque.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Ainsi épuré, paré d’un nouveau sens, Pinocchio devient l’œuvre à part entière du cinéaste. On y retrouve la fascination nocturne, l’enfance profanée, les secrets enfouis, l’éclat factice de la fête foraine, les menaces fascisantes qui composent son univers poétique, en fragile équilibre entre l’imaginaire et le vécu.
En s'appropriant le célèbre conte pour enfants de Carlo Collodi, Guillermo del Toro revisite le genre avec brio, mêlant constats amers et tendresse pour ses personnages, plus humains que jamais.
Il y a quelque chose de profondément nauséeux dans tout le rapport au macabre du cinéaste mexicain, qui emmène tous ses choix esthétiques sur le terrain du grimaçant, du repoussant, à toutes les couches du film (Alexandre Desplat a-t-il déjà produit un score aussi indigeste ?), peut-être par goût excessif du monstre et donc du monstrueux généralisé, mais au prix tout de même de notre adhésion.
IGN France
Le début est dur, la fin est superbe, les péripéties pleines d'idées, Pinocchio c'est vraiment un très grand film.
L'Ecran Fantastique
Œuvre touchante et extrêmement personnelle pour son auteur, ce "Pinocchio" est de loin l'hommage le plus bouleversant que 'l'on pouvait rendre à ce mythe éternel [...].
Le Journal du Geek
Pinocchio devant la caméra de Del Toro semble fait d’un nouveau bois. Sa relecture du conte italien s’affranchit de l’image véhiculée par le classique d’animation de Disney, pour devenir une fable teintée d’humour et de sensibilité.
Le Point
Obsédé depuis l’enfance par le livre de Carlo Collodi, le grand cinéaste en livre sur Netflix une adaptation magistrale, et très sombre. Un grand film.
Les Echos
En dessin animé et en chansons, le réalisateur du « Labyrinthe de Pan » dévoile sa version somptueuse et personnelle du conte de Collodi. Epaulé à la réalisation par Mark Gustafson, Guillermo del Toro a façonné pour ce projet une esthétique artisanale de toute beauté. Des trois adaptations récentes de Pinocchio, celle-ci est la moins fidèle au texte original… elle est aussi la plus réussie.
Mad Movies
[...] un discours incroyablement apaisé sur la mort et le deuil [...] hante le long-métrage dans son ensemble, et culmine avec l'épilogue le plus émouvant de la carrière de son auteur.
Première
En trahissant Collodi, del Toro a rendu toute sa raison d’être à son personnage. Sublime.
20 Minutes
Ce film d’animation très sombre est aussi magnifique par sa forme que par son propos.
Cahiers du Cinéma
Si Pinocchio est d’abord affaire de tons et de matières, Del Toro pousse l’idée de confrontation du numérique et de l’organique à un niveau d’effroi et de fracas rarement atteint dans le cinéma d’animation récent [...].
Closer
Un bijou.
Culturopoing.com
Récit initiatique retravaillant plusieurs des thèmes chers à Guillermo Del Toro (la nécessité de trouver une famille, le prix de la vie, la valeur du temps, les « monstres » humanisés confronté à la monstruosité humaine) sous une forme nouvelle, ce Pinocchio ouvre une lecture doublement intime. Ce texte qu’il a découvert dès son plus jeune âge, contant la naissance d’une créature fictive miraculeusement devenue vivante, peut apparaître telle l’essence de son art, l’une des origines de sa vocation.
Ecran Large
Pinocchio est un bonheur d’animation au service d’un récit bouleversant sur la mort et le deuil. Guillermo del Toro s’est pleinement réapproprié le conte pour en faire une adaptation qui ne ressemble qu’à lui. Brillant.
Franceinfo Culture
Le réalisateur mexicain arrive encore à nous surprendre avec de sublimes visuels, une écriture très poétique et surtout une plongée dans l'Italie fasciste des années 1930.
L'Obs
A ranger parmi les meilleurs « Pinocchio », avec ceux de Walt Disney et de Luigi Comencini.
Le Figaro
On ressort de cette version émouvante et lumineuse, avec un grand sourire même s’il reste voilé par un petit nuage de mélancolie…
Le Monde
La nouvelle version de l’œuvre de Carlo Collodi, mise en ligne vendredi sur la plate-forme, est un conte merveilleux, écho des obsessions du réalisateur mexicain.
Le Parisien
Le réalisateur mexicain mêle avec talent animation, poésie, cinéma fantastique et récit historique avec son adaptation du conte de Carlo Collodi.
Libération
Del Toro ne se contente pas de raconter l’histoire d’un enfant innocent au cours d’une sombre période historique pour donner une dimension plus mature à un conte que l’on pensait déjà connaître par cœur. Il parvient aussi successivement à faire rire [...] et pleurer, et aborde très frontalement des sujets aussi variés que notre propre finitude, le deuil et la futilité de la guerre.
Ouest France
Signée Guillermo del Toro, cette adaptation sombre et techniquement épatante va bien plus loin que l’histoire de marionnette que l’on connaît.
Paris Match
La noirceur de certaines scènes fait perdre de la magie au sujet. Seuls les intermèdes chantés, que l’on doit au génial Alexandre Desplat, donnent un côté Broadway au tout. Finalement, Disney n’est jamais loin… ou presque.
Positif
Ainsi épuré, paré d’un nouveau sens, Pinocchio devient l’œuvre à part entière du cinéaste. On y retrouve la fascination nocturne, l’enfance profanée, les secrets enfouis, l’éclat factice de la fête foraine, les menaces fascisantes qui composent son univers poétique, en fragile équilibre entre l’imaginaire et le vécu.
Télé 2 semaines
En s'appropriant le célèbre conte pour enfants de Carlo Collodi, Guillermo del Toro revisite le genre avec brio, mêlant constats amers et tendresse pour ses personnages, plus humains que jamais.
Télé 7 Jours
Splendide, follement baroque.
Télé Loisirs
Une approche magique et émouvante.
Télérama
Une réussite.
La Croix
Une version animée sensible qui revisite la relation paternelle unissant Gepetto à sa marionnette.
Les Inrockuptibles
Il y a quelque chose de profondément nauséeux dans tout le rapport au macabre du cinéaste mexicain, qui emmène tous ses choix esthétiques sur le terrain du grimaçant, du repoussant, à toutes les couches du film (Alexandre Desplat a-t-il déjà produit un score aussi indigeste ?), peut-être par goût excessif du monstre et donc du monstrueux généralisé, mais au prix tout de même de notre adhésion.