Mon compte
    The Rover
    Note moyenne
    3,0
    1982 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Rover ?

    273 critiques spectateurs

    5
    19 critiques
    4
    60 critiques
    3
    87 critiques
    2
    63 critiques
    1
    20 critiques
    0
    24 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 août 2018
    Un synopsis tragique qui même le chemin de bout en bout au allure cynique et se termine en suspension, un petit air navigant entre «Mad Max» et «La route» en moins bien, sans action et pas d’émotion. Une histoire peu novatrice en raison de l’influence des films aux temps sinistrés, la différence intéressante du scénario plaçant ce personnage baroudeur de route vers nulle part au lourd passé criminel, peu d’information supplémentaire intrigante circuleront à son sujet. Il n’est pas le pire de tous par ses actions de survie dans la mise en scène de ce brut monde où le fondement immémorial de l’humanité n’existe plus, la société s’est effondrée, laissant le champ libre à l’anarchie. La prestation de Robert Pattinson est pas mal, comme un soupçon de défoncé qui divague à côté de ses pompes.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 septembre 2016
    Présenté Hors Compétition au Festival de Cannes 2014, The Rover pourra certainement paraître incomplet pour beaucoup. En effet, on ne connait absolument rien du personnage principal. Pourtant celui-ci nous fait vibrer, nous angoisse, nous agresse et nous prend aux trips. C’est véritablement ce manque d’informations qui fait la force de ce second long-métrage de David Michôd. On n’avait pas vu une mise en scène aussi poignante et préoccupante depuis Drive de Winding Refn. The Rover, c’est donc l’histoire de ce mec qui débarque de nulle part pour s’enfouir dans le désert australien. L’inconnu rencontre un jeune homme à la santé mentale limitée. Celui-ci est incarné par Robert Pattinson. Et bien qu’il parle peu, sa performance est troublante et attachante. On pourrait croire que ces deux là vont se lier d’amitié, ou à défaut se détester. Pourtant il ne reste plus rien dans la vie du personnage de Guy Pearce. Plus rien, sauf une chose à récupérer. The Rover est un film violent, brutal mais toujours ouvert. Chaque spectateur verra en cette fin sa propre vision de la vie.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 19 août 2016
    lent, histoire tirée par les cheveux... contexte pas clair.
    Heureusement que les acteurs sont bons.
    bref pas mon style de film.
    gzit
    gzit

    107 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 août 2016
    Quand le vieux fusil rencontre Mad Max ça donne un film lent devant lequel on lutte pour rester éveillé. De beaux plans de paysages désertiques permettent au film d'obtenir la moyenne, pas le jeu des acteurs principaux.
    conrad7893
    conrad7893

    299 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 juin 2016
    Dés les premières minutes on se demande qu'est ce qu'on fout là au milieu de nulle part. Pratiquement pas de dialogues, cela m'a fait penser à certains WESTERN. Un paysage d’apocalypse . On se demande pendant tout le film pourquoi le personnage est si accro à sa voiture au point de tout retourner pour la retrouver. spoiler: Il faudra attendre la fin pour comprendre

    Un film très lent, voir soporifique. Je retiendrai peut être la prestation de robert pattinson ;
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    56 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juin 2016
    Michôd parvient à créer les conditions d'une empathie avec un personnage central égoïste et monstrueux. Le plus c'est une scène finale déconcertante, et la prestation d'acteur de Robert Pattinson.
    moket
    moket

    523 abonnés 4 326 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juin 2016
    Un road movie post-apocalyptique (oui bon, l'économie s'est effondrée en tout cas !) cradingue. La rencontre entre les deux personnages est détonante, les décors sont superbement déserts et sales, le tout est filmé avec brio. Quelques longueurs malheureusement et un scénario assez maigre malgré l'intérêt que l'on peut porter aux personnages et à cet univers.
    stallonefan62
    stallonefan62

    285 abonnés 2 550 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 mai 2016
    film très ennuyeux et d'une lenteur incroyable !! on ne voit pas trop où on veut nous emmener !! Dommage car j'aime assez bien Guy Pearce mais pour ce coup c'est raté
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 avril 2016
    Ce film est juste parfait, les acteurs, la photo tout y est magnifique. Il est puissant, immersif, touchant... Guy Pearce et Robert Pattinson interprètent leur rôle d'une manière magistrale...En bref il ne m'a pas laissé indemne, je vous le conseille....
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 avril 2016
    Véritable chef d’œuvre du 7e art moderne, David Michôd confirme sont grand talent en tant que réalisateur en nous proposant une œuvre véritablement transcendante. The Rover, pseudo "Mad Max" comme dirons certains, se révèle bien plus profond et réaliste que cela. Certes, les deux œuvres présentent de fortes similitudes, tel que l'Australie post-apocalypse, la relation entre le protagoniste et sa machine, ou encore l'environnement hostile dans lequel évolue l'anti-héros pour ne citer que celles-ci. Outre cela, les deux films sont en totale contradiction tant la portée de l'un est étendue par rapport à l'autre. Premier point positif, The Rover présente une intrigue très prenante, à la profondeur développée, qui voit un traitement de la nature humaine sur le fond, peu singulier, mais sur la forme, habilement mené. Une vision de l'homme revenu à son état primaire, tentant d'avancer sur les ruines et cendres d'une société jadis riche, dorénavant réduite à se faire la guerre, et qui voit ce qui fut sa nation s’entre tuer afin d'obtenir le bien de l'autre. Un sombre scénario mêlant magistralement drame à survie, où l'homme est amené à dépasser ses limites afin d'entretenir ses possessions, où l'homme est des plus violent et sauvage, où l'homme n'est autre qu'un animal dont nous aurions le plaisir à supprimer la vie tant ses convictions se rapproche davantage de la bête que de l'être humain. Second point positif, l'esthétique est saisissante car celle ci nous intègre au récit à un point rarement atteint précédemment. En s'appuyant sur une atmosphère pesante, le spectateur se retrouve face à une image des plus sublimes, parvenir à déceler une telle splendeur au sein d'un environnement si hostile d'origine est une prouesse de la part du réalisateur. On ressent sans grandes difficultés la chaleur qui s'émane du visuel qui se trouve en face de nous, un lieu aride et infinie, au lyrisme envoûtant tant les plans de contemplations sont saisissants. Dernière qualité qui n'est pas des moindres, les personnages au centre de l’œuvre. Tous incroyablement attachants et pourtant repoussants d'origine. Le spectateur est bien malgré lui amené à éprouver une certaine empathie envers ces personnages dont la motivation ne se résume qu'a la survie. The Rover présente un Guy Pearce magistrale dans son rôle de survivant prêt a tout afin de se réapproprier son dernier lien avec sa vie d'antan, sa voiture. Accompagné d'un Robert Pattinson ici étonnamment convaincant dans son interprétation d'un jeune homme visiblement simple d'esprit et à la réflexion limitée, un être rendu réellement attachant grâce à l'acteur ainsi qu'à son interprétation. Une œuvre originale saisissante qui nous rappelle pourquoi nous aimons le cinéma, une œuvre qui s'éloigne assurément de l'industrie Hollywoodienne, aujourd'hui destructrice de ce qui fut l'un des plus beaux arts jadis. The Rover ne s'adresse évidemment pas à l'ensemble des spectateurs et ne cherche en aucun cas à satisfaire les attentes des spectateurs avides de spectacles pyrotechniques et autres blockbuster décérébrés, mais le film s'adresse à un public apte à saisir la profondeur des dialogues, la beauté des images, ou encore une intrigue fascinante de bout en bout qui met en avant l'état d'esprit de ses protagonistes au détriment de séquences d'action. Les nombreuses qualités de cette réalisation suffiront à convaincre les spectateurs capables de saisir le profond message que cherche à transmettre le film, un message ici excellemment transmit qui nous fait comprendre que The Rover recèle tout simplement du véritable chef d’œuvre moderne.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2016
    Un western post-apocalyptique teinté d’une douce ironie

    En 2010, sortait Animal Kingdom, premier film de l’australien David Michod, œuvre noire et cynique explorant le quotidien d’une famille de criminel dans les bas-fonds de Melbourne. Très justement récompensé au Festival de Sundance et aux Australian Institute Films Awards (Oscar australien), ce film avait séduit la critique tant par sa dextérité à introduire les notions de la famille et de noirceur dans un thriller que par sa contribution à la renaissance du cinéma australien, déjà initiée par John Hillcoat, réalisateur des films La Route et Des Hommes Sans Loi.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 mars 2016
    Ce que ce film peut être ennuyeux...
    Le rythme est lent, la narration est faible, une musique pas vraiment raccord avec le film.

    Ce film est très mauvais.
    Legid
    Legid

    36 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mars 2016
    The Rover est un film anti-blockbuster au possible. En jouant la carte du minimalisme, la réalisateur David Michod qui s'était fait connaitre en 2010 avec Animal Kingdom, apporte toutes ses qualités au film mais aussi quelques défauts.
    Sa réalisation est, en effet, volontairement lente et sèche pour mettre en avant les prestations d'acteurs. On ne peut que saluer les performances intenses de Guy Pearce en homme habité par une seule volonté et celle totalement à contre emploi de Robert Pattinson en simplet, bien loin de ses rôle de beau gosse habituels.
    Cependant, en voulant privilégier ce minimalisme, David Michod se rate quelque peu sur le scénario. Assez peu consistant, il lui manque trop de rebondissements pour captiver totalement. Une fois le but de Guy Pearce compris, on ne fait que suivre cette épopée linéaire sans véritable surprise, hormis la dernière scène.
    Heureusement, l'ennui n'est pas présent, encore une fois grâce à son ambiance et ses acteurs mais le rythme volontairement lent et l'étirement parfois excessif de l'action pourra rebuter.
    Pas mal !
    Sebastien s
    Sebastien s

    11 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2016
    Je trouve ce film incomplet, robert pattinson joue parfaitement bien. Le monde dans lequel il joue donne une ambiance sombre mais parfois trop de n'imp.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    204 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 février 2016
    On sait que dans tout Art, la caractéristique la plus évidente de la "décadence" est la prépondérance de la forme sur le contenu, ou plutôt un formalisme extrême qui fait que la forme n'est plus au service du fond, mais constitue l'objectif primordial de l'artiste. Pour le 7ème Art, cette situation critique, anticipée dès la fin des années 80 par l'offensive des "pubards", a même largement contaminé le cinéma dit "d'auteur" : si Michôd n'est heureusement pas atteint au même degré que l'ignoble Iñarritu, il régresse néanmoins salement dans son second film par rapport à la réussite de son premier, "Animal Kingdom". Car si l'élégance et l'intelligence de sa mise en scène bluffe le spectateur pendant la première partie du film, avec en particulier une excellente gestion du temps, qui est toute à l'honneur de Michôd, on finit par ce rendre compte que "The Rover" n'a rien d'intéressant à nous dire, si ce n'est que "l'homme est un loup pour l'homme" (... mais pas pour le chien !). Le surjeu de Pattinson, tranchant avec le sous-jeu de Pëarce (mais les deux approches sont excessives, et fondamentalement formalistes), mais aussi le désir obsessionnel qu'a Michôd de surprendre à tout prix son spectateur, soit par la mise en scène, soit par le récit, finissent par jouer contre le film, et par nous détacher des enjeux de la fiction. La dernière scène, sensée être le "twist" révélateur qui remet en perspective ce que nous venons de voir, ridiculise en fait le film tout entier, et montre que tout le récit ne fonctionnait en fait que sur la convention artificielle du comportement mutique du personnage principal. Michôd n'avait rien d'intéressant à nous raconter, il nos a juste impressionné par son savoir faire formel
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top