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    The Rover
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    3,0
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    273 critiques spectateurs

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    Videorama
    Videorama

    23 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2014
    C'est pas mal, mais je m'attendais à mieux. C'est stylisé, prenant, violent, bien joué, mais il manque un petit truc.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 juin 2014
    Rox et Rouky rencontre Madmax, le début d'une grande amitié.
    gjolivier1982
    gjolivier1982

    64 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2014
    The Rover est un western post-apocalyptique nihiliste dont la noirceur excessive peut laisser de glace. Si l'histoire est plutôt prenante et ce dès le début du film, l'arc dramatique des différents protagonistes n'est pas très convaincant et surtout la fin est franchement ratée. Dommage car on n'apprend pas grand chose des différents personnages, de ce monde ou du comment on en est arrivé là. Restent la photo très réussie ou les acteurs même s'ils ne sont pas toujours très convaincants. Guy Pearce en fait parfois trop. En revanche Patterson est plutôt étonnant et se sort très bien de son personnage.
    Guiciné
    Guiciné

    161 abonnés 1 240 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juin 2014
    Un film austère et plombant qui ne décolle pas, avec des personnages qui arrivent de nulle part, dialogues minimalistes. La bande son est impressionnante et colle parfaitement au film particulièrement bien interprété. Une sorte de Max Max sans le rythme.
    jaggg
    jaggg

    21 abonnés 197 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 juin 2014
    Nul, plat, creux, vide, fade, soporifique, voyons, ai-je oublié quelque chose ? Perte de temps, perte d'argent.
    Une demie étoile quand même, juste parce qu'on aime bien Guy Pearce, mais c'est bien parce que c'est lui.
    BeatJunky
    BeatJunky

    149 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2014
    Guy Pearce adore sa voiture, mais alors vraiment beaucoup!!! Mieux éviter de la rayer sa caisse! Nan, sérieusement, j'ai adoré ce film, cette ambiance cradingue qui m'a de suite fait penser à "the proposition" avec ce même génial Guy Pearce. Cette image jaunie, poussiéreuse donne beaucoup de style au film et m'a de suite installé dans cette ambiance inquiétante dont on ne sait pas grand chose mais ce n'est que secondaire ici, ça n'empêche pas d'apprécier ce road movie de ces personnages bien spéciaux superbement interprétés par Pearce et Pattinson qui m' a carrément bluffé! Pas grand chose à en ressortir et pourtant ce film m'est resté en tête très longtemps.... Michôd est décidément un metteur en scène à suivre de très près.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 juin 2014
    Tout d'abord les 10 première minute muettes sont d'une beauté saisissante entre le soleil écrasant de l'Australie et la gueule cassée de Guy Pearce poursuivant en voiture des malfrats "normaux" et humains . Puis le film démare, l'ambiance et lente et ponctué de moments violent souvent aussi bref que surprenant et violent. Les dialogue (peu nombreux) sont incisifs entre l'homme (Pearce) et Ray ( Pattinson) le frère d'un des malfrats abandonné par sa bande.
    La BO répond parfaitement aux besoins du film en étant étouffante a souhait en provoquant également la tension du spectateur.
    Pearce joue plutôt bien le "monstre" égoïste et sans et son personnage tranche avec celui de Pattinson vraiment crédible dans ce jeunot bégaillant découvrant la violence.
    Dans ce film il y a quelques choses de Drive et de Mad Max et ce n'est pas pour nous déplaire.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    982 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2014
    Après Animal Kingdom, le réalisateur australien David Michôd nous ramène dans sa belle patrie pour nous présenter son nouveau film, un neo-western sous tension co-écrit avec l'acteur Joel Edgerton. The Rover raconte donc une histoire simple : Eric, un homme solitaire, ténébreux et peu bavard, erre dans les plaines désolées d'une Australie ravagée par la pauvreté après une crise économique survenue dix ans auparavant. Un jour, il se fait voler sa voiture par un trio de gangsters en cavale qui ont laissé derrière eux l'un des leurs, laissé pour mort, Rey. Prenant en otage ce dernier, Eric n'aura de cesse que de retrouver ces trois brigands et récupérer sa voiture... Extrêmement lent, contemplatif et peu dynamique, le long-métrage n'en demeure pas moins hypnotique, la beauté des décors désertiques alliée à une photographie brûlante et une musique déconcertante faisant malgré tout son petit effet. Le scénario, bien qu'étant simpliste, parvient à nous immerger dans une histoire violente, désespérée et poétique où un homme qui n'a rien à perdre va aller jusqu'au bout pour récupérer un bien en apparence bénin. Ce Mad Max moderne motivé par une hargne sans pareille et un passé trouble est incarné par le fabuleux Guy Pearce, qui retrouve Michôd après Animal Kingdom. L'acteur nous balance son regard le plus noir, le plus déterminé et le plus effrayant, devenant une bête humaine hallucinante. À ses côtés, le bankable Robert Pattinson, épatant en jeune loup un peu benêt aux mimiques de débile et aux grognements déstabilisants. Une union choc pour un continuel face-à-face étouffant porté par deux acteurs de réel talent qui nous offrent une performance impressionnante, notamment lors de scènes de dialogues immersives au possible. Comme dans Mad Max 2, La Route ou encore Le Livre d'Eli, les deux anti-héros feront des rencontres inattendues baignées dans une violence barbare et sans pitié. Certes, le film n'est encore une fois pas très dynamique et peut sembler souffrir d'un rythme peu entrainant mais qu'importe : une fois plongé dans ce road movie quasi post-apocalyptique, on ne peut vraiment en décrocher, le metteur en scène nous livrant un film poignant, puissant, pas forcément original mais diablement électrique, comme une claque venue de nulle part à laquelle il ne manquait au final qu'une poignée de séquences plus virulentes et peut-être un bon quart d'heure en moins.
    Cathedrale
    Cathedrale

    85 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 juin 2014
    Mon royaume pour un clébard. Une bastos dans le bide du jeune fou s'éclate à broyer ses entrailles, la douleur est électrique, léchant ses iris à gros coup de pelle. La silhouette, recouverte d'un ample t-shirt, capture, et ce, à chaque plan, l'haleine décomposée du vide ; le cracha fétide du temps s'accroche à ses manches, l'homme n'est plus qu'une ombre sans contour, valdinguant d'un bout à l'autre du continent, sous le souffle rancunier du dieu Chaos. Les squelettes bouillonnent, le long de ton dos la sueur dégouline, l'air a des relents d'enfer, les doigts se crispent sur les crosses, appuient sur la détente: les guns hurlent à la mort, l'intelligence du réalisateur à capter leur allure, ce sont bien les petits détails qui dominent, pas de place pour Dame raison : des clefs, une boite de conserve, une poignée de balles, telles sont les denrées dont IL a besoin pour avancer. Survivre un peu encore, sur ce sol ravagé, avec toujours cette impression de n'être plus sur Terre : le terrain de jeu est immense, infinies sont les possibilités et la folie s'en donne à cœur joie. La voilà qui trottine, pissant allègrement sur les cadavres que l'épopée engendre, léchant doucement ses babines trouées à l'affût du moindre faux pas : libérés de toute morale les individus se blessent, à 2-3 exceptions près : et c'est là qu'enfin le film dévoile l'étendue de sa puissance : en un regard ou quelques gestes, parfois l'esquisse d'un mot, une fragile alchimie de l'âme se crée , déployant ses ailes poussière par delà l'horizon, invitant les deux nouveaux frères à tendre leurs échines vers un destin moins funeste... Fascinant de la première à la dernière seconde, The Rover se renifle, s'avale comme un coup de poing dans le claquoir. A l'instar de Pierce à bord du 4X4 bosselé, l'on doit quitter notre condition humaine et nous muer en prédateur grondant, la gueule suintant de rage, l'oeil frémissant, rongeant les os de nos victimes jusqu'à en vomir devant l'Eternel.
    theyoguishow
    theyoguishow

    7 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juin 2014
    Boaf... bien joué et réalisé mais terriblement mou.
    Niveau scénario, on nous parle de "la chute" sans expliquer ce que c'est (je spoile pas, c'est au touty début du film !) mais en gros c'est devenu l'anarchie. Sauf que là tout se passe dans le désert alors on ignore globalement les conséquences réelles du truc sur l'humanité. Enfin c'est pas primordial je suis d'accord mais c'est un peu "facile" je trouve...
    Sinon certains plans sont bien trop longs (et pourtant j'adore les Sergio Leone...), sans dialogue alors il faut essayer de décortiquer ce que peut bien penser le personnage qu'on voit à l'écran alors que lui-même regarde dans le vague (et comme l'un des perso est déficient mental ou du moins pas très malin, avec lui c'est d'autant moins évident !).
    Bref, ça aurait pu (dû) être nettement mieux !
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 327 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juin 2014
    Après la claque que m’avait refilé « Animal Kingdom », j’avoue que j’étais plus que curieux de voir ce nouveau film de David Michôd. Or, la seule introduction de ce film a suffi à me convaincre que ce gars était quand-même un sacré réalisateur. La plongée dans l’intrigue est immédiate et elle est d’autant plus prenante qu’esthétiquement elle est remarquable. Plans, photographie, gestion de l’espace sonore, notamment de la musique : tout est sublime. Irréprochable. Pour moi cette intro est au croisement entre le « No Country » des frères Coen et ce bon vieux « Duel » de Steven Spielberg. Mais bon, la référence principale est bien évidemment « Mad Max », ou comment un film australien rend hommage à l’un de ses plus grands trésors nationaux en termes de septième art. Et pour tout dire, c’est là la force et la faiblesse de ce « Rover ». C’est une force car Michôd a su transcender l’ambiance post-apocalyptique du film de Miller, notamment en sachant davantage jouer de la nuance. La situation est moins tranchée ; le mystère sait rester entier sur la nature réelle de la situation, ce qui génère une atmosphère vraiment particulière et qui, moi, me parle beaucoup. Par contre, il y a là aussi une faiblesse à tant se référencer de cet illustre aïeul. D’une part j’ai progressivement ressenti que ce « Rover » été un peu esclave de son maître et qu’il entendait en suivre la démarche de plus ou moins loin, ce qui a tué très rapidement mon imagination et mon attente par rapport aux évènements à venir. Mais surtout, d’autre part, « Rover » reprend trait pour trait cette logique d’une narration trouble et presque inerte, qui ne raconte pas grand-chose et ne dit presque rien sur ce qu’il se passe vraiment. Certes, ce manque d’informations permet de mettre en place une atmosphère très forte, mais le fait qu’on ne sache pas vraiment où on va ni pour quoi on y va fait que j’ai du mal à me laisser emporter par le truc. Au bout d’un moment, l’ennui a primé, et j’attendais clairement que le film se finisse. Au final, aucune surprise. Au fond on ne nous a pas raconté grand-chose – comme « Mad Max » - mais une atmosphère prenante a été incontestablement pesée. Un mal pour un bien, peut-être... Un film qui a un parti-pris, c’est sûr. Mais un film qui a ses exigences, et ça, il faut le savoir me semble-t-il...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 juin 2014
    Film singulier, à la fois western post-apocalyptique et road movie contemplatif. Esthétiquement magnifique, y compris dans ces accès de violence, le film doit beaucoup à Guy Pearce, incroyable en solitaire bourru et jusqu'au boutiste. A côté, Robert Pattinson s'offre un rôle original mais un peu surjoué du débile attachant. Si le film pêche par un léger manque de rythme et une certaine redite, il est également traversé par de très beaux moments. Film à voir en VO of course.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 juin 2014
    C’est un film-poursuite censé se dérouler dans une Australie moribonde. Le pays n’est plus qu’un désert brûlant. Les derniers habitants sont pitoyables. Seules les mines attirent encore quelques aventuriers prêts à tout pour survivre. Serait-ce le projet d’Eric, vagabond solitaire et taiseux ? Pas le temps de savoir, qu’il se fait voler sa voiture lors d’une halte. Première fusillade. Un membre du gang est laissé pour mort, c’est Rey. Il va conduire Eric sur la piste des fuyards...
    Après la parole est aux colts. La poussière vole et le sang gicle. Pour un oui pour un non, contre un innocent ou un frère… Féroce colère et violence sans fin. Pour le reste, il faut se contenter du cynisme ravagé d’Eric : « Si tu n’apprends pas à te battre (traduire par tuer) tu ne vivras pas longtemps » ; ce qui ne l’empêche pas d’ajouter : « Il ne faut jamais oublier les vies qu’on a prises ». Quel sens moral !
    Mobile insignifiant pour scénario-fiction filiforme. On peut toujours qualifier David Michod de « réalisateur visionnaire » et voir son film comme « un signal d’alarme », mais c’est beaucoup d’honneur. On est plus proche du vide. Même si celui des grands espaces est superbement photographié. La recherche esthétique contraste d’ailleurs avec la brutalité des personnages. L’un, Guy Pearce (Eric) minimaliste en froid justicier et l’autre, Robert Pattinson (Rey) qui, au contraire, surjoue les psychopathes.
    Matching P.
    Matching P.

    14 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juin 2014
    Nous vous ferons grâce du synopsis : si vous avez vu Mad Max c'est bon pour le décor, pour l'intrigue vous aurez tous les ingrédients du Road Movie à deux, émaillé d'exécutions hémoglobiniques à la Tarantino ; au bout de 10 minutes on a tout compris, le problème c'est que ça dure comme ça 1h43 mn !

    Amateurs de subtilité passez votre chemin :

    1) l'histoire : elle se situe 10 ans après "la chute" (il faut comprendre, paraît-il, après la chute du système capitaliste), le paysage (le bush australien) est désertique-écrasé de chaleur-désolé-déshumanisé, c'est à dire peuplé de rares humains (blancs ou aborigènes) qui ne sont plus trop humains sauf une femme médecin, une sorte de Docteur Quinn au pays des kangourous.

    2) le style : des gros plans de visage, des regards dignes de western spaghetti, des dialogues forcément réduits dans ce monde de brutes, tous sales, mal rasés, couverts de sueur et du sang de leurs nombreuses victimes.
    La cerise sur le gâteau est bien sûr la présence du célébrissime tombeur de minettes fans de "Twilight", Robert Pattinson qui a troqué ici ses dents de vampire contre celles de Jacquouille des "Visiteurs", impossible d'adhérer à son numéro outrancier de débile.

    Excusez nos références filmiques mais l'ennui dégagé par le film nous a conduites à l'examiner au second degré pour ne pas céder à l'endormissement. Les prétendus mystères distillés par le cinéaste (ah au fait il s'appelle David Michôd) ne sollicitent pas le moins du monde notre intérêt. On ne s’interroge même pas sur l'intrigue : 10 ans après quoi ? Qui sont ces gens : des mineurs, des braqueurs ? Qu'ont-ils fait ? Où vont-ils ? On s'en moque. Il nous tardait qu'il ne reste plus personne à force de s'éliminer à coup de revolver et qu'enfin le film se termine. Il se termine en effet sur un dévoilement et/ou une morale d'une grande naïveté. Nous n'en dirons pas plus au cas où une de nos lectrices serait tentée d'aller tester ce navet !

    Nous, qui normalement sommes d'un caractère plutôt indulgent, ne trouvons cette fois-ci aucune circonstance atténuante...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 juin 2014
    Film long, sans intérêt, les dialogues sont quasiment inexistants et l'histoire est nulle. On s'ennuie plus qu'autre chose et personnellement j'ai passe mon temps a regarder la montre... Seul le talent d'acteur de Robert pattinson a un tant soit peu de valeur. A éviter
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