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Votre avis sur The Rover ?
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Excellente surprise que ce Rover. Je ne m'attendais pas à un si bon film. Présence à Cannes méritée.
Cinéphiles 44
Présenté Hors Compétition au Festival de Cannes 2014, The Rover pourra certainement paraître incomplet pour beaucoup. En effet, on ne connait absolument rien du personnage principal. Pourtant celui-ci nous fait vibrer, nous angoisse, nous agresse et nous prend aux trips. C’est véritablement ce manque d’informations qui fait la force de ce second long-métrage de David Michôd. On n’avait pas vu une mise en scène aussi poignante et préoccupante depuis Drive de Winding Refn. The Rover, c’est donc l’histoire de ce mec qui débarque de nulle part pour s’enfouir dans le désert australien. L’inconnu rencontre un jeune homme à la santé mentale limitée. Celui-ci est incarné par Robert Pattinson. Et bien qu’il parle peu, sa performance est troublante et attachante. On pourrait croire que ces deux là vont se lier d’amitié, ou à défaut se détester. Pourtant il ne reste plus rien dans la vie du personnage de Guy Pearce. Plus rien, sauf une chose à récupérer. The Rover est un film violent, brutal mais toujours ouvert. Chaque spectateur verra en cette fin sa propre vision de la vie.
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Dés les premières minutes on se demande qu'est ce qu'on fout là au milieu de nulle part. Pratiquement pas de dialogues, cela m'a fait penser à certains WESTERN. Un paysage d’apocalypse . On se demande pendant tout le film pourquoi le personnage est si accro à sa voiture au point de tout retourner pour la retrouver.
spoiler:
Il faudra attendre la fin pour comprendre
Un film très lent, voir soporifique. Je retiendrai peut être la prestation de robert pattinson ;
Un film très lent, voir soporifique. Je retiendrai peut être la prestation de robert pattinson ;
Nicothrash
L'Australien David Michôd, déjà doué en tant que scénariste s'avère l'être tout autant lorsqu'il passe derrière la caméra. Il nous offre pour le coup un voyage en territoire hostile sur des terres désolées mais parfaitement réalistes, d'ailleurs elles le sont, réelles, puisque ça a été filmé dans les grands espaces australiens avec une photographie superbe. Outre l'aspect visuel, la force du film est également dans son casting, le duo Pearce/Pattinson est impeccable, le premier trop souvent sous-estimé et le second à des années-lumières de Twilight, ils nous livrent tous deux une prestation remarquable, tant au niveau du jeu que du physique. Certains pourront être rebutés par le rythme très lent mais cette ambiance incroyable et cette intrigue des plus étranges arriveront dans tous les cas à maintenir un tant soit peu l'intérêt des plus réfractaires et ce malgré un scénario des plus simple. Une vision d'un futur proche déroutant et dérangeant dans des paysages parfois lunaires et ponctuée d'un final original et inattendu. A découvrir d'urgence.
BeatJunky
Guy Pearce adore sa voiture, mais alors vraiment beaucoup!!! Mieux éviter de la rayer sa caisse! Nan, sérieusement, j'ai adoré ce film, cette ambiance cradingue qui m'a de suite fait penser à "the proposition" avec ce même génial Guy Pearce. Cette image jaunie, poussiéreuse donne beaucoup de style au film et m'a de suite installé dans cette ambiance inquiétante dont on ne sait pas grand chose mais ce n'est que secondaire ici, ça n'empêche pas d'apprécier ce road movie de ces personnages bien spéciaux superbement interprétés par Pearce et Pattinson qui m' a carrément bluffé! Pas grand chose à en ressortir et pourtant ce film m'est resté en tête très longtemps.... Michôd est décidément un metteur en scène à suivre de très près.
darkvash
The Rover, après avoir lu de bonnes critiques sur ce film je ne peux être que sceptique sur mes goûts cinématographiques.
Certes le film possède quelques qualités, dont le jeu d'acteur de Mr Pattinson qui commence à devenir un acteur intéressant après cette formidable saga "Twillight", le néant du cinéma.
Guy Pearce a deux expressions dans le film, c'est moins compliqué pour lui
Le scénario est mince, très mince.
On ne connaît pas réellement les motivations de notre "héros" mais on s'en moquerait un peu si le film était plus intéressant et expliqué.
On doit deviner que les Chinois ont le monopole et ont "envahi" l'Australie, on doit essayer de deviner le vide de paysages, le pourquoi des soldats etc...
La narration est lente, très lente et les quelques scènes d'actions ne sauvent pas le film.
Une étoile pour le sieur Pattison, je ne pensais pas dire ça un jour.
Certes le film possède quelques qualités, dont le jeu d'acteur de Mr Pattinson qui commence à devenir un acteur intéressant après cette formidable saga "Twillight", le néant du cinéma.
Guy Pearce a deux expressions dans le film, c'est moins compliqué pour lui
Le scénario est mince, très mince.
On ne connaît pas réellement les motivations de notre "héros" mais on s'en moquerait un peu si le film était plus intéressant et expliqué.
On doit deviner que les Chinois ont le monopole et ont "envahi" l'Australie, on doit essayer de deviner le vide de paysages, le pourquoi des soldats etc...
La narration est lente, très lente et les quelques scènes d'actions ne sauvent pas le film.
Une étoile pour le sieur Pattison, je ne pensais pas dire ça un jour.
C'est quand même quelque chose "The rover". C'est un film qui parvient à captiver alors qu'il ne raconte presque rien. C'est l'histoire d'un type à qui on a volé sa voiture à laquelle il tient beaucoup et qui va se retrouver à faire équipe avec le frère simplet d'un des voleurs, et c'est tout. Il y a très peu de sous intrigue, tout va à l'essentiel. Souvent comparé à "Mad Max" parce qu'il se passe dans le désert australien après une mystèrieuse apocalypse, il n'a en réalité rien à voir avec son modèle compatriote, mais fait plutôt songé aux westerns italiens avec ses personnages sans foi ni loi, un anti héros mystèrieux, une femme pleine d'humanité, des bandits. Il ne manque plus que les indigènes. C'est l'animalité de l'homme que le réalisateur David Michôd met en scène, sa nature profonde à protéger ses biens, son besoin de modèle et de référence. On salut égalment la performance des deux acteurs principaux, surtout celle de Robert Pattinson car il se démarque totalement et de manière convaincante de "Twilight". Toujours juste, il n'en fait jamais des caisses pour interpréter un simplet, ce qui n'est pas le plus facile.
Un film d'ambiance, noire avec les paysages désertiques australiens, une chasse à l'homme crasse et dure agrémentée de violence directe sans morale.
David Michod étonne. The Rover, second film du jeune cinéaste australien est surprenant... Tout d'abord mes attentes étaient grandes pour ce film grâce principalement à son univers pesant et post apocalyptique le tout parsemé d'une certaine violence crue et réaliste. Et c'est une grande réussite ! Michod nous plonge dans les fin fond d'une Australie qui a perdu pied avec la soit disant "chute", désormais le monde n'est que violence et survie avec une société qui ne tiens plus... Tout s'effondre petit à petit. Nous suivons alors les traces du personnage interprété par Guy Pearce homme ayant tout perdu sauf... Sa voiture auquel il y tien beaucoup vu sa détermination à la retrouver. Il est littéralement habité par son personnage à la fois sombre, froid, violent mais éprouvant une certaine humanité (la fin le prouve). Il croise alors le frère du délinéant ayant volé son bien le plus précieux incarné par Robert Pattinsson qui arrive tout de même à nous faire oublier son rôle de vampire guimauve, il est très convaincant et même attachant vu sa vulnérabilité. Le film est déroutant, pesant avec une mise scène particulière mais envoûtante Grace notamment à des plans d'une beauté incomparable, les image du désert australien sont impressionnantes le tout entouré d'une musique mystérieuse mais envoûtante. Ce road movie aux allures de western moderne nous prend aux tripes avec certaines scènes de fusillades prenantes et un final à la fois rempli de tension et d'émotion du fait de la raison pour laquelle le personnage de Pearce veut sa voiture. Mais le film ne vise pas uniquement cet objectif en effet, Michod appuie aussi la relation entre nos deux protagonistes qui au fur et à mesure va évoluer durant tout ce voyage déroutant. Vous l'aurez compris, The Rover est à voir absolument avec sa mise en scène des plus réussies remplies de plans sublimes et un duo d'acteurs très convaincant. C'est intense, violent mais aussi très humain notamment lors des dernières séquences... Très bon travail !
Ce que ce film peut être ennuyeux...
Le rythme est lent, la narration est faible, une musique pas vraiment raccord avec le film.
Ce film est très mauvais.
Le rythme est lent, la narration est faible, une musique pas vraiment raccord avec le film.
Ce film est très mauvais.
Thibault F.
Cela fait extrêmement longtemps que je n'ai pas été autant subjugué, éblouit par une telle oeuvre venue de nulle part, précisément de l'Australie et qui n'a, à l'exception de son passage à Cannes, pas fait beaucoup de bruit dans les salles obscures de l'hexagone... et pourtant, on a certainement à faire à l'un des plus beaux films de l'année 2014 ; ni plus, ni moins ! Si au premier abord, on peut crier au plagiat pour le pire des cas, à l'inspiration pour le meilleur des cas à Mad Max, c'est véritablement se tromper sur le statut filmique de The Rover. Si, l'atmosphère et le paysage offre quelques idéaux déjà relevés auparavant, on se trouve bien devant quelque chose de rarement vu au cinéma où finalement le but n'est qu'un propos pour faire voyager le spectateur. On se sent tiraillé, fasciné par l'avenir de nos 2 principaux protagonistes excellents que ce soit Guy Pearce ou encore Robert Pattinson (et je pensais pas dire ça, un jour, sincèrement !) avec des prestations de hautes volées sans pour autant abuser de dialogues pompeux! Ici, il est question de contemplations, de réflexions et tout ça sur une durée de près de 90 mn sans nous ennuyer ! Chapeau ! Finalement, on ne préfère rien savoir de nos personnages mais simplement de vivre une expérience unique ce qui fut pour ma part, réussis !
The Rover a de quoi séduire. On parle de drame et de science-fiction. Il bénéficie d'un casting restreint mais plutôt original et novateur avec Guy Pearce en tête d'affiche, ce qui devient rare, et Robert Pattinson, en plein émargement de ce que fut son début de carrière. En bref, un petit film indépendant et attirant, de la part du réalisateur d'Animal Kingdom, ô combien encensé par le critique.
Le film est décrit comme étant un drame et de la science-fiction. Tout d'abord, je ne vois pas en quoi il s'agit de science-fiction. Peut-être le contexte, un énième film post-apocalyptique, façon La Route, mais rien de bien fantaisiste. On nous pose au milieu des terres australiennes et on nous dit "dix ans après la chute", c'est tout ! Après, nous suivons simplement l'histoire d'un gars un peu fou à qui on a volé la voiture, qui rencontre un autre gars laissé pour mort par ses copains voleurs de voiture. L'histoire s'arrête là et je ne peux m’empêcher de penser que le contexte n'est une fois encore qu'un prétexte pour nous tenir en haleine. Cela m'est assez rageant, car on a rapidement fait le tour.
Le film bénéficie également de dialogues d'une pauvreté et d'une platitude consternantes. Mention spéciale à Guy Pearce, à mes yeux, pas plus charismatique qu'un rhododendron. Et attention, le film dispose en plus d'un slogan des plus originaux à son égard : "Craignez l'homme qui n'a plus rien à perdre." Whaa, il n'a plus rien à perdre quoi ! Et tout au long du film, les mouches peuvent voler à proximité de son visage et il s'en fout, tu vois. Il est impassible le mec. Robert Pattinson est un poil meilleur. Disons que ce genre de film le rend un peu plus mûr et lui permet de décoller sa carrière sous un nouvel élan. Il est instable et déglingué mais l'aspect creux qui ressort du film rend le jeu des acteurs davantage artificiel qu'original.
Les petits points forts sont la photographie et la bande originale. Les deux se complètent parfaitement et offrent au film une ambiance oppressante et malsaine, accompagné de ralentis contemplatifs mais assez tocs. David Michôd semble avoir misé là-dessus mais en a cruellement oublié toute la profondeur que son film aurait pu avoir.
Ce que je retiens de The Rover n'est malheureusement pas folichon. Un énième film post-apocalyptique auquel il ne ressort pas grand chose. J'ai la sensation encore d'avoir tourné en rond sans jamais aboutir. Un vrai manque d'originalité ; il suffit de mélanger La Route et le récent Joe pour obtenir The Rover. Les deux premiers films ne m'avaient déjà pas vraiment plu, celui-ci ne va pas relever le niveau. Le genre auquel on mise tout sur la forme et les "sentiments"; ça en fait des tonnes, ça pleure, ça regrette, ça n'a plus rien à perdre, quoi ; mais auquel on en oublie également tout le fond. J'ai attribué cinq juste parce que je suis incapable de descendre en dessous sur de genre de films. Ce ne sont pas des daubes, loin de là, mais je commence sérieusement à me braquer contre eux tant le renouvellement et la recherche d'originalité deviennent rares.
Le film est décrit comme étant un drame et de la science-fiction. Tout d'abord, je ne vois pas en quoi il s'agit de science-fiction. Peut-être le contexte, un énième film post-apocalyptique, façon La Route, mais rien de bien fantaisiste. On nous pose au milieu des terres australiennes et on nous dit "dix ans après la chute", c'est tout ! Après, nous suivons simplement l'histoire d'un gars un peu fou à qui on a volé la voiture, qui rencontre un autre gars laissé pour mort par ses copains voleurs de voiture. L'histoire s'arrête là et je ne peux m’empêcher de penser que le contexte n'est une fois encore qu'un prétexte pour nous tenir en haleine. Cela m'est assez rageant, car on a rapidement fait le tour.
Le film bénéficie également de dialogues d'une pauvreté et d'une platitude consternantes. Mention spéciale à Guy Pearce, à mes yeux, pas plus charismatique qu'un rhododendron. Et attention, le film dispose en plus d'un slogan des plus originaux à son égard : "Craignez l'homme qui n'a plus rien à perdre." Whaa, il n'a plus rien à perdre quoi ! Et tout au long du film, les mouches peuvent voler à proximité de son visage et il s'en fout, tu vois. Il est impassible le mec. Robert Pattinson est un poil meilleur. Disons que ce genre de film le rend un peu plus mûr et lui permet de décoller sa carrière sous un nouvel élan. Il est instable et déglingué mais l'aspect creux qui ressort du film rend le jeu des acteurs davantage artificiel qu'original.
Les petits points forts sont la photographie et la bande originale. Les deux se complètent parfaitement et offrent au film une ambiance oppressante et malsaine, accompagné de ralentis contemplatifs mais assez tocs. David Michôd semble avoir misé là-dessus mais en a cruellement oublié toute la profondeur que son film aurait pu avoir.
Ce que je retiens de The Rover n'est malheureusement pas folichon. Un énième film post-apocalyptique auquel il ne ressort pas grand chose. J'ai la sensation encore d'avoir tourné en rond sans jamais aboutir. Un vrai manque d'originalité ; il suffit de mélanger La Route et le récent Joe pour obtenir The Rover. Les deux premiers films ne m'avaient déjà pas vraiment plu, celui-ci ne va pas relever le niveau. Le genre auquel on mise tout sur la forme et les "sentiments"; ça en fait des tonnes, ça pleure, ça regrette, ça n'a plus rien à perdre, quoi ; mais auquel on en oublie également tout le fond. J'ai attribué cinq juste parce que je suis incapable de descendre en dessous sur de genre de films. Ce ne sont pas des daubes, loin de là, mais je commence sérieusement à me braquer contre eux tant le renouvellement et la recherche d'originalité deviennent rares.
Film d'une platitude et d'un ennui total.
Comptez ni sur le scénario ni sur la réalisation ni sur la direction des acteurs pour vous tenir éveillé.
D'une lenteur incroyable, attendez le dvd !
Comptez ni sur le scénario ni sur la réalisation ni sur la direction des acteurs pour vous tenir éveillé.
D'une lenteur incroyable, attendez le dvd !
Un type désabusé, fatigué, va retrouver une énergie presqu'incompréhensible pour chasser et retrouver les voleurs de sa voiture.
Certaines scènes sont volontairement trop longues et peuvent paraitre lassantes pour le spectateur, mais force est de reconnaitre que le réalisateur impose son style et s'en tire parfaitement. L'atmosphère est parfaitement rendue, les paysages arides superbes et la performance de tous les comédiens laisse pantois. En dire plus serait du superflu.
Ce film se regarde et s'apprécie encore davantage pour la toute dernière scène révélatrice.
Certaines scènes sont volontairement trop longues et peuvent paraitre lassantes pour le spectateur, mais force est de reconnaitre que le réalisateur impose son style et s'en tire parfaitement. L'atmosphère est parfaitement rendue, les paysages arides superbes et la performance de tous les comédiens laisse pantois. En dire plus serait du superflu.
Ce film se regarde et s'apprécie encore davantage pour la toute dernière scène révélatrice.
Si encore les paysages australiens étaient beaux dans ce film, on se dirait que bon, on a au moins vu un beau docu. Mais même pas ! Tout n'est que misère, stérilité, absence de sentiments (bons ou mauvais).
Pattinson est pathétique dans un rôle d'abruti complet. Le scénario est aussi mince que du papier à cigarette. Rien à sauver ! Passez d'urgence votre chemin ! Tiens, allez plutôt revoir un bon vieux John Wayne ou un De Funes, vous y trouverez plus de surprises que dans ce navet !
Pattinson est pathétique dans un rôle d'abruti complet. Le scénario est aussi mince que du papier à cigarette. Rien à sauver ! Passez d'urgence votre chemin ! Tiens, allez plutôt revoir un bon vieux John Wayne ou un De Funes, vous y trouverez plus de surprises que dans ce navet !
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