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    Demi-soeur
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    2,4
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    156 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 juin 2013
    Bonne petite comédie avec un sujet sensible bien traité et très bien joué par Balasko.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 juin 2013
    Une Balasko ultra caricaturale qui gâche vraiment le potentiel de ce film. Grosse Faiblesse en réalisation.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 juin 2013
    Rien qu'à voir la bande annonce et un extrait à la télé, je n'ai pas du tout voulu voir ce film. Mme Balasko ne sait pas ce qu'est une personne handicapée mentale. Comme quasiment toujours dans les films français, on caricature sans même se renseigner un temps soit peu. Une personne handicapée mentale ne se comporte pas comme un enfant (encore plus comme un enfant mal élevé...) . Travaillant depuis plus de trente ans auprès de ces personnes, je fuis ce genre de film mièvre et lourd. Rien à voir avec la performance de Leonardo dans Gilbert Grape... mais lui avait fait un stage dans un établissement.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 juin 2013
    Bonjour

    C'est avec regret que je vais critiquer ce film, j'adore ces deux acteurs.
    M Michel Blanc dans se rôle de demi frère , m'a fait repensé à celui qui jouait dans "Une petite zone de turbulences".
    Est ce le film de trop pour Mme Balasko?
    Je n'ai entendu aucune personne rire durant le film, pourtant il était supposé avoir des gags.
    Le scénario est consternant.
    A voir quand il passera à la télévision, vous en aurez pour votre argent.
    Black-Night
    Black-Night

    186 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juin 2013
    Un film où le principal sujet est sur le handicap d'une femme de 60 ans et qui dû à un problème de naissance n'en a que 8 d'âge mental.
    Certes le début du film m'a quelque peu déranger, mais la suite m'a amplement conquis. Le duo Josiane Balasko et Michel Blanc une fois de plus fonctionne à merveille. Découvrir Josiane Balasko en handicapée, c'est sacrément osée et pourtant ça marche.
    De très bonnes trouvailles scénaristiques et aussi dans les dialogues.
    Un beau film à la fois touchant et drôle saura conquérir les fans de ces deux acteurs.
    Je lui mets 7.5/10 !!
    lionelb30
    lionelb30

    439 abonnés 2 595 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 juin 2013
    Tout d'un telefilm , les acteurs , la musique de seconde zone font craindre le pire au debut. Heureusement avec l'arrive de Michel Blanc tres bien qui compense le jeu tres moyen des autres acteurs et un scenario plein de bon sentiment et gentillet font que la deuxieme partie du film se laisse bien regarder.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 juin 2013
    une grosse daube !! surtout ne perdez pas une seconde de votre temps précieux pour aller voir ça ! J'y suis allée pour faire plaisir à une amie qui aime Balasko et nous sommes sorties au bout de 30 minutes. C'est insupportable. Balasko a commis (scénario et dialogues) une stupidité sans borne. Les gags tombent à plat, elle surjoue les débiles. Pourquoi Michel Blanc s'est il laissé entrainé dans ce fiasco ?
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 juin 2013
    C'est très rare mais j'ai quitté après 45 minutes de projo.
    labellejardinière
    labellejardinière

    85 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2013
    Coup de foudre fraternel assurément pour "Nénette", restée éternellement à l'âge de la petite enfance, alors qu'elle atteint celui de la retraite. C'est la découverte tardive de son demi-frère naturel Paul qui en est la cause, la même soixantaine, mais version misanthrope et revenu de tout, quand Nénette est une grosse boule (maladroite) de tendre affection. L'ecstasy saura venir à bout du méchant caractère de Paul, et ce truchement illicite autant qu'inattendu bouleversera la vie étriquée du notable (pharmacien !). Michel Blanc est au top, comme toujours, évoluant en une seule journée (bien remplie) du bougon égoïste à l'amoureux extatique de son prochain (et d'abord de sa famille, maintenant étendue par la Providence à une Nénette, deus ex machina). C'est une sorte de conte contemporain sur la différence, pour lequel Josiane Balasko (à l'écriture, la réalisation et dans le rôle-titre) joue la carte de l'humour - parfois un peu lourd - en surlignant un peu trop aussi sa composition de Nénette. Mais l'ensemble passe plutôt bien, cependant. Pour tous les esprits "chagrin", dont on souhaite qu'ils se bonifient comme Paul !
    funpav
    funpav

    14 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 juin 2013
    voilà un film consternant tant il est affligeant de médiocrité. il concourrera sans doute pour le plus mauvais film français de l'année. Scénario terne, réalisation face, jeu des acteurs ou excessif (balasko) ou totalement absent (blanc, mauvais comme rarement). Ce n'est même pas digne d'un mauvais téléfilm. A la fin de la séance, les spectateurs échangeaient entre eux pour se dire vous aussi vous avez trouvé cela nul? et tout le monde disait oui!
    Ah! c'est pétri de bonnes intentions! on va faire un film sur la différence! ca doit changer balasko de la gestion des sans papiers ou sans logement qu'elle est si prompte à défendre! la bobo balasko rate hélas totalement sa cible. Il n'y a rien à garder dans ce film donbt le seul mérite est qu'il ne dure qu'une heure 30. a fuir! et dire que l'argent des contribuabales (car les régions financent ce film...) qui permet à de telles choses d'exister. Ca sent le copinage à plein nez pour obtenir les subventions qui serviront à monter ce film (si on peut appeler ca comme cela...) - c'est honteux. A fuir. Ce n'est pas demain que je retournerai voir un film avec ou de balasko!
    titicaca120
    titicaca120

    386 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2013
    un début assez laborieux, puis quand Michel Blanc est sous l'emprise de la drogue
    on rit de bon coeur et la fin est plein de tendresse.
    laurence l
    laurence l

    136 abonnés 1 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2013
    Bravo Balasko, tu nous fait oublier que tu est une adulte et on ne voit qu'une petite fille dans le corps d'une femme. Le duo fonctionne et on passe un bon moment. Plein de bon sentiments nous traverse dans cette aventure humaine et Blanc ne nous déçoit pas !!!
    dominique P.
    dominique P.

    838 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juin 2013
    Un film très bien vu et très bien joué.
    Balasko et Blanc sont toujours aussi excellents.
    Une vraie comédie attachante, émouvante, plaisante, divertissante, agréable, marrante...
    Que c'est agréable de voir une personne comme nénette si gentille et si sensible sans oublier sa petite tortue...
    Un vrai plaisir ce film...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 juin 2013
    j'arrive de voir ce film,alors que dire?josianne Balasko formidable au depart puis agacante au milieu et puis finalement touchante sur la fin,on fini par s'attacher au personnage...pas un grand film mais on passe un moment sympa malgré tout.
    tixou0
    tixou0

    701 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2013
    La critique bobo et germanopratine a d'emblée détesté, évidemment. Cela commence par un enterrement, celui de la mère d'Antoinette, la soixantaine gaillarde au physique, mais avec l'âge mental d'un petit enfant. Sa tutrice (Christine Murillo) doit se résoudre à envoyer "Nénette" (Josiane Balasko) en maison de retraite. Mais Nénette n'y reste qu'une nuit et fugue. Elle cherche à gagner Angers (depuis les environs de Tours). D'abord parce qu'on veut lui enlever sa tortue "Totoche", et aussi parce qu'elle a trouvé une photo de sa mère avec sans doute le père qu'elle n'a jamais connu à ses côtés, une lettre de celui-ci et une enveloppe avec un nom et une adresse. En route, elle se repose au bord d'une route, oublie sa valise (qui contient son portable) et suit un... lapin dans une forêt où la nuit la surprend. Nénette, l'Alice du 3ème âge, tombe alors sur une "rave" et s'y fait des amis pittoresques (dont "Silver", joué par George Aguilar, comme toujours distribué par Josiane Balasko, en épouse attentionnée), qui l'emmènent à destination. Nénette fait la connaissance de Paul (Michel Blanc), son demi-frère adultérin, lui aussi sexagénaire (leur père commun est mort depuis 15 ans) qui a repris sans enthousiasme l'officine paternelle, lui qui se rêvait concertiste. Retombant le soir-même sur ses nouveaux "potes", Nénette se retrouve dépositaire d'un grand sachet de "sucrettes". Paul en tâtant le lendemain dans son café va alors passer une folle journée à la mer, sous "ecstas", où il rendra leur liberté aux bernards l'hermite qu'il élève en terrarium, retrouvera son ex-femme (Brigitte Roüan) et le nouveau mari de celle-ci, mais aussi son fils unique et Lila, sa petite-fille (tout de suite en familiarité avec cette compagne de jeu improbable qu'est Nénette), dégourdira son doigté de pianiste (Blanc joue lui-même), agacera la maréchaussée etc. L'effet de la drogue (et de l'alcool aussi, dont il s'était imbibé en parallèle) dissipé, sa bonhomie, voire son empathie contagieuse (d'abord avec sa demi-soeur tombée du ciel) disparaîtront. Pour mieux renaître, quelques épreuves plus tard, sans artifice cette fois. "Heureux les simples d'esprit...". Cette gentille fable, variation contemporaine sur les Béatitudes, sans être une réussite totale, est plutôt bien écrite, avec entrain et sans mièvrerie. Si Blanc, comme toujours, est parfait, autant dans le registre du début (blasé, morose et détestant un peu tout le monde) que dans la suite, se bonifiant à vue d'oeil, Balasko, pour qui les années se suivent et ne se ressemblent pas côté famille au cinéma (en 2012, elle était une redoutable "Maman") campe cette bienheureuse innocente de Nénette de manière hélas vraiment outrée, soulignant le trait de manière forcée, voire caricaturale. Bémol indéniable donc pour ce 8ème film (globalement honorable), où elle est partout à la manoeuvre : à l'écriture (dialogues compris), dans le rôle-titre et à la mise en scène.
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