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Alasky
350 abonnés
3 405 critiques
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3,5
Publiée le 15 octobre 2024
On dirait que ce film a été descendu par les critiques, pourtant en ce qui me concerne j'ai passé un bon moment, le scénario est simple mais efficace, il y a des touches d'humour et d'émotions, juste ce qu'il faut pour en faire un film divertissant avec des personnages attachants.
C’est prendre un sacré risque de vouloir incarner un personnage handicapé mentalement ; soit on livre une prestation époustouflante soit on est proche du ridicule. Josiane Balasko s’implique grandement dans Demi-sœur (logique vu qu’elle en signe aussi la réalisation) mais son film est vraiment « Too much« . Son interprétation de Nénette devient vite insupportable mais en plus de ça, on n’est pas épargné par la caricature que ce soit au niveau des personnages (Ah ces rockers !) ou des situations. Seul point positif dirons-nous la participation de Michel Blanc qui ne peut toutefois pas sauver cette comédie destinée à sombrer et pas qu’à moitié !
Je n'avais franchement pas été attiré par ce film qui me semblait un feel-good-movie plein de bons sentiments avec un faux méchant qui cache un cœur en or révélé par une gentille sœur un peu simplette. Ce n'est pas loin de la vérité et pourtant rétrospectivement j'ai plutôt passé un bon moment. Le scénario ne casse pas des briques et est bien résumé dans la bande-annonce, mais on se laisse porter sans trop de réticences par les péripéties tragi-comiques ce couple fraternel composé d'une grande sœur un peu attardée, mais d'un gentillesse sans bornes et d'un frère confit dans l'amertume d'une vie qu'il n'a pas voulue. Le couple d'acteur Balasko-Blanc est très crédible et amène, pas une interprétation solide, du corps à cette histoire. S'il est pétri de bons sentiments le film n'en est pas pour autant indigeste et on goûte sans mal ces 1h30. Après le film est évidemment une comédie (même si un peu comédie dramatique) et il se conclut donc sur un happy-ending généré par un changement dans la personnalité de Paul (Michel Blanc) peut-être un peu rapide. Mais si l'on est d'une humeur pleine de mansuétude on pardonne vite ce petit raccourcit narratif au film pour n'en retenir que la drôlerie sans cynisme qui s'en dégage. À voir pour ceux qui apprécient de temps en temps un film léger et plein d'une gentillesse qui n'est pas à confondre avec de la naïveté.
Dès les premiers instants, on perçoit un arrière-goût désagréable en regardant ce film, comme si nous n'étions pas encore prêts à retrouver une telle histoire sur nos écrans. Et cette sensation perdure jusqu'à la fin. Toutes les tendresses et les bonnes intentions que Balasko a mis dans son film deviennent invisibles face à l'armada de malaises, de convenances et d'âneries. Toutes ces choses sont tellement énormes que l'on finit par ne voir que ça, que ce scénario trop facile, bâclé. Le film devient alors énervant, agaçant et les prestations de chacun nous semblent abjectes et manquant de sincérité!!
Film pas mauvais mais pas non plus le top. j'ai trouvé josiane balasko dans le rôle de "nénètte" un peu nunuche à mon goût. en effet je trouves qu'elle en fait un peu trop. par contre j'ai trouvé le personnage de mcihel blanc assez intéressant et convainquant. voilà pourquoi je donne au fin fond du film une juste moyenne de 2,5.
Le film n'est pas ennuyeux, je ne puis mettre une trop mauvaise note. Mais Balasko joue vraiment trop mal les handicapées mentales pour amuser ou émouvoir. Elle aurait dû observer des personnes atteintes de ce genre de syndromes, dans une institution spécialisée, peut-être, pour pouvoir se montrer crédible. Car dans ce film, elle n'a pas l'âge mental d'un enfant de huit ans, mais plutôt de quatre, et c'est vraiment très agaçant. Bref, j'avais tout le temps envie de lui coller des claques, cela m'a quelque peu gâché le film. Pour le reste, c'est exactement comme toutes les autres comédies. Le happy-end attendu depuis le début, niaiseux au possible. Blanc n'est pas mal dans son rôle, mais ça ne suffit pas à compenser la très mauvaise prestation de Balasko.
Que ce film est mal joué, surjoué. Et pourtant, avec Balasko et Blanc, on pouvait s'attendre à du tout bon, et bien, c'est l'inverse qui se produit, ce n'est pas drôle, c'est même pathétique, et alors que je m'attendais à un film touchant, on est complètement à coté. Une grosse déception.
La rencontre entre une enfant de 60 ans et un pharmacien asocial, rencontre qui va donner lieu a autant de drames que de moments heureux, naïf et plein de tendresse. Josiane Balasko prouve qu'elle peut jouer une enfant malgré ses 63 ans et Michel Blanc montre qu'il n'a rien perdu de son talent comique. Un joli moment.
J'étais septique et quand j'ai vu nénette j'ai pris peur. C'est vrai qu'au début ça me faisait penser à un navet de France3. Je me suis dis sous quelles niaiseries, naïveté et tonnes de bons sentiments va t-on être noyé? Puis petit à petit je me suis laissé prendre par le scénario qui n'est pas si bête que ça, et je me suis laissé porter par le très bon duo Balasko/Blanc. Il est vrai que le personnage de Balasko peut paraitre surjoué mais bon en faite ça fait parti du personnage et on s'y habitue. Bref un film qui arrive à toucher et évoquer le handicap mais aussi les différences, sans tomber dans le mélo et en restant plutôt amusant.
Un film très bien joué mais qui manque de conviction et de fond. C'est un humour léger qui ne nous ennuie pas vraiment mais qui ne nous passionne pas non plus. C'est gentillet mais sans grand intérêt, voilà.
Avec son film, Josiane Balasko a raté quelque chose. De part son jeu qui au lieu d'attendrir, devient lourd. De part un scénario léger et convenu. Michel Blanc est bien en place dans son rôle de pharmacien bougon. Mais une fois spoiler: qu'il a pris des ecstasies , la qualité de son interprétation chute. Cela en devient grotesque.