Malgré l'absence de bonnes critiques de ce film, j'ai trouvé ce film parfaitement réussi! Josiane Balasko et Michel Blanc sont remarquables, le niveau du film n'aurait pas été le même sans leur présence... Un film excellent!
Pour son huitième film Josiane Balasko laisse un peu le coté comédie pour s'axer sur la famille et le dramatique, je ne comprend pas comment le film peut se retrouver dans le genre comédie, j'aurais plus mit dans la comédie dramatique, au minimum car oui y'a de l'humour, j'ai bien ri mais il n'y a pas que ça, j'ai aussi eu les larmes qui sont montés plusieurs fois, de ce coté on pourrait justement penser que l'histoire est à fond sur le tire-larme mais je n'ai pas trouvé, j'ai plutôt trouvé ça sincère et beau, c'est quand même un peu gros certes mais ça se regarde sans aucun mal et au contraire c'est un film qui fait du bien je trouve, une histoire touchante et plaisante à la fois, légère mais qui traite d'un sujet tout de même fort. Pour porter cette belle histoire nous retrouvons évidement Josiane dans le rôle principal, elle incarne une personne simple diront nous, bébête mais pas méchante, après avoir perdu sa mère elle découvre qu'elle a un frère, joué par un ami de longue date, l'excellent Michel Blanc, les deux forment un duo très agréable à suivre et complémentaire, même si Balasko en fait un peu trop parfois.
En bref, ce très beau petit film même s'il n'est pas incroyable car le scénario reste plutôt basique est vraiment très agréable, c'est le mot qui va le mieux, une belle histoire, bien réalisé et avec une touche d'humour vraiment sympathique.
A l’exception de « Gazon maudit », lorsque Josiane Balasko passe derrière la caméra cela n’a jamais donné rien de bon. Avec « Demi-sœur », sorti en 2013, la règle se confirme. Dans cette comédie, une femme simple d’esprit et orpheline (la réalisatrice elle-même) découvre qu’elle a un demi-frère (Michel Blanc), un pharmacien acariâtre et aigri. Leur rencontre est l’occasion d’une prise de conscience comportementale. Bref, en raison d’un scénario très convenu, exception faite de la séquence sous l’emprise d’ecstasy, il n’y a pas grand-chose à retenir de ce divertissement léger.
Ce film n'est pas du tout mauvais en soit, il y a même des moments touchants et drôles, mais l'histoire m'a semblé plate et convenue. C'est dommage, pour un film avec Balasko, que j'adore, écrit par elle qui plus est, je m'attendais à mieux, honnêtement. D'ailleurs, je n'ai pu m'empêcher en voyant ce film, de me rappeler le magnifique film Huitième jour avec Daniel Auteuil, absolument splendide au demeurant, malheureusement j'ai regretté que Demi-soeur n'est pas eu la même profondeur. Néanmoins, les acteurs sont convaincants et leurs personnages suffisamment attachants pour se laisser embarquer dans cette petite comédie bleuette, sans plus.
4 568 abonnés
18 103 critiques
Suivre son activité
4,5
Publiée le 13 septembre 2020
Demi-sœur mêle inextricablement l'hilarité et le rire incontrôlable au pathétique, au chagrin et à la profonde tristesse. C'est une montagne russe émotionnelle. Une minute nous pleurons sur point les choses sont tristes, et la minute suivante nous pleurons de rire. La mise en scène de Balasko est si professionnelle et inspirée qu'elle est juste comparable a Agnès Varda en termes de talent de réalisatrice. Elle connaît toujours le bon angle, le bon cadre à quelle distance aller et quand Nenette devrait faire une grimace et se mettre à pleurer comme un enfant. Le film n'est jamais un instant forcé ou artificiel, mais il est toujours une impression convaincante et authentique. L'histoire commence lorsque la mère de Nenette est décédée elle est laissée seule et la maison doit être vendue. L'assistante sociale la met dans une maison où ils veulent emmener sa tortue. Alors elle s'enfuit et se met à marcher vers la ville d'Angers qui est distante de très nombreux kilomètres. Le scénario est très ingénieux et fonctionne très bien. Une merveilleuse performance est donnée par Michel Blanc en tant que frère. Il est rare de trouver un tel mélange habile de pathétique et de comédie dans un film. Si elle avait été faite en Amérique cette histoire se serait dissoute dans une mer visqueuse de sentimentalité et de burlesque, et par conséquent aurait échoué lamentablement. Mais les Français sont plus sophistiqués que cela. Josiane Balasko a réussi. C'est un film vraiment merveilleux et édifiant...
Un des pires films de l'année, l'histoire de ces deux frères et sœurs se retrouvant croulant sous les bons sentiments démago. Étonnant de Josiane Balasko qui nous avait habitué à mieux derrière et surtout devant la camera avec cette interprétation outranciers et calamiteuse de cette simple d'esprit. Quant à Michel Blanc lui aussi cabotine à mort, bref un film totalement raté qu'il vaut mieux oublier.
Excellent film ! Très émouvant ! Je ne comprends pas les critiques presse... Je crois que ce film me restera longtemps en tête car il me parle beaucoup...
Film vraiment très émouvant, drole... Pr ma pars je me suis vite attachée à Nénette. Michel Blanc et les sucrettes sa lui réussi vraiment, très bien joué, juste la bonne dose... j'ai hate de le REVOIR.
Bon film permettant de passer un bon moment. Un peu d'humour, de bons sentiments, de choses touchantes, tout pour un agréable moment. Josiane Balasko ne surjoue pas, Michel Blanc est parfait en pharmacien étriqué et ennuyeux, psychorigide, le duo marche parfaitement.
C'est avec regret que je vais critiquer ce film, j'adore ces deux acteurs. M Michel Blanc dans se rôle de demi frère , m'a fait repensé à celui qui jouait dans "Une petite zone de turbulences". Est ce le film de trop pour Mme Balasko? Je n'ai entendu aucune personne rire durant le film, pourtant il était supposé avoir des gags. Le scénario est consternant. A voir quand il passera à la télévision, vous en aurez pour votre argent.
Rien qu'à voir la bande annonce et un extrait à la télé, je n'ai pas du tout voulu voir ce film. Mme Balasko ne sait pas ce qu'est une personne handicapée mentale. Comme quasiment toujours dans les films français, on caricature sans même se renseigner un temps soit peu. Une personne handicapée mentale ne se comporte pas comme un enfant (encore plus comme un enfant mal élevé...) . Travaillant depuis plus de trente ans auprès de ces personnes, je fuis ce genre de film mièvre et lourd. Rien à voir avec la performance de Leonardo dans Gilbert Grape... mais lui avait fait un stage dans un établissement.