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lastachille
43 abonnés
384 critiques
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5,0
Publiée le 18 décembre 2013
Du pur et dur film d'horreur! Ce n'est pas du spectaculaire avec plein d'effets sonores ou des litres de sang à deux balles comme les slashers à la noix ou saw et compagnie !!! Là c'est du lourd !Certes il aurait pu être écourté un peu, mais la lourdeur et l'ambiance si pesante augmente d'une façon significatif le dégoût et l'horreur qui nous glace le sang, nous retourne l'estomac et nous hérise les poils ! Une interprétation magistral des deux filles et du père qu'on voit sur l'affiche et qui déjà font de l'effet ! Une excellente bande son enveloppe les différents moments du film, même les plus lentes, ce qui nous tient en halène pour la suite et contribue à rajouter une dimensionmystérieuse et mystique à cette histoire. Ecellent film que je conseille à tout ceux qui savent apprécier un film et plonger dans une histoire bien mener du début à la fin, et sans y être amener à en faire plus qu'il n'en faut pour nous glacer le sang d'effrois !
ça un film de terreur ?,c'est lent, poussif; je n'a ressenti aucune ambiance dans ce film , a part la fin qui est assez térrifiante et dérangeante, sinon passez votre chemin
Vu hier à l'Halloween Night à Bruxelles. Bien que parfois long à démarrer, le film est globalement interpellant, prenant et saisissant. Je n'avais pas trop lu les résumés avant de le voir et le secret de cette famille m'a sidéré. Certaines scènes et/où images m'ont impressionnées et j'ai adoré. La fin m'a presque dérangé. Bref un bon moment de cinéma !!!!!
We Are What We Are est le remake américain du film mexicain Ne Nous Jugez Pas. Voici l'histoire en quelque ligne : "Les Parker sont connus dans le village pour leur grande discrétion. Derrière les portes closes de leur maison, le patriarche, Franck, dirige sa famille avec rigueur et fermeté. Après le décès brutal de leur mère, Iris et Rose, les deux adolescentes Parker, vont devoir s'occuper de leur jeune frère Rory. Elles se retrouvent avec de nouvelles responsabilités et n'ont d'autre choix que de s'y soumettre, sous l'autorité écrasante de leur père, déterminé à perpétuer une coutume ancestrale à tout prix. Une tempête torrentielle s'abat sur la région, les fleuves débordent. Les autorités locales commencent à découvrir des indices qui les rapprochent du terrible secret des Parker…" On ne peut pas le qualifier de film d'horreur, mais beaucoup plus de thriller psychologique. Le film est d'un style très lent et calme. Ce qui permet au contraire d'instaurer une ambiance ultra lourde et pesante...en théorie. L'idée de base est là, seulement la tension ne tien pas tout le long malheureusement. En faire un huit clos bien glauque aurait été plus que bénéfique. L'histoire de We Are What We Are est entouré de mystère, le film n’étant pas effrayant pour un sous, il à le mérite d’intéresser le spectateur, et ce, même si le film est ultra lent. Même s'il ne se passe rien dans le film, on à le temps de sentir que quelque chose de vraiment horrible va se passer à la fin... Le final est plus que surprenant... et dégueulasse ! Mention spéciale à Bill Sage qui joue le père de famille Parker d'une façon si froide que j'en ait encore des frissons. Une bonne expérience que ce We Are What We Are, à voir au moins une fois car c'est très particulier... troublant... dégoutant !
Ce qui est dommage avec ce film c'est qu'on en retient que le gore. En dehors de ça c'est un très bon film, bien réalisé et interprété, à l'ambiance remarquable et au scénario plutôt intéressant. Le cannibalisme et excès de violence viennent "logiquement", ils ne sont pas gratuits et hors de propos. Le film a fait scandale au Festival de Deauville, car le public ne s'est pas informé avant d'aller le voir (il était donc très divers et pas forcément adepte)... il est donc réservé à un public averti, bien entendu. Si l'on est réfractaire ou sensible face à ce genre, mieux vaut passer son chemin et ne pas se tenter à une critique qui ne sera forcément pas objective...
Cela dit, d'après moi, le film aurait été tout aussi remarquable et terrible (voire plus) sans le gore mais avec de l'atrocité suggérée, des non-dits... plus de finesse et de hors champ macabres pour faire aller l'imagination !