Obligation d’apprécier les aspects de l’univers et de la culture philo-poétique chinoise sinon passer votre chemin, le rôle de l’acteur est surprenant, n’y prêtant attention grâce aux artifices et un show divertissant. Les effets spéciaux brillent autant que le soleil, le numérique en met plein la vue et cache l’astre naturel, malgré tout, la mise en scène du scénario est réjouissante. La grande histoire littéraire de Wu Cheng’En au 16eme siècle, adapté et popularisé par le folklore, d’abord dans l'opéra chinois puis à la télévision et enfin au cinéma, maintes fois dont celui-ci, les mangas aussi ont fait honneur, « Dragon ball » déroula le tapis rouge. Il y a du « Naruto » féerie des limbes du côté de Sun Wukong, héros populaire et roi de ses congénères singes, n'étant pas n’importe qui puisqu’il fait partie de ses immortels et esprits, une distinction entre le ciel des divinités souveraines et la Terre des humains. L’apparence simiesque est burlesque dans la Chine ancienne en côtoyant les diverses métamorphoses animalières, ainsi que puise les mythologies de femmes loups, le roi démon taureau est l’intrigue principale, l’amour interdit manichéen fut banni par la loi d’au-delà fraternelle. D’autre croisement de Dieu-roi à tête d’animaux, au royaume du sous-marin, l'équilibre du pilier est perturbé en Tsunami, enlever du colossal, il devient bâton magique maitrisé, l’arme ultime du rebelle singe esprit au palais céleste, mis en dessus dessous au beau milieu de l’antagoniste manipulateur. La transformation en célèbre big primate, il y a beaucoup de chose à faire dans ce brouhaha visuel, un match de boxe d’art martial fantastique. Enfin et c’est parti pour un tour cette pérégrination vers l’Ouest, les visages familiers apparaissent au second round.