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    Le Roi singe
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    2,3
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    7 critiques spectateurs

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    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    144 abonnés 2 431 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2014
    L'univers est féerique, l'histoire poétique mais la qualité médiocre des effets spéciaux tire l'ensemble vers les tréfonds du nanar.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    999 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juin 2014
    La légende du Roi Singe est extrêmement populaire en Chine. Dévié en plusieurs médias et source de nombreuses adaptations, le roman de Wu Cheng'en "Le Voyage vers l'Ouest" n'en finit plus d'épater la population chinoise. Ainsi, après moult films sur le sujet, voici un nouveau long-métrage tourné en 3D avec un budget colossal et le fringant Donnie Yen dans le rôle-titre. Réalisé par Soi Cheang (Dog Bite Dog, Accident...), le film ne s'intéresse lui aussi qu'à une partie du roman et se concentre naturellement sur le combat du Roi Singe contre le Roi Buffle, un avide démon, pour défendre le royaume des cieux... Cinquième plus gros succès chinois et meilleur plus gros démarrage de tous les temps en Chine, The Monkey King dévoile une palette de séquences d'action chorégraphiées, de décors luxuriants et d'effets spéciaux innombrables en plus de son lourd casting comprenant Donnie Yen, Aaron Kwok, Joe Chen, Hai Yi Tian et Chow Yun-Fat. L'histoire, fantastique et démesurée, nous entraîne dans une avalanche de séquences toutes plus folles les unes que les autres. Et pourtant... Et pourtant le long-métrage ne convainc pas. Car si on reste obnubilé par toute cette richesse visuelle et cet amont d'effets spéciaux omniprésents, on ne peut fermer les yeux sur la qualité de ces derniers. Bien pensés, parfaitement cadrés et pleins de superbe, les images de synthèse manquent pourtant cruellement de crédibilité et l'on sent les limites de l'industrie chinoise en matière d'effets visuels mais aussi en matière de costumes ici kitchs et souvent ringards (les créatures animales sont d'une laideur scandaleuse). Hélas, d'autres défauts subsistent également comme le jeu d'acteurs. Donnie Yen, star du film et alors plus connu pour ses rôles d'action man monolithique, cabotine à outrance dans la peau du facétieux Roi Singe tandis que le reste des acteurs surjoue dans cette fable connue de tous, s'amusant finalement en ne se prenant jamais vraiment au sérieux. Ainsi, The Monkey King reste une œuvre féérique et envolée qui plait sans problème au public local mais qui manque d'un certain savoir-faire pour vraiment épater la galerie internationale, les effets spéciaux ayant au moins quinze ans de retard tandis que le jeu d'acteurs typiquement chinois basé sur les mimiques et l'exagération ne convaincra pas tout le monde. Toutefois, les fans de cinéma asiatique et en particulier de wuxia fantastique seront comblés face à ce déluge de couleurs et d'envolées majestueuses dans un monde magique où se côtoient créatures mythologiques, affrontements câblés et séquences poétiques.
    FaRem
    FaRem

    8 781 abonnés 9 627 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 juin 2014
    Véritable carton au box office chinois, "The King Monkey" est le genre de film avec un vrai univers et c'est soit on accroche soit pas du tout. Je ne connaissais pas du tout cette histoire qui est apparemment une énième adaptation et je dois dire que je n'ai pas du tout accroché à ce film. La scène d'ouverture est pas mal mais à l'arrivé du singe, chose qui arrive rapidement j'ai complètement décroché il y a un coté absurde et kitsch qui ne m'a pas du tout plu mais ça ne m'a pas empêché d'aller jusqu'au bout quand même. Pendant le visionnage la première chose qui m'a marqué c'est les effets spéciaux et je me suis dit que c'était dommage que le réalisateur ne revoit pas ses ambitions à la baisse vu qu'il n'avait pas le budget suffisant puis j'ai été très surpris de voir que le budget était de 100M$... Je me demande comment c'est possible d'alterner des superbes scènes très jolies et des scènes je suis désolé moches digne d'une production Syfy. Après tout n'est pas mauvais il y a quand même un bon rythme et une bonne BO mais bien sur ce n'est pas suffisant pour moi.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 décembre 2018
    Obligation d’apprécier les aspects de l’univers et de la culture philo-poétique chinoise sinon passer votre chemin, le rôle de l’acteur est surprenant, n’y prêtant attention grâce aux artifices et un show divertissant. Les effets spéciaux brillent autant que le soleil, le numérique en met plein la vue et cache l’astre naturel, malgré tout, la mise en scène du scénario est réjouissante. La grande histoire littéraire de Wu Cheng’En au 16eme siècle, adapté et popularisé par le folklore, d’abord dans l'opéra chinois puis à la télévision et enfin au cinéma, maintes fois dont celui-ci, les mangas aussi ont fait honneur, « Dragon ball » déroula le tapis rouge. Il y a du « Naruto » féerie des limbes du côté de Sun Wukong, héros populaire et roi de ses congénères singes, n'étant pas n’importe qui puisqu’il fait partie de ses immortels et esprits, une distinction entre le ciel des divinités souveraines et la Terre des humains. L’apparence simiesque est burlesque dans la Chine ancienne en côtoyant les diverses métamorphoses animalières, ainsi que puise les mythologies de femmes loups, le roi démon taureau est l’intrigue principale, l’amour interdit manichéen fut banni par la loi d’au-delà fraternelle. D’autre croisement de Dieu-roi à tête d’animaux, au royaume du sous-marin, l'équilibre du pilier est perturbé en Tsunami, enlever du colossal, il devient bâton magique maitrisé, l’arme ultime du rebelle singe esprit au palais céleste, mis en dessus dessous au beau milieu de l’antagoniste manipulateur. La transformation en célèbre big primate, il y a beaucoup de chose à faire dans ce brouhaha visuel, un match de boxe d’art martial fantastique. Enfin et c’est parti pour un tour cette pérégrination vers l’Ouest, les visages familiers apparaissent au second round.
    Marc L.
    Marc L.

    46 abonnés 1 604 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 août 2018
    Le Roi-Singe, Sun Wukong de son véritable nom, est un personnage important du folklore chinois, une entité légendaire qui aurait accompagné le moine Xuan Zang lors de son périple initiatique en Inde dont il serait revenu avec le bouddhisme dans son escarcelle. Si vous n’êtes pas Chinois et que ‘La pérégrination vers l’Ouest’ ne fait pas partie des Classiques littéraires obligatoires que vous avez du apprendre à l’école, il est néanmoins probable que vous connaissiez le héros sous une forme légèrement différente : il est évidemment toujours doté d’une queue, mais aussi d’une force surhumaine bien utile pour compenser son tempérament gaffeur et ingénu. Il utilise un bâton extensible pour le combat et un nuage magique pour se déplacer. Ca y est, vous le remettez ??! Dans ce premier épisode de la dernière franchise en date qui lui est consacré, Le Roi-Singe s’entraîne aux arts martiaux, accumule les catastrophes alors qu’il essaie de construire sa légende et de protéger ses semblables, tente de se faire accepter par l’Empereur de jade et se retrouve malgré lui impliqué dans une lutte entre le Ciel et les Démons. Si cette adaptation possède sûrement tout ce qu’il faut pour faire rêver un milliard de petits et grands spectateurs, ce n’est pas encore demain que le cinéma populaire chinois à grand spectacle menacera la suprématie du cinéma hollywoodien en dehors de l’Empire du Milieu. Parmi les éléments qu’on ne peut pas mettre sur le compte de la différence culturelle - après tout, les figures des légendes chinoises ne nous sont pas familières et on peut légitimement ne pas se sentir très intéressé par les contes et légendes de ce genre- on notera le niveau assez déplorable des CGI, beaucoup trop voyants, trop artificiels, trop colorés, qui gomment presque complètement la nature Live-Action de l’aventure et la transforment en dessin-animé sous acide. Il est assez incompréhensibles que le cinéma chinois, même pour ses films les plus imposants, ne se soit guère amélioré à ce niveau ces quinze dernières années. L’autre difficulté tient au jeu outré des acteurs: si un Chow Yun Fat fait preuve d’une certaine retenue dans le rôle de l’empereur céleste, Donnie Yen, chargé de donner corps et vie à cet anthropoïde roux et farceur, est tout bonnement irregardable plus de deux minutes d’affilée. De temps à autre, prendre la température du cinéma populaire chinois de cette façon permet en tout cas de relativiser la vision d’une industrie conquérante prête à dominer la planète en l’espace de quelques années...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 avril 2014
    je suis normalement fan de ces films qui mêlent arts martiaux, culture asiatique, effets spéciaux et humours mais celui m'a rapidement décu. Outre un scénario plat avec des méchants qui ressemblent à des bisounours, ce sont avant tous les effets spéciaux qui pèchent et du fait que les gags ne font pas rire, on se retrouve à regarde un homme singe gigoter constamment et se demander "mais qu'est-ce que je fous là à le regarder, autant aller au zoo"
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 juin 2014
    L'histoire est bien exploitée, les effets spéciaux font un peu cheap de temps en temps mais ça passe. L'univers et les décors sont vraiment crédibles, mais par contre, c'est beaucoup trop gentillet. Il s'énerve bien à un moment, le roi singe, mais pas assez. Ca fait un peu trop Disney à mon goût.
    Cependant ça se laisse regarder, et j'ai quand même envie de voir la suite des aventures du roi singe, et voir s'il évolue. Et surtout, surtout, suuuurtout : voir s'il arrête de ricaner en permanence en clignant des yeux 50 fois par secondes, ce qu'il fait à 95% du temps. C'est super énervant et ça rend le personnage beaucoup trop clownesque. Certes le roi singe est espiègle, mais ne doit pas être ridicule pour autant.
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