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Votre avis sur La Planète des singes : l'affrontement ?
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C'est une suite direct de "Origine". L'histoire débute quelques années après la grande infection, et l'humanité est pratiquement éradiqué. Vous serez obligé d'avoir vu le précédent opus pour mieux comprendre la personnalité de César, le chef des singes.
Le film est bien mais la plupart des actions sont prévisibles. Surtout côté des singes avec un Koba, totalement prévisibles.
Ce dont je trouve dommage, c'est que l'essentiel du scénario est concentré sur la mission des humains. On ne connait pas forcement comment se passe leurs quotidiens, ni même comment s'est passé les années d'infections ...
Le réalisateur a plutôt privilégié la vie des singes, leur système de hiérarchie ...
Les effets spéciaux sont très réalistes, les singes sont plus vrais que nature. La végétation de la ville de San Franciso est très réussi. On a l'impression de revoir la ville de "Je suis une légende".
Le film est bien mais la plupart des actions sont prévisibles. Surtout côté des singes avec un Koba, totalement prévisibles.
Ce dont je trouve dommage, c'est que l'essentiel du scénario est concentré sur la mission des humains. On ne connait pas forcement comment se passe leurs quotidiens, ni même comment s'est passé les années d'infections ...
Le réalisateur a plutôt privilégié la vie des singes, leur système de hiérarchie ...
Les effets spéciaux sont très réalistes, les singes sont plus vrais que nature. La végétation de la ville de San Franciso est très réussi. On a l'impression de revoir la ville de "Je suis une légende".
Quatre bonnes raisons d’aller voir La Planète des Singes : l’affrontement
Un film de M. Reeves, avec A. Serkis, J. Clarke, G. Oldman et T. Kebbell.
1 • Le film, à gros budget, empli d’effets numériques puissants, n’en demeure pas moins armé d’un scénario solide, sans être révolutionnaire.
Le film a une existence à part entière et est totalement justifié, en tant que suite comme en tant que préquel d’une saga classique. L’on continue ainsi donc à suivre le parcours de César et de ses confrères, des singes à l’intelligence sophistiquée, due à des expériences scientifiques, et qui ont su créer leur propre civilisation, à l’écart de l’humanité. Humanité qui est d’ailleurs en voie d’extinction, pour les mêmes raisons. La civilisation simienne, en plein essor, les croit disparus, jusqu’au jour où ils découvrent l’existence d’un groupe de survivants, et où ils rentrent en conflit avec eux.
Le film est sans doute prenant, tant pour ceux qui découvrent que pour les fins connaisseurs, qui se réjouiront d’avoir un aperçu de la genèse de la planète des singes. Les personnages dont on n’entendait jamais que parler, dans la première saga, tel César, le premier singe parlant, ou Koba, son rival, prennent vie sous nos yeux ; et se confrontent, à la manière d’un Jésus et d’un Judas simiens.
Malgré quelques baisses de rythme presque imperceptibles, le film est bien construit, et représente assurément un bel hommage au roman de Pierre Boulle, en essayant de suggérer comment un tel inversement de la hiérarchie mondiale a pu arriver. Bien entendu, le long-métrage n’offre pas encore de réponse définitive, laquelle sera peut-être dévoilée à l’occasion d’un troisième opus.
Découvrez la suite de la critique, en cliquant sur le lien.
Un film de M. Reeves, avec A. Serkis, J. Clarke, G. Oldman et T. Kebbell.
1 • Le film, à gros budget, empli d’effets numériques puissants, n’en demeure pas moins armé d’un scénario solide, sans être révolutionnaire.
Le film a une existence à part entière et est totalement justifié, en tant que suite comme en tant que préquel d’une saga classique. L’on continue ainsi donc à suivre le parcours de César et de ses confrères, des singes à l’intelligence sophistiquée, due à des expériences scientifiques, et qui ont su créer leur propre civilisation, à l’écart de l’humanité. Humanité qui est d’ailleurs en voie d’extinction, pour les mêmes raisons. La civilisation simienne, en plein essor, les croit disparus, jusqu’au jour où ils découvrent l’existence d’un groupe de survivants, et où ils rentrent en conflit avec eux.
Le film est sans doute prenant, tant pour ceux qui découvrent que pour les fins connaisseurs, qui se réjouiront d’avoir un aperçu de la genèse de la planète des singes. Les personnages dont on n’entendait jamais que parler, dans la première saga, tel César, le premier singe parlant, ou Koba, son rival, prennent vie sous nos yeux ; et se confrontent, à la manière d’un Jésus et d’un Judas simiens.
Malgré quelques baisses de rythme presque imperceptibles, le film est bien construit, et représente assurément un bel hommage au roman de Pierre Boulle, en essayant de suggérer comment un tel inversement de la hiérarchie mondiale a pu arriver. Bien entendu, le long-métrage n’offre pas encore de réponse définitive, laquelle sera peut-être dévoilée à l’occasion d’un troisième opus.
Découvrez la suite de la critique, en cliquant sur le lien.
Félix F
La plus grande déception de l'année. Le premier était grandiose alors que cette suite n'est que purement commerciale, sans but rechercher que celui du profit. Un scénario basé sur une guerre entre singe et humain mais qui n'apporte rien à la saga.
Une grosse prouesse technique pour un film qui n'a rien à voir avec les précédents Planètes des singes.
Cependant l'intrigue est un peu molle et manque d'intérêt.
Cependant l'intrigue est un peu molle et manque d'intérêt.
Affligent de bout en bout, prévisible à chaque seconde, et utilisant des clichés usés et éculés, ce film est une honte. Que dire de plus, pas grand chose, le premier était vraiment intéressant et assez novateur. Mais il ne suffit pas de faire des beaux effets spéciaux pour faire un bon film. Gary oldman cachetonne, et le scénario rassemble tout les clichés possibles que l'on peut mettre dans ce genre de film. A fuir.
Digne suite du premier, avec une histoire et des singes suffisamment humains pour être flippants. Belle réussite du scénario et cela donne de la contenance à cette nouvelle série de planete des singes.
Seul regret, l'absence de James Franco pour donner une suite au "père" de Cesar
Seul regret, l'absence de James Franco pour donner une suite au "père" de Cesar
Convaincant dans la réalisation avec un budget conséquent sur les effets. Reste un point de faiblesse très marqué : le scénario très pauvre et attendu.
Juste pour le rendu avec une humanisation poussée des singes réussie. 3.5/5 !!!
Juste pour le rendu avec une humanisation poussée des singes réussie. 3.5/5 !!!
un bon film d'action divertissant mais trop d'invraisemblances dans les décisions des personnages pour être vraiment prenant. S'il n'était pas aussi bien réalisé ça serait un nanard.
Après un premier opus riche en idées mais pas assez nuancé pour se hisser au niveau de ce qu'il promettait, rectification de tir réussie avec cette séquelle beaucoup plus aboutie tant dans son propos que dans les singes conçus par WETA, d'un niveau de réalisme à tomber à la renverse (Maurice l'Oran Outan est tout simplement stupéfiant!!
Axant son intrigue autour d'une problématique simple ( spoiler: les humains obligés de négocier avec les singes pour accéder au barrage se trouvant au coeur de la forêt où ces derniers vivent afin d'assurer leur alimentation en électricité..
.) le film n'est pas sans rappeler un certain Avatar qui déjà, mettait en scène la confrontation inter-communautaire entre des néo colons désireux de s'accaparer des ressources énergétiques situées sur la terre d'un autre.
Beaucoup moins manichéen que celui de Cameron (malgré la légitimité des Na'avi pour la défense de leurs terres), le film de Matt Reeves bénéficie d'un précédent métrage étoffant d'emblée le contexte d'un conflit (rappelant par moments celui situé au proche orient) autrement plus complexe que la guerre de Pandora, les singes étant avant tout le revers de médaille d'une humanité incapable de s'accorder sur les modalités de son propre salut.
En cela, le rejet Pavlovien (propre à tout racisme) manifesté chez certains personnages n'est il pas l'illustration parfaite d'une posture orgueilleuse de l'individu ne pouvant supporter de voir chez l'autre le reflet de sa propre faiblesse (symboliquement représentée par les traits simiesques et la démarche maladroite de primates que l'on relègue allègrement à leurs conditions de macaques, niant au passage leur intelligence manifeste) , terreau fertile à toutes les injustices et spoliations et fondement même de cet autre que l'on déshumanise pour mieux le déposséder des ses biens, de sa dignité, de sa vie, la conscience tranquille.
Démonstration éloquente donc et véritable plaidoyer pour la paix que cette "Aube" renvoyant chacun d'entre nous à sa propre intolérance, pour mieux nous faire méditer sur les périls à venir (et ceux en cours) à l'heure de la division mondialisée, encore et toujours fomentée par tous les Koba de la terre, bien plus intéressés par leur ascension personnelle que par le bien être du reste de leurs congénères...
Axant son intrigue autour d'une problématique simple ( spoiler: les humains obligés de négocier avec les singes pour accéder au barrage se trouvant au coeur de la forêt où ces derniers vivent afin d'assurer leur alimentation en électricité..
.) le film n'est pas sans rappeler un certain Avatar qui déjà, mettait en scène la confrontation inter-communautaire entre des néo colons désireux de s'accaparer des ressources énergétiques situées sur la terre d'un autre.
Beaucoup moins manichéen que celui de Cameron (malgré la légitimité des Na'avi pour la défense de leurs terres), le film de Matt Reeves bénéficie d'un précédent métrage étoffant d'emblée le contexte d'un conflit (rappelant par moments celui situé au proche orient) autrement plus complexe que la guerre de Pandora, les singes étant avant tout le revers de médaille d'une humanité incapable de s'accorder sur les modalités de son propre salut.
En cela, le rejet Pavlovien (propre à tout racisme) manifesté chez certains personnages n'est il pas l'illustration parfaite d'une posture orgueilleuse de l'individu ne pouvant supporter de voir chez l'autre le reflet de sa propre faiblesse (symboliquement représentée par les traits simiesques et la démarche maladroite de primates que l'on relègue allègrement à leurs conditions de macaques, niant au passage leur intelligence manifeste) , terreau fertile à toutes les injustices et spoliations et fondement même de cet autre que l'on déshumanise pour mieux le déposséder des ses biens, de sa dignité, de sa vie, la conscience tranquille.
Démonstration éloquente donc et véritable plaidoyer pour la paix que cette "Aube" renvoyant chacun d'entre nous à sa propre intolérance, pour mieux nous faire méditer sur les périls à venir (et ceux en cours) à l'heure de la division mondialisée, encore et toujours fomentée par tous les Koba de la terre, bien plus intéressés par leur ascension personnelle que par le bien être du reste de leurs congénères...
Je n'attendais pas forcément cette suite, bien que j'ai aimé le premier volet. Pensant que "l'affrontement" faisait partie des suites purement commerciales, en prenant compte que ni Rupert Wyatt, ni James Franco ne serait de la partie, je me suis permis de me dire que Matt Reeves avait repris les rênes dans un seul but commercial. Et pourtant, c'est tout le contraire. La Planète des singes : l'affrontement est doté d'un scénario moins profond, mais plus riche en narration. Le développement de l'histoire est conçu de manière non bâclé, ce qui laisse place à d'excellentes scènes émouvantes et d'action. Je mentionne de plus, bien évidemment, la performance de Gary Oldman et Jason Clarke, au plus haut de leur forme.
Une suite réussie, même si le résultat est légèrement en dessous du premier volet.
Les singes sont extrêmement convaincants, César toujours aussi touchant, et les scènes d'affrontement dantesques.
Plus on avance, et plus on se rapproche du support d'origine.
Le film est cependant un peu plus bourrin que son prédécesseur, avec ses effets numériques plus présents.
Impatient de connaître la suite!!
Les singes sont extrêmement convaincants, César toujours aussi touchant, et les scènes d'affrontement dantesques.
Plus on avance, et plus on se rapproche du support d'origine.
Le film est cependant un peu plus bourrin que son prédécesseur, avec ses effets numériques plus présents.
Impatient de connaître la suite!!
Un sentiment mitigé à la fin de la séance. La première heure du film est ennuyeuse au possible. Il ne se passez presque rien et on se demande quand va démarrer le film. Film qui va enfin décoller à la seconde heure avec de l'action et de l'émotion. Vraiment dommage que le film ne soit pas mieux équilibré.
Bah voila, autant le premier m'avait semblé bon, autant celui la je le trouve sans consistance...
Malgré de très belles images et de superbes effets spéciaux, ben on s'ennuie...
Beaucoup de moments creux dans un scénario téléphoné...
Reste les images...
Malgré de très belles images et de superbes effets spéciaux, ben on s'ennuie...
Beaucoup de moments creux dans un scénario téléphoné...
Reste les images...
Jérémie
On change les acteurs, on change le réalisateur et on tombe sur un film foncièrement différent, clairement axé sur de l’action.
Il y a une suite logique avec l’opus précédent, et on se prend d’empathie pour les singes en voulant la mort des hommes. Très forte pirouette.
Il y a une suite logique avec l’opus précédent, et on se prend d’empathie pour les singes en voulant la mort des hommes. Très forte pirouette.
Sans être malhonnête ce deuxième épisode est un peu plus prévisible que le premier. On rejoint l'esprit de la première saga des années 70 tout en mettant une pointe de Walking Dead en ce qui concerne l'esprit post apocalyptique... Si Gary Oldman est impeccable comme d'habitude le "héros" possède moins de charisme que James Franco et surtout il n y a plus le lien très fort qu'il y avait entre César et son "papa" d'adoption qui était la grande force du film...Cesar subit les mêmes problèmes que les humains, son pouvoir de chef est remis en cause, des problèmes de famille, bref, le stress habituel des chefs... Techniquement le film est très bon, même si je trouve qu'il manque un petit souffle de je ne sais quoi, le réalisateur ayant peut être un chouïa de talent en moins que son prédécesseur...
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