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    La Planète des singes : l'affrontement
    Note moyenne
    3,9
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    1 778 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 février 2015
    J'ai connu La Planète des singes, j'étais même pas entré au collège ...
    J'ai jugé le premier volet de la new gen plutot bon. Du grand spectacle mais une approche intéressante.
    Ce second volet m'a complètement déçu ... J'ai regretté d'avoir payé ma place de ciné pour assister à ça ... Le scénario est complètement décousu. C'est ennuyant. C'est ultra prévisible, on connait déjà la fin du film dès les 30 premières minutes ... C'est un condensé de tous les défauts de certains films américains gnangnans. Alors oui, les effets spéciaux sont magnifiques, ok ... Mais franchement est ce bien suffisant ? Pas du tout en ce qui me concerne ... J'ai été très déçu et ne me risquerait pas à aller voir le prochain !
    Moumoute Helmut
    Moumoute Helmut

    4 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2015
    Un scénario cousu de fil blanc pour un film vif et magnifique dans ses trop rares décors. Beaucoup moins "Action" que le titre le laisse entendre, par contre... Tant mieux pour moi!
    reaperz
    reaperz

    28 abonnés 504 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 décembre 2017
    Une suite qui égale le précédent, tout deux excellent le film nous plonge avec billot dans une ambiance post pandémique grandiose.
    Les effets visuels sont superbes, les singes impeccable et le scénario est bien fournis pour livrer un film de qualité.
    L'ensemble laisse une très bonne impression et donc vivement le prochain.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 janvier 2015
    Lui on peut dire ce que l'on veut mais je l'attendais vraiment énormément. Tellement le premier opus fût bon, tellement il fallait la suite (bien amorcé il est vrai, dans les dernières images, à l'aéroport...) Enfin, nous y voilà : Premières images et la sensation que la technicité des singes à l'écran a encore évolué. Cette fois, les images de synthèse sont telles qu'on croirait que le caméraman filme de vrais singes donnant la réplique à des acteurs. Ensuite, on prend plaisir à retrouver César et sa bande, un peu plus humain, un peu plus sociable. Puis l'histoire commence avec pour thème la cohabitation entre ces 2 civilisations, la naissante et la survivante qui ne tient qu'à un fil tant les souvenirs douloureux de certains sont proches. Le film nous offre un constat amer montrant que quelques individus adeptes de la violence ont hélas souvent plus de poids que ceux, la grande majorité de tous les peuples, désirant vivre en paix. Le film sortant en pleine résurgence du conflit israélo-palestinien, la réalité nous prouve que ce discours est regrettablement toujours d’actualité. L’œuvre de Matt Reeves démontre que la limite entre la paix et la guerre tient souvent à peu de choses. Cela est le résultat d’un scénario et d’une mise en scène arrivant à faire croire à cette histoire où la frontière entre l’homme et le singe est très étroite. Il n’y a aucun temps mort et tous les personnages sont très crédibles que ce soit chez les humains ou chez les singes. Ces derniers sont criants de vérité grâce à des effets spéciaux qui sont encore plus réalistes que dans l’épisode précédent. Malgré la motion capture, Andy Serkis arrive parfaitement à retranscrire toutes les émotions de son personnage. Pour preuve, pour une fois, il apparaît en premier au générique, ce qui pour un acteur interprétant un personnage virtuel est très rare. La réussite de la motion capture s’associe à celle plus globale de tous les effets spéciaux. Bref un film SF post apocalyptique intéressant et intelligent et hallucinant visuellement.
    SothaSil
    SothaSil

    11 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 septembre 2015
    Un Disney pour adulte, au fond ni très original ni très passionnant. Plusieurs années après l'épidémie de grippe simiesque, un groupe d'humains cherche à se procurer de l'électricité, et pour ça il doit accéder à un barrage qui se trouve sur le territoire d'un groupe de singes. L'intrigue en soi n'est pas passionnante, d'ailleurs elle passe vite au second plan. Le film préfère nous resservir le thème maintes fois rebattu des relations entre deux communautés que tout oppose, montrer les tensions dans chaque camp entre les partisans de la "coexistence pacifique" et les partisans de l'affrontement, les instrumentalisations par ceux qui veulent s'emparer du pouvoir. Certes plus sombre et violent qu'un Disney, mais au final la morale n'est pas très différente. Le film est assez long et en somme ne raconte pas grand chose : la situation finale est sensiblement la même que la situation initiale. Les personnages sont plutôt insipides et passe-partout, donc pas super attachants. Le héros est très héroïque, le méchant très méchant. Seul Gary Oldman campe un personnage un peu plus subtil. L'univers post-apocalyptique passe un peu à la trappe, c'est dommage. Oubliable.
    SapienS2.0
    SapienS2.0

    123 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 janvier 2015
    tres decevant, autant j'ai ete ravi du precedent
    autant celui la n'est pas a la hauteur action action action...
    VFrugby
    VFrugby

    12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2015
    Ce nouvel opus est grandiose. A l'image du précèdent on découvre comment la terre s'est transformé en planète dds singes. Hâte de voir la suite.
    Kloden
    Kloden

    128 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 janvier 2015
    De Matt Reeves, je n'avais vu que Let me in, son remake inutile et presque dégradant de l'excellent Morse, film de vampires suédois que je ne peux que vous conseiller. Si en soi, ce n'était pas un navet, cette première rencontre avec le bonhomme en disait déjà long sur son opportunisme. Puisque que manifestement, il n'a en effet pas beaucoup d'idées, le voilà qui se jette sur la suite du reboot plutôt réussi de 2011 qui abordait (enfin) Planet of the apes sous un angle réaliste. Si cette approche crédible permettait d'une part de s'immerger dans l'univers, elle permettait de plus de croire aux réflexions habituelles sur la différence communautaire et le soi qu'on peut tous reconnaître chez les autres, noyau de l'empathie et du vivre ensemble. C'est pourquoi je vais choisir de mettre l'accent sur un point qui vous semblera sans doute de détail, mais qui en plus de faire mal aux yeux au futur biologiste que je suis, est très symptomatique de la fourberie de ce deuxième volet, qui brandit cette bannière de divertissement moderne et intelligent pour cacher plus ou moins une vraie paresse d'écriture et une complaisance visuelle assez fatigante. Ce point de détail, tout simplement, c'est le comportement des singes et les anicroches à la logique biologique la plus élémentaire - peut-être pas criantes dans le feu de l'action mais bien réelles quand on s'y penche un minimum. Tout d'abord, leur langage, peut-être très élémentaire, est déjà bien trop élaboré pour un primate autre que l'humain. Il me semble que la substance utilisée pour les essais scientifiques dans Les origines n'avait pour effet qu'une augmentation de l'activité cérébrale, pas celle de la taille du pharynx. Dommage après un départ sans dialogue, où le film paraissait vraiment assumer ses partis pris et poser ses corones sur la table. Ensuite, la bipédie. Certes, les chimpanzés sont à même de se tenir en station bipède, mais immobiles. Tout déplacement sur deux pattes de leur part est lent, et très coûteux. Je ne vois pas en quoi la bipédie est liée à l'intelligence (c'est vrai quoi, les candidats de Secret Story se déplacent t-ils à quatre pattes ?) et cette incohérence, il était facile de la contourner. Encore et toujours cet anthropomorphisme, qui nous empêche de dépasser notre condition et d'explorer des voies de réflexion différentes. Bref, je passe rapidement sur les habitudes de cavalier de César, qui doivent quand même lui demander un sacré sens de l'équilibre étant donné le peu de prise que ses deux courtes jambes doivent lui offrir, pour parler des armes à feu. Ce genre de matériel, je le rappelle au cas où, est jusqu'à preuve du contraire adapté à la morphologie humaine, et même cet état de fait n'empêche pas la nécessité d'un entrainement rigoureux avant de le maîtriser efficacement. Les singes, pourtant, le manient avec l'efficacité de John Rambo à peine la première rafale tirée... bref, autant de parfaites preuves que Reeves ne s'embarrasse pas bien longtemps d'un vrai souci de crédibilité ou de travail en profondeur, et que tout ce qui l'intéresse, c'est du pur divertissement pour foules déjà formatées. Et c'est ce que l'intrigue matérialise très bien, dans ses métaphores paresseuses sur le racisme ou la nature humaine, truismes dégoulinant de paresse qui ne font que caresser dans le sens du poil le sens moral le plus élémentaire sans chercher à donner à celui-ci des bases un peu plus solidement fondées. Non, Dawn of the planet of the apes ne pense pas, il récite ses clichés manichéistes, d'autant plus agaçant qu'il essaye de les cacher de façon très maladroite. Par exemple, si le méchant est méchant, c'est à cause du très classique cas d'une haine développée suite à des violences subies. Ce parti pris, on dirait que les scénaristes s'en contentent largement, se disant que cela complexifie déjà bien assez le personnage et que désormais, ils peuvent s'en donner à cœur joie question actes méprisables et fourberies en tout genre, pour diriger droit sur le pauvre singe belliqueux les foudres d'un spectateur censé n'y voir que du feu. En plus, les humains existent à peine, autant parce qu'ils sont très mal joués (Kodi Smit-McPhee est tout particulièrement mauvais) que parce qu'ils ne sont qu'à peine archétypaux, si peu pourvus de vie et de consistance par l'écriture qu'ils en sont réduits à leur fonction, quand ils en ont une. Est-ce en hommage à nos cousins primates et leurs pattes préhensiles, bien connus pour savoir se servir de leurs quatre membres avec adresse, que les scénaristes ont tenté d'écrire Dawn of the planet of the apes avec les pieds ? Dans tout ça, seul le petit message politique surnage, par exemple en mettant en avant le récupération de l'image que peuvent faire certains régimes dictatoriaux. En tout cas, il reste au moins le principal, c'est à dire le spectacle visuel, dans l'ensemble correct. Si lors de la première scène, avec l'ours, j'ai été atterré par le rendu horrifiant des singes, presque sortis d'un mauvais jeu vidéo, leur modélisation s'améliore par la suite et on est au moins pas noyés dans la mélasse numérique. Voilà qui laisse à Andy Serkis une large place pour s'exprimer, place qu'il utilise très bien, épaulé par les autres interprètes des singes, dont la motion capture est bonne. Si je met une note aussi correcte, c'est également parce que l'ambiance mise en place est je trouve assez bien pensée, et que Matt Reeves sait au moins filmer plutôt correctement, voire même carrément bien dans certains passages. Pourtant, avec un scénario pareil, La Planète des singes : l'affrontement, rate complètement ce que le volet d'ouverture pouvait laisser présager, un divertissement de facture solide et pas plus bête qu'un autre. De toute façon, avec les blockbusters américains, je commence à en avoir l'habitude.
    I Fucking Like Movies
    I Fucking Like Movies

    33 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2015
    Remake après remake, la planète des singes a parfois déçu. En 2011 Rupert Wyatt osait et prenait un gros risque en tentant le préquel phénomène de mode sans doute... Pourtant avec La planète des singes; les origines, la surprise a été bonne, le film ne cédant pas au piège du blockbuster en ne cherchant pas à en faire toujours plus.
    La suite fonctionne tout aussi bien. L'affrontement n'est pas le film d'action démesuré à la Transformers 4, en effet là où ce dernier tentait pitoyablement d'insister sur l'aspect humain, L'affrontement traite habilement de l'humanité. Les relations, la xénophobie, la futilité de la guerre et de ses causes, tant de thèmes qui sont justement abordés dans ce blockbuster. Si certains trouveront que cela ralentit trop le rythme du film la part d'action est loin d'être oubliée, et tout en restant réaliste le film allie action et suspense avec une intrigue bien ficelée.
    Le deuxième opus du préquel à la planète des singes est un bon film de science fiction avec un bon scénario, des dialogues bien faits, et des personnages intéressants.
    Mais plus que tout ce sont les effets spéciaux qui sont à couper le souffle, peut être encore plus que dans T4 justement, puisqu'il s'agit ici de rendre humains des singes, gorilles chimpanzés ou orang outan on imagine sans difficultés et sans avoir besoin de travailler dans les effets spéciaux, la galère de ceux qui ont du s'occuper d'animer tous ces poils. Bref il n'est pas prétentieux d'affirmer qu'aux niveaux effets spéciaux ce film est un chef d'oeuvre de réalisme.
    Pour résumer L'affrontement est un film original dans la mesure où c'est un blockbuster intelligent qui ne mise pas tout sur l'action, et dose savamment entre l'humain et la violence au moyen d'un scénario ingénieux et efficace. Le film s'appuie aussi sur un grand nombre de personnages à la fois charismatiques et intéressants et constitue une escalade progressive et inéluctable vers un duel final qui rappelle autant le western que le film d'art martiaux, avec cependant des enjeux bien plus importants qu'un simple duel.
    Matt Reeves réalise un film dans la continuité de celui de Wyatt qui utilise à merveille les possibilités laissées par la fin du premier film et qui laisse encore de nombreuses options pour la suite, tout en ayant pas forcément besoin d'avoir une suite justement.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    181 abonnés 1 752 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 janvier 2015
    Fan des premiers planète des singes, ce film bizarrement en est assez éloigné. Tout d'abord les singes sont d'un réalisme surprenant. La gestuelle, les mimiques, les attitudes sont bluffants. Le réalisateur réalise une prouesse en alternant action, moment d'humanité, haine, amour ... L'histoire se construit doucement tout en nous faisant comprendre que l'affrontement final est inévitable. Un grand moment du cinéma. A voir, A Revoir et A analyser. vivement le 3 !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 juin 2018
    Cette suite, "La planète des singes : l'affrontement" est sorti dans les salles en 2014. Aux manettes, Matt Reeves remplace Rupert Wyatt.
    Cet affrontement traçant l'épopée hors du commun de César, se cantonne davantage sur les singes que sur les humains. Mark Bomback (qui a écrit le script de "Die Hard 4" et du dernier Tony Scott "Unstoppable" notamment), scénariste final du film, oublie le message identitaire du premier opus pour se concentrer davantage sur les aventures chimpanziennes. Ici, les acteurs humains sont relégués au deuxième plan, tout comme ce virus qui les a contaminés. Dommage, quand on voit le résultat des "Origines". De plus, il n'y a plus cette approche psychologique qui caractérisait si bien le premier opus. Mark en avait il la responsabilité ou est-ce dû de la volonté du réalisateur de ne plus s'étendre sur cet aspect du scénario, mais de s'ancrer davantage dans le conflit ? La question reste en suspens.
    La guerre est très bien réglée par ailleurs qui permet à l'équipe technique de doser explosions, courses-poursuites (dans les arbres) et autres moments calmes. De ce fait, l'esthétique de la motion capture est très bien retranscrite, peut être mieux par rapport au premier volet.
    En revanche, les moments calmes sont saccagés par la musique de Michael Giacchino qui verse grandement dans le blockbuster m'as-tu-vu, décérébré à souhait. Du Michael Bay en mieux certes, mais pompant. Il a été compositeur sur "Mission impossible 3", "Ratatouille", "Là haut"... . What's happened ?
    Pour parler du casting, inexistant (du côté humain) en général, il s'agit néanmoins de Jason Clarke (révélé par Statham ("Course à la mort") et Michael Mann ("Public ennemies")), Gary "Léon" Oldman, Keri "Felicity" Russell et de Kodi Smit-McPhee (âgé d'à peine 14 ans, et déjà vu aux côtés de Viggo Mortensen !) parmi les meilleurs. Côté singes, c'est bien sûr l'affrontement Serkis (toujours impec' en singe !) vs Toby Kebbell, la véritable trogne de ces aventures. Il m'a tout de suite fait penser à Tim Roth, c'est fou ! Autant dire qu'il en impose !! S'il y a bien un acteur charismatique, c'est fichtrement Toby. En tout cas, je vote pour. Une très belle interprétation en somme. Pour détrôner Serkis, il faut un minimum je pense. Par contre, ce que j'ai moins apprécié, c'est que le film se concentre davantage sur le conflit entre le gentil Serkis et le méchant façon Roth (Toby Kebbell). Je pinaille sans doute mais le combat final traduit mon opinion.
    "La planète des singes : l'affrontement", même s'il s'agit d'un film de commande (à travers tous les points négatifs cités ci-dessus), arrive à s'imposer comme un bon cru de science-fiction de l'année 2014. Matt Reeves, qui a réalisé le très décevant "Cloverfield", reprend le goût de l''honneur.
    A l'abordage, chimpanzinophiles !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 janvier 2015
    Je suis plus tôt mécontent du résultat de se second volet , inévitablement on n'est obliger au court de quelque scène de passer par des longueur silencieuse et marbrant qui s'épuise par des dialogue sous titré . Tant bien que mal on finit immergé par la chronologie et on avance a petit pas vers le dénouement assez tardif mais qui a sus se faire attendre malgré tout par le jeux admiratif de Jason Clarke qui rassure tout le monde après son prédécesseur James Franco , il garde l'image de se personnage émouvant et fascinant tout plein de bonté que nous avions dans Will !
    Andy serkis , figure emblématique de la technologie de capture de mouvement donne vie a son personnage de manière vraisemblable et émotif . Césars magnifique créature , comme très rarement dans l'histoire du cinéma on assiste a un retournement scénaristique ou l'obscure prend le pas laissant l’espoir s'atténuer , malheureusement trop vite arriver en bout de créativité on n'est trahi et laisser sur notre fin !

    Matt Reeves laisse le poids du film sur l'émotion transmise mais ne tiens pour dire pas assez sa promesse de titre d'affrontement ou le manque de créativité se fait ressentir . Il nous bluffe néanmoins d'effet spéciaux et de décors d'une ressemblance exquis a la réalité , c'est un film qui garde toute sa crédibilité mais en laissant quelque regret .

    Il ne faut pas se leurrer , on passe un moment agréable mais lorsque l'on demande un peux de puissance , on tombe assez rapidement dans le vide ! Déçus du manque d'animosité mais séduit par la vigueur des acteur .
    Vrakar
    Vrakar

    42 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 janvier 2015
    Le 2ème volet de ce préquelle suit la lignée du 1er. Il est vrai que celui-ci pouvait sérieusement faire douter : des singes modifiés, pourtant pas nombreux au départ mais que les SFX démultiplient à l'infini, qui ruinent San Francisco avant de demander à ce qu'on les laissent vivre dans la forêt... . Ils sont si stupides que ça ?! En plus, difficile d'éprouver de l'empathie pour James Franco. Dans ce 2ème opus, le ton est un peu plus mature. Les acteurs, bien que toujours aussi clichés, sont légèrement moins mauvais. L'affrontement entre les singes et les humains est plus que prévisible. spoiler: On sent venir gros comme une maison la tentative d'assassinat de Koba sur Caesar.
    Le gros progrès effectué se situe dans les SFX et la photographie. Les SFX sont bien plus réalistes, quoi qu'encore perfectibles. La qualité de l'image, les détails, les contrastes/couleurs, est éblouissante. Et c'est bien là qu'est le problème. En dehors de l'aspect esthétique tape-à-l'oeil, on est à des années-lumières de l'approche philosophique du film culte de 1968 alors que les moyens techniques et les budgets sont incomparables. Bien sûr, cela reste subjectif. On touche le fond avec la confrontation inévitable entre Koba et Caesar qui tombe dans le conventionnel des films de superhéros. spoiler: Caesar, pourtant touché au coeur par une balle, récupère quelques minutes après une opération pour lui sauver la vie.
    Pourtant, tous les singes de la version de 1968 n'ont rien de superhéros. Ce qui rend l'ensemble un peu trop incohérent. A moins que le prochain volet ne vienne proposer autre chose qu'une surenchère de combats qui piquent les yeux, de SFX à la qualité parfois discutable, de belles images et de gentils qui détestent les méchants... .
    Joker42
    Joker42

    15 abonnés 173 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 janvier 2015
    Comme beaucoup de gens, j'ai appréhendé ce film comme un blockbuster, d'autant plus que la fin de "La Planète des Singes - Les Origines" offrait du bon spectacle. Mais non, "L'Affrontement" n'est pas un grand film d'action, c'est un grand film tout court et j'ai été surpris d'avoir été tenu en haleine de bout en bout sans jamais m'égarer une seconde de mon écran et de l'intrigue. C'est quand même une sacrée performance sachant que la moitié des dialogues sont en langages de signes et qu'il y a des images de synthèses dans quasi tous les plans. C'est sur ce dernier point que j'ai été véritablement bluffé : les progrès en termes d'animation visuelle par rapport au premier film son énormes et ça se voit tout de suite. Les singes sont aussi vrais que nature et ce quelque soit la luminosité, quelque soit les conditions météorologiques. La société WETA a quand même réussi à reproduire le million de poils parcourant en moyenne le corps d'un singe! Le rendu est encore plus beau grâce aux décors et aux paysages magnifiques. Énormément de scènes ont d'ailleurs été tournées en extérieur sur ce film, ce qui le rend aussi authentique. Et que dire des progrès réalisés en matière de motion capture! Ceux-ci sont également impressionnants et reposent sur des acteurs qui maîtrisent totalement cette technologie. On ne présente plus désormais Andy Serkis, qui joue ici Cesar, mais qui réussit sa carrière cinématographique principalement grâce à cette technologie via les personnages de Golum ou encore King Kong. La nouvelle recrue qui joue Ash est également très convaincante. Ce personnage est d'ailleurs ce qui pimente le film et ce qui lui donne toute cette puissance et cette intensité, une vraie réussite. Je resterai plus mesuré concernant la prestation des autres acteurs au sein desquels seul Gary Oldman sort son épingle du jeu mais ça c'est pas très surprenant. Bref on trouve peu de défauts à ce film, à condition de ne pas le voir comme un vrai film d'action.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 janvier 2015
    Une bonne suite des Origines, j'ai bien aimer sauf un peu du mal avec le début mais sinon après pas du tout déçu de la continuité et du dénouement!
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