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Votre avis sur La Planète des singes : l'affrontement ?
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Critique posté un an après car jamais posté mais mieux vaut tard que jamais.
Ce film est une pure réussite, on assiste à une réussite du réalisateur Matt Reeves qui succède au très bon premier film "les origines" de Rupert Wyatt !
Véritable reboot réussi des films des années 1970 on retrouve ces éléments qui nous avait plu par le passé.
Le casting a bien évidemment changé : passant de James Franco, savant et père de César à Jason Clarke en père de famille voulant protéger les siens tout à fait crédible. On a aussi grand plaisir à voir Gary Oldman en chef de camp de survivant charismatique. Très belle découverte que Kirk Acevedo campant un homme haïssant les singes pour la grippe simienne.
Le film n'est pas long, on suit le film sans ennui malgré quelques scènes qui se trouvent être prévisibles.
De bonnes scènes d'actions sont présentes spoiler: notamment celle avec le tank ou l'assaut du camp de survivants par les singes
.
Les personnages sont bien travaillés en profondeur et il fait plaisir de revoir César tiraillé entre ses sentiments fraternels envers ses semblables et ses anciens sentiments envers les humains.
Émotions, actions et réflexion font magnifique ménage au sein de ce film plus qu'excellent.
On a impatience de voir la suite en juillet 2016.
Ce film est une pure réussite, on assiste à une réussite du réalisateur Matt Reeves qui succède au très bon premier film "les origines" de Rupert Wyatt !
Véritable reboot réussi des films des années 1970 on retrouve ces éléments qui nous avait plu par le passé.
Le casting a bien évidemment changé : passant de James Franco, savant et père de César à Jason Clarke en père de famille voulant protéger les siens tout à fait crédible. On a aussi grand plaisir à voir Gary Oldman en chef de camp de survivant charismatique. Très belle découverte que Kirk Acevedo campant un homme haïssant les singes pour la grippe simienne.
Le film n'est pas long, on suit le film sans ennui malgré quelques scènes qui se trouvent être prévisibles.
De bonnes scènes d'actions sont présentes spoiler: notamment celle avec le tank ou l'assaut du camp de survivants par les singes
.
Les personnages sont bien travaillés en profondeur et il fait plaisir de revoir César tiraillé entre ses sentiments fraternels envers ses semblables et ses anciens sentiments envers les humains.
Émotions, actions et réflexion font magnifique ménage au sein de ce film plus qu'excellent.
On a impatience de voir la suite en juillet 2016.
Artriste
Suite de LPDS Les Origines sorti en 2011, La Planète Des Singes L'Affrontement est dans la ligné de son prédécesseur par sa qualité et son immersion. L'histoire déjà est vraiment bonne, on prend du plaisir à suivre cette relation entre les hommes et les singes qui est très bien faite. C'est touchant et travailler car les deux camps ont leur tords et on comprends les deux côtés. Ce n'est pas manichéen et c'est très appréciable. De plus la fin est une réussite qui donne envie de continuer l'aventure. Techniquement on prend une claque, les décors sont superbes et les singes sont vraiment bien fait. Il faut avouer qu'à certains moments ils s'incrustent un peut mal dans le décors mais c'est rare et l'on ne peut qu'apprécié leur humanité et l'impression de voir de vrais singes. Leur façon de communiquer est bien trouvé et l'on comprend vraiment leur expressions. Côté acteur Andy Serkis donne de la vie à quelque chose d’irréel à la perfection mais j'ai été déçu des humains avec des acteurs moyens. Par contre le personnage de Koba est génial il fait un méchant glaçant et les combats sont excellents et je n'oublie pas Maurice l'orang-outang qui est magnifique. A cela s'ajoute une bonne b.o. et l'on obtient la un très bon film de science-fiction avec un véritable scénario, une suite dans la continuité et qui évolue bien avec beaucoup de possibilités pour un troisième volet qui donne envie de retrouver César. Un film à voir!
Rien à dire sur les effects spéciaux sur la crédibilité des singes. Un scénario pris en otage et qui vient encore mettre en avant les psychoses de l’Amérique profonde : la guerre, la peur, la violence et l’impérialisme. Même si l’histoire de la planète des singes avec Charlton Heston était plus proche du livre de Pierre Boulle, elle n’en avait pas moins servie aussi le nombrilisme américain en finissant sur un plan de la statue de la liberté. La mise en scène reste un peu poussif. A part Gary Oldman et Cesar, les autres acteurs font un peu acteurs de série TV. Les trucages ne peuvent remplacer ce qui doit être profond, cette histoire doit être universelle et pas réductrice à la vision nombriliste Américano-Américaine de la peur de l’autre et de la différence, le tout accompagné de bons sentiments.
Ce film a tous les oripeaux du blockbuster estival : un scénario de science-fiction, de l’action à foison, des effets spéciaux dans presque tous les plans et une durée extra-longue (plus de 2 heures). Mais contrairement aux fantaisies sur les super-héros, il est tenu par un sous-texte politique rare pour ce genre de production. Il nous tend un miroir sur les conflits humains où un groupe ethnique ou religieux est forcé de coexister avec un autre et choisir entre une entente délicate et une guerre totale dommageable pour les deux parties. Il offre aussi une vision de ce qu’est un état d’une société où le pouvoir est entre les mains d’un seul homme sans contre-pouvoir avec un risque de dérives dictatoriales: décisions non-négociables, élimination ou emprisonnement des opposants politiques… Ce film est presque un outil pédagogiques ludique pour étudier des phénomènes politiques complexes. Alors, évidemment tout cela est un peu survolé et marginal en face de l’objectif récréatif de ce genre de production et l’histoire tire quand même du côté qui permettra le maximum de séquences d’action, mais il n’en sacrifie pas pour autant une histoire et des personnages très bien construits. Il faut aussi souligner la très belle réussite que sont les singes qui sont aussi crédibles que les acteurs humains. On est bluffé par le réalisme qu’ils offrent et à la très grande réussite de leurs expressions faciales et de leurs déplacements. Si vous n’êtes pas un fan de super-productions américaines, laissez-vous tenter par ce film qui offre un équilibre très agréable entre une histoire bien écrite et des effets spéciaux très réussis, le tout donnant un spectacle aussi spectaculaire qu’intéressant. À voir absolument.
Le 2ème volet de la trilogie La Planète des Singes n'a rien à envier à son prédécesseur, il a vraiment beaucoup de qualités, c'est peu dire. Le scénario est superbement bien construit, la personnalité des acteurs tant du côté des humains que du côté des singes est incroyablement étudiée et profonde. La réflexion globale du film est intelligente, les effets spéciaux sont magnifiques tout comme son prédécesseur. J'ai un seul regret : l'absence de James Franco, c'est la seule chose qui casse un peu la chronologie du film, on ne sait pas ce qu'il est devenu. J'espère le savoir dans le 3ème volet mais j'ai cru comprendre qu'il n'avait pas poursuivi le tournage, c'est dommage. Cela n'enlève rien au fait que ce film est un chef d'œuvre tout comme le premier film et j'invite TOUTES les personnes qui ne les ont pas encore vu, et/ou déçues par les vieux films avec Charlton Eston à les voir, ça vaut le coup d'œil.
Grand film qui justifie que notre avenir sera conduit par la crainte, la vengeance, la stupidité et l'égoïsme. Déçu et ennuyé, non seulement par le film en lui-même, très beau visuellement, mais par cette vision trop pessimiste de notre monde... ou peut-être parce que c'est si vrai.
Le scénario est assez basique mais la mise en scène efficace et les effets spéciaux très réussis. On passe un bon moment !
Une suite oui, mais sans surenchère. Matt Reeves met le charismatique Serkis/César au coeur d'une histoire riche. Un singe-dieu qui établit des lois strictes, chef d'un clan en paix et père de famille aimant, face à de humains terrifiés qui ont tout perdus. Mais César a de l'affection pour l'Homme. Famille, confiance, honneur et survie. Humains et singes veulent la même chose.
Une magnifique réalisation, des effets spéciaux grandioses, une philosophie sur la nature humaine.
Comment peut-on faire une suite aussi moyenne (pour ne pas dire mauvaise) à un film aussi révolutionnaire (techniquement parlant, mais scénaristiquement c'était bien aussi) que "La Planète des singes - Les Origines" ? Parce que j'ai mes limites et elles sont atteintes quand des singes sur des chevaux manipulent comme s'ils avaient subi un entraînement de plusieurs années des fusils d'assaut américains neufs après une sorte d'apocalypse.
Non, je n'exagère pas, c'est vraiment dans le film. D'ailleurs, il suffit de regarder l'affiche pour résumer le film, preuve que le scénario est assez léger.
Pourtant, je mets la moyenne à ce "La Planète des singes : L'affrontement" car il est assez bipolaire : il enchaîne les très bons points et les points qui gâchent tout. C'est un réel gâchis.
Un gâchis de bons acteurs qui ne sont pas bien exploités : je pense surtout à Jason Clarke et Gary Oldman.
Un gâchis technique : certaines scènes d'actions sont très fortes mais la modélisation de certains personnages est assez râtée. Un comble quand on se souvient de la prouesse technique qu'avait été le précédent film.
Un gâchis scénaristique aussi : si le personnage de César est vraiment génial dans sa psychologie, sa vision du monde et des responsabilités, la psychologie des autres personnages est vraiment au ras des paquerettes et notamment celle de Koba, un personnage secondaire important qui entretient une haine des humains ayant expérimenté diverses choses sur lui lorsqu'il faisait partie d'un laboratoire.
De plus, le scénario regorge de ficelles et de facilités permettant de passer à la scène suivante ou de faire avancer l'intrigue sans trop se creuser la tête.
Vous comprendrez ainsi que malgré les bons points que je veux bien lui reconnaître, j'ai eu du mal à aller jusqu'au bout de ce film, chose à quoi je ne m'attendais absolument pas au vu de l'effet que m'avait fait l'opus précédent.
Non, je n'exagère pas, c'est vraiment dans le film. D'ailleurs, il suffit de regarder l'affiche pour résumer le film, preuve que le scénario est assez léger.
Pourtant, je mets la moyenne à ce "La Planète des singes : L'affrontement" car il est assez bipolaire : il enchaîne les très bons points et les points qui gâchent tout. C'est un réel gâchis.
Un gâchis de bons acteurs qui ne sont pas bien exploités : je pense surtout à Jason Clarke et Gary Oldman.
Un gâchis technique : certaines scènes d'actions sont très fortes mais la modélisation de certains personnages est assez râtée. Un comble quand on se souvient de la prouesse technique qu'avait été le précédent film.
Un gâchis scénaristique aussi : si le personnage de César est vraiment génial dans sa psychologie, sa vision du monde et des responsabilités, la psychologie des autres personnages est vraiment au ras des paquerettes et notamment celle de Koba, un personnage secondaire important qui entretient une haine des humains ayant expérimenté diverses choses sur lui lorsqu'il faisait partie d'un laboratoire.
De plus, le scénario regorge de ficelles et de facilités permettant de passer à la scène suivante ou de faire avancer l'intrigue sans trop se creuser la tête.
Vous comprendrez ainsi que malgré les bons points que je veux bien lui reconnaître, j'ai eu du mal à aller jusqu'au bout de ce film, chose à quoi je ne m'attendais absolument pas au vu de l'effet que m'avait fait l'opus précédent.
La Planète des singes : l'affrontement perd la critique de la science et des chercheurs présente dans "Les Origines" pour gagner en action frénétique durant deux heures. Si je pouvais arrêter ma critique ici, je dirais que c'est un film d'action et un sacré film d'action où les rôles sont un peu inversés. Ce ne sont plus les hommes qui mènent la danse mais bien les singes qui combinent intelligence, agilité et férocité. Les singes, parlons-en car ce sont eux les vrais stars du film. Et les effets spéciaux aussi qui n'ont rien de spéciaux tellement ils ont l'air réels. Mais les singes...Ils n'ont jamais été aussi humains (parfois dans le mauvais sens du terme) et aussi émouvants. Bien que, petit bémol, comme l'acteur James Franco n'est plus là, je trouve qu'il n'y a pas la même force dans la relation entre César et Malcolm qui font ami-ami en deux heures même pas. Et il y a trop de personnages. J'ai pu fustiger dans "Les Origines", ou si je ne l'avais pas fait je le fais là, l'inutilité du personnage de Freida Pinto. Là c'est pareil avec Gary Oldman ou Keri Russell. Le film aurait beaucoup gagné à se concentrer uniquement sur le triangle Malcolm/César/Koba. Je n'attends plus que le troisième épisode pour savoir qui gagnera entre les singes et les humains ou si une cohabitation est possible. Ça semble mal engagé mais voyons ce que les scénaristes vont nous mitonner.
après la surprise du 1er épisode, n'est pas à la hauteur de son ainé. les moyens techniques sont présents ça oui, mais trop de personnages stéréotypés ou de facilités de scénario. le script devient prévisible et sans saveur. le spectacle visuel ne suffit pas à tenir le cinéphile.
Décevant. Voilà la meilleure façon de décrire ce second opus de la saga qui n'arrive pas à la cheville de ce qu'est son prédécesseur. Hormis les quelques scènes d'actions impressionnantes et le motion capture toujours aussi époustouflant, l'histoire est plate et vide, on a du mal à y adhérer. Pour moi, Matt Reeves a terni l'image du chef d'œuvre de Rupert Wyatt, (quand on pense que c'est lui qui va continuer le troisième épisode de la saga on se demande si ça vaut le coup de débourser dix euros pour aller le voir au cinéma), on lui en demandait peut-être un peu trop surtout après "les origines". Il aurait peut-être fallu s'arrêter sur une bonne note.. Quoi qu'il en soit le mal est fait et il lui reste un troisième opus pour se rattraper en espérant que ce dernier épisode ne tourne pas en un mauvais remake de avatar et seigneur des anneaux. (Et oui ce n'est pas comme les maths où moins et moins font plus).
Caine78
Le « premier » opus était une bonne surprise, enrichissant intelligemment le mythique film de Franklin J. Schaffner (ses suites étant loin d'être du même niveau). C'est visiblement dans les mêmes dispositions que Matt Reeves prend la suite de Rupert Wyatt, signant une suite à la fois divertissante et finalement assez subtile, toujours aussi peu « humain friendly ». L'univers sombre et pessimiste sur fond de planète ravagée est ainsi bien rendu, tout comme l'exploitation des décors et la photographie. L'opposition entre singes et humains évite, elle, plutôt bien le manichéisme, tout en posant quelques bonnes questions sans pour autant sacrifier l'action, à l'image d'un final pour le moins spectaculaire. Dommage alors que les prestations d'acteurs soient juste corrects, certains personnages un peu trop stéréotypés, le côté « un gros pourri dans chaque camp » n'étant pas forcément faux mais manquant de finesse, tout comme le dernier tiers, ne parvenant plus à retrouver le ton qui faisait la force de l'œuvre jusque-là. J'en suis du coup sorti légèrement frustré, mais toutefois conscient d'avoir vu un blockbuster de qualité, ne sacrifiant pour une fois pas le fond au profit de la forme : cette nouvelle saga 43 ans plus tard est une satisfaction.
Bien fait, vraiment, mais c'est long a se mettre en place et bon...c'est un peu toujours pareil la planete des singes et c'est prévisible
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