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    007 Spectre
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    S-Kayp
    S-Kayp

    153 abonnés 1 220 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 novembre 2015
    Une aventure spectaculaire de 007, qui commence fort avec la scène spoiler: de l'hélicoptère
    , avec un bon scénario rempli d'action et d'un peu d'humour, et bien rythmé.
    Serpiko77
    Serpiko77

    58 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mai 2020
    "Spectre" à le malheur de débarquer après le génial "Skyfall". Il n'atteint pas la tension dramatique et la profondeur de son prédécesseur, les quelques longueurs du film ne l'aide pas non plus. L'autre point noir se situe au niveau du casting, Christoph Waltz, habituellement si bon, est ici plutôt quelconque tout comme la nouvelle James Bond girl Française Léa Seydoux, non dénuée de grâce mais manquant clairement de présence et de charme. Ceci étant il s'agit tout de même d'un très bon divertissement, à noter la scène d'ouverture particulièrement époustouflante.
    JoMik
    JoMik

    51 abonnés 275 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2015
    Incroyablement mou !
    Quelques scènes réussies et puis rien de rien, nada, du vide, des lenteurs.
    Heureusement que l'on avait payé notre place sinon nous serions partis avant la fin...
    Ne cherchez pas de scénario, il a été ecris devant la TV et une bière. Tout se devine à l'avance et il y a de putin de gadgets en tout et pour tout un micro et une montre.
    Que du mou... du mission impossible divisé par 10
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 novembre 2015
    Il est vrai qu'il est difficile de faire mieux que skyfall, mais là c'est du gâchis : un méchant pas très convaincant, une james bond girl qui n'apporte pas grand chose et sont les répliques sont bâclées. On se demande vraiment ce qu'ils avaient en tête ... Le scénario est décousu, on décroche presque dès la première scène, et quand le fil de l'histoire ne conduit nul part, on fait tout péter ! Bref quel nanard à gros budget !
    lorenzoc
    lorenzoc

    117 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 novembre 2015
    Un james bond décevant !! Le cocktail tant attendu ne fonctionne pas !! 2h30 waoou long !! malgré un christoph waltz et daniel craig au top un scénario qui aurait pu être developer !! L 'idée est bon mais les ingrédients et les scènes trop calculer ne prenne pas !! Dommage !! Vivement le prochain que l'on puisse ce rattraper .. 2 ans a attendre un nouveau 007 ca nous laisse sur la faim ...
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 novembre 2015
    Un opus honteux, mis en boîte par un Sam Mendes qui n'en avait visiblement aucune envie et saborde tranquillement le navire, signant de sa griffe cet échec comme avec une fierté insolente en décorant son absence de vision par une mise en scène arty parfois absolument sublime (les impacts de balle qui dessinent un spectre sur la vitre pare-balle, un cadre serré sur la moitié du visage de Blofeld au moment où celui-ci et offre subrepticement son œil mort, d'un blanc laiteux, comme un puits creusé droit vers le mal) mais qui ne fait que tourner à vide. Casino Royale était, je m'en rend compte à présent, un reboot génial qui choisissait le drame mature et la complexité au divertissement à un degré cinq nimbé d'une mythologie british dont on avait jusque-là l'habitude. Désarçonnant sur le coup, il n'en reste pas moins une grosse claque. Skyfall était quant à lui un superbe entremêlement entre cette donne nouvelle et les racines scripturaires et profonde du personnage, une réactualisation du mythe. Même Quantum of Solace n'avait pas à rougir, car s'il était mal mis en scène et parfois illisible, en plus d'être assez pauvre en contenu, il s'efforçait, sans doute conscient de l'ombre écrasante de Casino Royale, de clore dignement le reboot avec la nervosité qu'il fallait à un Bond qui se construisait encore dans la douleur et la colère. Mais Spectre, lui, n'est qu'une enveloppe vide, qui remet paresseusement au goût du jour une imagerie ancienne (Spectre, Blofeld, les gadgets, la sur-utilisation des véhicules dans un humour complice - mais ici malhonnête car presque moqueur envers la saga) en la mêlant à la trame narrative des précédents volets joués par Daniel Craig. Sans le charme d'antan et sans la force ni la profondeur des trois derniers films, Spectre est privé de toute consistance. Mendes savait pourtant très bien combien cette reprise littérale de symboles et d'éléments mythologiques déjà enfouis était vouée à l'échec, condamnée à faire l'effet d'une enveloppe charnelle privée d'âme. En substance, c'était même tout le propos de Skyfall. Mendes va même encore plus loin, prenant les grands thèmes soulevés par le bad guy de Skyfall (l'inutilité des double zéros dans un monde virtualisé, la globalisation du danger terroriste et l'impuissance des états) et les dévitalisant dans une attitude presque sadique à l'égard de cette saga qu'il avait pourtant aidé à reconstruire. Je ne vois qu'une explication : Mendes n'avait aucune envie de tourner ce James Bond. Peut-être suis-je paranoïaque, mais j'ai du mal à voir autre chose que de la condescendance dans le fait de livrer quelque chose d'aussi indigent après avoir réalisé Skyfall, donc chaque ligne de texte était cisaillée à la perfection alors qu'ici toutes tombent à plat, ressassant des enjeux éculés sans aucune conviction. Les scènes d'action, d'ailleurs, sont à l'avenant : Bond élimine ou neutralise en un coup, une rafale, parce que son personnage est supposé le faire et pas parce que Mendes le met réellement en danger. C'est ce que fait Mendes tout le long : faire défiler les passages obligés sans une once d'approfondissement, sans explorer la psychologie d'un personnage qu'il désincarne de façon honteuse. Bond traverse le film en dilettante, ses moments de colère, d'insolence ou de passion sonnent creux, parce qu'ils entrent inévitablement en résonance avec les passages bien plus intenses de Casino Royale ou Skyfall. Et ça, Mendes le sait, forcément, puisqu'il n'est pas idiot. Comment se désespérer des platitudes échangées entre Craig et Seydoux en se rappelant de la force de la relation Bond-Vesper ? En fait, un seul passage m'a marqué, et de façon là-encore très désagréable, une scène pivot où j'ai pris la mesure du naufrage en cours. Bond se fait désosser par Jinx (le personnage de Dave Bautista), ne s'en débarrassant qu'à grand peine et avec chance. Le Bond que je connais, après un combat aussi acharné et indécis, aurait eu un trait d'humour teinté de colère et d'amertume, savourant sa victoire autant qu'il se serait abîmé dans la froideur aliénante sans laquelle il sait ne pas pouvoir survivre. Il aurait remis son armure après une remarque ironique et lucide. Cette fois, Mendes lui insuffle, peut-être pour la première fois dans la saga, la peur de sa propre mort, lisible dans un regard qui parait ébranlé. J'ai un instant cru à un développement nouveau, ce qui manquait justement jusque-là, et même s'il écornait quelque peu le mythe, peut-être aurait-il pu se complexifier par la suite pour lui rester fidèle. Mais la scène qui suit, à mes yeux, qui voit Bond et Madeleine Swann (Léa Seydoux) faire l'amour comme par compensation pulsionnelle à la mort qu'ils ont frôlé, dit du personnage de Spectre une tout autre chose. Le Bond de ce triste opus n'est bel et bien plus l'agent secret infaillible de Sa Majesté et l'homme déchiré par des douleurs qu'il cache derrière un blindage indestructible, ce monstre inarrêtable qui ne peut pas s'arrêter sous peine de s'auto-détruire. C'est juste un type qui en a assez de se battre et n'est là que parce que le scénario l'exige de lui. James Bond version touriste et désincarnée, Spectre est un échec cuisant et une insulte faite à la saga. Je ne mâche pas mes mots, mais le ressenti ne ment pas ; c'est la première fois que j'éprouve du déplaisir devant un James Bond, une amertume moite et mêlée de rancœur.
    Stéphane D
    Stéphane D

    119 abonnés 2 126 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2015
    C'est donc le plus cher des Bond...plus 2 fois le budget de Pearl Harbor... il va falloir réfléchir à élaguer certains acteurs bien cotés alors! Le film commence par un sublime plan séquence laissant augurer du meilleur. Finalement l'ensemble de déroule de manière hyper convenue, manquant vraiment d'inspiration et avec quelques longueurs. Quant à la chanson interprétée par cette voix mi-homme mi-femme, c'est dur après Adèle!
    Le rôle de Monica Bellucci est ultra mineur, Christoph Walz nous ressert du déjà 100 fois vu, et finalement celui qui s'en sort (très) bien grâce à ses bonnes répliques humoristiques c'est le personnage de Q.
    JulienAllard
    JulienAllard

    35 abonnés 387 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2015
    Un bon film mais un peu trop long et un méchant assez mal exploité. A voir une fois mais au final sans plus.
    Le-Gros-Moineau
    Le-Gros-Moineau

    28 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 août 2018
    Certainement pas parmi les meilleurs Bond...

    Fan inconditionnel des 007 de toutes les époques, j'ai été déçu de ce dernier opus... Après Skyfall, qui parvenait à nous présenter un long métrage moderne et néanmoins bourré de références parfois subtiles à ses ancêtres, le soufflet retombe.

    C'est avant tout un problème de rythme qui m'a empêché de rentrer dans le film. Sans doute parce que j'avais entendu dire que Spectre renouait avec les anciens James Bond, et m'attendais donc à plus de fun. J'imagine que pour certains, il suffit de voir une Aston Martin pour retrouver l'esprit de Sean Connery ou Roger Moore. Toujours est-il que, partant de ces déclarations, j'imaginais un film plus léger et surtout offrant de belles scènes d'action. Manque de chance; ces dernières sont, la plupart du temps, peu palpitantes.
    Le scénario s'avère quant à lui plutôt basique. L'ambiance mystérieuse et inquiétante offerte par la découverte de l'organisation du Spectre ne dure qu'un temps, et le méchant principal de la saga, qui fait enfin son apparition, ne sera finalement pas à la hauteur des espérances. Il est d'ailleurs assez ridicule d'avoir souhaité, après coup, lier des ennemis tels que Silva à l'organisation, alors que ces derniers avaient des motivations bien à eux !

    Parmi les points positifs, on notera toutefois une belle photographie et des paysages intéressants.
    dougray
    dougray

    239 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2017
    Après le raz-de-marée "Skyfall", la saga James Bond était, plus que jamais dans son histoire, attendue au tournant. Il était, dès lors, prévisible que "Spectre" déçoive un peu, tant les attentes du public paraissaient insurmontables. Et si, sans surprise, cette 24e mission est moins "atypique" que l’opus précédent, il n’en demeure pas moins que certains défauts auraient pu être aisément évités ! La reprise en main de la série depuis le chef d’œuvre "Casino Royale" semblait, pourtant, interdire certains dérapages du passé mais "Spectre" confirme le léger retour en arrière de "Skyfall" (qui voyait, entre autres choses, le retour d’un M masculin dans ses anciens bureaux, de Q et de Moneypenny) et a même tendance, par moment, à cumuler les hommages visuels aux vieux films… au risque de faire perdre à la saga la formidable modernité des derniers films et avec un traitement moins crédible. On retrouve, donc, spoiler: l’affrontement dans un train (comme dans "Bons baisers de Russie", "Vivre et laisser mourir", "L’espion qui m’aimait"…) où Bond et son adversaire dégomment tout sans que cela ne provoque la moindre réaction du personnel, une séance de torture (comme dans "Goldfinger", "Casino Royale"…) dont la sophistication désamorce toute tension, un repaire perdu au sommet d’une montagne (comme dans "Au service secret de sa Majesté"), un "Je t’aime" susurré par la belle du héros qui fait un peu tâche ou encore l'homme de main increvable que Bond ne prend pas la peine d’achever alors qu’il est inconscient
    . Certes, il s’agit, pour l’essentiel, de détails mais ils s’avèrent très révélateurs de l’état d’esprit de Sam Mendes (qui rempile, après "Skyfall") qui semble soucieux de s’intéresser à la psychologie de son héros… en regardant dans le rétroviseur et, plus particulièrement, dans l’époque Roger Moore. Et j’admets que j’aurais pu me montrer peu regardant sur ses défauts (qu’on peu considérer comme des codes désuets mais sympathiques) si le scénario avait été un peu plus surprenant. Car le principal problème de "Spectre", à mon sens, c’est le caractère très prévisible de son intrigue qui ne parvient jamais à prendre le spectateur à rebrousse-poil. Du personnage monochromatique de C (Andrew Scott, parfait en tête à claques) à l’évidente place que prendront spoiler: les ruines du MI6 dans l’intrigue (pourquoi évoquer les explosifs en début de film si ce n’est pour préparer la séquence finale ?)
    en passant par l spoiler: a révélation de l’identité du grand méchant (très largement éventée par des indices criants par les fans et finalement balancée sans grande tension)
    , difficile de trouver trace d’un twist scénaristique vraiment digne de ce nom. "Spectre" parvient pourtant à faire illusion pendant la première moitié du film, qui parvient à distiller une tension et un mystère intéressant spoiler: (pourquoi Bond ne fait pas confiance à M ? Qui tire les ficelles de l’organisation Spectre ? Quel lien avec les trois films précédents ?)
    tout en retrouvant un ton très drôle qu’on craignait disparu (la première discussion entre Bond et Q ravira les fans). Le film s’ouvre, de plus, sur un incroyable plan-séquence et un superbe générique (Sam Smith et son crépusculaire "Writing’s on the wall"), suivis de nombreuses séquences d’une beauté visuelle époustouflante (la photographie est très réussie), rappelant qu’on a bien un auteur aux manettes. On retiendra, ainsi, spoiler: la tentative de meurtre de la veuve Sciarra dans sa villa (révélant peu à peu les tueurs sur un air d’opéra), la réunion du Spectre (tout en tension et en jeux d’ombre) ou encore le découverte du repaire de M. White (tout droit sorti du film d’horreur gothique)
    . C’est, malheureusement, à mi-parcours que les choses se gâtent un peu, en raison du caractère prévisible du scénario, donc, mais également, d’un méchant (Christoph Waltz bien à défaut d’être impressionnant) qui aurait mérité un traitement plus approprié. Difficile, en effet, de comprendre les motivations de ce Franz Oberhauser et, surtout, difficile de percer de se passionner pour un personnage aussi peu présent dans un premier temps et, une fois encore, spoiler: aussi peu mystérieux pour tout bondophile qui se respecte
    . Conformément au film, ce personnage vaut davantage pour spoiler: les clins d’œil appuyés faits aux fans (le col mao, le chat, la balafre…) et c’est bien dommage tant la Némésis de Bond aurait mérité d’être mieux exploité.
    D’ailleurs, son spoiler: rattachement aux trois premiers films
    ressemble davantage à une idée de dernière minute artificiellement mise en place qu’à un plan savamment pensé dès "Casino Royale"… Maintenant, il faut bien être honnête : si je suis aussi difficile avec "Spectre", c’est parce que c’est un "James Bond" et qu’il fait partie intégrante d’une des périodes les plus enthousiasmantes de la saga. Et il serait injuste de ne pas reconnaître les très nombreuses qualités du film (qu'on apprécie plus facilement à la deuxième vision), à commencer par des cascades terriblement funs, une scène de baston formidablement âpre et un casting sans fausse note, avec une Lea Seydoux qui s’en sort très bien (sans faire oublier, pour autant, Eva Green), Ralph Fiennes en M des plus actif, Ben Wishaw qui voit son rôle de Q s’étoffer tout comme Naomie Harris en Moneypenny, Monica Bellucci qui campe la première James bond Girl plus âgée que Bond ou encore Jesper Christensen s’offre un retour décrépi impressionnant. Quant à Daniel Craig, il est toujours aussi parfait en Bond plus physique et fatigué que ses prédécesseurs et confirme qu’il est tout aussi à l’aise avec le personnage lorsqu’il doit faire preuve de plus de légèreté spoiler: (ah le "non, sage !" gentiment conseillé à un vigile trop ambitieux)
    . Ainsi, malgré ses défauts, le film reste une vraie réussite, certes moins original dans sa forme mais qui marque le retour à une certaine norme qui, finalement, fait du bien. Je me demande même si je ne le préfère pas à "Skyfall", qui était plus inégal et froid. Pour autant, je reste un adorateur de "Casino Royale", qui ressemble, de plus en plus, à une référence indépassable…
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    178 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 novembre 2015
    Le dernier né des James bond est le moins réussi de ceux avec Daniel Graig. Le scénario est moyen. On a l'impression d'assister à un film publicitaire de deux heures quinze. Le film est bourré de références aux anciens james bond (la scène d'ouverture rappelle la scène d'ouverture de vivre et laisser mourir, la course poursuite dans la neige rappelle George Lazenby, ...).
    Une fois ces constats intégrés, le rythme est soutenu, l'action omniprésente. On ne sent pas passer les deux heures.
    andika
    andika

    106 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2015
    Ce SPECTRE est un film intéressant mais qui souffre de nombreuses faiblesses, la première est de passer après Skyfall, la deuxième est d'essayer de s'accrocher coûte que coûte aux films précédents en essayant de montrer que tous est lié et cohérent. Ainsi, les enjeux ne sont pas clair, on s'occupe davantage de régler les films précédents que de raconter une nouvele histoire. La durée de 2h30 implique également des longueurs. toutefois, ce film a aussi de nombreux points forts, un Christoph Waltz parfait et qui semble être né pour ce rôle. Une Monica Bellucci sublime, même si on ne la voit pas longtemps, sa présence marque et enfin notre Léa Seydoux nationale qui allie juste ce qu'il faut de force et de fragilité. Ralph Fiennes est un enchantement en M. SPECTRE ne fait plus dans les clins d’œil, il fait dans la synthèse de la légende de Bond et aboutit à une certaine refondation, un alliage de retour aux sources et d'innovation.
    Critique complète sur mon blog.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 novembre 2015
    Un film qui manque de sens comme ses dialogues interminable. Pour moi la plus grosse déception de l'année...
    📞 Appelez-moi Jo
    📞 Appelez-moi Jo

    29 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2021
    Souffrant d’un casting imparfait et probablement d’un programme trop chargé pour lui permettre de maintenir la fantastique fluidité de sa première heure, qui ne peut tout à fait se mesurer au happening foisonnant qu’était Skyfall.
    Aymeric P.
    Aymeric P.

    3 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 novembre 2015
    Une excellence de sa majesté. La scène hélico est Extra.... Suspense jusqu'au bout...... Well done Sammm
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