Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
CNews
par La Rédaction
En bref, si l'on ne ressort pas de "007 Spectre" totalement conquis, on ne peut nier le plaisir que l'on a eu à retrouver 007. Ce 24è volet demeure un divertissement de grande qualité et un spectacle total (...).
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par La rédaction
Un opus nerveux avec Léa Seydoux et Monica Bellucci en James Bond girls.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Du pain sur la planche, donc, mais Daniel Craig se bat vaillamment, dans un film où le grand spectacle se teinte d’une tonalité plus sombre.
Le Parisien
par Alain Grasset
La tradition est dignement respectée : gadgets stupéfiants, smoking impeccable, Aston Martin volante... Mission accomplie pour ce Bond bondissant (Craig parfait), un tantinet longuet mais au bout du compte très efficace et spectaculaire. On apprécie aussi une certaine autodérision.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Jérôme Vermelin
La limite de "Spectre", s’il faut chercher la petite bête, c’est d’arriver après "Skyfall". (...) Ce 24e opus est définitivement moins profond, moins émouvant. Mais définitivement captivant, à sa manière, plus glamour, spectaculaire, souriante aussi sans tomber dans les travers kitsch de l’ère Roger Moore.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un James Bond comme on l'aime.
Public
par Florence Roman
Daniel Craig fait le job, épaulé par une Léa Seydoux qui refuse de jouer les faire-valoir. Ce n'est pas le meilleur Bond, mais c'est un bon cru.
Télérama
par Pierre Murat
POUR : L'intelligence et le brio de Sam Mendes risquent de rendre difficile, désormais, la vision des Bond de jadis.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
"007 Spectre" rappelle ces pochettes surprises qu’on trouvait, enfant, dans les boulangeries et autres supermarchés. On savait à peu près sur quoi on allait tomber, on était parfois déçu, mais souvent ravi. Juste le plaisir du cadeau.
Voici
par La rédaction
Une aventure spectaculaire, peuplée de morts, d'explosions, de références aux personnages de la saga et d'humour. Sans oublier la romance attendue.
CNews
par La Rédaction
Reste qu’après le coup d’éclat de "Skyfall", au cours duquel le passé de James avait été exploré – une première – "007" Spectre a du mal à lui tenir la dragée haute et son histoire paraît un peu fade. Malgré tout, ce blockbuster offre du grand spectacle, au niveau de ce que tout fan de films d’espionnage est en droit d’attendre.
Elle
par Khadija Moussou
Au final, on ressort avec la drôle d’impression d’être face à un blockbuster 100% hollywoodien, bourré d’humour, d’action et de jolies filles qui savent se battre. Mais pour un film d’espionnage intelligent et moderne, il faudra repasser.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Trois ans après son magistral "Skyfall", Sam Mendes propose un retour aux fondamentaux. Un Bond de facture très classique et sans grand éclat.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Toma Clarac
Dès lors, l'ouverture ratée de "Spectre" (...), ne pouvait pas entraver notre joie de retrouver un acteur qui a su se faire rare. Une joie tenant pour beaucoup à la sobriété souveraine avec laquelle il exécute les gestes de l'espion gentleman.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Express
par Eric Libiot
Mendes fait un magnifique boulot et quelques scènes s'affichent en grand spectacle. Mais le scénario, pièce maîtresse de l'échafaudage quoi qu'on dise, empile les lieux, les décors, les bagnoles et les conquêtes sans jamais trouver suffisamment de jus pour activer la machine à suspense et à tension.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Résultat, un épisode plus musclé, plus exotique, plus classique que le précédent. Côté méchants, une brute épaisse et deux freluquets dont un épigone de Big Brother. Mais pas un qui ne parvienne à la cheville de Javier Bardem, Gert Froebe, Richard Kiel. Le tout saupoudré d’un humour à l’or fin d’une exquise élégance.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
"Spectre" marque un retour à la mythologie d’origine, du générique sensuel à une narration chapitrée selon les pays parcourus, qui peut paraître décousue par moments et occasionner des baisses de régime. Le film remplit cependant son cahier des charges en termes de divertissement, du plan séquence d’ouverture ahurissant aux courses-poursuites qui défient la gravité.
Le Point
par Phalène de La Valette
Alors oui, tout cela est un peu prévisible, et non, on ne retrouve pas la profondeur et la poigne du précédent. (...) Finalement, la force de "Spectre" réside moins dans ses héros et dans son scénario que dans les questions qu'il soulève sur le thème, très post-Snowden, de la surveillance de masse.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Alain Spira
Après avoir été mis en orbite dans une centrifugeuse, le spectateur revient tout doucement dans le monde normal et référencé du Bond old school. Dès lors, le film étire son scénario comme des tentacules, mais les ventouses ont du mal à nous scotcher à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par David Fakrikian
Pendant une heure, "007 Spectre" est un James Bond parfait, avant de redescendre brutalement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Eric Libiot
Mise en scène brillante de Sam Mendes mais scénario basique. Déception contenue.
TF1 News
par Romain Le Vern
Moins opératique et mélancolique que "Skyfall", "007 Spectre" reste sur les rails, exécuté sans excitation. Avec une faiblesse (Christoph Waltz, bégayant dans un registre qu'il connait trop bien) et un atout (Lea Seydoux, parfaite en James Bond Girl).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 2 semaines
par Gwenola Trouillard
Surtout, on est heureux de voir James Bond, incarné par le toujours impeccable Daniel Craig, reprendre son destin en mains. (...) On doit cependant ajouter deux bémols. D’abord, le super-méchant de l’affaire, interprété par un Christoph Waltz très cabotin, est en dessous du génial et tordu psychopathe de "Skyfall" joué par Javier Bardem. Et les James Bond Girls déçoivent également.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Si certaines scènes spectaculaires, à l'image de l'ouverture exceptionnelle, nous enchantent, l'ensemble, un brin mécanique, souffre de longueurs et d'un manque d'âme.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Les Britanniques inoculent une nouvelle fois l’obsession orwellienne dans un James Bond paranoïaque et efficace qui se cherche un peu (trop) dans les clivages passé/présent, entre la nostalgie d’un monde mourant, avec ses héros taillés dans le marbre, et les doutes quant à ses propres perspectives de franchise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Si on ne manquera pas de dire que "Spectre" déçoit les attentes suscitées par "Skyfall", c’est qu’en réalité il ne fait que reprendre, amplifier, rendre plus évidente les coutures de son schizophrénique prédécesseur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Dans "Skyfall", au moins, il y avait un Javier Bardem grandiose en méchant queer, les images sublimes de Roger Deakins, des décors flamboyants. Ils cèdent la place ici à un bad guy de pacotille, une photo sous-exposée qui appelle le sommeil, un récit sans peps et des scènes d’action - hormis la première - emballées de manière ultra-fonctionnelles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Trois ans après son excellent "Skyfall", Sam Mendes renoue avec la nostalgie des premiers James Bond sans jamais retrouver l’éclat de son film précédent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
Mendes a désappris tout ce que "Casino Royale" lui avait inspiré, tout ce que "Skyfall" avait sublimé. Les gadgets sont revenus, rouages scénaristiques pensés pour distraire le regard des grosses ficelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par La Rédaction
Le dernier James Bond conjugue avec maladresse accès sécuritaires et traumas enfantins. Permis d’ignorer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Alexandre Gefen
Les aventures de 007 filmées par Sam Mendes manquent d'intensité dramatique (...).
Sud Ouest
par Sophie Avon
Du menu fretin en comparaison des enjeux de "Skyfall" dont la mise en scène, également de Sam Mendes, participait à la vénéneuse séduction des gouffres. Et si James Bond était condamné à descendre aux enfers ?
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Faire un film carburant à l’imagerie douteuse, au placement de produit et à une touche arty pour faire passer la pilule, ce n’est pas tout à fait nouveau. Mais plus qu’à l’habitude, il y a là une sorte de suffisance décomplexée assez dégoûtante.
Télérama
par Guillemette Odicino
CONTRE : Depuis son enthousiasmant "Mission impossible 5", on se demandait si Tom Cruise-Ethan Hunt allait l'emporter sur Daniel Craig-007. Après un tel Bond en arrière, il n'y a plus de doute.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
En bref, si l'on ne ressort pas de "007 Spectre" totalement conquis, on ne peut nier le plaisir que l'on a eu à retrouver 007. Ce 24è volet demeure un divertissement de grande qualité et un spectacle total (...).
Closer
Un opus nerveux avec Léa Seydoux et Monica Bellucci en James Bond girls.
Le Dauphiné Libéré
Du pain sur la planche, donc, mais Daniel Craig se bat vaillamment, dans un film où le grand spectacle se teinte d’une tonalité plus sombre.
Le Parisien
La tradition est dignement respectée : gadgets stupéfiants, smoking impeccable, Aston Martin volante... Mission accomplie pour ce Bond bondissant (Craig parfait), un tantinet longuet mais au bout du compte très efficace et spectaculaire. On apprécie aussi une certaine autodérision.
Metro
La limite de "Spectre", s’il faut chercher la petite bête, c’est d’arriver après "Skyfall". (...) Ce 24e opus est définitivement moins profond, moins émouvant. Mais définitivement captivant, à sa manière, plus glamour, spectaculaire, souriante aussi sans tomber dans les travers kitsch de l’ère Roger Moore.
Ouest France
Un James Bond comme on l'aime.
Public
Daniel Craig fait le job, épaulé par une Léa Seydoux qui refuse de jouer les faire-valoir. Ce n'est pas le meilleur Bond, mais c'est un bon cru.
Télérama
POUR : L'intelligence et le brio de Sam Mendes risquent de rendre difficile, désormais, la vision des Bond de jadis.
VSD
"007 Spectre" rappelle ces pochettes surprises qu’on trouvait, enfant, dans les boulangeries et autres supermarchés. On savait à peu près sur quoi on allait tomber, on était parfois déçu, mais souvent ravi. Juste le plaisir du cadeau.
Voici
Une aventure spectaculaire, peuplée de morts, d'explosions, de références aux personnages de la saga et d'humour. Sans oublier la romance attendue.
CNews
Reste qu’après le coup d’éclat de "Skyfall", au cours duquel le passé de James avait été exploré – une première – "007" Spectre a du mal à lui tenir la dragée haute et son histoire paraît un peu fade. Malgré tout, ce blockbuster offre du grand spectacle, au niveau de ce que tout fan de films d’espionnage est en droit d’attendre.
Elle
Au final, on ressort avec la drôle d’impression d’être face à un blockbuster 100% hollywoodien, bourré d’humour, d’action et de jolies filles qui savent se battre. Mais pour un film d’espionnage intelligent et moderne, il faudra repasser.
Franceinfo Culture
Trois ans après son magistral "Skyfall", Sam Mendes propose un retour aux fondamentaux. Un Bond de facture très classique et sans grand éclat.
GQ
Dès lors, l'ouverture ratée de "Spectre" (...), ne pouvait pas entraver notre joie de retrouver un acteur qui a su se faire rare. Une joie tenant pour beaucoup à la sobriété souveraine avec laquelle il exécute les gestes de l'espion gentleman.
L'Express
Mendes fait un magnifique boulot et quelques scènes s'affichent en grand spectacle. Mais le scénario, pièce maîtresse de l'échafaudage quoi qu'on dise, empile les lieux, les décors, les bagnoles et les conquêtes sans jamais trouver suffisamment de jus pour activer la machine à suspense et à tension.
La Voix du Nord
Résultat, un épisode plus musclé, plus exotique, plus classique que le précédent. Côté méchants, une brute épaisse et deux freluquets dont un épigone de Big Brother. Mais pas un qui ne parvienne à la cheville de Javier Bardem, Gert Froebe, Richard Kiel. Le tout saupoudré d’un humour à l’or fin d’une exquise élégance.
Le Journal du Dimanche
"Spectre" marque un retour à la mythologie d’origine, du générique sensuel à une narration chapitrée selon les pays parcourus, qui peut paraître décousue par moments et occasionner des baisses de régime. Le film remplit cependant son cahier des charges en termes de divertissement, du plan séquence d’ouverture ahurissant aux courses-poursuites qui défient la gravité.
Le Point
Alors oui, tout cela est un peu prévisible, et non, on ne retrouve pas la profondeur et la poigne du précédent. (...) Finalement, la force de "Spectre" réside moins dans ses héros et dans son scénario que dans les questions qu'il soulève sur le thème, très post-Snowden, de la surveillance de masse.
Paris Match
Après avoir été mis en orbite dans une centrifugeuse, le spectateur revient tout doucement dans le monde normal et référencé du Bond old school. Dès lors, le film étire son scénario comme des tentacules, mais les ventouses ont du mal à nous scotcher à l’écran.
Première
Pendant une heure, "007 Spectre" est un James Bond parfait, avant de redescendre brutalement.
Studio Ciné Live
Mise en scène brillante de Sam Mendes mais scénario basique. Déception contenue.
TF1 News
Moins opératique et mélancolique que "Skyfall", "007 Spectre" reste sur les rails, exécuté sans excitation. Avec une faiblesse (Christoph Waltz, bégayant dans un registre qu'il connait trop bien) et un atout (Lea Seydoux, parfaite en James Bond Girl).
Télé 2 semaines
Surtout, on est heureux de voir James Bond, incarné par le toujours impeccable Daniel Craig, reprendre son destin en mains. (...) On doit cependant ajouter deux bémols. D’abord, le super-méchant de l’affaire, interprété par un Christoph Waltz très cabotin, est en dessous du génial et tordu psychopathe de "Skyfall" joué par Javier Bardem. Et les James Bond Girls déçoivent également.
Télé 7 Jours
Si certaines scènes spectaculaires, à l'image de l'ouverture exceptionnelle, nous enchantent, l'ensemble, un brin mécanique, souffre de longueurs et d'un manque d'âme.
aVoir-aLire.com
Les Britanniques inoculent une nouvelle fois l’obsession orwellienne dans un James Bond paranoïaque et efficace qui se cherche un peu (trop) dans les clivages passé/présent, entre la nostalgie d’un monde mourant, avec ses héros taillés dans le marbre, et les doutes quant à ses propres perspectives de franchise.
Critikat.com
Si on ne manquera pas de dire que "Spectre" déçoit les attentes suscitées par "Skyfall", c’est qu’en réalité il ne fait que reprendre, amplifier, rendre plus évidente les coutures de son schizophrénique prédécesseur.
L'Obs
Dans "Skyfall", au moins, il y avait un Javier Bardem grandiose en méchant queer, les images sublimes de Roger Deakins, des décors flamboyants. Ils cèdent la place ici à un bad guy de pacotille, une photo sous-exposée qui appelle le sommeil, un récit sans peps et des scènes d’action - hormis la première - emballées de manière ultra-fonctionnelles.
La Croix
Trois ans après son excellent "Skyfall", Sam Mendes renoue avec la nostalgie des premiers James Bond sans jamais retrouver l’éclat de son film précédent.
Le Monde
Mendes a désappris tout ce que "Casino Royale" lui avait inspiré, tout ce que "Skyfall" avait sublimé. Les gadgets sont revenus, rouages scénaristiques pensés pour distraire le regard des grosses ficelles.
Libération
Le dernier James Bond conjugue avec maladresse accès sécuritaires et traumas enfantins. Permis d’ignorer.
Marianne
Les aventures de 007 filmées par Sam Mendes manquent d'intensité dramatique (...).
Sud Ouest
Du menu fretin en comparaison des enjeux de "Skyfall" dont la mise en scène, également de Sam Mendes, participait à la vénéneuse séduction des gouffres. Et si James Bond était condamné à descendre aux enfers ?
Cahiers du Cinéma
Faire un film carburant à l’imagerie douteuse, au placement de produit et à une touche arty pour faire passer la pilule, ce n’est pas tout à fait nouveau. Mais plus qu’à l’habitude, il y a là une sorte de suffisance décomplexée assez dégoûtante.
Télérama
CONTRE : Depuis son enthousiasmant "Mission impossible 5", on se demandait si Tom Cruise-Ethan Hunt allait l'emporter sur Daniel Craig-007. Après un tel Bond en arrière, il n'y a plus de doute.