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    Her
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    1 350 critiques spectateurs

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    Critiques d un passionné
    Critiques d un passionné

    78 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 décembre 2022
    Aujourd’hui, on va rester dans la Science-fiction, mais d’un tout autre genre, même si les deux films ont un point en commun : deux IMMENSES chefs d’œuvre.
    HER est un ovni cinématographique, un film qui repose sur un concept, mais l’exploite à la perfection. Spike Jonze nous propose une histoire d’amour comme on n’en n’a jamais vu, mais surtout une fable philosophique d’une grande profondeur sur le deuil amoureux, les rapports humains, la solitude…

    C’est un film d’anticipation, mais contrairement à ce que l’on voit souvent avec des futurs sombres, ici tout semble parfait dans un univers édulcoré aux couleurs pastelles. La direction artistique est d’ailleurs exemplaire. Il y a pourtant une mélancolie qui plane avec cette population qui semble ne plus arriver à exprimer ses sentiments au point de faire appel à une entreprise pour imaginer les courriers à écrire à leurs proches.

    C’est donc le métier de notre héros, Théodore, obsédé par les regrets et l’amour qu’il porte à son ex-femme. Il fait l’acquisition d’un système d’exploitation doté d’une intelligence artificielle avec laquelle va naitre mémorable relation.

    On notera la prouesse des deux acteurs. Joaquin Phoenix qui n’a pas attendu JOKER pour montrer son immense talent, mais aussi Scarlett Johansson qui juste par sa voix off est magnétique et donnera corps à son personnage. La grande majorité du film est consacré à leurs échanges, pourtant, pendant les deux heures que dure le film, on ne voit pas le temps passer et on est absorbé par leurs conversations, dont l’écriture est d’une finesse rare.

    Mais si le film est aussi marquant, c’est aussi grâce à la mise en scène de Spike Jonze qui arrive à capter chaque moment avec énormément de sensibilité. Certains plans transpirent de poésie, aidés par une photographie et une musique somptueuse. Même lorsqu’ils sont muets, comme les réminiscences amoureuses de Théodore, ça raconte tellement de choses.

    HER c’est le genre de film qui, quand le générique de fin arrive, te laisse submergé d’émotions et dont certains dialogues, certains plans, restent encrés en toi pendant longtemps…

    https://www.facebook.com/CritiquesCinemaetFestivaldAvignon
    VinzParker
    VinzParker

    38 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mars 2015
    Quelle belle surprise !!! Une grande réussite..
    Un film qui change, un film original et audacieux. L'un des meilleurs en 2014.
    Ce film mérite l'oscar du meilleur scénario original car il est superbement écrit, avec des dialogues bien ficelés.. On a devant nous une superbe histoire d'amour, vraiment romantique malgré les préjugés ( dû fait que ce n'est qu'un système d'exploitation ). C'est ce qui rend tout le charme à ce joli petit film d'auteur sur soupçon de science-fiction.
    Un film à la fois drôle et émouvant spoiler: (surtout à la fin)
    .
    Très belle prestation des acteurs, Joaquin Phoenix est vraiment stupéfiant. De plus, on a de superbes seconds rôles, comme Amy Adams ou même Olivia Wilde.
    Une superbe musique, avec une belle BO de la part d'Arcade Fire..
    On ne s'ennuit guère. On passe 2h05 de pur bonheur où on s'évade completement dans ce monde futuriste, voire même utopique..
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    324 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2014
    Spike Jonze est un type assez spécial dans le genre touche à tout : on l’a d’abord vu faire le con avec ses potes Knoxville & Cie dans les films "Jackass", puis il a réalisé le documentaire "D.A.F.T." qui accompagnait la sortie l'album « Homework » des Daft Punk et il a fini par se faire découvrir dans le 7ème Art avec des films aussi surprenant que "Dans la Peau de John Malkovich", "Adaptation" et "Max et les Maximonstres". Je me doutais bien que pour son nouveau film, il allait continuer de travailler hors des sentiers battus, mais il faut avouer qu’il m’ encore bluffé en lisant le pitch de son bébé : dans un futur proche, Théodore, un homme sensible qui encaisse mal sa récente rupture avec sa femme, fait l'acquisition d'un nouvel OS (système d’exploitation pour ordinateur) révolutionnaire : capable de s'adapter à la personnalité de son utilisateur, il peut converser avec ce dernier. En installant l’OS, Théodore découvre alors « Samantha », une voix féminine intelligente, intuitive et étonnamment drôle. Leur étonnante relation va alors évoluer de la façon la plus incroyable qu’il soit …Et oui, il fallait oser aborder un thème pareil : l’homme peut-il aimer une machine ?! De ce postulat de base fou, Jonze nous livre un film magnifique qui parle réalistement de sentiments et d’amour, tout en nous faisant réfléchir au fait que la recherche absolue de la modernisation peut s’avérer être dangereuse (j’ai presque envie d'utiliser le terme « anthropophage »). C’est beau, touchant, poignant, toujours juste, réaliste, comment ne pas se retrouver à un moment dans un tel maëlstrom de sentiments ? Je comprend beaucoup mieux à présent pourquoi "Her" a remporté l’oscar 2014 du meilleur scénario ! Je n’avais pas revu Joaquin Phoenix dans un film depuis "Walk The Line", et bien quel retour : il porte sur ses épaules tout le film et nous livre LE rôle de sa carrière ; et quand à Scarlett Johansson, même si on ne la voit jamais et qu’on n’entend que sa voix (très sensuelle), elle est tout aussi présente que Phoenix et nous livre certainement sa meilleure prestation depuis longtemps (un comble quand on sait qu’on la choisit souvent pour sa plastique irréprochable !). Leur duo est vraiment fantastique et arrive à nous émouvoir au plus profond de notre être.
    Véritable OFNI se révélant être une incroyable bouffée d’air, "Her" est un magnifique film d’amour qui a tout pour devenir LA référence en la matière (oui, oubliez "500 jours ensemble", "Pretty Woman", "Twilight", "Coup de Foudre à Nothing Hill" ou autres "Bridget Jones" : "Her" les surclasse totalement !!)
    Mephiless s.
    Mephiless s.

    62 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 janvier 2015
    Her pose énormément de questions, qu'est-ce l'amour? Qu'est-ce qu'aimer?
    Her a eu d'ailleurs l'oscar du meilleur scénario, ce qui est amplement mérité.
    Her c'est aussi un film avec une esthétique et un univers à part, totalement magnifiques.
    Il est difficile de décrire Her, je suis personnellement encore touché par ce film, tellement d'émotions passent dans ce film, tout est génial dans ce film, les acteurs, les décors, les personnages secondaires, les dialogues vraiment originaux.. Her innove dans la romance, ça change des histoires d'amours de d'habitude, (je n'ai rien contre). Spike Jonze a le courage de proposer du renouveau dans le cinéma et ça, cela fait du bien.
    bsalvert
    bsalvert

    408 abonnés 3 579 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 novembre 2014
    rares sont les films dont on attend la fin avec autant d'impatience car autant le film est original par le thème abordé et pose de vraies questions autant l'acteur lasse
    PLV : nouveau thème, manière sympa de tourner
    Ashitaka3
    Ashitaka3

    107 abonnés 1 206 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2016
    Ce film est une ode à la vie et à l'amour. Oscar du meilleur scénario, interprété par des acteurs au sommet de leur art, Spike Jonze réunit tous les éléments dans cette incroyable romance futuriste qui transporte si facilement et nous fait vivre beaucoup d'incroyables moments. Doté d'une musique hypnotisante, de dialogues affutés, de séquences riches en émotions, on va très vite à l'essentiel, et l'histoire surprend à tous les niveaux. Chef-d’œuvre évidemment, c'est stupéfiant et on en sort à la fois pleins de questions, pleins de doutes, une suite serait inespérée et salvatrice.
    luTIn -.
    luTIn -.

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 avril 2014
    C'est la première fois que j' écris une critique, il faut dire que là on est devant un spécimen : une escroquerie intellectuelle supérieure à Gravity. Des dialogues faussement profonds, une intrigue lente à mourir momifié. Élément perturbateur ? À 1h40 de l intrigue. Film niais aux scènes répétitives, et en plus par moments vulgaires, rarement mais déjà trop. Mais je parle du vulgaire inutile et malvenu, celui de la voie de facilité.
    Je ne sais expliquer les notes qu il reçoit. C' est très flippant tout ça..
    Et pour j aime les films de Terrence Malick
    scarface666
    scarface666

    187 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mars 2014
    Viens de voir Her. Le film parle d'un sujet déjà bien connu de la culture geek. C'est à dire d'un homme qui tomberait amoureux de la technologie... au sens propre. Théodore Twombly achète un nouveaux système d'exploitation à Intelligence Artificielle. Ce système, qui est censé améliorer sa vie de tout les jours, se prénomme "Samantha", et est doté de sa propre personnalité. Très vite, ils tombent amoureux l'un de l'autre. "Her" n'est ni plus ni moins qu'une histoire d'amour a l’eau de rose avec son lots de crise, de séparation et de retrouvaille.... mais traiter d'une façon plus originale. Comment un ordinateur et un homme peuvent t'ils vivrent une relation ? Oui, dit comme ça, cela peut sembler être une comedie, mais non, c'est juste complexe et bien écrit. Je vous le conseille si vous êtes patient avec les film un peu lent. Bonne pioche.
    pierre72
    pierre72

    137 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mars 2014
    L'affiche n'est pas trompeuse, il y a autant d'action dans "Her" que la photo le laisse supposer. Pourtant le film est loin d'être exempt de qualités, mais un scénario essentiellement basé sur une histoire d'amour bien terne, noie un propos et une toile de fond intéressants.
    Théodore, est fraîchement divorcé. Son boulot d'écrivain public sur le net est loin de combler le néant de sa vie affective. En acquérant un nouveau système d'exploitation, doté d'une intelligence artificielle évolutive, il fait la connaissance de Samantha, correspondante virtuelle à la voix de Scarlett Johansson. Ils vont converser tous les jours, devenant de plus en plus complices et finir par faire l'amour virtuellement. La suite est plus conventionnelle, l'amour réel et son ersatz informatique prennent souvent les mêmes chemins balisés : présentation aux amis, jalousie, peur de se perdre, ....
    Dans un monde aux douces tonalités pastels, les humains déambulent seuls, une oreillette à l'oreille, sans aucun regard pour leur voisin. Ils conversent avec des voix artificielles qui comblent une solitude endémique. Seul leur habillement souligne un peu le côté enfermement à l'instar de ces pantalons, d'homme en grosse laine, à la taille très haute et à la braguette surdimensionnée, car le monde dans lequel ils vivent est beau, propre, moderne et agréablement coloré. La toile de fond dans laquelle évoluent les personnages est convaincante par sa simplicité et en parfaite adéquation avec la méga solitude contemporaine décrite. Là où le film pêche un peu, c'est dans le traitement de l'histoire d'amour entre Samantha et Théodore. Si la voix virtuelle, élément indispensable pour rendre l'histoire crédible, est évidemment d'une grande sensualité, puisque achetée par son utilisateur (prostitution ? ), la mise en image de ces amours informatiques n'a pas réussi pas à m'emballer. Joaquim Phoenix qui interprète sobrement Théodore, est filmé en plan serré, allongé, debout, de trois quart, souriant. Cela doit être un bonheur pour ses nombreux fans de l'admirer pendant plus de deux heures mais finit tout même par lasser. A l'écran, l'histoire, construite selon un schéma vieux comme le monde, avance uniquement grâce aux dialogues et l'originale virtualité de l'idylle, ne l'empêche nullement de sombrer dans le banal. Et si je prends la scène de la première relation sexuelle (?!), ressemblant au cinéma de Marguerite Duras lorsqu'elle proposait des films avec seulement un écran noir et une bande son, son manque d'audace confine à un aveu d'impuissance à pouvoir illustrer ces coïts à distance.
    La fin sur le blog
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 mai 2014
    Her a été le gagnant du meilleur scénario original lors des Oscars 2014, autant dire un lot de consolation face au 5 nominations auxquelles le film avait eu droit.
    Mais également légitime tant le scénario et l'univers décrit y est exceptionnellement riche en bonnes idées et très bien mise en scène par de magnifique plans au symbolisme fort (on retiendra celui où Théodore se trouve assis derrière un écran géant représentant un hibou près à l'agripper ou encore ce magnifique plan final).
    Her fait le portrait de Theodore Thombly, un homme plutôt asocial et triste incarnant l'état d'esprit de la masse en général. Tristesse qu'essaye de masquer un univers futuriste aux intérieurs très colorés, très festifs mais aux façades maussades comparables à celles de nos jours (et donc du passé pour le film) donnant un mélange de couleurs d'un goût douteux car ne s'y accommodant pas du tout, renvoyant alors à Theodore, qui en se ressassant le passé, refuse (malgré lui) de vivre dans le présent et donc de s'épanouir. Pour essayer de l'oublier ou du moins de vivre avec, il va s'inscrire à un programme lui créant un "OS" (avec la voix de Scarlett Johansson, qui réussit l'exploit d'être émouvante avec seulement l'intonation de sa voix), une personne virtuelle, sans corps, à son image mais doté d'une conscience (reflet de la sienne ? On peut en douter...) dont il va peu à peu tomber amoureux.
    Le film aborde alors le thème de la sociabilité où l'informatique prend de plus en plus le dessus sur l'humain pour combler un vide, ce manque se creusant à mesure que la machine s'humanise, privant l'humain de relations extérieures tant celle qu'il entretient avec son ordinateur est plus "humaine" (cet isolement arrivant à son paroxysme avec le lieu de vacance de Théodore). Autrement dit, on a affaire à un système à double-tranchant.
    Peu à peu, à mesure que le film avance, l'on se rend compte que Theodore est loin d'être le seul à privilégier une relation virtuelle lorsque l'on voit que les passants dans la rue ne font plus attention où ils marchent, les yeux rivés sur leurs téléphones, les oreilles focalisées sur les paroles de leur nouveau (nouvelle) meilleur(e) ami(e), couper du monde et donc de la réalité.
    Mais alors, la machine est-elle plus humaine que l'humain lui-même de par les émotions ressenties ? Si tel n'était pas le cas, le monde n'aurait pas adopté ce programme.
    Cependant quelques personnes restent différentes à l'instar d'Amy joué par Adams, très touchante (et toujours aussi charmante malgré sa coiffure), toujours réconfortante pour Théodore grâce à son honnêteté ainsi qu'à sa capacité à toujours pouvoir mettre des mots sur un sentiment tout en le gardant véritables, en évitant de le dénaturer.
    Théodore est lui incarné par Joaquin Phoenix, toujours très juste dont le personnage à la moustache (retour aux années 70) incarne la masse malheureuse de cet environnement, un monsieur tout le monde fragile qui n'arrive pas à se remettre d'un divorce après "seulement" un an de mariage.
    Ces deux meilleurs amis vont tour à tour se réconforter puis réellement spoiler: se réunir ensemble
    à la fin du film, apogée de tout ce que nous a précédemment raconté le film.
    Un aboutissement parfait de 2h d'émotions toutes en retenues, la niaiserie étant totalement absente du long-métrage au profit d'une mélancolie accentuée par une très belle photographie, à la fois réaliste et pourtant si reposante et "chaude" (sauf dans les scènes extérieures et ses buildings couleur m*rdes de pigeons). Ainsi qu'une bande originale composé par le groupe Arcade Fire (je déteste leur dernier album mais j'aime beaucoup ce qu'ils ont produit ici) très calme, alternant principalement le piano et la guitare mais toujours dans de musiques aux rythmes lents.
    Tout cela nous rappelant que la fin d'un film est surement sa partie la plus importante, il s'agit de ce que le spectateur retiendra de ce qu'il vient de voir (déception ou pas). Si celle-ci est bâclée, alors il en restera un goût amère dans la bouche du spectateur mais si en revanche cette dernière est réussie, c'est à dire si elle arrive à être autant surprenante que cohérente avec ce que l'on vient de voir, alors le spectateur sera comblé et c'est cette fin qui lui fera rappeler que ce qu'il vient de voir était bon si ce n'est plus.
    J'en resterai bien là, la "règle" de la fin d'un long-métrage s'appliquant également à mon écrit (bon ou pas, à vous d'en juger) mais toute critique se doit d'avoir une conclusion alors la voici :
    Chef d'œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 mars 2014
    Her est une véritable révélation en ce début d'année 2014. Racontant la love story improbable entre un être solitaire et un nouveau système d'exploitation intelligent baptisé "OS1", le film est incroyablement réaliste et visionnaire, collant parfaitement à l'évolution technologique actuelle. On est partagé entre la tristesse, la joie et la gêne ressentie lors de situations inacceptables en société, comme par exemple faire l'amour avec une intelligence artificielle (!). La solitude et le renfermement de Théodore, le héros principal, va le conduire à se rapprocher encore plus de cette intelligence dotée d'émotions et capable d'évoluer. On est alors pris d'une empathie inavouable envers notre héros et son AI (merveilleusement interprétée par la voix suave de Scarlett Johansson, ce qui justifie la disponibilité du film uniquement en VO) , à tel point qu'on oublie à certains moments qu'il ne s'agit que d'un ordinateur.

    Enfin, le tout est magistralement mis en scène, les plans sont magnifiques et la B.O colle parfaitement. Her est sans nul doute l'un des films les plus marquants de ce début 2014 et vous feriez une grosse erreur de passer à côté !
    basicanton
    basicanton

    17 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mars 2014
    Je me suis ennuyé ferme. Ce scénario est de toutes façons un tunnel dont l'histoire ne peut sortir. Ne vous attendez pas à des rebondissements ou autre, spoiler: C'est juste l'histoire d'un type amoureux de la voix d'un SIRI amélioré
    . Ca tient donc sur moins d'une ligne. Sans compter que je ne tiens pas Phoenix malgré son côté beau gosse pour un super acteur, en plus en VO il a la voix de Dany Boon. Dur à supporter pendant 2 heures.
    ffred
    ffred

    1 698 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mars 2014
    S'il y a bien un réalisateur atypique dans le cinéma américain, c'est bien Spike Jonze. Une certaine ambiance, une patte reconnaissable. A part Max et les maximonstres, auquel je n'ai pas du tout adhéré, Dans la peau de John Malkovich et Adaptation, ses deux premiers longs métrages, étaient aussi formidables et originaux qu'étranges. Couvert de prix (dont le dernier Oscar du meilleur scénario original) et précédé d'une excellente rumeur, Her était donc très attendu. On retrouve toujours cet...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 avril 2014
    Très décevant. Film mou qui tourne en rond et manque clairement de subtilité. Un peu à l'image de ce personnage principal qui se complait dans son malheur, le film mène nul part. Et le problème c'est qu'on le comprend au tiers de ce film, cela devient vraiment pénible. Je me suis retenu pour ne pas quitter la salle et attendre la chute. A éviter selon moi.
    Aramus34
    Aramus34

    7 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mars 2014
    Original et universel, futuriste et intemporel, drôle et émouvant, ce film est une alchimie fascinante où le surréalisme des situations sonne parfaitement juste. Joaquin, magnifique de subtilité, Scarlett, sensuelle et troublante. Les plans sont doux et beaux. L'ambiance et la musique ajoutent une touche mélancolique indescriptible. Tout est intelligent et profond, sans lourdeur. Superbe film.
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