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    Coco
    Note moyenne
    4,5
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    1 299 critiques spectateurs

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    Tom-el
    Tom-el

    5 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    En sortant de la salle de cinéma, la première chose que vous aurez envie de faire, ce sera d'aller passer du temps avec votre famille, tout simplement, car ce film est une véritable ode à la vie et à l'amour. Donc peu importe votre âge, allez voir ce film car aucune critique n'est nécessaire, foncez-y les yeux fermés.
    On peut quand même souligner l'excellence du doublage français sur ce film et en particulier le jeune Andrea Santamaria qui prête sa voix parlée et chantée au héros Miguel. D'ailleurs, après avoir écouté les chansons en anglais, je peux dire que celles en français n'ont absolument rien à leurs envier.
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    914 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 novembre 2017
    "Coco"

    Pixar est une religion chez moi, et chaque nouveau film est attendu chez moi comme le Messie.
    Même si quelques films étaient en deça des attentes, le studio reste le ténor de l'animation 3D (Disney commence à vouloir jouer sur les mêmes plate-bandes d'ailleurs

    Là où un Pixar est très attendu est surtout quand un nouveau film de Brad Bird, Andrew Stanton, Pete Docter,John Lasseter ou encore Lee Unkrich est annoncé.

    Ce dernier peut être considéré comme un novice finalement, Coco étant "seulement" son 2e film. Et pourtant, il a tout d'un grand désormais.

    7 ans après un Toy Story 3 magistral, le réalisateur revient avec une nouvelle aventure aux multiples niveaux de lecture, ayant pour cadre le Mexique et le fameux Dias de Los Muertos !

    Miguel Rivera, un jeune garçon de 12ans, a pour passion la musique, comme son idole Ernesto de la Cruz (le plus grand chanteur de tous les temps!). Cependant, sa famille a banni toute forme de musique telle une malédiction pour une raison ancestrale.
    Suite à un incident, Miguel se retrouve projeté dans le monde des morts et tente de revenir parmi les vivants, tout en voulant accomplir son rêve.

    Je n'en dis pas plus, le scénario semble classique au premier abord mais à l'instar des chef-d'oeuvres du studio, la richesse du film apparaît très vite, traîtant avec maestria les thèmes de la famille, de la passion, du regret, des traditions et bien sûr du passage à l'âge adulte.

    Le rythme est tout simplement parfait, l'animation est époustouflante, la direction artistique est prodigieuse (on pourrait faire la comparaison avec la Légende de Manolo sorti il y a quelques années, reprenant le même cadre et le concept du passage vers le monde des morts, mais toute comparaison s'arrête là), le casting vocal est tout simplement parfait, le scénario excellent....

    Michael Giacchino (un habitué du studio) revient pour une nouvelle bande originale sublime, emprunte des sonorités à la gratte-sèche si chères au Mexique, et est même présent sous forme de caméo/easter-egg.

    Pixar revient avec un nouveau film majeur,une oeuvre profondément sincère, superbe, ambitieuse visuellement, où le rire se mêle aux larmes: on avait pas eu des scènes aussi lacrymales depuis la fin de Toy Story 3 ou encore le destin de Bing Bong dans Vice-Versa. C'est simple, les 20 dernières minutes sont aussi puissantes que les 10 premières minutes de Là-Haut.

    Je pourrai continuer encore, mais si je devais résumer : courez-voir "Coco" (le titre du film prend tout son sens à la fin du récit, et dévoile le véritable thème de cette pépite), un voyage tout simplement prodigieux. Ne cherchez plus, l'Oscar du film d'Animation lui revient de droit.
    Jorik V
    Jorik V

    1 274 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 novembre 2017
    Encore une fois les studios Pixar nous gratifient d’un superbe dessin animé qui amène à nous poser une question: mais quand s’arrêtera dont leur créativité débordante? Cette fois-ci, ils s’attaquent à la culture mexicaine avec leur célèbre Jour des Morts en toile de fond. La musique et la famille sont également au centre de « Coco » qui s’avère une merveille de film d’animation prompt à enchanter petits et grands pour les Fêtes de fin d’année. Si la trame générale reste classique avec présentation du héros de l’histoire, arrivée d’obstacles qui se mettent sur sa route suivi d’un récit d’aventures avec rebondissements et une fin forcément heureuse, tout cela est emballé avec tellement de savoir-faire qu’on ne peut s’empêcher d’apprécier.

    Mais, encore une fois, là où le studio à la lampe nous bluffe c’est dans l’aspect visuel de son long-métrage. On croyait leur souci du détail avoir atteint ses limites dans la perfection mais c’est sans compter le soin apporté à des éléments comme l’eau qu’on semblerait réelle ou encore la cire d’une bougie qu’on croirait fondre pour de vrai sous nos yeux. Jusque dans les arrières-plans, le degré d’excellence est impressionnant. Seuls les êtres humains ne sont pas encore arrivés à un tel aboutissement, la performance capture par exemple leur damant le pion. Les oreilles, par exemple ici, sont encore trop imparfaites. Mais l’esthétique soignée ne se borne pas au soin apporté aux finitions de l’animation mais également à la créativité débordante des auteurs. Il n’y a qu’à voir la féerie de couleurs que nous offre Lee Unkrich lorsque l’on découvre le monde des morts. C’est juste prodigieux! Quant à l’inventivité apportée aux décors, c’est un régal permanent pour les yeux. De bâtiments sortis d’un cartoon à un assemblage d’éléments baroques que ne renierait pas Tim Burton en passant par la folie générale et bigarrée qui imprègne les morts c’est du tout bon!

    Rares sont les films à destination des enfants qui parlent en outre de la mort d’une façon aussi détachée mais intelligente. En désacralisant une chose qu’il est loin d’être facile d’expliquer à sa progéniture, Pixar tente un pari qu’il réussit haut la main. Empreint de poésie et de douceur, cette histoire qui prône le respect de nos ancêtres et vante l’esprit de famille a tout bon. Elle parvient à parler d’un sujet tabou et difficile avec humour et sagesse. S’il manque peut-être de seconds couteaux qui fassent le boulot de l’humour et des gags (on ne rit pas souvent), « Coco » est un récit d’apprentissage et d’aventures très plaisant à regarder, qui a du coffre et du cœur. De quoi asseoir Pixar sur le trône de la perfection faite film d’animation pour encore très longtemps.
    S-Kayp
    S-Kayp

    153 abonnés 1 220 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 janvier 2018
    Coco est une merveille de la part de PIXAR. L'histoire est belle, drôle et émouvante. Le scénario est inventif et bien rythmé. Visuellement c'est super beau et très coloré. Quand on maîtrise aussi bien l'animation, ça ne peut que donner un chef-d'oeuvre !
    Cynévore
    Cynévore

    60 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mai 2018
    Avec n'importe quelle thématique, Pixar sait faire des merveilles. Que ce soit avec des jouets, des poissons, des rats, des robots ou même des morts, le ton reste joyeux, les personnages sont émouvants et les messages se révèlent profonds. Voilà ce que j'appelle de l'art! Une vision, et cela, Coco l'illustre parfaitement. C'est une histoire sur les morts et c'est plein de lumières, de couleurs et de musiques d'ambiance. En somme, c'est un "comment" magnifique, un point de vue inédit, soit deux bonnes raisons d'aller le voir.
    dominique P.
    dominique P.

    839 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2017
    Voilà un dessin animé très original et réussi.
    C'est frais, émouvant, coloré, plein d'aventures, tout mignon.
    On passe un excellent moment de divertissement bien agréable.
    Cinéphilion
    Cinéphilion

    59 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 janvier 2018
    Comme désormais chaque année, Pixar a sorti de sa boite de Pandore une nouvelle pépite immaculée pour les fêtes de fin d’année : « Coco » !
    Complète réinvention pour la maison de production, l’essence ethnique de ce nouveau film s’inspire des traditions hispaniques. De la pinata au sombrero, de la guitare gitane aux costumes de catch, cet aspect primaire de la culture mexicaine inonde l’acte introductif de vivacité.
    Ces premiers fondements offrent une ouverture dans l’interprétation fantaisiste de la Fête des Morts. De cet événement macabre qui se veut localement festif, Disney puise dans une imagination sans limites pour romancer le mythe religieux du paradis, celui du monde de là-haut, un idéal où les morts se retrouvent.
    C’est ainsi qu’à partir d’un sujet aussi funeste que le deuil, « Coco » résulte sur un folklore pleins de couleurs, d’émotions et de joie, aussi visuel que sonore. Tel un conte pour enfants qui relate l’histoire de la mort, ce récit finit paradoxalement par donner une seconde vie aux défunts. La véritable fin sera alors signifiée par l’oubli de l’être et une interprétation imagée du « devenir poussière ».
    S’adressant aussi bien aux enfants qu’aux adultes, le film est très accès aux attaches familiales. En effet, bien que le foyer soit déchirée, la moralité se veut unificatrice et universelle. Aussi, nombreuses sont les influences caricaturales inspirées des telenovelas fondées sur les relations charnelles et familiales. Un échange caricaturé entre les deux arrières grand-parents de Coco frise alors le grotesque dans un règlement de compte sentimental.
    En faisant de « Coco » un de ses meilleurs films jamais réalisés, la production Disney Pixar parvient éternellement à surprendre et animer les foules en levant toujours un peu plus le niveau. Ce dernier chef d’oeuvre mérite amplement son sacrement en tant que Meilleure Animation lors des derniers Golden Globes.
    Bilan : « Coco », une explosion de musique et de couleurs qui donne vie à la mort.
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    maximemaxf
    maximemaxf

    350 abonnés 260 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 novembre 2017
    Au milieu de toutes les suites non demandé par le public que Pixar à mis en chantier, dont le regardable mais étonnamment surestimé Le Monde de Dory et la très bonne surprise Cars 3, le seul projet original à être en chantier n’est autre que l’adaptation d’une aventure centrée sur la fête des morts au Mexique. Dont l’idée est naît de l’esprit de Lee Unkrich, déjà auteur du bijou du studio est Toy Story 3.

    Originairement prévu pour 2015, elle connait un repoussement pour 2017 lors de la D23 de 2015, révélant que le film innovera avec les chansons (choix qui, à n’en pas douter, a fait râler les anti-Disney et certains fanboys hardcore de Pixar… sans parler des comparaisons avec La Légende de Manolo) et aura mis plus de 6 ans avant de voir le jour entre le premier voyage de l’équipe de production au Mexique en 2011 et la sortie dans les salles cette année. Et pour la petite histoire anodine, Lalo Alcaraz, un dessinateur de comics américain, a participé à un mouvement des réseaux sociaux contre l’idée de center un film sur la fête national mexicaine pour finalement être engagé comme consultant par Disney-Pixar. Comme quoi, la vie est assez ironique parfois.

    Mais à vrai dire, les 20 premières minutes laissent transparaître quelques craintes justifiées vis-à-vis du pitch de base, surtout par rapport à l’éviction de la musique dans la famille de Miguel. Après une introduction joliment animé entre les banderoles en 3D et l’histoire de la famille de Miguel en 2D, les 20 premières minutes sont en demi-teinte puisqu’on bascule aussi bien entre l’amour sincère de Miguel pour la musique et Ernesto de la Cruz son idole de toujours (des moments joliment construit je trouve) et sa famille de confectionneur de chaussure rejetant tout ce qui touche de près ou de loin à cet art, le moment le plus représentatif étant le passage ou Abuelita s’en prend au mariachi à qui Miguel cirait les chaussures à coup de sabot.

    L’intention est clairement de jouer sur le thème de la tradition familial et la confrontation entre la génération actuelle en la personne de Miguel et la coutume de sa famille mais est-ce vraiment nécessaire de montrer sa famille être hermétique jusqu’à ce point ? Surtout quand c’est montré comme un drame ayant brisé le coeur d'Imelda durant les premières minutes et que c’est la base centrale de l’histoire (je m’étonne même que ça soit considéré comme une "malédiction" proprement dite). Un peu dommage que ce point pénalise le ressenti à côté de l’ambiance musicale mexicaine du film qui accompagne le séjour du spectateur au Mexique.

    Michael Giacchino a beau livrer majoritairement que de la musique d’accompagnement (de bonne facture mais il nous a habitué a bien plus recherché, y compris chez Pixar), l’ambiance est là et les chansons sont toutes très entraînantes. Un Poco Loco en particulier, mais aussi et surtout Ne M’oublie Pas qui sert de principale axe émotionnelle du film et qui est utilisé avec un très grand soin lors de chacune de ses deux reprises. De ce côté, no souci, on se laisse très facilement emporté par l’ambiance sonore de Coco.

    Sans oublier qu’à notre grand bonheur, ces pitreries sur la malédiction familiale finit par s’atténuer à partir du moment où Miguel se retrouve dans le monde des morts durant le traditionnel Jour des morts. Et on aura la joie de constater pleinement que les équipes sont loin d’avoir chômés pour créer cet autre monde et son fonctionnement : dés le premier plan sur le royaume des morts la qualité visuelle n’est plus à faire et le sens du détail respire à chaque instant.

    Que ça soit les textures des personnages encore une fois plus peaufinés que précédemment et variés (Miguel ayant un physique simple et ordinaire tandis que Dante a une langue aussi élastique que les tentacules d’Hang dans Le Monde de Dory), la constitution des habitats du royaume des morts selon qui on se souvient et qui est arrivé en premier ou en dernier, la clarté des os selon les habitants du royaume dont ou se souvient le plus ou le moins et les créatures qui y vivent (Pépita l’Alebrije de la famille morte de Miguel croisé entre le jaguar et l’aigle), l’architecture mexicaine exploitée pour créer plusieurs environnement et bien sur cet éternel ambiance de festivité répandu à travers ce monde avec la lumière utilisé pour rendre ce monde très coloré. Et certains gags visuels bien efficaces grâce au corps des squelettes.

    C’est d’ailleurs dans ce monde qu’on trouve le meilleur personnage du film en la personne d’Hector, le squelette musicien clochard et comique centrale en apparence dont chaque scène sérieuse fait consécutivement mouche émotionnellement et qui tisse une relation très sincère avec Miguel. Et c’est lui, ainsi que Ernesto de la Cruz qui finit par apporter les principales questions par lesquelles devra passer Miguel par rapport à l’attachement à sa famille et son amour pour la musique : renoncer à son attachement familiale pour vivre pleinement de sa passion ou rester pour soutenir la fille de son arrière-arrière-grand-père jusqu’à ses derniers instants en délaissant ses rêves ?

    Même la "malédiction" (j’insiste encore sur les guillemets) fini par prendre un sens lorsqu’on découvre les facettes de deux autres personnages du monde des morts et donnant un peu plus de sincérité aux thématiques du film qu’on reconnait aux créateurs de Luxo Jr. : Mama Imelda l’arrière-arrière-grand-mère de Miguel gardant toujours des sentiments pour son époux ainsi qu’envers la musique, et Ernesto de la Cruz qui est le centre d’attention de Miguel et l’inspiration du jeune homme spoiler: mais dont il est un peu regrettable de ne pas voir l’ambivalence plus creusée lorsqu’il montre un semblant de regret par rapport aux nombreux présents qu’il reçoit le jour des morts quant à l’origine de son succès et surtout du sort qu’il a réservé à Hector dans le monde des vivants
    .

    Sans compter que le doublage français s’en tire très bien : Andrea Santamaria faisant un Miguel très convaincant car engagé lui-même dans la musique, et Ary Abittan réussissant brillamment son tout premier doublage en animation dans la peau d’Hector. Si on oublie François-Xavier Demaison doublant à peine 1 minute de film dans le rôle d'un mariachi de passage.

    Enfin, si on laisse de côté cette histoire de malédiction un peu poussive, on obtient au final une bonne façon d’analyser le pourquoi de la peur de la musique qui devient un facteur de brisement familial, pouvant aussi bien être une passion partagée avec son entourage qu’une quête factice et artificielle vers la gloire et la renommée, sans oublier le rapport à la mort qui reste un des points centraux via le personnage d'Hector. Et c’est sur ces points que le dénouement final du film joue astucieusement sans pour autant rendre le propos lourdaud au possible, insistant davantage sur les relations entre Miguel et les autres protagonistes (Hector et Imelda comme Coco) et l’aboutissement auquel cela amène pour ce Pixar.

    Pour faire bref : Coco, en dépit des soucis de rythmes habituels aux productions animés américaines et de quelques légères lourdeurs, peut avoir le mérite de se placer en haut du panel animé de la boîte de John Lasseter. Alliant à merveille sincérité et créativité ainsi qu’ambiance festive et instants d’émotions des plus honnêtes, on pourra difficilement espérer mieux comme cadeau en début des festivités de Noël. Pixar redresse un peu la barre après le décevant Le Voyage d’Arlo et une suite des plus futiles, et je ne demande que à ce que ça se poursuive avec la suite des Indestructibles entre les mains de Brad Bird, principale suite du studio dont on espère voir le potentiel exploité à fond l'été prochain.
    T'es sérieux ?
    T'es sérieux ?

    2 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 novembre 2017
    Tellement beau, émouvant, Pixar a encore réussi a nous transporter. On y parle de la mort, de la famille, du temps qui passe... Mais c'est touchant... Tellement touchant !
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    633 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 décembre 2017
    Malgré le fait qu'on ait quelques redites et airs de déjà-vu lorsqu'on a vu "La légende de Manolo", film d'animation produit par Guillermo del Toro vieux de trois ans à l'histoire et au graphisme différents mais à l'univers des Morts bien similaires, "Coco" réussit à nous enchanter par sa légèreté coloré et ses thèmes abordés. On est ici plongé au Mexique le jour de la fête des Morts, moment annuel où les vivants célèbrent par des offrandes une retrouvaille spirituelle avec leurs ancêtres. Miguel, jeune héros intrépide de cette fable, veut à tout pris faire de la musique mais sa famille l'a en horreur et il décide alors d'en savoir plus sur son arrière arrière grand-père, seul musicien de sa famille mais ce qu'il va découvrir va au-delà du possible. Une touche de fantastique et de poésie, agrémentée d'une thématique familiale forte et juste font de "Coco" une aventure initiatique sur nos propres valeurs et sur le lien indélébile entre les générations d'une même famille... La culture mexicaine sert de point de départ à toute cette magie malicieuse inventée par les scénaristes qui font du Monde des Morts un lieu riche et fantastique régi par des règles strictes face à celui des vivants, célébrant intelligemment le passé tout en étant tourné vers l'avenir. En ce sens, "Coco" donne de l'espoir tout en étant touchant et drôle ! A cela vient s'ajouter une bande originale superbe à base de musiques mariachi et d'air qu'on chantonne une fois sorti. Il y a beaucoup de personnages, sans doute plus que dans les derniers Pixar, ça se bouscule un peu au portillon et l'intrigue est selon moi un tantinet trop étirée. Il n'est néanmoins pas difficile de s'identifier à cette belle fable qui nous rappelle nos propres ancêtres et notre rapport à la famille, mais aussi nos rêves et nos désirs qui nous font quitter le cocon familial pour suivre le chemin qui est le notre... "Coco" est un bon antidépresseur, une aventure qui fait du bien et qui nous évite de consommer une tablette de chocolat... A voir et à revoir...
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    772 abonnés 1 524 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2017
    On attendait depuis quelques mois ce nouveau long-métrage du couple Disney-Pixar, et il faut avouer que cela valait la peine d'être patient !
    Nous sommes au Mexique le jour de la fête des défunts et on va suivre les aventures du jeune Miguel, un jeune garçon de 12 ans rêvant de faire de la musique alors que sa famille est totalement contre pour des raisons historiques.
    Quand Miguel se retrouve transporté dans le monde des morts, l'histoire prend une tournure totalement inattendue.
    J'ai véritablement adoré la poésie et la puissance émotionnelle de ce film.
    Après le sublime "Vice-versa" sorti en 2015 dans lequel les studios Disney-Pixar osaient plonger dans nos têtes, voici qu'ils s'attaquent maintenant à la vie après la mort !
    Et il faut reconnaître que c'est superbe !
    Je ne sais pas si les plus jeunes pourront appréhender toutes les subtilités de vie et de mort, mais j'ai personnellement pleuré comme un gamin ! Et avec des lunettes 3D, ça complique !
    Beau, touchant, drôle et divertissant : à ne manquer sous aucun prétexte !
    --> Site CINEMADOURG
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    249 abonnés 884 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 novembre 2017
    Une fois de plus Pixar arrive à nous surprendre avec une histoire qui ne paye pas de mine mais qui au final donne un nouveau chef d’oeuvre pour le studio à la lampe. En terme de film d’animation en image de synthèse, on a rien vu d’équivalent cette année même avec la sortie de Cars 3 en août. Coco est encore plus beau et réussi techniquement mais surtout c’est son histoire drôle, émouvante, dynamique et remplie de rebondissements qui en fait un film très intelligent et incontournable en cette fin d’année. [lire la critique complète sur le site]
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 373 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 décembre 2017
    Au lieu de nous raconter une histoire purement imaginaire, la production Disney Pixar réinvente une croyance en nous plongeant au Mexique pour el Dia de los Muertos, l’équivalent de notre Toussaint. Miguel un enfant de douze ans est passionné par la musique et l’aime en cachette car les membres de sa famille ont tous banni la moindre note depuis des générations à cause d’une histoire de cœur. C’est en volant la guitare du défunt Ernesto de la Cruz que Miguel va être transporté dans le monde des morts et y rencontrer tous ses ancêtres. Ce monde parallèle est visuellement superbe avec des idées étonnantes pour rendre attachant et non effrayant la mort. Mais les scénaristes ne s’arrêtent pas là en ouvrant profondément l’âme du film sur la mémoire de nos ancêtres. Pour cela, ils n’hésiteront pas à nous montrer comment quelqu’un peut vraiment disparaître s’il est oublié. Drôle et parfois triste, merveilleux et pourtant si sincère, c’est surtout une once de mélancolie qui vole au-dessus de chaque séquence de ce sublime film d’animation à partager en famille.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Stephane H
    Stephane H

    37 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 janvier 2018
    Je n'accorde jamais cinq étoiles à un film récent : un film est comme une bouteille de vin, seul le temps qui passe peut accorder à un excellent film le statut envié de « chef-d'œuvre ». Contrairement à certains, je n'ai pas la prétention de vouloir refaire le film et de savoir mieux que les dizaines de personnes qui ont participé à sa réalisation comment elles auraient dû faire pour qu'il soit prétendument mieux. Je dirai simplement que ce film nous présente un univers profondément original, sans violence, sans humour adolescent à deux balles, et pétri de valeurs et de bons sentiments qui tranchent agréablement avec certaines productions récentes qui ne m'ont pas forcément déplu pour autant mais qui finissent par toutes se ressembler.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    695 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 décembre 2019
    Le nouveau Pixar ne renouvèle pas le genre, et reste finalement très commun, surtout pour cette firme qui nous a fait tant rêver. Pour autant, Coco permet la découverte d'un nouvel univers, l'appréhension d'une culture passionnante, et dessert quelques grands moments d'émotions.

    https://polartsite.wordpress.com/2017/12/03/critique-de-coco-le-nouveau-pixar/
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