Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) l'art ne trouve jamais sa vérité en arrondissant les angles et ce film, souvent émaillé de plans magnifiques (...) décrit avec l'impact d'un uppercut le retour de bâton du colonialisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Ariane Allard
(...) une oeuvre implacable qui nous ramène au coeur de nos illusions. (...) Dieu que ce film est riche, au fond !
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
par Caroline Vié
Il se dégage cependant une profonde humanité de cette chronique clinique portée par Margarethe Tiesel.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Julien Welter
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur autrichien filme les corps dans toute leur vérité, à l'instar d'un Lucian Freud, dans ce drame lucide, ironique, d'une tristesse infinie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Olivier Séguret
Pour sa part, Seidl agit comme un artiste terriblement engagé dans notre présent. Son style, sa méthode, son goût profond de l'antagonisme le rapprochent autant de la peinture moderne que de la photographie d'avant-garde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Seidl possède l'art de filmer ses fictions avec des instruments stérilisés du documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Ulrich Seidl transforme le paradis en enfer. Puissant.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Jacques Morice
POUR : La force documentaire est indéniable (...) tout obéit à un travail rigoureux : du journalisme, a-t-on envie de dire. Mais le cinéaste a aussi l'esprit satirique. Il est à la fois cru et comique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Simon Riaux
"Paradis : Amour" est bien trop répétitif et porté sur la démonstration de force artificielle pour réellement convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Jean Roy
Il faut avouer que si Ulrich Seidl est souvent un documentariste passionnant, son travail dans la fiction est suffisamment provocateur pour susciter la nausée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) Ulrich Seidl met en scène la conflagration entre les "sugar mama" et les "beach boys" avec un mélange de spontanéité documentaire et d'élégance formelle qui force, un temps au moins, l'admiration.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Radiographie cruelle, âpre et dérangeante des rapports Nord/Sud, "Paradis : Amour" est un film qui saute à pieds joints dans le réel, quitte à éclabousser le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Elodie Emery
C'est un film de deux heures qui paraît interminable. Non qu'il soit mauvais, bien au contraire. Mais "Paradis : Amour" (...) peint un tableau tellement réaliste du tourisme sexuel qu'il en devient oppressant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Jérôme Vermelin
Très cru, cette chronique du tourisme sexuel de l'Autrichien Ulrich Seidl flirte avec le mauvais goût et l'évite (presque) toujours grâce à la performance courageuse de la comédienne Margaret Tiesel.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Christophe Narbonne
(...) grâce à la force de sa mise en scène géométrique, Seidl n'a pas son pareil pour montrer des personnages prisonniers de leurs angoisses et de leurs frustrations.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Damien Aubel
[Ulrich] Seidl esthétise à fond. [Son] cinéma est comme le monde qu'il décrit : inhumain.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Doté d'un incontestable talent de cinéaste, Ulrich Seidl n'en adopte pas moins un traitement très cru et frontal, qui destine ce film - aussi lucide et dévastateur sur le fond que dérangeant sur la forme - à un public particulièrement averti.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ouest France
par La Rédaction
Une démarche complaisante pour un regard méprisant.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Cette enfilade de scènes abjectes et fières de l'être, la complaisance et le cynisme effarants avec lesquels Seidl filme ce glauquissime carnaval, tout cela n'inspire qu'un profond dégoût.
Critikat.com
par Alice Leroy
Un récit qui finit par ennuyer ferme son spectateur à force d'orgies poisseuses.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) on ne saurait réduire l'humanité à ce cynisme marchand comme le fait Ulrich Seidl depuis un très désagréable surplomb ricanant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Que retenir de cette mascarade humiliante (pauvres acteurs !) qui renvoie dos à dos le Nord et le Sud, le muscle galbé des éphèbes pauvres et les bourrelets des rombières occidentales au bord du suicide ?
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
CONTRE : Du peep-show art et essai.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
(...) l'art ne trouve jamais sa vérité en arrondissant les angles et ce film, souvent émaillé de plans magnifiques (...) décrit avec l'impact d'un uppercut le retour de bâton du colonialisme.
Positif
(...) une oeuvre implacable qui nous ramène au coeur de nos illusions. (...) Dieu que ce film est riche, au fond !
20 Minutes
Il se dégage cependant une profonde humanité de cette chronique clinique portée par Margarethe Tiesel.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur autrichien filme les corps dans toute leur vérité, à l'instar d'un Lucian Freud, dans ce drame lucide, ironique, d'une tristesse infinie.
Libération
Pour sa part, Seidl agit comme un artiste terriblement engagé dans notre présent. Son style, sa méthode, son goût profond de l'antagonisme le rapprochent autant de la peinture moderne que de la photographie d'avant-garde.
Paris Match
Seidl possède l'art de filmer ses fictions avec des instruments stérilisés du documentaire.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TF1 News
Ulrich Seidl transforme le paradis en enfer. Puissant.
Télérama
POUR : La force documentaire est indéniable (...) tout obéit à un travail rigoureux : du journalisme, a-t-on envie de dire. Mais le cinéaste a aussi l'esprit satirique. Il est à la fois cru et comique.
Ecran Large
"Paradis : Amour" est bien trop répétitif et porté sur la démonstration de force artificielle pour réellement convaincre.
L'Humanité
Il faut avouer que si Ulrich Seidl est souvent un documentariste passionnant, son travail dans la fiction est suffisamment provocateur pour susciter la nausée.
Le Monde
(...) Ulrich Seidl met en scène la conflagration entre les "sugar mama" et les "beach boys" avec un mélange de spontanéité documentaire et d'élégance formelle qui force, un temps au moins, l'admiration.
Les Fiches du Cinéma
Radiographie cruelle, âpre et dérangeante des rapports Nord/Sud, "Paradis : Amour" est un film qui saute à pieds joints dans le réel, quitte à éclabousser le spectateur.
Marianne
C'est un film de deux heures qui paraît interminable. Non qu'il soit mauvais, bien au contraire. Mais "Paradis : Amour" (...) peint un tableau tellement réaliste du tourisme sexuel qu'il en devient oppressant.
Metro
Très cru, cette chronique du tourisme sexuel de l'Autrichien Ulrich Seidl flirte avec le mauvais goût et l'évite (presque) toujours grâce à la performance courageuse de la comédienne Margaret Tiesel.
Première
(...) grâce à la force de sa mise en scène géométrique, Seidl n'a pas son pareil pour montrer des personnages prisonniers de leurs angoisses et de leurs frustrations.
Transfuge
[Ulrich] Seidl esthétise à fond. [Son] cinéma est comme le monde qu'il décrit : inhumain.
La Croix
Doté d'un incontestable talent de cinéaste, Ulrich Seidl n'en adopte pas moins un traitement très cru et frontal, qui destine ce film - aussi lucide et dévastateur sur le fond que dérangeant sur la forme - à un public particulièrement averti.
Ouest France
Une démarche complaisante pour un regard méprisant.
Cahiers du Cinéma
Cette enfilade de scènes abjectes et fières de l'être, la complaisance et le cynisme effarants avec lesquels Seidl filme ce glauquissime carnaval, tout cela n'inspire qu'un profond dégoût.
Critikat.com
Un récit qui finit par ennuyer ferme son spectateur à force d'orgies poisseuses.
Les Inrockuptibles
(...) on ne saurait réduire l'humanité à ce cynisme marchand comme le fait Ulrich Seidl depuis un très désagréable surplomb ricanant.
TéléCinéObs
Que retenir de cette mascarade humiliante (pauvres acteurs !) qui renvoie dos à dos le Nord et le Sud, le muscle galbé des éphèbes pauvres et les bourrelets des rombières occidentales au bord du suicide ?
Télérama
CONTRE : Du peep-show art et essai.