Avis : La Vie rêvée de Walter Mitty - Page 4

C'est un bon film . J'ai beaucoup aimé les scènes de Ben Stiller en skateboard et les quelques passages drôles ,

Un film hollywoodien qui sort un peu du lot. De belles images (quoique parfois un peu trop carte postale). Un film inclassable (aventure - comédie romantique - burlesque - drame...) mais un scénario nul, une intrigue qui ne tient pas la route une seconde. Du coup c'est sympathique, jolie mais on décroche souvent par manque de lucidité. Dommage

À peine divertissant. Je m'attendais à rêver bien au delà de quelques cartes postales stéréotypée et d'une histoire de fond relativement plate et sans grand intérêt. Son intrigue qui traîne en longueur a du mal à captiver et le final n'a pas su provoquer mieux chez moi qu'un : "Ah..."

Un film dramatique vraiment pas terrible, qui raconte l'histoire de Walter Mitty qui est spoiler: un homme ordinaire, enfermé dans son quotidien, qui n’ose s’évader qu’à travers des rêves à la fois drôles et extravagants. Mais confronté à une difficulté dans sa vie professionnelle, Walter doit trouver le courage de passer à l’action dans le monde réel. Il embarque alors dans un périple incroyable, pour vivre une aventure bien plus riche que tout ce qu’il aurait pu imaginer jusqu’ici. Et qui devrait changer sa vie à jamais
... Hier encore, avec l’innocence faisandée d’un enfant de six ans décapitant une Barbie à la molaire, Ben Stiller faisait tendrement pleuvoir le napalm sur son héritage cinématographique, posait des mines anti-personnelles au cœur des suppléments mode de la presse nineties, ou sacrifiait ses relations de bon voisinage filmique sur l’autel de la parodie souveraine. Aujourd’hui parvenu à l’âge cruel qui transforme les grands comiques en petites pleureuses ou en génies définitifs, Ben Stiller se prend au sérieux. Sur le papier son "Walter Mitty" se présente comme un ovni respectable, c’est-à-dire pas assez tordu pour déplaire aux familles du Wisconsin, et suffisamment trempé d’audace pour faire sourire ses fans. Dans les faits, cette chose trop ambitieuse pour être honnête navigue quelque part entre le Géo spécial sensations fortes et la pub Samsung grand format. Un jerrycan de smoothie philosophique, obtenu en pressant ensemble des fantasmes de voyageurs organisés, la pulpe d’un forum de site détente/psycho, de l’essence de mono-rêve contemporain capturé à la Go-Pro, et de l’aventure façon Banga. Un seau de junk food intellectuelle pompée sur l’avant-propos d’une Bible de l’épanouissement personnel. Tout en chemisettes, en échappées mentales et en rêves broyés par la mort prématurée de papa, Walter Mitty est donc à la fois un bipède transparent et un employé obscur. Pour cesser de fantasmer à blanc, et courir à la fois après son potentiel, la reconnaissance publique et l’amour (pour que tout le monde s’y retrouve), Walter décide logiquement d’accomplir ce que quinze ans de publicité ou de télé-réalité culinaire nous enjoignent de faire : croire en ses rêves, vivre la vie que l’on mérite, dégager l’exceptionnel sous le quotidien, enfin sublimer un hot-dog quoi. Aussi, parce que tout anonyme cache un petit être de lumière brisé dans son élan premier, Ben Stiller enterre rapidement son propos initial, les films intérieurs de Walter l’impuissant social (souvent trop chiadés pour être drôles) et l’humour partiel de la première partie du long-métrage (on compte quelques bonnes séquences, et notamment une bonne parodie de Benjamin Button) pour inviter son héros ordinaire à devenir quelqu’un en rêvant de la même chose que les autres. A savoir : voyager, mais pas métaphoriquement, renouer avec le gnome qui vit en nous (Walter l’ex-champion de skate dévale en longboard des pentes islandaises avec le sac à dos de son enfance), prendre des risques fous au nom de l’amour (l’apparition imbécile de sa dulcinée le convainc de monter dans un hélicoptère incertain en salissant du Bowie) et s’inspirer d’un mentor symbolique pour se payer une épiphanie sur mesure (en l’occurrence, un photographe libre-penseur capable de traquer un animal et de ne pas le shooter pour mieux savourer l’instant). Visuellement trop anonyme pour être laid (pensez très fort à un spot automobile, et remplacez la berline par Ben Stiller), affligé d’un script mal rangé (Walter se cherche, on cherche Walter, Walter nous cherche, personne ne se trouve) et d’un récit contradictoire, mais trop formaté pour nous empêcher d’humer son épilogue à trois kilomètres de pellicule, "Walter Mitty" est aussi handicapé par un humour soluble dans l’aventure, qui ne justifie plus le tsunami de clichés que Ben Stiller nous abat sur le coin de l’œil, tout en cherchant à désamorcer sa gravité nouvelle avec les pires vannes jamais écrites par ses soins (l’administrateur d’un site de rencontres qui peut le joindre n’importe où, et même au sommet d’une montagne). Déjà démago, idiote, prétentieuse et condescendante, la chose jette donc sur son pudding de la honte la cerise la plus impardonnable qui soit : une belle gerbe de malhonnêteté

Je suis un peu déçu par ce film qui a pourtant reçu de très bonnes critiques, certes Stiller est excellent dans son rôle tout comme les autres acteurs qui s'épanouissent dans ce petit conte plein de poésie et de belles images de notre beau Monde mais la trame est plutôt molle , on pourrait presque s'ennuyer s'ils avaient encore ralenti le cours de l'histoire.
Les petites passages faisant référence à d'autres films cultes laissent de marbre et ce n'est pas l'apparition de shenn Pen (tans pis pour l'orthographe !) à la fin du film qui donnera un cachet supplémentaire à cette histoire émouvante (mouais...) mais simple et plate en fait.
Préférez Forest Gump dans le genre !!

Film de Ben Stiller. Soit-disant remake du film de McLeod de 1947. Ici, un homme timide va se prendre pour un grand aventurier. Sorte de conte philosophique, pas inintéressant en soi, mais plombé par un scénario assez vaseux (la recherche d'une photo), et incohérent (Groenland, Iceland, Afghanistan...), des chansons sirupeuses à l'américaine, une romance mièvre. Il y a quelques belles séquences qui sauvent un peu ce film qui nous paraît très long. Il y a pire, mais il y a aussi beaucoup mieux. Déception.

Comédie dramatique, comédie romantique, comédie d’aventure, voyage initiatique, conte de fée moderne, « La vie rêvée de Walter Mitty » est un peu tout cela en même temps et le gros problème dans ce film, à mon sens, c’est que jamais il ne prétend l’être. Jamais Ben Stiller ne va au fond des choses, ne faisant ainsi que les effleurer, n’explosant jamais comme il l’avait fait dans ces précédents films, laissant Mitty avec un goût d’inachevé, un goût plus sérieux qu’il ne le faudrait.
Il parvient cependant à tenir le spectateur jusqu’au bout avec un simple négatif photo dont on veut voir la virtuosité qu’il promet.
Au final, Walter Mitty se laisse regarder avec quelques bons moments cyniques ou simplement drôles et des paysages à couper le souffle, nous laissant ainsi dans un dépaysement total. Mais encore une fois, il manque cruellement de grains de folie, un petit truc qui nous inviterait à refaire le voyage. « La vie rêvée de Walter Mitty » devient donc une légère déception, une tromperie sur la marchandise.

Que cette oeuvre est décousue .....je n'ai toujours pas compris où il voulait en venir ...

Je n’ai pas réussi à rentrer dans ce film en grande partie en raison de Ben Stiller qui ne dégage absolument rien. Il rend le personnage profondément ennuyant.

Il est certes intéressant de voir B. Stiller dévoiler un peu plus de sensibilité qu'a son habitude mais il n'y a pas là matière à rentabiliser le battage médiatique qui a précédé la sortie de ce film en somme très banal. Seuls moment d'intensité: la trop courte prestation de Sean PENN.

Même en laissant de côté les incohérences et invraisemblances, on a un film mollasson, gentillet et, pire, prétentieux. Le coup du grand photographe qui renonce à déclencher pour savourer un instant, fallait oser.
La seule idée originale et sympathique est contenue dans la chute, mais ça ne suffit pas à faire un film. Quelques beaux paysages non plus. On se demande ce qui a pu séduire des spectateurs et des critiques dans cette comédie poussive.

Film de m..de avec un voyage dans l'absurde sympathico-pathétique au début du film puis une relation sexuello-érotico-débile pour le reste de ce navet.

Le personnage interprété par Ben Stiller est vraiment attachant. Je trouve l'idée de s'évader dans ses rêves plutôt intéressante, les paysages sont à couper le souffle, pour le coup, ça donne vraiment envie de voyager, l'Islande a vraiment l'air magnifique..
Maintenant, concernant le scénario du film, je le trouve plat, sans réel artifice.
C'est mignon c'est beau, mais c'est tout.
Un film appréciable mais pas grandiose pour ma part. 2.5/5

Une belle histoire sur la recherche du "moi" et de son évolution, sur les actes manqués et la recherche du temps perdu, magnifique photographie et BO de très bonne fortune, dommage que les quelques petits passages où Ben Stiller fait du Ben Stiller viennent détruire la profondeur et la poésie du film... Ces quelques fausses notes donnent lieu à un mélange des genres quelque peu incongru qui dénature le film.

Reprise sans le relire d'un avis que j'avais rédigé sur un autre compte

2 - Pas terrible
Film plaisant, honnête mais sans plus.
La couverture du Life qu'on voit à la fin est bien trouvée, j'ai bien appréciée de retrouver Kristen Wiig qui m'avait assez étonné dans Imogene, j'ai été content de voir Ben Stiller en homme mature (il fait trop souvent l'homme paraissant plus jeune qu'il n'est).

Mais l'histoire est assez facile, le personnage de la soeur de walter mitty m'agace (tel qu'il apparait à l'écran, ce qu'on lui fait dire et faire). Le parcours de walter mitty ne m'a pas intéressé, l'humour m'a peiné (le gateau pour les chefs talibans, le skatteur qui fait des prouesses lorsqu'on ne le regarde pas, les phantasmes de walter mitty, ...).

Un film qui a quelques images jolies, une prestation d'acteurs correcte pour la plupart d'entre eux,quelques bons moments avec sean penn ou kristin wiig. Divertissant mais sans plus.
Ajoutée le lundi 6 janvier 2014 02:41