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philmon2
37 abonnés
234 critiques
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3,5
Publiée le 5 janvier 2014
un film inclassable qui, s'il est un remake, bénéficie du talent de Ben Stiller et du charisme démesuré de Sean Penn (que l'on voit peu) nous faire passer deux heures de dépaysement , de sourire et de fraîcheur qui font vraiment du bien en ce début d'année.
Je suis mitigée sur ce film car j'ai adoré le début jusqu'à l'escapade du héros en Islande mais pas la fin. Les scènes ou il "déconnecte" sont sympas aussi et donnent le sourire, Ben Stiller est excellent dans le rôle du type ordinaire. Par contre, j'a décroché quand on nous raconte que spoiler: le photographe a rendu visite à sa mère ?? , cela semble tirer par les cheveux et permet de relancer la piste du négatif 25 mais on n'y croit pas, tout comme la dernière couverture de life, je m'attendais à quelque chose de plus fort émotionnellement. Le film tire en longueur, une demie heure de moins aurait été bien .....
Ce n'est pas un film que j'attendais particulièrement, mais la bande annonce m'a suffisamment intrigué pour m'emmener jusqu'aux salles obscures. J'avais adoré la précédente réalisation de Ben Stiller, Tonnerre sous les Tropiques, et ce nouveau passage derrière (et devant) la caméra de l'acteur se révèle être réussi. En effet, celui-ci arrive à livrer un film totalement différent à ce dont il nous avait habitué. On se retrouve avec un récit d'aventure imagée et poétique, offrant des séquences de rêves extrêmement soignées. Du côté visuel, l'esthétique et la photographie du périple de Walter Mitty sont magnifiques. Quelques moments drôles sont à signaler. Malgré cela, le film s'avère être tout de même plutôt convenu dans l'ensemble, sans grandes surprises dans le scénario. À part cet aspect simpliste de l'histoire, celle-ci en profite quand même pour faire une véritable ode à la vie, très jolie, que l'on pourrait résumer à cette maxime : "Ne rêve pas ta vie, vis tes rêves". Pour conclure, La Vie rêvée de Walter Mitty sera à ranger dans la catégorie des feel-good movie créatif et touchant, sans être exceptionnel, délivrant de sublimes paysages et un casting avec une belle alchimie.
Amis rêveurs, et les autres qui n'avaient rien de mieux à faire de leurs journées d'hiver, bonsoir. Vous allez, ou avez, déboursé une fortune pour vous délecter du dernier Ben Stiller sur un écran LCD bien plus vaste que le vôtre, et vous avez raison. Venons-en aux faits. La vie rêvée de Walter Mitty, c'est bien. Et puisque c'est le principe de l'exercice, je m'en vais vous expliquer pourquoi. Comme vous aurez pu vous en douter, c'est un film qui sort quelque peu de l'ordinaire. Et pour cause, jusqu'à sa conclusion on s'imaginait bien se retaper une énième comédie familiale bâclée et "gnan-gnan" (passez-moi l'expression) que l'on nous ressort à toutes les sauces depuis des temps reculés, un quasi Walt Disney en somme. Mais la force de ce film, au-delà de ses images (car oui, vous allez en prendre plein les yeux), c'est sa faculté à ne jamais en faire trop. La trame scénaristique est juste, l'humour bien dosé et Stiller parfait dans le rôle d'un type un peu loser et attachant, comme à son habitude. Steve Conrad (le scénariste, inspiré par la nouvelle de James Thurber) a su doter le long métrage d'une fin que l'on attendait pas tant que ça et qui boucle subtilement un film qui donne le sourire et l'envie d'entamer un Trail sur l'Evrest (à peu de choses près). Le point fort, à savoir la justesse et la simplicité de cette magnifique échappée devient toutefois un point faible. Le film ne déçoit pas, mais ne surprend pas tellement. Beau, mais pas sublime, bien amené mais pas pour autant mémorable, romancé mais pas fantastique. On s'était presque attendu, aux vues des critiques et même simplement de l'affiche, à une aventure surréaliste et on pourrait être au final quelque peu déçu. Au-delà de cela, la trame s'essouffle à certains moments, et on a peur que les stigmates des comédies ratées viennent plomber une copie pour une fois soignée. A titre d'exemple, on a droit assez vite à l'apparition d'une femme qui, bien que jouée par la charmante Kristen Wiig, est susceptible de nous conduire une énième fois vers un "happy-end" à l'eau-de-rose marginal, superflu, et sans véritable lien concret avec le reste de l'histoire. C'est une recette qui marche, certes, mais qui est le genre de paresse scénaristique de fin de film qui me donne envie de me noyer dans mon pop-corn. Pour résumer un flot d'idées qui me viennent à chaud à la sortie de la salle, La vie rêvée de Walter Mitty est un bon film, qui sait ne pas tomber dans la facilité, pour nous délivrer un résultat tant esthétique que poétique, avec une touche d'humour et une trame simple, tout en restant captivante et touchante jusqu'au bout. Un peu comme Walter en quelque sorte. Que vous le regardiez avec vos yeux d'enfant, d'adolescent ou d'adulte averti, prenez simplement le temps d'apprécier une vue de la Terre depuis la lune. Ou votre siège, c'est selon.
Bon film distrayant. un peu de rire, d'émotion, un chouillat de réflexion. Je n'en suis pas forcément sorti grandi ni chamboulé mais j'ai passé un bon moment. Les paysages sont sublimes
Un film fait Par Ben Stiller, Avec Ben Stiller et Pour Ben Stiller. L'histoire en elle même est plutôt intéressante mais bon... On retrouve toujours les même personnages, les même situations comiques, les mêmes actions... C'est à ce demander si il n'existe pas une secte cinématographique aux états-unis qui obligerait les réalisateurs à se tenir à un schéma narratif précis. Mis à part cela, "La vie rêvée de Walter Mitty" est un film dans lequel on a mit de l'argent, ce qui lui permet d'être beau, bien fait et bien découpé. Les paysages sont magnifiques et certains raccords sont étonnamment jolis. Néanmoins c'est difficile de juger le fond d'un film seulement en regardant la forme (C.F : "Gravity"). C'est pourquoi, malgré l'audacieuse tentative de Ben Stiller, son oeuvre ne mérite pas plus de 3/5 (selon moi).
C'est beau, parce que le monde est beau. Mais que c'est creux.... Le scenario est prévisible (si on peut appeler ça un scenario) et pourtant j'ai eu tout le long envie d'y croire. De me dire que ça allait venir, parce que le personnage semble avancer, et c'est le cas, mais qu'en fait-il ? Donc non quand même, il manque trop de matière pour faire un film à part entière. Grosse médiatisation pour un film qui ne le mérite peut-être pas tant que ça. Catégorie : beau mais creux ?
Classé avant même sa sortie par les critiques de : "feel-good movie", La vie rêvée de Walter Smitty fait typiquement parti des films affichant les insupportables taglines du genre "On en ressort grandi", "L'émerveillement de l'année" et autres aphorismes à la con censés nous donner envie de nous précipiter dans la salle la plus proche.
Pour info et juste en passant, amis publicitaires, les phrases "chocs" placardées sur les affiches comme : "Par les producteurs de Game of thrones" ou "Par les créateurs de Alien", il faut arrêter ! On n'y croit plus. Merci.
Mais je m'égare.
Sans être extraordinaire, le dernier film du souvent-très-bon Ben Stiller est assez plaisant.
Après un court mais très bon générique, le film démarre plutôt bien et on découvre un personnage timide, maladroit en quête d'amour et de reconnaissance. On se met à avoir de l'affection pour lui et l'identification se fait plutôt rapidement. Sauf que ce Walter Mitty a tendance à avoir des absences où il s'imagine accomplissant des actes héroïques.
Comme dans beaucoup de ses films, on retrouve l'obsession du réalisateur pour les détournements. Sous l'œil acide de sa caméra, le cinéma d'action américain prend cher. Complètement barré dans Zoolander et à mourir de rire dans l'intro déjanté de Tonnerre sous les tropiques, ces scènes d'action sont ici utilisés pour illustrer ces fameux moments d'absence. Des scènes intenses mais moyennement bien utilisées qui ont plus tendance à dérouter le spectateur qu'à le faire rire.
La vie rêvée de Walter Smitty commence réellement - et littéralement - à décoller sur la bande son de Space oddity (dressage de poils assuré) quand notre héros embarquant précipitamment dans un hélicoptère, décide de mettre de côté ses fantasmes et de se lancer dans la vie avec un grand V.
S'en suit une deuxième moitié de film libéré du carcan clownesque habituel de Stiller. Des vagues de l'océan atlantique, aux montagnes himalayennes en passant par les plaines déchirées de l'Islande, l'aventure de Smitty nous embarque dans des décors incroyables, à la recherche d'un mystérieux négatif perdu.
Peut être un peu plus adulte que ses précédents métrages, La vie rêvées de Walter Mitty vaut d'être vu pour ses extérieurs somptueux plus que pour son histoire et sa love-story somme toute assez basique.
Dépasser ses limites, s'affranchir de la triste réalité et devenir un héros (héraut) aux yeux de sa bien-aimée. La vie rêvée de Walter Mitty, sous des allures de conte moderne, visuellement souvent impressionnant, ne fait que recycler une antienne quasiment aussi vieille que Hollywood. Ben Stiller n'a pas vocation, ni certainement la prétention, de révolutionner le genre. La naïveté du film est assumée, son irréalisme de même et son appel aux bons sentiments tout à fait attendu. Nous sommes bien dans un produit américain honnêtement manufacturé mais dont il ne faut pas attendre plus que ce qu'il a à offrir. Quelques scènes, trop rares, s'échappent quelque peu d'un cahier des charges d'une trop grande sagesse, dans une aventure et un délire tout relatifs car parfaitement calibrés. Ben Stiller est très à l'aise dans ce rôle de casse-cou séducteur, qui ose et force sa modeste nature. Son film est un divertissement qui tient plutôt bien la route à défaut de la brûler.
Un savant mélange de comédie, de fantastique , d'aventure, et une pointe de romantisme. Walter mitty nous emmène avec lui dans son imagination débordante. A voir!
Bon film mais je m'attendais à beaucoup plus de la part de Ben Stiller. Points positifs : c'est très bien filmé. Il y a un certain souffle, une utilisation intelligente des paysages, des couleurs, du propos justement par rapport aux images. Tout ceci donne une grande poésie trop souvent absente dans les films. Il y a de la magie, de la tendresse. C'est très touchant. Ben Stiller joue très bien. Je n'en doutais pas même qu'il pouvait approcher cette sensibilité qu'on ressentait dans certains de ses rôles, mais qu'il compensait tjs par de l'auto-dérision ou de la loufoquerie, alors qu'ici, il n'y en a pas. Son parcours est surtout initiatique et il se révèle enfin à lui même à travers une autre histoire, celle de la fin d'un mode d'information (le newsmagazine) : David contre Golliath, le fric contre l'humanité (rôle endossé par Sean Penn tjs aussi brillant, beau, fort. Chacune de ses petites apparitions insufflent cette magie qu'on ressent et voit tout au long du reste du film). Ce film est presque une succession de scénettes, avec des rencontres pleines de magie aussi, humoristiques (ahhh le pilote de l'hélico!), émouvantes et qui feront évoluer Walter vers sa vie enfin. Ses relations avec sa mère et sa soeur sont très justes et fortes. Bémols : je ne peux pas mettre très bien car je me suis aussi ennuyée parfois. La mise en place est longuette par exemple. On pourrait aller plus vite car on comprend bien le propos (le con barbu, l'amour pour sa collègue, sa morne existence). Cette magie est presque trop douce et lente, c'est surement voulu par le réal de laisser le spectateur s'imprégner de ces éléments naturels, ces couleurs etc. Il diffuse donc une poésie presque contemplative voire trop car il perd parfois alors le spectateur à certains moments. Je n'ai pas complètement non plus adhérée à ce parcours initiatique. Cela m'a semblé faux et peu crédible. Rêve-t-il alors (se lancer ds la mer, combattre un requin avec sa mallette ??) ? C'est si lent au début pour, d'un coup, devenir une succession de mouvements (Groeland, Islande et autre). Comment peut-il, sans aucune expérience, escalader une telle montagne à 5000m d'altitude etc etc. Bcp de choses presque violentes psychiquement et physiquement que, même pour Walter avec son envie de changer, ne semblent pas être accessibles si facilement !! Il y a aussi des mystères dans ce film, surement laissés à l'appréciation du spectateur : qui le guide réellement dans ce périple ? Sa propre envie ? Sean Pen qui laisse sciemment ces indices ? Sa mère ? Ce ne sont pas des points négatifs ceci dit... cela fait partie de la magie à laquelle on adhère ou pas. Enfin, et je finirai pas un point positif qui me fait vraiment mettre "bien avec +++" c'est la fin, quand Walter "affronte" le connard barbu (jouissif et dit avec intelligence) et la découverte de la dernière UNE de Life. Juste merveilleuse, simple, vraie. On imaginait tout et rien derrière cette "quintessance" de la diapo 25 si recherchée... alors que cette dernière photo (argentique svp!), N&B sonne tellement plus juste, délivre LE message essentiel, en plus de fournir à Walter des raisons pour trouver dans son existence des choses au contraire pas si vaines. Le lien avec le photographe est tout le sujet du film aussi. Bref... je recommande oui, pour le choix du sujet, cette poésie, cette amour de la vie qu'on ressent, l'acteur et le réal tjs sensible mais avec petite pointe de déception.
Un feel good movie élégant auquel il manque un petit quelque chose. Peut-être trop d'envie de montrer que le personnage de Stiller est gentil et attachant. Par contre, une scène qui deviendra culte ( et que je ne vais pas spoiler) pastichant un film célèbre a fait hurler de rire toute la salle (qui était pleine).
Ben Stiller parvient à nous faire sourire, et même parfois à nous faire rire, grâce à cette comédie sur fond de crise professionnelle, et existentielle. Si le film est assez loufoque, reconnaissons-lui une bonne dose d'originalité, et le grand mérite de nous faire voyager, et par la même occasion, de nous faire.... rêver.
La Vie rêvée de Walter Mitty, adaptation de la nouvelle de James Thurber et cinquième réalisation de Ben Stiller est une ode à la vie et au dépassement de soi mais qui souffre de défauts non négligeables qui l’empêche d’être l'oeuvre merveilleuse que nous vendait la bande annonce. Le scénario tout d'abord n'est pas aussi touchant et aussi fou que l'on peut l'imaginer, d'ailleurs les phases rêvées du personnage ne sont pas primordial à l'histoire, elles sont même anecdotique car très vite laisser de coté servant plus à faire de l'humour ou montré des séquences spectaculaires, d'ailleurs seulement deux rêves sortiront du lot spoiler: ( le rêve parodique de Benjamin Button est très drôle tandis que le combat entre Mitty et son patron est plutôt impressionnant ) . On aura du mal à s'attacher à la romance du film car elle est au final peu exploité et trop standard pour passionné et le faite que le personnage reprenne sa vie en mains aussi vite après tant d'années de passivité parait un peu facile. Tout comme la raison de sa timidité chronique qui est plutôt obscure et mal amené. D'ailleurs il y à énormément d'erreurs de scénario, avec la sœur principalement qui n'a pas sa place dans l'histoire car elle n'apporte rien et ne sert à rien alors que tout les autres personnages ont un rôle plus ou moins majeurs à jouer, elle, elle fait tache car elle n'a aucune incidence sur la vie de son frère et paradoxalement au film. Pour dire même Todd, le type du téléphone à plus d'utilité. Le film a vraiment trop tendance à tomber dans les facilités notamment avec la mère de Walter qui a réponse à tout et conduit trop souvent le récit ou encore des personnages très caricaturaux comme le patron arrogant ou le photographe philosophe qui fait une leçon de vie. La vraie bonne idée du scénario est de placer l'intrigue dans Life, un magazine qui touche à sa fin en version papier pour devenir un site web et que la fin est inévitable, quoique le héros face il ne pourra pas sauver son emploi. Une approche pessimiste des choses qui montre que c'est lorsque l'on perd ce qui nous définit que l'on trouve vraiment sa place et nous pousse à une remise en question, mais malheureusement la réflexion de soi ne va pas jusqu'au bout et reste en surface. Ben Stiller n'a clairement pas voulu s'encombrer d'un fond plus solide que ça, voulant avant tous faire un feel good movie sous forme de carte postale plutôt que faire une approche plus psychologique des choses. En soit il à réussi car l'a jouant dans l'épate, il se révèle en faiseur d'image hors pair aux idées de mise en scène ingénieuse notamment dans les nombreux travellings latéraux du film qui sortent peu à peu le héros de ses rêves au fur et à mesure de la progression spoiler: ( le premier étant dans le premier rêve, le second durant la prise de conscience du personnage avec la scène des affiches de Life qui annonce la naissance d'un homme nouveau et le troisième durant sa course vers l'hélico qui part de son dernier "vrai" rêve pour aboutir dans l'hélico ou il s'agrippe littéralement à la réalité ) . Une astuce de mise en scène récurrente qui montre l'évolution du personnage avec intelligence. Le reste n'est pas en reste d'ailleurs avec un mention pour les inscriptions dans les décors qui sont très esthétique, les plans magnifiques des paysages ainsi que des morceaux de bravoure très maîtrisé comme les rêves ou encore toute les séquences en Islande de la course en vélo à l’éruption en passant par la descente en skate qui est un des passages les plus abouti du film. Ben Stiller à clairement montré qu'il savait être un réalisateur intelligent aux multiples idées même si il n'a pas encore la vision d'un cinéaste, il signe son meilleur film sur un plan esthétique et technique grâce à une mise en scène très travaillé mais qui à parfois des airs de clip géant. Malheureusement le film s’essoufflera vers la fin après une première heure très réussi et le tout manque d'humour ou alors rate à provoqué le rire spoiler: ( la chute en vélo est facile et déjà tellement utilisé que ça tombe dans le cliché ) . Sinon les acteurs sont bon notamment Adam Scott qui excelle dans le rôle du gros con de service ou encore la rayonnante Kristen Wiig, on regrettera juste Ben Stiller qui fait du Ben Stiller est qui ne transcende pas son jeu. La photographie est magnifique et la bande originale, fabuleuse et bien choisi. En conclusion La vie rêvée de Walter Mitty est un beau film par sa forme mais remplit de défauts dans son fond, il est à l'image de son réalisateur sympathique et attachant mais pas assez profond. Un bon film qui vient ouvrir cette année cinématographie de 2014 sur une note positive en espérant que celle-ci nous apporte des choses intéressantes dans les mois à venir.
Il s'agit d'un film assez étrange que nous propose ici Ben Stiller. On ne sait plus bien si on est dans sa tête ou dans la réalité, c'est assez perturbant mais pas déplaisant. Bien que le titre: "La vie rêver de Walter Mitty" soit plutôt mal choisit, certaines scènes valent le coup d'être vu et on retrouve quand même la touche d'humour très sympathique du réalisateur. Visuellement c'est assez incroyable et plutôt proprement réalisé. Mais le personnage de Walter Mitty est assez creux et l'envie d'évité l'humour un peu gras que l'on retrouve dan Tonnerre sous les tropiques (quoique j'adore se film) se fait sentir. Au final c'est un petit film plaisant (de 90 millions de dollars tout de même) qui donne le sourire mais sans plus.