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Un visiteur
2,5
Publiée le 2 janvier 2014
La lune fait rêver parce que l'on ne peut pas la décrocher. Or Walter Mitty, dans une deuxième partie de film qui tient surtout du reportage ushaïesque, les décroche toutes, ses lunes de Pierrot lunaire, et laisse passer les rêves.
Un film assez loufoque, un mélange de réalisme et fantastique et d'absurde même je dirai. Le film met du temps à démarrer, le temps que Walter parte à l'aventure, une bonne demi-heure. Ensuite, s'enchainent des scènes inattendues et improbables, pour que Walter finalement spoiler: revienne à New York et décide de changer de vie (enfin) pour non respect de son travail. Décevant.
Je lui donne même pas la moyen a ce film pour la simple est bonne raison que je ne retient rien de c'est 1h30 a par les bons moments ou il rêve. Un scénario pauvre, ont n'a même l'impression que le film n'avance pas du tout. Je m'attendais pas à grand chose de toute manière!
Un film qui démarre bien, avec les rêves de Walter très bien mis en scène. Puis vers le milieu du film, le rythme retombe, et le tout devient plat, malgré les magnifiques paysages islandais notamment. Dommage, il y avait peut-être mieux à faire. Je retiendrai les quelques moments drôles du film, mais je risque d'oublier ce long métrage de Ben Stiller... Décevant à la vue des dernières critiques postées qui encenser le film.
Certes le film est beau et on rigole a quelques reprises mais arrivé à la fin du film, on a l'impression de n'avoir pas avancé, rien vu de vraiment intéressant.
Les 10 premieres minutes sont tres bien , les 10 dernieres également. Le probleme , c'est entre , les belles images ne suffisent pas et l'on s'ennuie régulièrement. Dommage car l'idee de depart était plutôt bien.
Que dire ... La première partie du film (les 45 premières minutes avant qu'il parte au Groënland) sont d'une platitude telle que j'ai failli quitter la salle (dialogues proches de l'inutilité et du ridicule, situations grotesques,...). Le film décolle un peu grâce à la splendeur des paysages et la pseudo leçon de vie qui s'esquisse (vivre à fond le moment présent). Ben Stiller n'est pas mal quand il est mal rasé;-)
big budget, big star, mediocre movie. the pitch of the average guy who's got a change to prove himself and is supported in his quest of stardom by the beautiful girl next door simply doesn't make it. Professionally realiased, so you don't get too much bore, but desperately shallow. To watch at the end of a difficult week when you wand to avoid any debate afterwards with the beautiflull blond you brought to the movies.