Derniers Avis : La Vie rêvée de Walter Mitty - Page 19

ce film fait la part belle à la photo, les images sont magnifiques, les voyages nous transportent dans la vie rêvée de mitty. dommage que le début soit poussif. au final on est pris dans le film avec l'impatience de voir le cliché 25 !

une super réalisation, des images magnifiques, une histoire très sympathique, des acteurs crédible, et un brin d'humour, a noter des effets spéciaux a la hauteur du film. a voir

Film super poétique, très bien interprété et avec une photographie de toute beauté. Très bonne surprise :)

Un très beau film poussant à l'évasion.A la fois onirique et émouvant.

Tiens, le dernier Ben Stiller? bon allez, on va se le mater gentiment...
Bon. oubliez le culte Tropic Thunder et son Simple Jack qui vous a fait pleurer de rire (oui, je suis bon public) et plongez vous dans la vie rêvée de Walter Mitty. Le réalisateur s'essaie à un film plus simple. Et embauche non sans référence le grand Sean Penn.
Walter Mitty, c'est vous, c'est moi. Walter Mitty rêve d'autre chose. Walter Mitty se sent déconnecté.
Et c'est avec delectation qu'on va le voir s'enfuir pour de vrai, vivre à fond, respirer à plein poumon.
Des paysages époustouflants. Une BO magique, un scénario euphorisant.
Ce film vaut tous les Atarax du monde.
Ce film fait du bien.
Bon voyage.

Ben Stiller nous offre un petit bijou. Je viens de le revoir une deuxième fois et je ne me lasse pas des paysages, de l'humilité et de la magie de ce film, à voir!

J'avais espéré qu'une histoire qui parle de phantasme soit être, au fond, réaliste mais non, toujours les scénarios américains du pauvres type qui va devenir le top du top et bien sur sans oublier les clichés (le bureaucrate, le méchant de l'entreprise, la belle filles qui doit se taper, etc.). Décevant !

De mon coté, ce film frôle la qualification de "purge".
Cela par d'une bonne idée mais très mal exploité. Le scénario original au départ devient peu crédible et le film traîne en longueur. Le film limite la casse avec de très bon acteurs...
Si vous êtes intrigué par ce film il est "regardable", mais si vous voulez passer une soirée a plusieurs avec un bon film, passez votre chemin.

Ben Stiller qui, jusqu’à présent, ne nous avez montré ses talents de comédiens que dans des comédies burlesques ou loufoques (des fois réussis dans la saga « Mon beau père et moi » avec Robert de Niro et des fois ratés avec Starsky et Hutch ainsi que Zoolander ), montre enfin ici l’étendue de son talent d’acteur. A la fois devant et derrière la caméra, Ben Stiller joue le rôle d’un simplet timide, n’osant même pas dévoiler l’amour qu’il a pour une de ses collègues. Un rôle qui peut surprendre de la part de l’acteur qui, excepté avec la famille Tenenbaum, ne joue pas un rôle comique mais un personnage touchant et attachant. Il porte le film a lui tout seul tellement sa performance est au dessus des autres acteurs malgré que ceux ci soient également très bon. Le scénario est globalement correct, on regrette une petite linéarité et des petites longueurs quoique vite oubliées. La bande son est magique est nous entraîne avec lui à travers ce qu’il à toujours rêvé de faire, avoir fait quelque chose digne d’intérêt qu’il continu d’imaginer sans cesse. Les décors sont également superbes, tout en naturel avec des paysages magnifiques d’Islande et d’Himalaya. Les costumes sont tout ce qu’il y a de plus bons. La mise en scène est emballante et propose de superbes plans, on ressent vraiment quelque chose d’agréable et soigné.
En bref, Un super film qu'est la vie rêvée de Walter Mitty, des
acteurs supers dont Ben Stiller parfait. Une très bonne mise en scène, des décors superbes et une bande sonore entraînante rattrape un scénario regretté par les quelques longueurs et clichés vite oubliées. Courez-y

Ce film simpliste jongle sur 2 tons, la comédie et l'émotion, qui sont mal définis, du coup, sur certaines scènes, on est un peu partagé voir perdus entre les deux. Ce qui en ressort néanmoins est un film plaisant, avec de bonnes idées, des voyages inattendus aux paysages magnifiques et au final, on est accroché par l'histoire qui nous emmène au 4 coins du monde. L'idée de se dépasser, sortir de son quotidien est bienvenue mais parfois trop caricatural.

The Secret Life of Walter Mitty est film que l'on n'attendait et que l'on adore. Réalisé par un Ben Stiller qui nous avait déjà surpris en 2008 avec Tonnerre sous les Tropiques, le film nous emmène et nous transporte à travers des décors grandioses, une histoire prenante et qui nous touche tous rêveurs que nous sommes. Le tout porté par des bons acteurs, de l'humour, de la bonne humeur et une photographie parfaite ! On adore ce genre de très bonne surprise !

Le film est Simple et magique...et simple n'est pas un Default... Le clin d’œil de Sean Penn n'y est pas anodin, un certain état d'esprit qui n'est pas sans rappeler Into the wild.

La vie rêvée de Walter Mitty est un film simple qui a de grandes forces non exploitées. L’histoire n’est pas spectaculaire mais se laisse regarder avec des touches d’humour déplacées en début de film qui annonce quelque chose de très drôle pour la suite. Sauf que … non. Plus le temps passe et plus il devient linéaire passant d’un genre « comique » à un genre « aventure » plus présent. Les paysages sont beaux et assez bien filmés. Le casting en général est pas mal (Sean Penn, malgré ses 10 minutes d’apparition, est débordant de charisme). Cependant il y a un problème : Ben Stiller est décevant. Pendant toute la durée du film il est fade et sans intérêt. Semblant subir les situations avec toujours les mêmes expressions du visage. Son jeu d’acteur est inexistant et pour moi, cela fait 80% du film. Je ne me souviens pas que dans « La nuit au musée » par exemple, il soit si mauvais, il était d’ailleurs le contraire. A croire qu’être réalisateur et acteur à la fois n’est pas donné à tout le monde. Peut-être aurait-il dû se concentrer uniquement sur la réalisation qui est quant à elle réussie ?

En bref, j’ai apprécié certains passages (notamment la photo de couverture du dernier « LIFE » qui est joliment trouvée, et les musiques plaisantes à écouter. Mais de trop gros défauts ont gâchés ce film qui aurait pu être « une Quintessence » des films de 2014. Dommage.

"To see the world, things dangerous to come to, to see behind walls, draw closer, to find each other, and to feel. That is the purpose of Life". Cette devise du magazine Life que l'on retrouve tout le long du film résume vraiment l'état d'esprit de ce dernier : j'y ai même parfois ressenti les mêmes envies de voyager, de prendre mon vélo et d'aller dans la nature, de m'y confronter et de l'admirer, que devant le chef d'oeuvre "Into the Wild" de Sean Penn qui, coïncidence ou non, fait également parti du casting.
Vous allez donc admirer de splendides images de notre planète, voir des rencontres et des moments de vie qui vous feront envie de quitter votre canapé. Ben Stiller a véritablement bossé cet aspect : les décors sont sublimes à la base mais sa réalisation et son travail sur les effets visuels les magnifient encore plus. En fait, c'est un véritable bout de poésie que nous propose l'acteur-réalisateur.
D'ailleurs, la musique qui accompagne ces images est aussi très bien choisie à l'image de ce Space Oddity de David Bowie lors d'une scène où Ben Stiller saute sur un hélicoptère près à décoller. C'est du beau boulot !
Bien sûr tout n'est pas parfait et quelques parties du scénario sont un peu moyennes mais l'ensemble reste tout à fait convaincant pour vous évader. Ben Stiller a donc réussi son coup. Bravo !

Hier, j'ai fait un rêve. Un drôle de rêve. J'avais vingt, peut-être vingt-cinq ans de plus que maintenant, et je vivais une vie paisible et banale, un peu comme dans la réalité quoi, sans action, aventures ou imprévus; j'avais un drôle de nom, genre Malter Witty ou un truc comme ça... à moins que ce ne soit l'inverse... Et puis, dans ma vie bien rangée, je n'avais rien de spécial, rien d'atypique ou d'unique, rien qui n'appartenait seulement à moi ( si ce n'est mes affaires de travail ), rien que je possédais, pas de femme, une mère aimante et une soeur adorable. On va passer au présent, c'est mieux. Et là, tu vois, surement vers deux heures du matin dans la réalité, quatre heure de l'après midi dans mon rêve, j'attends à une gare, je téléphone à un gars pour un problème sur mon ordi, et je vais au boulot. Et là, fin de travail, je sors, je la vois cette fille là, cette femme, tellement belle, que j'aime tellement, et je commence à m'imaginer plein de choses, des choses magnifiques et impressionnantes ( je la sauve quand même ! ), des choses qui pourraient l'impressionner et faire qu'elle pourrait m'aimer. Et là, explosion, je suis happé, et je retrouve mes esprits. Toujours sur la gare, assis à un banc, je me lève. Au début, j'ai du mal à entrer dans mon rêve, il y a quelque chose qui fait que je ne m'y crois pas, qui fait que je suis encore un peu dans la réalité, que je ne me suis pas totalement évadé de chez moi. Peut-être est-ce du à son originalité trop dépaysante, à ce petit quelque chose qui fait que je n'avais jamais vu cela auparavant, et qui ne me rappelle rien que j'ai pu apercevoir avant tout ça. Bref, le tout étant que c'est complètement différent de ce que j'avais pu vivre auparavant. Et là, l'intrigue dans mon imagination se dresse et commence à ressembler à quelque chose, à une bonne intrigue, réfléchie et originale, qui me rappelle quelque chose, mais je sais plus trop quoi, un bon scénar pour le ciné quoi! Élément perturbateur de mon histoire à moi, celle que je m'invente au fil des minutes et que je savoure, il manque un cliché pour la couverture, le numéro 25 je crois. Donc, j'abandonne ce pauvre gars là, mon nouveau patron, pour lequel j'ai imaginé mille façons de le punir ( dont le combat entre super-héros, mon préféré, fun et fantasmagorique ), cet abruti chronique, insupportable ramassis d'insultes et de mépris, je m'envole hors de chez moi, après de multiples adieux à cette femme avec laquelle je me suis rapproché ( dans ma tête, je ne la préviens pas réellement ), fan de romans noirs, et je m'en vais pour le Groenland, terre des vikings et de la glace. La barrière entre réalité et rêve se fend et rompt, mes chaînes se brisent, mes liens se détruisent et... je n'y crois pas! Je vais vivre mes rêves! Oui, je ne vais plus espérer, je vais vivre autant de belles choses que de surprises et d'inattendus, je vais espérer et faire rêver le monde entier pour ce que j'ai vécu ( parce qu'il faudra que j'en écrive un livre quand même ). Et là, je me sens libre, un peu comme quand je regardais ce film là, la vieille, dont j'ai complètement oublié le nom, que j'ai adoré et qui m'a fait ressentir de vrais émotions, pures et magnifiques, un sentiment de liberté et de folie s'étant emparé de moi. Tout ce que je vis à présent est passionnant, que dis-je, inespéré et inespérable, insoupçonné et impensable. Rends-toi compte de ce que deviens mon existence! Auparavant banal travailleur d'une entreprise de journalisme, je suis devenu l'Indiana Jones des temps modernes, genre le Forrest Gump du tour du monde, si tu veux, un aventurier véritable, le genre de mec qui tient en respect n'importe quelle femme et qui n'a pas de mal pour en trouver une, le style de gars avec quatre fille aux bras quand il rentre à la maison et qui fait rêver le monde de par son histoire, celui qui a une vie, une vraie, qui laissera des traces dans les annales de l'homme. Enfin, je suis quelqu'un. Si tu veux, mon histoire, c'est l'histoire d'un pauvre gars qui, rêveur et tête en l'air, est passé de vivre ses rêves dans sa tête à les vivre dans ses yeux, si tu vois ce que je veux dire ( Oui, c'est carrément du "Inception" ce que je viens de dire ). Qui d'autre pourrait s'en venter? Personne. Et là, j'arrive dans un bar ( décidément, j'y suis abonné depuis "Edge of Tomorrow" ), et j'écoute celui qui chante atrocement mal. Enfin non, je l'entends, j'essaie de ne pas l'écouter, parce que c'est un carnage ce qu'il fait, le genre qui te fait un génocide sur le répertoire de chanteurs célèbres. Sauf que ce modeste mec, il est bourré le pauvre, et là, je commence à le plaindre. Une bagarre éclate, il me frappe, je le calme, enfin, j'essaye, et on boit un verre. C'est lui qui voulait, pas moi. Exit ce pauvre gars, je passe dans un bateau, je vais en Islande et, constatation, les décors sont magnifiques!! Larges, profonds, qui te font plus rêver que Megan Fox, d'un vert éblouissant, aux côtés d'un volcan époustouflant. C'est vraiment magnifique... Sauf que le problème, c'est que j'approche de la fin, et je ne veux pas que ça se termine! Je profite de l'instant présent, comme on dit et, contraint de rentrer chez moi, je suis déçu. Merde mais c'est déja fini? Pas du tout!! Et hop, on repart une dernière fois, maintenant pour l'Himalaya! Et la fin arrive après que le voyage soit terminé. Une fin magnifique, cela va de soi. Presque ému ( sans larmes bien sur, parce qu'il n'y a rien de triste, on n'est pas dans "Forrest Gump" ), tellement heureux pour cette fin magnifique et imprévisible, je me réveille. Ce n'était pas un rêve! Non non, j'étais assis sur mon canapé, et ce rêve que je faisais, c'était juste le film que je matais! "La vie rêvée de Walter Mitty" est le rêve que j'ai fait hier, pour lequel je suis sorti de chez moi pour partir aux quatre coins du globe, ce voyage d'un heure cinquante, presque deux heures, pratiquement trop court, que j'aurai bien aimé avec une demi-heure en plus. Le temps passe trop vite, c'est sur. Les acteurs étaient magnifiques, et tout ce que j'ai dit dans cette critique, c'est ce que j'ai ressenti devant "Walter Mitty", véritable voyage dépaysant. Grand sentiment de liberté et passionnante histoire font que vous devez le voir! Une très agréable surprise.