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A la fois drôle, intelligente, nostalgique, voire carrément mélancolique et même poignante, cette comédie aux limites du fantastique est une ode à ceux qui pensent qu’il faut rêver sa vie pour la rendre extraordinaire. Une belle façon de nous enchanter en ce début d’année.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
C’est un bonheur que de le voir se mettre en scène dans ses aventures échevelées, passant du statut de petit employé à celui de super-héros bronzé au regard lointain, parcourant des milliers de kilomètres en skateboard. (...) C’est malin, drôle et ça fait rêver.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le plus exaltant ne réside pas tant dans le traitement narratif que dans la propension à Ben Stiller à savoir divertir et nous faire rêver. C'est inventif, saturé de couleurs et servi par des dialogues agréables et drôles.
Devant et derrière la caméra, Ben Stiller s'approprie avec panache et fantaisie l'histoire du rêveur Walter Mitty, imaginé par James Thurber en 1941 et une première fois adaptée au cinéma par Norman Z. McLeod, en 1947, avec Danny Kaye.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ce personnage de doux rêveur permet à Ben Stiller de s'offrir lui aussi quelques séquences épiques. (...) Pointer la fin d'un monde (la presse écrite, la photo argentique) avec des moyens qui, précisément, l'enterrent : voilà qui est intelligent.
Ce qui fait le prix du film, c’est son attachement sincère et inspiré à des valeurs (le respect du travail bien fait, l’attention aux belles choses, la mémoire du passé) et à une tradition de la comédie (coucou Preston Sturges et Frank Capra !) en voie de disparition.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ben Stiller dose parfaitement les différentes tonalités de son film. "La Vie rêvée de Walter Mitty" se révèle une bonne surprise, mêlant humour, action et poésie".
Porté par un argument propice à visualiser les fantasmes les plus fous (mis au pied du mur, un homme à l'imagination envahissante va devoir se lancer dans une folle aventure), le cinéaste paraît se libérer d'années de frustrations créatives, s'essayant à des expérimentations dignes de David Fincher.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Ben Stiller n'a pas de personnalité de cinéaste et si Tonnerre sous les tropiques ressemblait à une longue bande-annonce, La vie rêvée de Walter Mitty prend cette fois les atours d'un long spot publicitaire.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le sérieux avec lequel Stiller – l’acteur comme le réalisateur – s’adonne à cette imagerie coupe court à toute légèreté parodique comme à tout merveilleux. De cet egotrip postadolescent, le film ne se relèvera pas, perdant toute cohérence et toute lucidité.
Contre. Walter Mitty ne songe ni à l’aventure, au sexe ou à la mort, mais rêve mollement de cartes postales publicitaires et de soumission de classe. Glauque.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
(...) c'est trop littéral, trop naïf pour nous faire vraiment rêver. Le sympathique Ben Stiller, devant et derrière la caméra, semble se projeter personnellement dans son personnage, mais prône une sagesse au bord du cliché.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Çà et là, le film recèle quelques éclats (notamment une scène de fouille d’aéroport) qui jamais ne parviennent à déborder un statut de brillantes vignettes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Walter Mitty est aussi handicapé par un humour soluble dans l’aventure, qui ne justifie plus le tsunami de clichés que Stiller nous abat sur le coin de l’œil.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
A la fois drôle, intelligente, nostalgique, voire carrément mélancolique et même poignante, cette comédie aux limites du fantastique est une ode à ceux qui pensent qu’il faut rêver sa vie pour la rendre extraordinaire. Une belle façon de nous enchanter en ce début d’année.
Télé 7 Jours
Sur le thème de la confrontation et du réel, voilà un très joli film...
CinemaTeaser
Ben Stiller dans son meilleur rôle, pour son plus grand film.
Ecran Large
Pour. Il n’est pas honteux de se laisser prendre par les rêves en papier glacé de Walter Mitty.
Elle
C’est un bonheur que de le voir se mettre en scène dans ses aventures échevelées, passant du statut de petit employé à celui de super-héros bronzé au regard lointain, parcourant des milliers de kilomètres en skateboard. (...) C’est malin, drôle et ça fait rêver.
L'Ecran Fantastique
Le plus exaltant ne réside pas tant dans le traitement narratif que dans la propension à Ben Stiller à savoir divertir et nous faire rêver. C'est inventif, saturé de couleurs et servi par des dialogues agréables et drôles.
La Croix
Devant et derrière la caméra, Ben Stiller s'approprie avec panache et fantaisie l'histoire du rêveur Walter Mitty, imaginé par James Thurber en 1941 et une première fois adaptée au cinéma par Norman Z. McLeod, en 1947, avec Danny Kaye.
Le Journal du Dimanche
Un film drôle et émouvant, qui fait un bien fou.
Metro
On en ressort avec l’envie de se faire la malle et de vivre ses rêves, qu’ils soient secrets ou non. Euphorisant !
Positif
Ce personnage de doux rêveur permet à Ben Stiller de s'offrir lui aussi quelques séquences épiques. (...) Pointer la fin d'un monde (la presse écrite, la photo argentique) avec des moyens qui, précisément, l'enterrent : voilà qui est intelligent.
Première
(...) s'il est visuellement ébouriffant, le film flirte parfois avec le formalisme un peu vain d'un clip de Spike Jonze.
TéléCinéObs
Ce qui fait le prix du film, c’est son attachement sincère et inspiré à des valeurs (le respect du travail bien fait, l’attention aux belles choses, la mémoire du passé) et à une tradition de la comédie (coucou Preston Sturges et Frank Capra !) en voie de disparition.
Critikat.com
Par moment imprévisible, juste et touchant, "Walter Mitty" succombe parfois à la tentation d’un récit attendu, aux bons sentiments téléphonés.
Franceinfo Culture
Ben Stiller dose parfaitement les différentes tonalités de son film. "La Vie rêvée de Walter Mitty" se révèle une bonne surprise, mêlant humour, action et poésie".
Les Fiches du Cinéma
À force de vouloir faire ressentir toutes les émotions possibles, ce remake signé Ben Stiller se perd quelque peu en chemin.
Mad Movies
Porté par un argument propice à visualiser les fantasmes les plus fous (mis au pied du mur, un homme à l'imagination envahissante va devoir se lancer dans une folle aventure), le cinéaste paraît se libérer d'années de frustrations créatives, s'essayant à des expérimentations dignes de David Fincher.
TF1 News
Ben Stiller n'a pas de personnalité de cinéaste et si Tonnerre sous les tropiques ressemblait à une longue bande-annonce, La vie rêvée de Walter Mitty prend cette fois les atours d'un long spot publicitaire.
Cahiers du Cinéma
Le sérieux avec lequel Stiller – l’acteur comme le réalisateur – s’adonne à cette imagerie coupe court à toute légèreté parodique comme à tout merveilleux. De cet egotrip postadolescent, le film ne se relèvera pas, perdant toute cohérence et toute lucidité.
Ecran Large
Contre. Walter Mitty ne songe ni à l’aventure, au sexe ou à la mort, mais rêve mollement de cartes postales publicitaires et de soumission de classe. Glauque.
Transfuge
Il (Ben Stiller) à faire vibrer les séquences de rêve éveillé (...) au point qu'on en vient à apprécier le réveil.
Télérama
(...) c'est trop littéral, trop naïf pour nous faire vraiment rêver. Le sympathique Ben Stiller, devant et derrière la caméra, semble se projeter personnellement dans son personnage, mais prône une sagesse au bord du cliché.
Les Inrockuptibles
En 2014, Stiller s’imagine qu’il faut être Nicolas Hulot pour choper Kristen Wiig. No way.
Libération
Çà et là, le film recèle quelques éclats (notamment une scène de fouille d’aéroport) qui jamais ne parviennent à déborder un statut de brillantes vignettes.
aVoir-aLire.com
Walter Mitty est aussi handicapé par un humour soluble dans l’aventure, qui ne justifie plus le tsunami de clichés que Stiller nous abat sur le coin de l’œil.