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Écrit avec subtilité par le réalisateur lui-même, le scénario laisse entrevoir, autour de ce fil, toute la complexité humaine et sociale que recouvre la loi de "concorde civile".
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Tourné avec les moyens du bord, servi par des acteurs à la sobriété efficace, "Le Repenti" est un film sans effets. Il ne s'agit pas, pour Allouache, de fournir du spectacle mais d'être au plus près d'un traumatisme qui meurtrit encore, et pour longtemps, sa nation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le film de Merzak Allouache se distingue par son récit finement allusif et sa forme maîtrisée. Malgré un léger fléchissement en bout de course, une proposition pertinente et tenue.
Par ses déplacements incessants, par ses passages dans des logements qui semblent provisoires, par sa manière de filmer chaque protagoniste comme une personne poursuivie, [Merzak Allouache] montre la hantise à l'échelle d'un pays.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Marqué par une narration elliptique, ce film sur les conséquences de la guerre civile algérienne s'insinue doucement pour mieux nous coller un uppercut à l'estomac.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'efficacité – réelle – du film est en ce sens aussi sa limite, fonctionnant à la manière d'un circuit fermé qui ne dit et ne montre jamais rien de plus que est dit et montré. Mais ce qui est dit et montré mérite assurément de l'être.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
(...) Le repenti en est-il un ? Comment peut-il coexister avec les survivants des massacres de la guerre civile ? Merzak Allouache répond par un film sec, fait de silences et de gestes esquissés, ponctué d'éclats de violences.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dans le parcours très sinueux de Merzak Allouache (Chouchou, Bab El Oued City) un film volontariste qui s'efforce de croire à la réconcilation. Une mise en scène un peu confuse, mais un propos fort, qui a secoué le festival du cinéma méditerranéen de Montpellier à l'automne.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
[Le film est] porté par un prologue et un final foudroyants (...), mais la construction à suspense du scénario s'égare dans une opacité qui dévoie presque la brûlante actualité du propos.
La critique complète est disponible sur le site Première
Même si le cinéaste ne fournit aucune explication et nous laisse à la traîne de son récit, on est immergés dans cette ambiance de "concorde civile" où se dessine l'image d'un pays tout en rancoeur souterraine et violence contenue.
Après des comédies ratées ("Chouchou", "Bab el web"), Merzak Allouache était revenu à un cinéma plus engagé où l'enjeu du grand sujet (l'immigration dans "Harragas", les printemps arabes dans "Normal!") écrase souvent toute ambition de mise en scène. Il y a du mieux dans "Le Repenti".
La Croix
Écrit avec subtilité par le réalisateur lui-même, le scénario laisse entrevoir, autour de ce fil, toute la complexité humaine et sociale que recouvre la loi de "concorde civile".
Le Parisien
Tourné avec les moyens du bord, servi par des acteurs à la sobriété efficace, "Le Repenti" est un film sans effets. Il ne s'agit pas, pour Allouache, de fournir du spectacle mais d'être au plus près d'un traumatisme qui meurtrit encore, et pour longtemps, sa nation.
Le Point
Voir la critique sur le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Le film de Merzak Allouache se distingue par son récit finement allusif et sa forme maîtrisée. Malgré un léger fléchissement en bout de course, une proposition pertinente et tenue.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Par ses déplacements incessants, par ses passages dans des logements qui semblent provisoires, par sa manière de filmer chaque protagoniste comme une personne poursuivie, [Merzak Allouache] montre la hantise à l'échelle d'un pays.
aVoir-aLire.com
Marqué par une narration elliptique, ce film sur les conséquences de la guerre civile algérienne s'insinue doucement pour mieux nous coller un uppercut à l'estomac.
Critikat.com
L'efficacité – réelle – du film est en ce sens aussi sa limite, fonctionnant à la manière d'un circuit fermé qui ne dit et ne montre jamais rien de plus que est dit et montré. Mais ce qui est dit et montré mérite assurément de l'être.
L'Express
Voir le site de L'Express
Le Monde
(...) Le repenti en est-il un ? Comment peut-il coexister avec les survivants des massacres de la guerre civile ? Merzak Allouache répond par un film sec, fait de silences et de gestes esquissés, ponctué d'éclats de violences.
Libération
Le film fait mal, dans un final étouffant, mais pour y parvenir, brouille les cartes trop longtemps.
Ouest France
Dans le parcours très sinueux de Merzak Allouache (Chouchou, Bab El Oued City) un film volontariste qui s'efforce de croire à la réconcilation. Une mise en scène un peu confuse, mais un propos fort, qui a secoué le festival du cinéma méditerranéen de Montpellier à l'automne.
Première
[Le film est] porté par un prologue et un final foudroyants (...), mais la construction à suspense du scénario s'égare dans une opacité qui dévoie presque la brûlante actualité du propos.
Transfuge
Même si le cinéaste ne fournit aucune explication et nous laisse à la traîne de son récit, on est immergés dans cette ambiance de "concorde civile" où se dessine l'image d'un pays tout en rancoeur souterraine et violence contenue.
TéléCinéObs
Au demeurant très bien tenu, le parti pris de suspense à rebondissements et de mystère donne (...) au film un aspect un peu déroutant.
Cahiers du Cinéma
Après des comédies ratées ("Chouchou", "Bab el web"), Merzak Allouache était revenu à un cinéma plus engagé où l'enjeu du grand sujet (l'immigration dans "Harragas", les printemps arabes dans "Normal!") écrase souvent toute ambition de mise en scène. Il y a du mieux dans "Le Repenti".
Positif
(...) les liens narratifs sont trop relâchés, la mise en scène trop prodigue de gros plans pour proposer une image cohérente de la société.
Ecran Large
Un film sauvé du désintérêt par son dernier quart d'heure très fort et politisé.
Les Inrockuptibles
L'entêtement de Merzak Allouache à emmurer son film dans les non-dits et une ambiance plombée, pour lui donner naïvement du poids, relève du supplice.