Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
La beauté du film provient principalement de sa sobriété élémentaire ; par son sens du bougé et du hasard documentaire, Alejandro Fadel se situe dans la lignée du plus cru des cinéastes argentins : Lisandro Alonso.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Isabelle Regnier
Dès [les] séquences inaugurales, "Los Salvajes" vous cloue dans votre fauteuil pour ne plus vous lâcher.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Ce premier film subjuguant du réalisateur argentin Alejandro Fadel (scénariste pour Pablo Trapero), découvert à Cannes l'an dernier à la Semaine de la critique, fait avant tout exister un mouvement de dérive et un état de sauvagerie. Un choix qui n'est pas sans risques car souvent porteur d'une esthétisation douteuse de la violence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Alejandro Fadel semble exorciser (...) la mort, omniprésente, immémoriale qui poursuit l'individu dans ses moindres mouvements, ses pensées les plus secrètes, matérialisant dans la splendeur des plans la vie qui s'achève en chacun, à chaque instant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Vincent Thabourey
Alejandro Fadel, jeune réalisateur argentin, ne manque pas de talent ! Sa mise en scène, parfaitement maîtrisée, lui permet de mettre sous tension personnages et paysages avec une rare efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Alejandro Fadel a posé sa caméra dans la pampa argentine et a laissé agir, avec une assurance bluffante pour un premier film, la magie sauvage qui se dégage de ses jeunes (anti-)héros. (...) Au terme de ce voyage sensoriel, on reste ébloui par le talent de Fadel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
En quête d'inédit et de sidération, [le] film cherche clairement à impressionner. Et il y parvient, moins dans les oppositions dialectiques rebattues (...) que dans la maîtrise du son et de l'image, dans la manière de sculpter des corps malades et dans sa capacité à mener ce lent récit d'espoir et d'agonie jusqu'à sa chute inouïe.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Louis Séguin
"Los Salvajes" (...) est un road-movie envoûtant sur la frontière qui sépare l'homme de l'animal.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Dans cette fable sépulcrale que l'on pourrait hisser au niveau formel d'un Boorman (...) ou d'un Brook (...), le jeune cinéaste argentin filme un retour à l'état primal avec une puissance sensorielle, scrutant dans la puissance des corps cette régression aux enfers. Quitte, seul point faible de ce premier film brillant, à baliser son scénario de personnages archétypaux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
CinemaTeaser
par Julien Munoz
Les errances métaphysiques d'Alejandro Fadel n'entravent qu'assez peu le pouvoir de fascination qu'exerce cette première réalisation à l'état brut.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Gildas Mathieu
S'il n'évite pas toujours un symbolisme appuyé et se complaît dans un rythme étiré, "Los Salvajes" affiche néanmoins une indéniable ambition formelle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Une longue errance dans la pampa, émaillée de morts et de sauvagerie, s'achève dans un panthéisme mystique qui laisse le spectateur déconcerté.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
Violence, mais aussi contemplation, mystère mystique caractérisent ce premier film argentin, déjà très maîtrisé. La bande-son est à l'affût de tous les bruits de la nature, le rythme balance entre ardeur et torpeur. Certaines images sont redondantes, mais le récit est agencé de manière inédite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
A trop vouloir donner dans l'épure et l'implicite, le réalisateur érige un mur entre ses jeunes évadés et les spectateurs qui se sentent désarmés en émotion à leur égard. Un problème épineux quand on sait que cette expérience hors norme n'est qu'une longue errance de 2 heures, au rythme d'une marche aride, pour des personnages dont le calvaire nous laisse finalement insensibles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Stéphane Argentin
Une échappée sauvage formellement ultra léchée mais fondamentalement ennuyeuse au possible.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
La beauté du film provient principalement de sa sobriété élémentaire ; par son sens du bougé et du hasard documentaire, Alejandro Fadel se situe dans la lignée du plus cru des cinéastes argentins : Lisandro Alonso.
Le Monde
Dès [les] séquences inaugurales, "Los Salvajes" vous cloue dans votre fauteuil pour ne plus vous lâcher.
Les Inrockuptibles
Ce premier film subjuguant du réalisateur argentin Alejandro Fadel (scénariste pour Pablo Trapero), découvert à Cannes l'an dernier à la Semaine de la critique, fait avant tout exister un mouvement de dérive et un état de sauvagerie. Un choix qui n'est pas sans risques car souvent porteur d'une esthétisation douteuse de la violence.
Libération
Alejandro Fadel semble exorciser (...) la mort, omniprésente, immémoriale qui poursuit l'individu dans ses moindres mouvements, ses pensées les plus secrètes, matérialisant dans la splendeur des plans la vie qui s'achève en chacun, à chaque instant.
Positif
Alejandro Fadel, jeune réalisateur argentin, ne manque pas de talent ! Sa mise en scène, parfaitement maîtrisée, lui permet de mettre sous tension personnages et paysages avec une rare efficacité.
Première
Alejandro Fadel a posé sa caméra dans la pampa argentine et a laissé agir, avec une assurance bluffante pour un premier film, la magie sauvage qui se dégage de ses jeunes (anti-)héros. (...) Au terme de ce voyage sensoriel, on reste ébloui par le talent de Fadel.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
En quête d'inédit et de sidération, [le] film cherche clairement à impressionner. Et il y parvient, moins dans les oppositions dialectiques rebattues (...) que dans la maîtrise du son et de l'image, dans la manière de sculpter des corps malades et dans sa capacité à mener ce lent récit d'espoir et d'agonie jusqu'à sa chute inouïe.
Transfuge
"Los Salvajes" (...) est un road-movie envoûtant sur la frontière qui sépare l'homme de l'animal.
TéléCinéObs
Dans cette fable sépulcrale que l'on pourrait hisser au niveau formel d'un Boorman (...) ou d'un Brook (...), le jeune cinéaste argentin filme un retour à l'état primal avec une puissance sensorielle, scrutant dans la puissance des corps cette régression aux enfers. Quitte, seul point faible de ce premier film brillant, à baliser son scénario de personnages archétypaux.
CinemaTeaser
Les errances métaphysiques d'Alejandro Fadel n'entravent qu'assez peu le pouvoir de fascination qu'exerce cette première réalisation à l'état brut.
Critikat.com
S'il n'évite pas toujours un symbolisme appuyé et se complaît dans un rythme étiré, "Los Salvajes" affiche néanmoins une indéniable ambition formelle.
Les Fiches du Cinéma
Une longue errance dans la pampa, émaillée de morts et de sauvagerie, s'achève dans un panthéisme mystique qui laisse le spectateur déconcerté.
Télérama
Violence, mais aussi contemplation, mystère mystique caractérisent ce premier film argentin, déjà très maîtrisé. La bande-son est à l'affût de tous les bruits de la nature, le rythme balance entre ardeur et torpeur. Certaines images sont redondantes, mais le récit est agencé de manière inédite.
aVoir-aLire.com
A trop vouloir donner dans l'épure et l'implicite, le réalisateur érige un mur entre ses jeunes évadés et les spectateurs qui se sentent désarmés en émotion à leur égard. Un problème épineux quand on sait que cette expérience hors norme n'est qu'une longue errance de 2 heures, au rythme d'une marche aride, pour des personnages dont le calvaire nous laisse finalement insensibles.
Ecran Large
Une échappée sauvage formellement ultra léchée mais fondamentalement ennuyeuse au possible.