Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Guillemette Odicino
[Un] premier film vulnérable et attachant. Dans le rôle de la fille, Alice de Lencquesaing (...) confirme qu'elle est une future grande.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Nicola Everi
Le film d'Amélie Van Elmbt parle d'incommunication, de conflits intérieurs étouffés, et surtout de la façon dont on se met, à cet âge-là, à l'abri de son bouclier.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) La réalisatrice a capté la fantaisie passionnée de l'aventure, sans s'éloigner assez pour éviter à son film de ressembler à un feu de paille.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Transfuge
par Damien Aubel
Il s'agit (...) de prendre métaphoriquement des chemins buissonniers et de sortir des sentiers battus (...). Mais (...) comme paralysé par la présence (...) de Jacques Doillon, il succombe à un effet de mimétisme. Le charme aérien de "La tête la première" n'est pas éventé, mais il a perdu en personnalité.
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Sur les traces de Jacques Doillon, ce premier film emprunte la structure du road-movie pour évoquer les amours tumultueux de jeunesse. Frais, mais trop répétitif.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Le film tente bien, sagement, de faire exister des situations, des lieux, des durées où pourrait survenir un souffle, mais la vie et son mouvement permanent, visée manifeste d'Amélie Van Elmbt, vient moins de l'élan essentiel promis par le titre que d'une agitation de programme.
Positif
par Grégory Valens
Le maître [Jacques Doillon] apparaît lui-même dans la dernière partie du film : son chuchotement désinvolte apporte un peu de charme et de fraîcheur à ce brouillon. Trop tard : la moitié de la salle est en mode sieste.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Stéphanie Lamome
Un court métrage post-Doillon sur les atermoiements amoureux étiré sur 1h30, c'est hélas 1h15 de trop.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Malgré des efforts patents, la réalisatrice ne parvient pas toujours à insuffler l'ardeur nécessaire à son chassé-croisé de "je pourrais t'aimer, moi non plus" qui, jusqu'à la rencontre avec Doillon en romancier retiré du côté de Lisieux, tourne à l'exercice stérile.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
[Un] premier film vulnérable et attachant. Dans le rôle de la fille, Alice de Lencquesaing (...) confirme qu'elle est une future grande.
Critikat.com
Le film d'Amélie Van Elmbt parle d'incommunication, de conflits intérieurs étouffés, et surtout de la façon dont on se met, à cet âge-là, à l'abri de son bouclier.
Le Monde
(...) La réalisatrice a capté la fantaisie passionnée de l'aventure, sans s'éloigner assez pour éviter à son film de ressembler à un feu de paille.
Transfuge
Il s'agit (...) de prendre métaphoriquement des chemins buissonniers et de sortir des sentiers battus (...). Mais (...) comme paralysé par la présence (...) de Jacques Doillon, il succombe à un effet de mimétisme. Le charme aérien de "La tête la première" n'est pas éventé, mais il a perdu en personnalité.
aVoir-aLire.com
Sur les traces de Jacques Doillon, ce premier film emprunte la structure du road-movie pour évoquer les amours tumultueux de jeunesse. Frais, mais trop répétitif.
Cahiers du Cinéma
Le film tente bien, sagement, de faire exister des situations, des lieux, des durées où pourrait survenir un souffle, mais la vie et son mouvement permanent, visée manifeste d'Amélie Van Elmbt, vient moins de l'élan essentiel promis par le titre que d'une agitation de programme.
Positif
Le maître [Jacques Doillon] apparaît lui-même dans la dernière partie du film : son chuchotement désinvolte apporte un peu de charme et de fraîcheur à ce brouillon. Trop tard : la moitié de la salle est en mode sieste.
Première
Un court métrage post-Doillon sur les atermoiements amoureux étiré sur 1h30, c'est hélas 1h15 de trop.
TéléCinéObs
Malgré des efforts patents, la réalisatrice ne parvient pas toujours à insuffler l'ardeur nécessaire à son chassé-croisé de "je pourrais t'aimer, moi non plus" qui, jusqu'à la rencontre avec Doillon en romancier retiré du côté de Lisieux, tourne à l'exercice stérile.