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    Le Pays de la violence
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    Marie-Christine Julien
    Marie-Christine Julien

    2 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2024
    Amérique profonde au milieu des cimetières de voitures, pendant la prohibition Mc Caïn distille et envoie son adorable fille dans les bras du shérif, l'intègre et beau Grégory Peck. walk the Line musique de Johnny Cash
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 005 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2024
    I Walk the line surprend par la douceur avec laquelle John Frankenheimer représente le glissement dans l’illégalité du shérif d’une bourgade du Tennessee, multipliant les perspectives de violence pour mieux les désamorcer sans, pour autant, affecter son engrenage fatal : une famille immigrée au lourd casier judiciaire, une bâtisse délabrée servant à distiller de l’alcool, un bol ou vase au centre de la table de la cuisine qui ressemble à une tête coupée… Cette imagerie misérable emprunte à celle de la Grande Dépression telle que Dorothea Lange et Walker Evans l’ont montrée dans leurs photographies – artistes auxquels le cinéaste rend hommage en encadrant son long métrage par des gros plans sur des visages d’ouvriers ou de familles d’ouvriers. Nous savons que les choses finiront par mal tourner, que ces deux amants ne verront pas leur amour triompher, eux qui, en reniant leur milieu d’origine – ou en prétendant le faire –, acceptent une marginalité que la mise en scène retranscrit bien.
    Le rythme revendique une lenteur, mimétique en cela du train de vie quotidien qu’accélèrent les entrevues et, avec elles, les perspectives d’une renaissance à deux ; il est celui d’une ballade, déclinée par les chansons de Johnny Cash qui signe la bande original du film. Jusqu’à l’accélération des corps et des cœurs. Car le shérif Tawes demeure sur la ligne, sur la frontière entre légalité et illégalité, entre le bien et le mal, entre son foyer d’origine et le foyer qu’il souhaite refonder avec la belle et jeune Alma, qui le ramène malgré lui à la raison ; son ultime voyage prend l’aspect d’une traque policière, occasionnant une course-poursuite brillamment réalisée qui traduit à l’image le déchirement intérieur du personnage. Pour le camper, un Gregory Peck magistral, écartelé entre la posture taiseuse du père d’une famille chrétienne – un concert gospel est évoqué par la fille – et celle d’un jouvenceau fleur bleue rêvant à la Californie comme un eldorado adolescent. Un grand film méconnu.
    Roub E.
    Roub E.

    947 abonnés 4 983 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 décembre 2022
    Une plongée dans le Tennessee du début des années 70 qui passerait pour les fifties tant le temps semble s’y être arrêté. Le pays de la violence décrit un environnement morne sans avenir où les personnages et leur environnement semble être figés. C’est dans cet environnement qu’évolue le shérif Tawes qui va s’enticher de la fille d’un bouilleur de cru clandestin et va sortir du droit chemin et de l’ennui dans lequel il s’enterre. Dommage pour le coup que le jeu trop monolithique de Grégory Peck ne parvienne pas à rendre compte du trouble de ce personnage de shérif et que le film dans son ensemble ne soit pas plus ambigu (et pourquoi pas malsain). J’ai trouvé cela un peu trop lisse et convenu. Il reste quand même le plaisir d’écouter la musique de Johnny Cash qui accompagne cette histoire qui pour le coup mériterait un bon remake.
    cinono1
    cinono1

    298 abonnés 2 054 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2024
    Gregory Peck et l'ensemble des interprètes d'ailleurs sont les atouts de cette plongée dans l'Amérique rurale. Des personnages cherchant à améliorer leurs conditions et à la limite parfois entre le bien et le mal et tirant le diable par la queue dn arrondissant les fins de mois avec la fabrication d'alccol. Peck étant particulièrement émouvant dans ce rôle de personnage intégre et honnete, et plongé dans les affres de la passion qui a les traits de la pimpante Tuesday Weld. Un homme qui tombe dans la passion amoureuse la tete la première. Raison et passion ne font toujours bon ménage, mais le cœur a ses raisons. Dommage toutefois que le film perde de sa fluidité sur sa fin et que les situations soient moins bien amenés car sans cela, on tenait un petit chef d'œuvre emmèné par son acteur principal, dont le regard final en dit long sur les reves envolés et tenaces.
    Bruno65
    Bruno65

    30 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 octobre 2022
    Vu le titre de ce film,et ce qu'il y a marqué sur la jacquette du dvd,justement je m'attendais à plus de violence,de sexe.En fait,j'ai trouvé plutôt ennuyeux,planplan malgré une jolie héroïne et la musique de J.Cash.C'est davantage un mélo qu'un thriller ou un film d'action.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 174 abonnés 4 168 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 décembre 2022
    John Frankenheimer comme d’autres réalisateurs de sa génération (Sidney Lumet, Robert Mulligan, Arthur Penn, George Roy Hill, Franklin J. Schaffner) a fait ses gammes à la télévision notamment dans les dramatiques en direct dont il parvient à transcender le statisme grâce à une maîtrise technique qui lui permet de trouver les bons angles de vues et la bonne distance avec les comédiens. A son propos, le critique américain Roger Ebert affirmait qu’il était « l’un des meilleurs réalisateurs de dramatiques pour la télévision ». Commençant sa carrière dans le long métrage par ce qu’il jugera lui-même comme un échec (« Mon père, cet étranger » en 1957), il fait la connaissance de Burt Lancaster alors au sommet de sa gloire. A partir du « Temps du châtiment » en 1961, la première de ses cinq collaborations avec l’acteur et pendant cinq ans et six films, il exécute un sans faute qui semble devoir le propulser vers les sommets. « Le prisonnier d’Alcatraz », « Un crime dans la tête », « Sept jours en mai » ou encore « Le train » sont autant de réussites reconnues par la critique. Mais l’accueil glacial reçu par « L’opération diabolique » au Festival de Cannes en 1966 douche l’enthousiasme de Frankenheimer qui comprend mal le sort fait à ce film ambitieux qui deviendra pourtant culte quelques années après sa sortie. Amoureux du cinéma européen des Fellini, Godard et autres Antonioni, il part en Europe pour y tourner « L’homme de Kiev » qui ne parvient pas à le relancer. Il revient en Amérique mais les jeunes réalisateurs du Nouvel Hollywood ont pris la place. L’échec de « The Extraordinary Seaman » en 1969 semble indiquer que son heure est passée, n’étant pas parvenu à réaliser, comme Arthur Penn (« Bonnie and Clyde » en 1967) ou Franklin J. Schaffner (« Patton » en 1970), un film décrochant la timbale aux Oscars. D’un caractère pourtant intransigeant et direct, il va devoir accepter de rentrer dans le rang en consacrant le reste de sa carrière aux films de commande. Entre ces deux versants opposés d’une filmographie qui reste tout de même très intéressante, John Frankenheimer livre en 1969 et 1970 deux films intimistes qui dénotent avec son style habituel plutôt porté vers l’action ou les drames à très forte intensité. « Les parachutistes arrivent » encore avec Burt Lancaster, suivi du « Pays de la violence » montrent une facette plutôt méconnue d’un homme plus complexe et sensible qu’il ne voulait le laisser paraître, s’abritant derrière un professionnalisme et une maestria technique jamais contestés. « Le pays de la violence » est une chronique de l’Amérique profonde située dans un Tennessee dévasté par la crise économique et où le temps semble s’être arrêté comme l’indique très bien l’entame du film montrant tous ces habitants sur le seuil de leur maison, immobiles et le regard dans le vague, n’attendant plus rien d’un « rêve américain » dont ils ont depuis longtemps compris qu’il ne s’arrêterait pas devant leur porte. Harry Tawnes (Gregory Peck), shérif d’une petite bourgade a lui aussi le regard plongé dans le néant mais celui-ci fait face au barrage qui ceinture le lac proche de la ville. Sa femme lui parle à la radio sans qu’il n’y prête attention. Homme entre deux âges, doté d’un statut d’autorité, il a lui aussi compris que son horizon était bouché dans ce Tennessee agonisant d’un manque d’intérêt des autorités fédérales comme le montrent ces voitures abandonnées au bord des routes et ses maisons en bois dont on se demande comment elles tiennent encore debout. En quelques plans et de manière virtuose, John Frankenheimer expose le cadre de l’action à venir dont on détecte immédiatement qu’elle va concerner ce shérif qui au fond de lui-même se sent peut-être encore assez jeune pour se sortir de la torpeur qui paralyse sa vie mais dont le regard butte encore sur les contreforts du barrage faute d’un but à atteindre. L’étincelle comme sou-vent ne peut venir que du hasard. Celui-ci porte le nom d’Alma McCaine (Tuesday Weld), la fille d’un distilleur d’alcool clandestin qui va bouleverser en deux temps, trois mouvements la routine du shérif. La voiture qu’elle laisse conduire à son petit frère fait des embardées joyeuses sur la route. Le shérif, sans doute heureux d’un peu d’action, se lance à sa poursuite. La voiture s’arrête dans un champ et le petit garçon s’enfuit en courant. La toute jeune fille blottie sous le siège avant sort alors de la voiture, laissant apparaître une jeune femme à la beauté tout à la fois naturelle et incendiaire. Tout semble déjà dit de la suite quand Tawnes monte dans le van pour le sortir du champ. spoiler: S’installe alors une relation amoureuse qui a tout du quiproquo, chacun des deux protagonistes situés à deux moments distincts de leur vie, ne venant pas y chercher la même chose. John Frankenheimer et son scénariste Alvin Sargent montrent avec subtilité mais aussi sans fard l’obstination d’un homme parti sur une fausse route qui sans le conduire au drame toujours possible en pareil cas, va le ramener de manière assez minable à son point de départ et encore un peu plus désillusionné.
    Toutes les répercussions de cette sortie de route vont être décrites avec minutie sans aucun jugement de valeur ni exploitation narrative facile. D’aucuns ont dit et John Frankenheimer avec eux que le choix de Gregory Peck imposé par la Columbia qui souhaitait une vedette, était une erreur en raison de son jeu un peu hiératique et surtout de l’image d’homme droit et honnête qui collait à la peau de l’acteur depuis « Du silence et des ombres » de Robert Mulligan qui lui avait valu un Oscar en 1963. Le choix de Frankenheimer s’était d’emblée porté sur Gene Hackman avec lequel il venait de travailler sur « Les parachutistes arrivent » et qui était alors un acteur en devenir. A la fin de sa carrière, le réalisateur regrettait encore ce choix contraint. Gene Hackman dont le talent est énorme qui n’avait que treize ans de plus que Tuesday Weld dégageait incontestablement une animalité qui n’émanait pas de la personnalité de Gregory Peck. Mais c’est juste-ment ce manque ajouté à une maladresse de comportement qui permet de comprendre le tunnel dans lequel s’engouffre le shérif Tawnes et la perte de contrôle émotionel qui s’ensuit. Gene Hackman physiquement plus proche de l’univers des « moonshiners » (distilleur d’alcool clandestin) représenté par Ralph Meeker n’aurait sans doute pas permis à Tuesday Weld et à Estelle Parsons qui interprète l’épouse de Tawnes de jouer la même partition. Au contraire, Gregory Peck dont le malaise personnel palpable qu’il ressent à l’égard de son rôle est parfait notamment pour permettre à Frankenheimer de crédibiliser la fin de son film. Une fin particulièrement bouleversante qui identifie le shérif aux habitants montrés dans l’entame évoquée plus haut. On notera la présence toujours signifiante du grand acteur de second rôle qu’était Charles Durning ainsi que celle de Ralph Meeker diffusant une ambiguïté par instants troublante. Quant à Tuesday Weld, actrice précoce dont la carrière aurait dû être plus brillante que dire d’autre sinon qu’elle est insolente de beauté et parfaitement juste. Un film magnifique que la musique appropriée écrite par le grand Johnny Cash ne gâche en rien bien au contraire. Le titre original du film se confond d’ailleurs avec celui d’une des plus célèbres chansons du chanteur de country (« I walk the line »). Un grand film donc émanant d’un grand réalisateur en pleine maîtrise de son art qu’il convient de réhabiliter comme le fait la superbe édition DVD qui vient tout juste de paraître.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    30 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2021
    Mis à part le fait que Gregory Peck est décrit comme un sheriff vieillissant (comprendre : à l'aube du 3eme âge) alors qu'il est supposé avoir la quarantaine ce qui a vexé le jeune sexagénaire que je suis, ce thriller de John Frankenheimer se savoure juqu'à la dernière goutte. Sur une BO de Johnny Cash (dont bien sur le célébre "walk the line"), on suit les aventures sentimentales de ce sheriff victime du démon de midi (il faut dire que le choix des actrices entre la femme et la maitresse fait qu'il lui est beaucoup pardonné) qui va, non pas marcher sur la ligne jaune, mais la franchir d'un pas allégre jusqu'à se retrouver dans une situation plutot compliquée. Le bled du sud des Etats Unis ou l'action se déroule montre une fois encore qu'on peut etre le pays le plus puissant de la planéte et recéler des coins ou on se croirait au bout du tiers monde. 4 / 5
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    129 abonnés 2 228 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2021
    L'ANGE ET LE MAL. Dans l'Amérique profonde; Gregory sort les pecs. C'est le moment de conclure soit la femme soit le whisky. Le pouvoir attractif de la liqueur de la femme. I walk the line et tout part de travers.
    bobmorane63
    bobmorane63

    187 abonnés 1 960 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2013
    Une histoire d'amour compliquée et poignante par le réalisateur inspiré John Frankenheimer !! Un shérif de 40 ans marié tombe sous le charme d'une jeune femme issue d'une famille qui font du traffic d'alcools, ce qui est contraire à la loi à l'époque mais le shérif fait tout son possible pour que cela ne se sache pas par ses collègues de travail et ses supérieurs. La liaison avec la jeune fille devient problématique jusqu'au déchirement à fleur de peau et on va au fil de l'histoire avoir des surprises. J'ai bien aimé ce long métrage qui possède de belles ballades musicaux chanté et composé par Johnny Cash, une belle mise en images dans une Amérique des cambrousses des années 70. Et puis, il y a la trés bonne interprétation de Gregory Peck, grand acteur, et la jeune actrice auquel il forme un couple impossible jouée par la belle Tuesday Weld. Un film méconnu qui mérite attention.
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2013
    John Frankenheimer nous plonge dans l'Amérique profonde des années 70 où les mentalités n'ont pas évoluées, contrairement au monde qui entoure tous les habitants de cette petite ville du Tennessee. Gregory Peck y incarne un shérif tranquille dont la vie se voit bouleversée par l'arrivée d'une jeune femme séduisante en la personne d'Alma, fille d'un trafiquant d'alcool local dont il tombe fou amoureux. De cet amour et de ce désir, le shérif va ruiner sa vie aussi bien professionnelle que privée et on sent qu'il n'y a pas d'échappatoire. La femme est la mère au foyer tranquille ou bien la jeune sauvage en liberté dans ce film et le caractère bas des hommes ressurgit que ce soit par désir, par ambitieux ou juste par amour propre. Peck est grandiose dans ce rôle d'homme consumé face à une superbe Tuesday Weld.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 662 abonnés 12 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2012
    Quand Gregory Peck entre dans le pays de la violence, cela donne un bon film dans un esprit presque nostalgique d'une Amèrique passèe! Mis en images par John Frankenheimer, le cinèaste de "The Fixer" analyse une Amèrique profonde rarement montrèe au cinèma, bercèe par la superbe chanson "I Walk the Line" de Johnny Cash qui donne son titre à cette oeuvre ambiguë! Dans une ambiance violente et tendue, ce film traite un drame provincial d'une justesse psychologique assez inattendue et assez fouillèe pour donner un intèrêt supplèmentaire! Gregory Peck nous surprend en shèrif vieillissant et ses rapports avec la très troublante Tuesday Weld (renversante de beautè) vont ruiner, non seulement sa carrière, mais en plus sa vie privèe! il faut dire que la belle Tuesday n’a pas besoin de se forcer pour mettre Peck dans ses filets! Quant au final, il ètonne par sa violence où l'on partage la souffrance inextinguible du shèrif Peck...
    JohanJett
    JohanJett

    38 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 décembre 2012
    Le titre original est I walk the Line c'est une chanson écrite et interprétée par le grand chanteur de Country Rock ,l'immense Johnny Cash sortie dans son second album ,Walking the Line ce traduisant en figuré Je marche droit ,c'est l'image introspective d'un shérif honnête,intègre tombant amoureux d'une jeune femme de petite vertus ,un peu paumée et errante sans but.

    Grégory Peck est excellent,troublant,violent,décidé à accomplir la loi sans scrupule,un homme d'une intégralité exemplaire et sans limite pour une jeune femme trop jolie pour lui et simplette, très bien interprétée par Tuesday Weld pour un shérif marchant tout droit.

    Un bon film de Frankenheimer mais ce n'est certainement pas son meilleur.
    Plume231
    Plume231

    3 873 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 décembre 2012
    Par l'intermédiaire de la misère et de l'ennui dans l'Amérique profonde, John Frankenheimer fait le subtil portrait d'un homme qui n'a pas la moindre lueur d'avenir, qui étouffe dans son milieu et qui cherche désespérément à en sortir. C'est donc surtout dans la description des personnages, qui évitent toute caricature ou tout manichéisme, que le réalisateur brille ici. Les interprétations de Gregory Peck et de Tuesday Weld donnent beaucoup de vérité à l'ensemble.
    kael1935
    kael1935

    10 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2011
    Quasi total chef d'oeuvre. Très a part dans la filmographie de frankenheimer. Toujours aussi dépressif et sans
    Concession. Un film a l'atmosphere lourde et envoûtante. Un rythme régulier et fataliste. Revu aujourd'hui : un film d'adulte. Fabuleux !
    Juste un peu difficile pour qui ne supporte pas la musique de jonny cash. Grand film meconnu.
    Très grand réalisateur : Path to war son dernier film est un chef d'oeuvre absolu. A voir de toute urgence. Disponible en DVD version française dispo
    Freaks101
    Freaks101

    147 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2011
    Grégory Peck, shérif rural, craque pour la jolie Tuesday Weld, fille de distilleur clandestin, et on le comprend. Ne pas se fier au titre, il s’agit plus ici d’un mélodrame que d’un film d’action. Cela dit ça reste un petit Frankenheimer pas désagréable. Un beau portrait de l’Amérique profonde, mis en musique par Johnny Cash.
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