Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Mauvaises fréquentations souffre (...) d'un manque d'audace dans sa mise en scène (...). Améris préfère les faits à l'effet, ce qui empêche son film de s'élever au-dessus de la chronique sensible un brin cruelle.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Yves Le Corre
On était déjà surpris par Grosse Fatigue et ses accents de vérité. Ici (...), le propos est grave et parfois glauque. Pourtant, on est surpris par une légèreté de chaque instant. Ce n'est pas la moindre des qualités de ce bon petit film.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Mise en scène, mise en péril. On dira peut-être que quand on s'appelle Michel Blanc, le risque n'est pas bien grand. On aura tort.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Didier Péron
Le film interroge et bouscule (...) l'imagerie adolescente habituelle, qui circule désormais en boucle à longueur de sitcoms et de films ripolinés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Planetcinema.com
par Stéphanie Thonnet
Jean-Pierre Améris possède un incontestable talent de directeur d'acteurs, qui lui permet d'aborder, dans un cadre moderne, des thèmes éternels et propres au romantisme sombre du XIXe.
La critique complète est disponible sur le site Planetcinema.com
L'Express
par Sandrine Chicaud
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Jean-Pierre Améris, plaquant le problème moral comme une pièce rapportée sur sa chronique stéréotypée (voir les personnages secondaires) des amours adolescentes, semble se ranger à l'idée que la réalité dépasse toujours la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Lenouveaucinema.com
par Marie-Elisabeth Rouchy
Avec ce film coup de poing qui serre au plus près la fragilité de l'âge ingrat, ses malaises, ses faux repères et ses bouées de sauvetage débilitantes, Améris démonte certes un tabou mais au risque de le faire dans le vide.
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Les Inrockuptibles
par Sophie Bonnet
Le film est tiré d'un fait divers, et l'on sait que ce genre d'histoires sordides existent : le problème ici, c'est qu'on ne dépasse jamais la vision générale, on n'approche jamais le particulier, le singulier.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Françoise Audé
C'est du cinéma à l'ancienne qui plombe de certitudes la raisonnable incertitude du spectateur scrupuleux. Dommage, car l'habileté du montage alterné, des cadrages et de la mise en scène des séquences scabreuses respectent la dignité des adolescents.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirrode
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
par Jean-Yves Katelan
Après Les Aveux de l'innocent (...), on attendait mieux. Mieux que cette bouffonnerie racoleuse où on passe une première heure niaise en forme d'"À nous les petites Françaises" (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Si sympas soient-ils et si dérangeants qu'ils veuillent être, les metteurs en scène devraient fiche la paix aux grands mystiques, surtout quand ils en tirent un salmigondis mal maîtrisé...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Mauvaises fréquentations souffre (...) d'un manque d'audace dans sa mise en scène (...). Améris préfère les faits à l'effet, ce qui empêche son film de s'élever au-dessus de la chronique sensible un brin cruelle.
Fluctuat.net
On était déjà surpris par Grosse Fatigue et ses accents de vérité. Ici (...), le propos est grave et parfois glauque. Pourtant, on est surpris par une légèreté de chaque instant. Ce n'est pas la moindre des qualités de ce bon petit film.
L'Obs
Mise en scène, mise en péril. On dira peut-être que quand on s'appelle Michel Blanc, le risque n'est pas bien grand. On aura tort.
Libération
Le film interroge et bouscule (...) l'imagerie adolescente habituelle, qui circule désormais en boucle à longueur de sitcoms et de films ripolinés.
Planetcinema.com
Jean-Pierre Améris possède un incontestable talent de directeur d'acteurs, qui lui permet d'aborder, dans un cadre moderne, des thèmes éternels et propres au romantisme sombre du XIXe.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Jean-Pierre Améris, plaquant le problème moral comme une pièce rapportée sur sa chronique stéréotypée (voir les personnages secondaires) des amours adolescentes, semble se ranger à l'idée que la réalité dépasse toujours la fiction.
Lenouveaucinema.com
Avec ce film coup de poing qui serre au plus près la fragilité de l'âge ingrat, ses malaises, ses faux repères et ses bouées de sauvetage débilitantes, Améris démonte certes un tabou mais au risque de le faire dans le vide.
Les Inrockuptibles
Le film est tiré d'un fait divers, et l'on sait que ce genre d'histoires sordides existent : le problème ici, c'est qu'on ne dépasse jamais la vision générale, on n'approche jamais le particulier, le singulier.
Positif
C'est du cinéma à l'ancienne qui plombe de certitudes la raisonnable incertitude du spectateur scrupuleux. Dommage, car l'habileté du montage alterné, des cadrages et de la mise en scène des séquences scabreuses respectent la dignité des adolescents.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Après Les Aveux de l'innocent (...), on attendait mieux. Mieux que cette bouffonnerie racoleuse où on passe une première heure niaise en forme d'"À nous les petites Françaises" (...)
Télérama
Si sympas soient-ils et si dérangeants qu'ils veuillent être, les metteurs en scène devraient fiche la paix aux grands mystiques, surtout quand ils en tirent un salmigondis mal maîtrisé...