Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Despuès de Lucia" touche si juste, si fort, si durablement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) ce film de Michel Franco saisit par son sujet aussi bien que par sa mise en forme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par La rédaction
Mehdi Omaïs et Marilyne Letertre: Un certain regard, le cinéaste mexicain Michel Franco livre un film choc, cousin de Michael Haneke dans son exploration clinique de la violence.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télérama
par Jacques Morice
POUR : Des cadrages à la durée des plans, du jeu des comédiens au scénario, tout est précis, dense, déroutant, mais de manière étonnamment fluide (...) Pas de doute : un cinéaste est né.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Sa maestria pour jouer avec les nerfs et les tripes de son public se révèle totale.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Stéphane Argentin
Doté d'un scénario, d'une mise en scène et d'une interprétation d'une rare intensité, ce drame implique immédiatement le spectateur pour ne plus le lâcher jusqu'à la toute dernière séquence.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Julien Welter
La jeune Alejandra dans l'enfer du harcèlement moral. Une belle leçon d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Très bien maîtrisé, d'une remarquable sobriété, ce film – certes éprouvant – ouvre sur un vertigineux abysse. Interprété avec force par de jeunes comédiens non professionnels.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Michel Franco tricote habilement tragédie intimiste et analyse réaliste d'un fait de société, à savoir le harcèlement à l'école.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Drame profondément éprouvant, "Después de Lucía" n'en est pas moins d'une intelligence scénaristique et d'une qualité formelle rares.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Tel quel, le film demeure étrangement opaque et persistant, une fable contemporaine qui agace les nerfs et laisse pantois grâce à un long dernier plan séquence particulièrement réaliste dans sa brutalité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Gaffez
Le film frappe là où ça fait mal - et le mal, c'est encore avec ça qu'on fait le meilleur cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
Dans la lignée (...) de son premier film, Franco confirme sa maîtrise du hors-champ, de la litote et du non-dit.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
"Despues de Lucia" témoigne d'une vision du monde extrêmement noire. La dernière image, terrible, prend à la gorge et hante longtemps après la projection.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le Monde
par Isabelle Regnier
On sort du film avec l'impression d'avoir reçu un coup de marteau sur la tête et une question : ce spectacle était-il bien nécessaire ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Plaçant toujours sa caméra au bon endroit, privilégiant les espaces clos, Michel Franco dépeint l'incommunicabilité et deux trajectoires diamétralement opposées [...] Econome de ses mots et de ses effets, à la fois simple et glaçant, le film est, à l'image du geste final de Roberto, d'une cruauté sans nom.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
"Después de Lucía", dans son obstination ad nauseam, devient au mieux un support de communication destiné à édifier les masses quant aux ravages du bullying à l'époque d'Internet. Il est pourtant peu probable que la candeur de cette dimension pédagogique s'accommode d'un film dont l'épilogue en rajoute encore dans la noirceur auto-satisfaite.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Carine Bernasconi
Récit d'un deuil impossible, le film évoque la période qui suit le décès à travers une mise en scène hyper rigide où le salut n'a pas de prise.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Pierre Murat
CONTRE : Un metteur en scène (...) se doit d'avoir un regard clair. Celui de Michel Franco est trop flou, trop maladroit et donc trop complaisant pour ne pas susciter une gêne infinie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
"Despuès de Lucia" touche si juste, si fort, si durablement.
Les Inrockuptibles
(...) ce film de Michel Franco saisit par son sujet aussi bien que par sa mise en forme.
Metro
Mehdi Omaïs et Marilyne Letertre: Un certain regard, le cinéaste mexicain Michel Franco livre un film choc, cousin de Michael Haneke dans son exploration clinique de la violence.
Télérama
POUR : Des cadrages à la durée des plans, du jeu des comédiens au scénario, tout est précis, dense, déroutant, mais de manière étonnamment fluide (...) Pas de doute : un cinéaste est né.
20 Minutes
Sa maestria pour jouer avec les nerfs et les tripes de son public se révèle totale.
Ecran Large
Doté d'un scénario, d'une mise en scène et d'une interprétation d'une rare intensité, ce drame implique immédiatement le spectateur pour ne plus le lâcher jusqu'à la toute dernière séquence.
L'Express
La jeune Alejandra dans l'enfer du harcèlement moral. Une belle leçon d'humanité.
La Croix
Très bien maîtrisé, d'une remarquable sobriété, ce film – certes éprouvant – ouvre sur un vertigineux abysse. Interprété avec force par de jeunes comédiens non professionnels.
Le Journal du Dimanche
Michel Franco tricote habilement tragédie intimiste et analyse réaliste d'un fait de société, à savoir le harcèlement à l'école.
Les Fiches du Cinéma
Drame profondément éprouvant, "Después de Lucía" n'en est pas moins d'une intelligence scénaristique et d'une qualité formelle rares.
Libération
Tel quel, le film demeure étrangement opaque et persistant, une fable contemporaine qui agace les nerfs et laisse pantois grâce à un long dernier plan séquence particulièrement réaliste dans sa brutalité.
Positif
Le film frappe là où ça fait mal - et le mal, c'est encore avec ça qu'on fait le meilleur cinéma.
Première
Dans la lignée (...) de son premier film, Franco confirme sa maîtrise du hors-champ, de la litote et du non-dit.
TF1 News
"Despues de Lucia" témoigne d'une vision du monde extrêmement noire. La dernière image, terrible, prend à la gorge et hante longtemps après la projection.
Le Monde
On sort du film avec l'impression d'avoir reçu un coup de marteau sur la tête et une question : ce spectacle était-il bien nécessaire ?
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné live
TéléCinéObs
Plaçant toujours sa caméra au bon endroit, privilégiant les espaces clos, Michel Franco dépeint l'incommunicabilité et deux trajectoires diamétralement opposées [...] Econome de ses mots et de ses effets, à la fois simple et glaçant, le film est, à l'image du geste final de Roberto, d'une cruauté sans nom.
Cahiers du Cinéma
"Después de Lucía", dans son obstination ad nauseam, devient au mieux un support de communication destiné à édifier les masses quant aux ravages du bullying à l'époque d'Internet. Il est pourtant peu probable que la candeur de cette dimension pédagogique s'accommode d'un film dont l'épilogue en rajoute encore dans la noirceur auto-satisfaite.
Critikat.com
Récit d'un deuil impossible, le film évoque la période qui suit le décès à travers une mise en scène hyper rigide où le salut n'a pas de prise.
Télérama
CONTRE : Un metteur en scène (...) se doit d'avoir un regard clair. Celui de Michel Franco est trop flou, trop maladroit et donc trop complaisant pour ne pas susciter une gêne infinie.