Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Positif
par Eithne O'Neill
Travaillée avec un soin d'orfèvre, voici une oeuvre qui va droit au coeur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film trouve, dans une mystérieuse encoche entre les films auxquels il se réfère et la réalité particulière et concrète qu’il filme, un romanesque têtu et universel.
Chronic'art.com
par Amélie Dubois
Comme les oeuvres qu'il convoque (Dostoïevski, Bresson), le film est hors modes, tout en étant totalement en phase avec des problématiques de son temps.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Mathieu Macheret
Le résultat, sorte d’épure bressonienne s’en tenant aux plus essentielles puissances du cinématographe, est saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
(...) en dotant les plus faibles d'une conscience (...), le cinéaste ouvre une brèche dans le ciel noir de sa fable. Un geste qui témoigne d'une fidélité à l'humanisme qui fut toujours, et qui reste donc, le ferment de son cinéma.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
"L’Etudiant", bain de fraîcheur et de jouvence, est une fiction résolument orientée vers le réel, dont la beauté réside dans sa manière d’isoler la pureté du regard, du geste et de l’éclat.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Aussi attentif au ballet d’ombres au plafond d’une chambre qu’à la géométrie morose de la nouvelle architecture d’Almaty, cette capitale où les murs lépreux voisinent partout les tours de verre et d’acier toutes érigées à l’identique, le film de Darezhan Omirbaev avance patiemment, au gré de trouvailles graphiques souvent inattendues, toujours extrêmement précises.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
La précision méticuleuse de la mise en scène et son impassibilité bressonnienne (...) décuplent l'inéluctabilité de cette parabole et fait de son héros un rouage à la fois coupable et victime d'un système économique à la violence inhérente.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Ces interminables déambulations d'un étudiant donnent envie de bailler.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Première
par Damien Leblanc
La précision du cadre et la manifestation froide de la férocité capitaliste font songer à une rencontre entre Aki Kaurismaki et Robert Bresson. La suite de l'intrigue (...) peine à reproduire l'intensité de la première scène.
Télérama
par Jacques Morice
Darezhan Omirbayev, le Bresson kazakh, n'a pas changé : il est resté fidèle à son esthétique du dépouillement — dialogues minimaux, plans symboliques, action elliptique. On peut s'irriter au début de ce vieux modernisme. Quelque chose parvient, malgré tout, à captiver.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
(...) une démarche bressonienne dont on apprécie la rigueur mais qui tend un peu trop vers l’exercice de style du film de festival.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
En s'opposant violemment aux canons hollywoodiens, ce film inégal et pétri de bonnes intentions ne fait pas toujours dans la finesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
Travaillée avec un soin d'orfèvre, voici une oeuvre qui va droit au coeur.
Cahiers du Cinéma
Le film trouve, dans une mystérieuse encoche entre les films auxquels il se réfère et la réalité particulière et concrète qu’il filme, un romanesque têtu et universel.
Chronic'art.com
Comme les oeuvres qu'il convoque (Dostoïevski, Bresson), le film est hors modes, tout en étant totalement en phase avec des problématiques de son temps.
Critikat.com
Le résultat, sorte d’épure bressonienne s’en tenant aux plus essentielles puissances du cinématographe, est saisissant.
Le Monde
(...) en dotant les plus faibles d'une conscience (...), le cinéaste ouvre une brèche dans le ciel noir de sa fable. Un geste qui témoigne d'une fidélité à l'humanisme qui fut toujours, et qui reste donc, le ferment de son cinéma.
Les Inrockuptibles
"L’Etudiant", bain de fraîcheur et de jouvence, est une fiction résolument orientée vers le réel, dont la beauté réside dans sa manière d’isoler la pureté du regard, du geste et de l’éclat.
Libération
Aussi attentif au ballet d’ombres au plafond d’une chambre qu’à la géométrie morose de la nouvelle architecture d’Almaty, cette capitale où les murs lépreux voisinent partout les tours de verre et d’acier toutes érigées à l’identique, le film de Darezhan Omirbaev avance patiemment, au gré de trouvailles graphiques souvent inattendues, toujours extrêmement précises.
TéléCinéObs
La précision méticuleuse de la mise en scène et son impassibilité bressonnienne (...) décuplent l'inéluctabilité de cette parabole et fait de son héros un rouage à la fois coupable et victime d'un système économique à la violence inhérente.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Figaroscope
Ces interminables déambulations d'un étudiant donnent envie de bailler.
Première
La précision du cadre et la manifestation froide de la férocité capitaliste font songer à une rencontre entre Aki Kaurismaki et Robert Bresson. La suite de l'intrigue (...) peine à reproduire l'intensité de la première scène.
Télérama
Darezhan Omirbayev, le Bresson kazakh, n'a pas changé : il est resté fidèle à son esthétique du dépouillement — dialogues minimaux, plans symboliques, action elliptique. On peut s'irriter au début de ce vieux modernisme. Quelque chose parvient, malgré tout, à captiver.
aVoir-aLire.com
(...) une démarche bressonienne dont on apprécie la rigueur mais qui tend un peu trop vers l’exercice de style du film de festival.
Les Fiches du Cinéma
En s'opposant violemment aux canons hollywoodiens, ce film inégal et pétri de bonnes intentions ne fait pas toujours dans la finesse.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.