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    Comancheria
    Note moyenne
    4,0
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    390 critiques spectateurs

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    Julien B.
    Julien B.

    6 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 septembre 2016
    Tout pour me plaire... et puis rien ! Vraiment déçu par ce film dont j'attendais tant au regard de la bande-annonce. Les motivations des personnages suscitent peu d'intérêt et la langueur des plans alourdit peu à peu les paupières...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 septembre 2016
    Comancharia, ou la nouvelle réussite de David MacKenzie après le fabuleux "Des Poings dans les Murs". Je ne suis pas hyper-fan de Jeff Bridges mais je dois avouer qu'ici, il à été bon. Ben Foster est étourdissant, un polar très efficace, qui se passe en plus au texas, région qui me fait rêver. Le film possède tout de même une ou deux longueur, et j'ai l'impression que Chris Pine s'est perdu, je ne vois pas trop pourquoi il est là. Quelques surprises scénaristiques super sympas, le film fonctionne.
    selenie
    selenie

    6 176 abonnés 6 168 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2016
    Mixte parfait entre le western, le buddy movie et le thriller sur fond de détresse sociale McKenzie signe un film à l'ancienne tout en étant diablement contemporain. Une version moderne de Jesse et Franck James avec en prime une arnaque de l'arroseur arrosé. Si le scénario semble classique et linéaire ce n'est que dans la grande ligne principale. Ce qui est le plus intéressant ce sont les multiples paramètres qui nous font apprécier le mélange des genres.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    524 abonnés 947 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2016
    Comancheria, drôle de titre français pour le film de David McKenzie? Non, un choix plutôt judicieux tant ce qu'il renvoie de l'Amérique semble intemporel (le terme renvoie à un peuple indien qui ont progressivement perdu leurs terres à cause du système économique occidental). Située assez clairement dans une ère contemporaine, la région paraît à la croisée des époques. La technologie dernier cri et les répercussion de la crise financière côtoient la sévérité d'un Far-West toujours vivace. Dans cette optique, les citoyens spoliés de leurs maisons aujourd'hui évoquent les populations Indiennes brutalement dépossédées de leurs terres il y a deux siècles. Une analogie qui parcourt le film tout entier.
    Au milieu de ce paysage de désolation, deux frères attaquent les agences d'une même banque, qui menace de saisir la propriété de leur défunte mère. Un Texas rangers bientôt à le retraite et son partenaire se lancent à leur poursuite...
    Après le brillant Sicario, qui s'attaquait aux travers de la lutte anti-drogue, le scénariste Taylor Sheridan dissèque cette fois les conséquences d'un système banquier inhumain. Au cours de leur périple, les trois personnages principaux (Toby & Tanner Howard ainsi que le rangers Hamilton) sillonnent des villes fantômes, où la crise se lit sur les nombreux panneaux "À vendre" et se ressent dans le désert de leurs paysages. La région toute entière semble abandonnée, encerclée par les établissements bancaires responsables de sa déchéance. Il n'est donc pas surprenant de s'attacher rapidement à ce duo de braqueurs, bien décidés à ne pas se laisser dépouiller. Dans cette histoire, ils auront tout autant de raisons d'agir que le rangers à leurs trousses. Habilement découpée et réalisée, l'intrigue offre suffisamment de relief à ces personnages pour qu'ils soient difficiles à juger. Et les acteurs sont tous exemplaires (Jeff Bridges, Chris Pine, Ben Forster et Gil Birmingham).
    Là où Sicario rendait palpable un sentiment d'inéluctabilité et de barbarie, Comancheria véhicule conjugue lui humanisme et tragédie. Le ton est plus chaleureux, les personnages plus colorés et l'humour donne un éclat supplémentaire au film.
    En situant son film dans un Texas fauché et sans âge, David McKenzie signe un film dont la richesse résistera à l'épreuve du temps.
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    61 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2016
    « Comancheria » est sans aucun doute notre coup de cœur de la sélection « Avant premières » du 42ème Festival du film américain de Deauville. Efficace, dynamique et drôle, le dernier film de David MacKenzie est une valeur sûre que nous vous recommandons de voir.

    L’Ecossais n’en est d’ailleurs pas à son premier film puisqu’il signe ici sa neuvième réalisation. Mais nul doute qu’avec « Comancheria », son talent de metteur en scène sera (enfin) reconnu. C’est avec une sensibilité à fleur de peau que David MacKenzie vient nous le présenter, d’autant plus que c’est la première fois que sa famille découvrira ce film (ses deux jeunes enfants et sa femme étant dans la salle). D’une humilité et d’une sympathie réelles, le réalisateur explique qu’il est ravi que le titre de travail ait été gardé pour la distribution en France alors qu’elle se fait généralement sous son titre original « Hell ou High water ».

    Mais pourquoi « Comancheria » ? Parce que le titre désigne la région qui se situe, en gros, entre le Texas et le Nouveau Mexique et appartenant autrefois au peuple indien comanche. Cette contrée a une importance capitale dans le film et devient presque un personnage à part entière. David MacKenzie sait d’ailleurs la sublimer et nous offre des vues de ces grands espaces arides à couper le souffle.

    Le Texas est donc au centre de cette intrigue, issue d’un savant mélange entre polar, roadmovie et western moderne. Les codes sont respectés et les spectateurs se retrouvent en deux temps trois mouvements en plein cœur de cet état où rednecks, dinners, cowboys, nationales droites, whisky, poussière, armes et rangers font partie de la culture locale. Tout y est, sans clichés, juste avec une authenticité réelle et savoureuse.

    Le décor planté, il nous faut évoquer le travail d’écriture singulier. Le scénario, écrit par Taylor Sheridan (auteur de « Sicario » de Denis Villeneuve qui s’était également fait remarqué lors du 41ème Festival de Deauville), est d’une intelligence et une profondeur inégalées. Les dialogues sont exquis, les répliques cultes, le propos brillant et incontestablement équilibré. L’humour y tient une place prépondérante et fait éclater la salle de rires à plusieurs reprises : c’est un pur régal !

    La bande originale est elle aussi très intéressante et se calque sur les images et les agissements de nos héros avec une pertinence évidente. Warren Ellis et Nick Cave ont fait du bon travail et ajoutent une pierre angulaire à cette réalisation qui frôlait déjà le sans faute.

    Qu’en est-il du casting ? Là aussi, on ne peut qu’acquiescer face au choix des comédiens qui prennent une place de choix dans ce film de qualité. Leurs talents sont mis en exergue et leur jeu offre une prestation irréprochable.

    MacKenzie met en scène deux tandems distincts et hautement remarquables. D’un côté Chris Pine (« Star Trek », « Comment tuer son boss 2 », et Ben Foster, (Lance Armstrong dans « The program », « Kill your darlings », « Warcraft »), déjà vus côte à côte pour le film « The finest hours ». Ici, ils incarnent les deux frères braqueurs au plan bien huilé. S’ils agissent en vrais criminels, peut-on pour autant dire qu’il s’agit de vrais bandits ? Pas vraiment puisqu’ils pillent les banques qui les ont préalablement plumés. Leur braquage serait presque légitimes, surtout qu’ils réinjectent l’objet de leurs modestes larcins dans la société qu’ils ont volé. Nous ne cautionnons bien évidemment pas leurs agissements mais le propos prête à réfléchir et montrent combien leurs actes ne sont pas gratuits. Toby (Chris Pine) ne souhaite pas avoir recours à la violence et s’en tient au programme prévu. Tanner (Ben Foster) est davantage une tête brûlée et ajoute une pointe de fun dans leurs descentes, au risque de tout faire foirer. Deux caractères radicalement différents, deux personnages hauts en couleurs pour deux comédiens d’envergure !

    De l’autre côté, Jeff Bridges (inoubliable dans « The Big Lebowski ») et Gil Birmingham (Billy Black dans la saga « Twilight »), deux rangers texans dans ce qu’ils ont de plus authentiques. Marcus Hamilton (Bridges) ronchon incontesté, est proche de la retraite. Fin limier, il décide de traquer les deux braqueurs de la région et les empêcher de sévir à nouveau. Son caractère bourru et ses vannes racistes envers son coéquipier Alberto (Birmingham) aux origines indiennes et mexicaines, font de lui le personnage le plus délectable du film. Sorte d’inspecteur Harry des plaines, il offre des scènes d’anthologie et prouve l’étendue de son talent !

    La maîtrise de sa réalisation, son amour des paysages, son souhait d’offrir une intrigue costaude et intelligente font du dernier film de David MacKenzie, une vraie pépite cinématographique ! A découvrir de toute urgence !
    PaulGe G
    PaulGe G

    107 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2016
    un western moderne , ou un polar à l'ancienne. Dans le désert du Texas, campagne et vie de désolation , une course contre deux frères qui dévalisent les banques pour trois fois rien.,l'un par idéal pour sauver sa famille, l'autre parce qu'il aime ça. deux policiers lymphatiques mais sympas . Une mise en scène suffisamment sobre mais pas ennuyeuse , une dose de mélancolie , un soupçon de dérision , une atmosphère lourde un scénario super bien ficelé . une réussite dans le genre , c'est un film rare mais que c'est bon.
    christophe p
    christophe p

    11 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 septembre 2016
    Un film remarquable minimaliste on mélange des genres. Pour moi le choc de la rentrée. Scénario impeccable acteurs parfaits un petit chef-d'œuvre
    Philippe G.
    Philippe G.

    7 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 septembre 2016
    Une Filiation avec Sam Peckinpah car le film a un petit coté " Pat Garret et Billy the kid " ( sur la fin notamment ) avec une BO Musicale assez réussie ( sans Dylan cependant ) .
    On note l'absence de mièvrerie dans les dialogues et une construction a la fois réaliste et cinématographique avec deux duos d'acteurs majeurs d'égal intérêt et une foison de personnages secondaires sans faiblesse notable .
    La fin n'a cependant pas la force onirique de celle du film de Peckinpah car un peu trop rationnelle finalement , ce serait un 5 ***** Sherif .
    velocio
    velocio

    1 295 abonnés 3 121 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 septembre 2016
    Les mornes plaines de l'ouest du Texas. Et la première chanson qu'on entend dans le film : une chanson de Townes Van Zandt par Townes Van Zandt, "Dollar Bill Blues". TVZ, un texan, le plus grand chanteur-auteur-compositeur qui ait vu le jour aux Etats-Unis (et même ailleurs !). Avec un tel début, impossible que le film puisse être mauvais. Et il ne l'est pas, il est même excellent. Un mélange de western contemporain et de thriller, rempli d'humour mais aussi de réflexions pleines de vérité et de saveur sur les Etats-Unis d'aujourd'hui, sur les injustices sociales des Etats-Unis (mais aussi d'ailleurs !) d'aujourd'hui, un film qui aurait pris tout ce qu'il y a de meilleur chez les frères Coen et chez Tarantino. Et puis, en prime, une distribution fabuleuse, en particulier dans l'interprétation des deux duos observés dans le film.

    Le duo des deux frères, Tanner et Toby, qui, à la mort de leur mère, attaquent les succursales d'une banque texane afin de pouvoir rembourser à cette même banque l'argent qu'ils lui doivent. Sinon, le ranch familial sera saisi ! Très différents les deux frères, et le film s'amuse à le montrer, tout en insistant sur tout ce qui les lie. Pour interpréter ce duo, deux comédiens de la nouvelle génération, le très beau Chris Pine dans le rôle de Tobie, calme, réfléchi, et Ben Foster dans le rôle de Tanner, violent, sortant de prison, tout le contraire du rôle de Patrick Wheeler qu'il interprétait dans "Les Amants du Texas"de David Lowery.

    Plus savoureux encore le duo formé par les deux rangers Marcus et Alberto, Marcus, texan pur jus, tout près de partir à la retraite, Alberto, mi-indien, mi-mexicain. Un véritable couple qui n'arrête pas de s'asticoter genre : à Marcus qui se glorifie de son intuition, son intuition de blanc, Alberto répond du tac au tac qu'un cochon aveugle peut arriver à trouver des truffes. Qui n'arrête pas de s'asticoter mais, en vérité, dans ce couple, l'un ne peut pas se passer de l'autre et vice-versa ! Dans le rôle de Marcus, un Jeff Bridges prodigieux, et dans celui d'Alberto, Gill Birmingham, pas mal non plus !

    Tout au long du film, les répliques sont savoureuses et elles le sont d'autant plus qu'elles sont prononcées avec cet accent texan si particulier. Et, attention, "Comancheria" n'est pas qu'un très bon film d'action, il n'oublie pas de nous parler par petites touches des problèmes rencontrés par les éleveurs de bovins, de la fièvre du pétrole qui a gagné cette partie du Texas, de l'histoire tragique des indiens, de l'immigration à partir du Mexique, et bien sûr, du rôle joué par les banques. Quand on aura dit que la musique du film a été composée par Nick Cave et Warren Ellis et que, à part Townes Van Zandt, on entend aussi, entre autres, Ray Wilie Hubbard (texan !), Billy Joe Shaver (texan !), Waylon Jennings (texan !) et Gillian Welch (eh bien non, elle n'est pas texane !), on aura compris que la meilleure chose qu'on ait à faire, c'est courir voir ce film. Au fait, c'est un britannique, David Mackenzie, qui l'a réalisé, ce film, sur un scénario de Taylor Sheridan, déjà scénariste de "Sicario". Et puis, ce film, censé se passer dans l'ouest du Texas, a été entièrement tourné au Nouveau-Mexique.
    Francis L.
    Francis L.

    26 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2016
    Le scénario tient sur un timbre poste, c'est lent lent et les plans fixes se multiplient, il aurait du être moins long et au final je n'ai pas aimé ce film plein de clichés.
    Nicothrash
    Nicothrash

    362 abonnés 3 023 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 septembre 2016
    David Mackenzie, qui tape rarement à côté, nous livre avec son "Comancheria" une sorte de western moderne désenchanté qui s'avère rapidement assez passionnant à suivre. Toujours dans un faux rythme, ponctué de sautes de tension récurrentes, il nous ballade au fin fond du Texas dans des paysages désertiques superbes mais où il ne fait pas forcément bon vivre, sa vision de l'arrière pays américain où règnent bières et armes à feu est tout à fait percutante. C'est dans ce contexte rude et brulant que l'on rencontre deux frères braqueurs de banques aux trajectoires opposées mais liés par une sorte de pacte aux aboutissants surprenants. Si la réalisation est très propre et l'intrigue intéressante, c'est surtout le casting qui fait la différence ici avec un Jeff Bridges drôlatique, un Ben Foster bien attaqué et un Chris Pine qui écorne enfin son image avec un rôle touchant et intelligent. L'ambiance est vraiment du tonnerre et le scénario plutôt malin, l'humour noir est bien présent et il s'oppose totalement à l'aspect désabusé de la situation sociale de ce coin reculé. Les images sont belles, la critique sociale efficace et l'émotion est également au rendez-vous, une bonne pioche pour ma part.
    Loïck G.
    Loïck G.

    333 abonnés 1 666 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2016
    Leur mère est morte, laissant derrière elle des dettes qu’ils imputent à leur banque. Alors les frères Howard décident d’attaquer les agences de cette enseigne afin de leur faire rembourser indirectement le préjudice. Dans la précipitation et le hasard, ils reviennent toujours avec un maigre butin qui éveille les soupçons d’un vieux renard de Ranger à deux doigts de la retraite. Il sait qu’il n’a pas besoin de se précipiter pour mettre la main sur les branquignols. Mais c’est sans compter sur le regard amusé d’un réalisateur très à l’aise David Mackenzie et d’un scénariste hors pair Taylor Sheridan (« Sicario ») que le duo malmène la contrée de leur enfance, avant que le dénouement ne brise les conventions d’un genre que entre western policier contre-nature, et polar à peine déjanté. Jeff Bridge en Ranger à peine rangé des affaires, Ben Foster, barje de chez les barjes, ou bien Gil Birmingham le flic placide nostalgique d’un peuple dévasté … ils sont tous merveilleux.
    Pour en savoir plus
    Acidus
    Acidus

    714 abonnés 3 701 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 septembre 2016
    Dernier long métrage de David Mackenzie, "Comancheria" est un polar à fort parfum de western. Ce film de braquage aurait pû se dérouler au milieu du XIXème siècle que cela n'aurait pas changé grand chose.
    L'intrigue est d'ailleurs banal pour le genre et ne se différencie pas, sur ce point, de la masse des autres films de braquages de banques. C'est plus sur la forme que "Comancheria" tire son épingle du jeu. Sa mise en scène et sa photographie (et les décors !!!) soignées apporte de la fraicheur à cette histoire classique et, même si l'on évite pas certains clichés, il faut bien admettre que les dialogues sont bien écrits avec quelques échanges savoureux. Mention spéciale pour la B.O. qui apporte beaucoup au film.
    Bref, "Comancheria" n'est peut-être pas inoubliable mais possède assurément ce qu'il faut pour séduire et passer un bon moment.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    410 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2016
    Si Comancheria fascine autant, c’est par son portrait d’une Amérique en pleine mutation. On retrouve l’influence de Sam Peckinpah, le cinéaste de la Horde sauvage, dans cette manière de décrire un monde en pleine dégénérescence. Ce n’est pas les colons qui assassinent les indiens, mais les banques qui entrainent dans la pauvreté les habitants de la campagne américaine contemporaine. Passionnant !
    Grégouch M
    Grégouch M

    51 abonnés 834 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 août 2019
    Un film atypique et avec du style. Western moderne tout autant que polar. L'intrigue est autant romancé que réaliste, la réalité de cette autre Amérique profonde à la merci des puissants. Tout est réussi dans ce petit bijou, le jeu des acteurs, l'ambiance, la réalisation, le scénario intelligent. Enfin un grand film cette année.
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