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Un visiteur
3,0
Publiée le 10 août 2015
Film très bien jouer, cependant ce n'est pas pour autant un film d'horreur et encore moins d'épouvante. Très bon film, mais je m'attendais à plus d'horreur et de sursauts !
Encore un film sur un scientifique et ses élèves qui font des expériences sur une fille qui se dit possédée. L'action se situe en 1974 , la jeune fille de 19 ans se dit possédée par sa poupée . Ce film m'a un peu déçu , rythme assez lent , tout les effets horrifiques tombent à l'eau et surtout l'actrice qui joue la jeune fille ne fait vraiment pas peur et ne rend aucune scène effrayante . Très semblable au projet Atticus que j'ai regardé hier mais avec aucune motivation et envie du réalisateur à sauver son film .
Vraiment, passer les 40 premières minutes, ce film se laisse bien regarder et sans être LE film de possession de l'année, l'histoire est pas mal. Bien joué et filmé, on a quelques moments assez flippants à se mettre sous la dent. On visionne et on oubliera mais c'est pas désagréable.
Une très grosse déception. Un film contemporain de la Hammer bien moins réussi que « Dame en Noir » par exemple. Seule une plutôt bonne photo, avec des moments en « pellicule embarquée » sympathiques et un très bon trio de tête sauvent le film par leur acting… Sinon la majorité des personnages sont extrêmement clichés et sans profondeur à l’instar de ce couple… L’histoire n’est vraiment pas intéressante et tire beaucoup trop en longueur et par dessus tout, les scènes d’horreur sont toutes affreusement nulles et parmi les moins effrayantes qu’il m’ai été donné de voir, et même si le son des jumpscares est poussé à fond (à ça de vous crever un tympan) on ne frémit pas d’un poil… En bref, un film prometteur avec un pitch à la « A Cure for Life », qui retombe comme un soufflé quand on se retrouve face à un film de possession plus que mauvais.
Les 50 premières minutes sont longues, répétitives et donc ennuyeuses. Certaines parties auraient pu, à mon goût, être retirées. Elles n'apportent rien au film et le fait traîner en longueur.
La seconde partie, beaucoup plus active, apporte le dénouement à cette histoire. Les personnages prennent enfin une autre dimension et on commence enfin à se prendre au "jeu". Ce rythme est soutenu jusqu'à la fin.
Mention spéciale à Olivia Cooke qui sauve le film : Si elle n'avait pas su si bien incarner son personnage je n'aurais pas été jusqu'au bout de The Quiet Ones...