AlloCiné
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Votre avis sur Storage 24 ?
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RedArrow
Avant d'acquérir une (relative) notoriété avec "47 Meters Down" ou "Strangers : Prey at Night", Johannes Roberts essayait déjà depuis un moment de se faire un nom dans le cinéma de genre en enchaînant une série de petits DTV tombés presque instantanément dans l'anonymat. En visionnant la calamité "Storage 24", on comprend assez vite pourquoi et surtout que le bonhomme revient de très très loin !
Un alien enfermé dans un hangar de garde-meubles en plein milieu de Londres à la suite du crash d'un avion de l'armée... Voilà, l'idée miraculeuse à laquelle Roberts a décidé de consacrer un long-métrage entier ! À moins d'avoir comme fantasme ultime de découvrir un épisode de "Storage Wars" avec des extraterrestres pour faire monter les enchères, ça semble un peu léger, d'autant plus que rien ne semble avoir été fait pour rendre consistante cette fulgurance née d'un esprit que l'on imagine sacrément tordu.
En effet, plutôt que de développer un semblant de mythologie autour de son élément-clé alien (et, on ne va pas se mentir, pour lequel on en est venu à regarder le film), "Storage 24" préfère étonnamment se concentrer la majeure partie de son temps sur les petits problèmes sentimentaux du groupe de personnages humains coincés avec lui dans le hangar. On se retrouve ainsi à visionner un film qui aurait très bien pu s'appeler "Amour, trahisons, coucheries... et accessoirement un alien qui veut tous vous buter" où tout le monde gravite autour d'un couple en pleine rupture en débitant des répliques d'une fadeur sans nom dans les situations les plus attendues qu'il soit d'une intrigue romantique en carton.
Logiquement, on en vient rapidement à choisir de rallier le camp de l'alien pour qu'il se débarrasse au plus vite de toute cette chair à canon humaine et inintéressante au possible. Hélas, malgré des effets spéciaux réussis entourant la créature et un petit arrachage d'organe vital sympathique, Johannes Roberts paraît s'être tiré lui-même une balle dans le pied en choisissant un décor principal -un couloir de portes fermées filmé jusqu'à l'overdose- qui limite considérablement l'envergure des attaques (sans compter sa gestion catastrophique de l'espace) et préfère gagner du temps entre chacune d'entre elles en plaçant la caméra dans tous les recoins les plus étroits pour donner un air permanent de surveillance des personnages par le regard alien, on vous laisse imaginer le terrible suspens qui en découle vu qu'on n'a absolument plus aucun intérêt pour ce qu'il se passe à l'écran au bout d'à peine un quart d'heure de film...
La scène finale voudrait sonner comme une sorte d'ultime récompense SF pour tous les spectateurs restés jusqu'au bout, en fait, elle n'engendrera sûrement chez eux qu'un très long râle de soulagement à l'idée que ce calvaire interminable s'achève enfin. Par pitié, n'ouvrez jamais la porte du hangar 25 !
Un alien enfermé dans un hangar de garde-meubles en plein milieu de Londres à la suite du crash d'un avion de l'armée... Voilà, l'idée miraculeuse à laquelle Roberts a décidé de consacrer un long-métrage entier ! À moins d'avoir comme fantasme ultime de découvrir un épisode de "Storage Wars" avec des extraterrestres pour faire monter les enchères, ça semble un peu léger, d'autant plus que rien ne semble avoir été fait pour rendre consistante cette fulgurance née d'un esprit que l'on imagine sacrément tordu.
En effet, plutôt que de développer un semblant de mythologie autour de son élément-clé alien (et, on ne va pas se mentir, pour lequel on en est venu à regarder le film), "Storage 24" préfère étonnamment se concentrer la majeure partie de son temps sur les petits problèmes sentimentaux du groupe de personnages humains coincés avec lui dans le hangar. On se retrouve ainsi à visionner un film qui aurait très bien pu s'appeler "Amour, trahisons, coucheries... et accessoirement un alien qui veut tous vous buter" où tout le monde gravite autour d'un couple en pleine rupture en débitant des répliques d'une fadeur sans nom dans les situations les plus attendues qu'il soit d'une intrigue romantique en carton.
Logiquement, on en vient rapidement à choisir de rallier le camp de l'alien pour qu'il se débarrasse au plus vite de toute cette chair à canon humaine et inintéressante au possible. Hélas, malgré des effets spéciaux réussis entourant la créature et un petit arrachage d'organe vital sympathique, Johannes Roberts paraît s'être tiré lui-même une balle dans le pied en choisissant un décor principal -un couloir de portes fermées filmé jusqu'à l'overdose- qui limite considérablement l'envergure des attaques (sans compter sa gestion catastrophique de l'espace) et préfère gagner du temps entre chacune d'entre elles en plaçant la caméra dans tous les recoins les plus étroits pour donner un air permanent de surveillance des personnages par le regard alien, on vous laisse imaginer le terrible suspens qui en découle vu qu'on n'a absolument plus aucun intérêt pour ce qu'il se passe à l'écran au bout d'à peine un quart d'heure de film...
La scène finale voudrait sonner comme une sorte d'ultime récompense SF pour tous les spectateurs restés jusqu'au bout, en fait, elle n'engendrera sûrement chez eux qu'un très long râle de soulagement à l'idée que ce calvaire interminable s'achève enfin. Par pitié, n'ouvrez jamais la porte du hangar 25 !
Bon, bin encore une occasion de loupée d’éviter de ce taper un bon gros navet. Pourtant, le synopsis du DVD sentait bon la bonne petite série B (une créature extraterrestre en plein cœur de Londres qui se réfugie dans garde meuble où se retrouvent piégés un petit groupe de clients)…mais encore aurait-il fallu qu’il y ait quelqu’un de compétent aux commandes ! On aurait pu croire en "Storage 24" en tant qu’hommage aux films de monstres des années 80 ("Alien" et "Predator" en première ligne), mais personne du staff, du réalisateur aux producteurs, n’a réellement cru au projet. A commencer par les scénaristes qui se sont contentés de reproduire la base du "Super 8" de J.J Abrahams : convoi militaire cargaison secrète accident groupe de personnes témoins par hasard évasion d’une bêbête...avouez que la ressemblance est plus que flagrante ! La réalisation est digne d’un épisode de série télé avec tous ces foutus travelings qui vont de droite à gauche puis de gauche à droite, la photographie est assez moche avec des tonalités bleues mornes constamment plongées dans l’ombre car ça doit faire peur et le noir ça fait peur… Mais ça pèche surtout côté suspens vu que le rythme est ultra lent (et là, le choix du décor unique devient un véritable handicap !) et les rares moments d’action sont mal foutus : bref on s’ennuie ferme…si la référence à "Alien" est indéniable, on est bien loin d’en retrouver l’atmosphère tendue et suffocante…pour être méchant, ça n’arrive même pas à la cheville d’un "Relic" ou d’un "Mimic" ! Même les effets spéciaux sont désespérants : admettons que le budget du métrage ne permettait pas les plus grandes folies, mais la créature est pitoyable avec son acteur en costume intégral tel un vieil épisode de "Ultraman" (quand on arrive à la voir car quand elle est présente à l’écran, la caméra devient subitement folle et bouge à tout va pour essayer de nous faire vomir comme dans un bon vieux opus de la saga Jason Bourne !!) et ce n’est pas les pauvres petites tentatives gores (un corps coupé en deux et une mâchoire arrachée…qui seront vite expédiés à l’écran car, le film étant un produit calibré « adolescents », tout élément choquant est proscrit !) qui arriveront à relever le niveau. Niveau qui se trouve d’autant plus rabaissé par le formidable casting qui nous est proposé car, même si on peut tolérer que les personnages qu’ils incarnent sont très cons, ils nous gratifient tous des pires interprétations jamais vues sur grand écrans (et même Noel Clarke est insipide ici, bien loin de ce qu’il a déjà pu nous proposer dans le passé avec "Dr Who", "Heartless" ou "Doghouse"). Bref, " Storage 24" est un film de monstre sans prétention et sans âme à éviter absolument, d’autant plus qu’on a déjà vu mieux avant, même en provenance de l’Angleterre ("Dog Soldiers" et "Attack the Block").
Yannickcinéphile
Bon, Storage 24 est un petit film de SF-horreur pas trop mal, bien que sans grande originalité et démarrant tardivement.
Le casting est globalement trop moyen pour réellement convaincre. J’ai trouvé les acteurs fades ou pas vraiment dans le coup (c’est le cas de Noel Clarke notamment), ne parvenant pas à donner corps à leurs personnages, il est vrai assez creux, n’arrivant pas à faire preuve du charisme nécessaire pour s’imposer à l’écran, et ne parvenant tout simplement pas emporter l’empathie et l’adhésion du spectateur à leurs petits malheurs. C’est dommage car le film se concentre en plus beaucoup sur eux, surtout dans une longue partie introductive.
Car oui, Storage 24 est un film qui démarre réellement lentement, prenant son temps, et n’offrant, jusqu’aux dernières 25 minutes que des miettes. Beaucoup de dialogues, une présentation longuette des lieux, des petites histoires des personnages, notamment amoureuse comme on peut s’en douter, Storage 24 essaye de palier son petit budget de la moins bonne des manières : en comblant par du vide. Heureusement les choses s’améliorent dans une dernière ligne droite très correcte et avec un final bien sympathique, mais pour les plus impatients indéniablement ce sera trop tard.
Visuellement le film est assez qualitatif. Si la mise en scène recèle des maladresses c’est certain, elle essaye d’utiliser au mieux les procédés habituels du genre et le fait pas si mal que ça, avec même de bonnes idées, dont l’épilogue est un exemple assez parlant. Je relève un choix de décors intelligent pour un film à petit budget, puisqu’il permet de tourner à moindre frais et sert assez bien ce métrage, doté d’’une belle photographie. Teintes froides, obscurité gérée avec efficacité, c’est pas mal du tout. De même Storage 24 malgré ses lacunes se rattrapent par une créature franchement bien faites et qu’on nous laisse au moins apprécié dans le dernier quart d’heure, et par des effets horrifiques très corrects. Néanmoins si une ou deux séquences sont assez osées, l’ensemble reste sur un terrain assez soft. Excellente bande son. C’est réellement à souligner car Storage 24 se dote d’une musique classieuse, très bien utilisée, et c’est un de ses atouts maitres.
Néanmoins malgré ces bons points Storage 24 ne saurait s’élever très haut. Outre des acteurs pas à la hauteur, le film reste très banal, son déroulement n’est pas très prenant avec un gros problème dans sa première partie pour introduire un minimum de rebondissements. Si visuellement et musicalement le film se rattrape, on n’évolue tout de même pas dans un film marquant du genre. 2.5.
Le casting est globalement trop moyen pour réellement convaincre. J’ai trouvé les acteurs fades ou pas vraiment dans le coup (c’est le cas de Noel Clarke notamment), ne parvenant pas à donner corps à leurs personnages, il est vrai assez creux, n’arrivant pas à faire preuve du charisme nécessaire pour s’imposer à l’écran, et ne parvenant tout simplement pas emporter l’empathie et l’adhésion du spectateur à leurs petits malheurs. C’est dommage car le film se concentre en plus beaucoup sur eux, surtout dans une longue partie introductive.
Car oui, Storage 24 est un film qui démarre réellement lentement, prenant son temps, et n’offrant, jusqu’aux dernières 25 minutes que des miettes. Beaucoup de dialogues, une présentation longuette des lieux, des petites histoires des personnages, notamment amoureuse comme on peut s’en douter, Storage 24 essaye de palier son petit budget de la moins bonne des manières : en comblant par du vide. Heureusement les choses s’améliorent dans une dernière ligne droite très correcte et avec un final bien sympathique, mais pour les plus impatients indéniablement ce sera trop tard.
Visuellement le film est assez qualitatif. Si la mise en scène recèle des maladresses c’est certain, elle essaye d’utiliser au mieux les procédés habituels du genre et le fait pas si mal que ça, avec même de bonnes idées, dont l’épilogue est un exemple assez parlant. Je relève un choix de décors intelligent pour un film à petit budget, puisqu’il permet de tourner à moindre frais et sert assez bien ce métrage, doté d’’une belle photographie. Teintes froides, obscurité gérée avec efficacité, c’est pas mal du tout. De même Storage 24 malgré ses lacunes se rattrapent par une créature franchement bien faites et qu’on nous laisse au moins apprécié dans le dernier quart d’heure, et par des effets horrifiques très corrects. Néanmoins si une ou deux séquences sont assez osées, l’ensemble reste sur un terrain assez soft. Excellente bande son. C’est réellement à souligner car Storage 24 se dote d’une musique classieuse, très bien utilisée, et c’est un de ses atouts maitres.
Néanmoins malgré ces bons points Storage 24 ne saurait s’élever très haut. Outre des acteurs pas à la hauteur, le film reste très banal, son déroulement n’est pas très prenant avec un gros problème dans sa première partie pour introduire un minimum de rebondissements. Si visuellement et musicalement le film se rattrape, on n’évolue tout de même pas dans un film marquant du genre. 2.5.
Difficile de trouver un commentaire pour ce type de film de série Z sans intérêt ni surprise, parcouru de longueurs et d'invraisemblances et pour couronner le tout avec des acteurs, au mieux bons à montrer le jolie petite frimousse, mais en aucun cas crédibles... à éviter
spoiler:
Génial, le film où il ne se passe absolument rien. Même en essayant d'écrire un scénario aussi vide que mon compte le 10 du mois, on arriverait pas à la hauteur de ce truc. C'est tellement plat qu'on se demande ce qu'il on voulut faire... Trop fort.
FaRem
C'est pas terrible c'est classique sans surprise pas intéressant et pas spécialement bien fait.
Un nanard fauché déjà vu et qui manque trés sérieusement d'originalité. 9/20
Une sorte de sous Prédator à mi-chemin entre Super8 et Alien mais sans les franchement novateur,mais pas trop mal ficelé par moment.
Nicothrash
Pas mal du tout ce petit survival, j'en attendais en tout cas moins que ça. Malgré un manque d'originalité tout de même, la réalisation est de qualité, notamment la créature qui bénéficie d'un soin particulier, et l'ambiance est sympa, les acteurs ne sont pas mauvais et leurs personnages se révèlent assez fouillés, d'ailleurs celui campé par Noël Clarke est de loin le plus intéressant, par son évolution principalement. Les effets spéciaux sont quand à eux très corrects et le réalisateur se permet même quelques touches d'humour bienvenues, maintenant l'angoisse n'est pas vraiment au rendez vous mais le suspens oui, un bon film en somme.
Avec ce film on atteint les confins du daubique , a éviter
STORAGE 24 : / 5
Réalisation : 3,5 / 5
La réalisation, bien qu'elle soit classique, reste agréable et réserve quelques petites tensions.
Musique : 2 / 5
Très classique et très longue, la musique du film demeure donc assez peu efficace.
Scénario : 2,5 / 5
Même si l'histoire démarre assez vite, on reste de marbre devant un tel scénario. Rien d'original du côté des personnages. Le point noir reste les nombreuses incohérences.
Acteurs : 1,5 / 5
Est-ce le doublage VF ? Est-ce les acteurs originaux ? Le manque de charisme et de réactivité des acteurs est tellement flagrant qu'ils deviennent peu important dans l'histoire ! La bête du film est presque plus recherchée que les personnages eux-mêmes...
Bilan : Au final, ce film reste un petit navet. On n'en retiendra rien, si ce n'est une fin inattendue qui nous laisse malgré tout sur notre faim...
Réalisation : 3,5 / 5
La réalisation, bien qu'elle soit classique, reste agréable et réserve quelques petites tensions.
Musique : 2 / 5
Très classique et très longue, la musique du film demeure donc assez peu efficace.
Scénario : 2,5 / 5
Même si l'histoire démarre assez vite, on reste de marbre devant un tel scénario. Rien d'original du côté des personnages. Le point noir reste les nombreuses incohérences.
Acteurs : 1,5 / 5
Est-ce le doublage VF ? Est-ce les acteurs originaux ? Le manque de charisme et de réactivité des acteurs est tellement flagrant qu'ils deviennent peu important dans l'histoire ! La bête du film est presque plus recherchée que les personnages eux-mêmes...
Bilan : Au final, ce film reste un petit navet. On n'en retiendra rien, si ce n'est une fin inattendue qui nous laisse malgré tout sur notre faim...
Storage 24 est un film de science-fiction et d'horreur britannique. Le film est réalisé par Johannes Roberts qui parvient à créer un long métrage de créature intense et rempli d'action. Le film met en vedette Noel Clark, Colin O'Donoghue, Antonia Campbell-Hughes, Laura Haddock et Jamie Thomas King qui incarnent de jeunes Londoniens. Ils se retrouvent bientôt à lutter contre une entité monstrueuse alors qu'ils tentent de s'échapper de l'entrepôt qui est devenu un piège mortel. Storage 24 a un scénario de science-fiction classique dans lequel des gens sans méfiance découvrent rapidement qu'ils sont une proie facile pour une créature terrifiante. Les personnages sont légèrement stéréotypés et il n'y a rien de nouveau ou d'expérimental dans la façon dont le film est réalisé. Dans ce film les acteurs décrivent assez bien les personnages et vous attire dans leur détresse. L'histoire et les effets spéciaux sont au-dessus de la norme ainsi que les autres effets utilisés dans ce film. C'est un bon film de science-fiction/d'horreur qui n'essaie pas de compliquer trop son histoire en ajoutant des couches de sous-intrigues inutiles. Le film existe simplement comme une histoire de survie vraiment passionnante. J'ai vraiment apprécié ce film et puis moi j'aime bien les films de Johannes Roberts...
Eric C.
Petit, tout petit film d'horreur au scénario insipide et aux personnages encore plus inintéressants. A vrai dire ce huit clos dans un gigantesque garde meuble devient vite un cauchemar pour le spectateur à force de voir le même décor de couloirs donnant sur des portes métalliques avec le summum de préciser parfois à quel étage ou sous sol on se trouve des fois que ça change quelque chose. Un alien débarqué du clash d'un avion militaire en plein Londres sur cet énorme entrepôt, toutes les portes bloquées et un petit groupe coincé qui passera surtout son temps à parler suite à une séparation sentimentale et les tromperies et cachotteries des soi disant meilleurs amis. Tout ceci alors qu'un alien sanguinaire les pourchasse dans la plus totale indifférence des autorités et de l'armée que l'on ne voit même pas arriver à travers les grilles. Bref on s'ennuie assez ferme, c'est plutôt mal joué en dehors du fait du non intérêt et on aperçoit enfin l'alien et quelques scènes un peu gore dans le dernier quart d'heure. Heureusement, malgré le manque de moyens évident de ce petit petit film, la créature n'est pas trop mal réussie pour les effets spéciaux. A noter dans le casting de ces acteurs quelconques et pas très bons, Laura Haddock, vedette féminine d'un des derniers transformers, comme quoi on peut jouer dans des séries B quelconques et décrocher des rôles dans des films plus ambitieux. Un film à éviter si possible, vous ne raterez rien.
L'idée était sympa, mais le résultat n'est pas à la hauteur.
Le cinéma anglais tend à se développer de plus en plus : après les films sur la société, souvent très difficiles, les comédies lourdingues de Guy Ritchie ou encore la grosse industrie Harry Potter, voici un genre qu'on a moins l'habitude de voir outre-Manche. Le survival dans un huis-clos. Alors certes, les rosbifs nous avaient déjà offert 28 jours plus tard ou encore Dog Soldiers, contenant respectivement zombies et loups-garous, mais Storage 24 nous offre une bête qui n'a rien d'humain. On oscille un peu entre Alien, The Thing (pour la vague ressemblance avec la bête) et Cube pour le côté labyrinthe clos. Le film fonctionne bien, la "flippe", plus que la peur, faisant son petit effet. Au final, le film ne propose rien de plus que de suivre le schéma habituel des films de ce genre, mais il est en tout cas une distraction honnête. Et puis le plan final a le mérite de proposer une ouverture intéressante !
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