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Avec son sens de l'observation aiguisé et son goût pour les personnages antipathiques qui s'humanisent peu à peu, Nancy Meyers vise juste et le duo inédit Hathaway-De Niro emporte l'adhésion dès les premières minutes du film.
Le scénario, quoique inégal (les scènes avec Rene Russo, qui exploitent le bon vieux filon hollywoodien du "love interest", sont sans intérêt), est plutôt bien bati et offre un portrait très juste de la génération des nouveaux entrepreneurs, complètement aliénés par leur arrivisme matérialiste.
Derrière le message un peu "vieux jeu", la relation élève/mentor fait des étincelles. Elle est vulnérable, il est rassurant. Quand vient le dénouement, vous aussi, vous aurez besoin de mouchoirs.
C’est sympathique, amusant, bien mené, mais banal. Robert De Niro, parfait, donne un peu de grain à ce produit industriel. On regarde, on oublie, c’est du fast-food de l’œil.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Dans la série “les seniors reprennent du service”, une comédie bien cadrée où Robert De Niro est plutôt efficace et en vient à séduire même la nouvelle génération.
Dans "Le Nouveau Stagiaire", de Nancy Meyers, Robert De Niro est drôle – ça, on l’en savait capable depuis les premiers films de Brian De Palma, tournés il y a bientôt quarante ans –, mais il projette aussi une chaleur rassurante, celle qui auréolait Spencer Tracy dans ses rôles de patriarche.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce sont les rapports entre le retraité cool et sa boss exigeante, au centre de ce film qui fait du bien, qui sont joliment décrits dans cette comédie new yorkaise classique mais fort sympathique.
Cette comédie intergénérationnelle reste un peu trop consensuelle mais donne, mine de rien, quelques pistes réflexives sensées. De Niro et Hathaway forment un joli duo.
Observations justes, moments d’émotion et quarts d’heure graveleux pas toujours légers se mélangent dans cette comédie transgénérationnelle agréable et sans surprises. Robert De Niro, qu’on n’a pas vu aussi sobre depuis longtemps, est parfait.
La critique complète est disponible sur le site Première
Nancy Meyers essaie à peine d'échapper aux conventions. Ça ne l'empêche pas d'en bousculer d'autres. (...) Un ton séduisant, féminin et discrètement féministe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Sur l’idée de base du « choc générationnel », le scénario, cousu de fil blanc, a la consistance d’un roman de gare. Reste les acteurs, sympathiques, même si on se demande quand De Niro retournera un bon film.
Nancy Meyers sait parler à son public qui y trouvera un certain charme désuet, mais s’aliénera tous les autres qui espéraient éventuellement y trouver une (légère) réflexion sur la difficulté de vieillir dans une société liftée par les nouvelles technologies, où l’évanescence des modes évacuent tous ceux qui sont hors du coup.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Nancy Meyers ne semble s'intéresser qu'à l'irréprochabilité surhumaine de son personnage, sorte de Mary Poppins au masculin descendue du troisième âge jusqu'à Brooklyn pour y choyer les nouvelles stars de l'économie, et le dosage bulldozer de la quincaillerie tire-larmes habituelle pousse l'écoeurement jusqu'à un degré quasi-hypnotique.
Public
Avec son sens de l'observation aiguisé et son goût pour les personnages antipathiques qui s'humanisent peu à peu, Nancy Meyers vise juste et le duo inédit Hathaway-De Niro emporte l'adhésion dès les premières minutes du film.
Positif
Le scénario, quoique inégal (les scènes avec Rene Russo, qui exploitent le bon vieux filon hollywoodien du "love interest", sont sans intérêt), est plutôt bien bati et offre un portrait très juste de la génération des nouveaux entrepreneurs, complètement aliénés par leur arrivisme matérialiste.
Voici
Derrière le message un peu "vieux jeu", la relation élève/mentor fait des étincelles. Elle est vulnérable, il est rassurant. Quand vient le dénouement, vous aussi, vous aurez besoin de mouchoirs.
L'Obs
C’est sympathique, amusant, bien mené, mais banal. Robert De Niro, parfait, donne un peu de grain à ce produit industriel. On regarde, on oublie, c’est du fast-food de l’œil.
Le Dauphiné Libéré
Dans la série “les seniors reprennent du service”, une comédie bien cadrée où Robert De Niro est plutôt efficace et en vient à séduire même la nouvelle génération.
Le Monde
Dans "Le Nouveau Stagiaire", de Nancy Meyers, Robert De Niro est drôle – ça, on l’en savait capable depuis les premiers films de Brian De Palma, tournés il y a bientôt quarante ans –, mais il projette aussi une chaleur rassurante, celle qui auréolait Spencer Tracy dans ses rôles de patriarche.
Le Parisien
Ce sont les rapports entre le retraité cool et sa boss exigeante, au centre de ce film qui fait du bien, qui sont joliment décrits dans cette comédie new yorkaise classique mais fort sympathique.
Les Fiches du Cinéma
Cette comédie intergénérationnelle reste un peu trop consensuelle mais donne, mine de rien, quelques pistes réflexives sensées. De Niro et Hathaway forment un joli duo.
Metro
L'acteur et l'actrice oscarisés deviennent BFF (best friend forever) dans cette comédie américaine convenue mais convenable.
Première
Observations justes, moments d’émotion et quarts d’heure graveleux pas toujours légers se mélangent dans cette comédie transgénérationnelle agréable et sans surprises. Robert De Niro, qu’on n’a pas vu aussi sobre depuis longtemps, est parfait.
Télé 2 semaines
Si le scénario ne surprend pas, Robert de Niro et Anne Hathaway affichent une véritable complicité. De quoi passer un bon moment.
Télérama
Nancy Meyers essaie à peine d'échapper aux conventions. Ça ne l'empêche pas d'en bousculer d'autres. (...) Un ton séduisant, féminin et discrètement féministe.
VSD
Cousu de fil blanc mais efficace au final.
Le Journal du Dimanche
Sur l’idée de base du « choc générationnel », le scénario, cousu de fil blanc, a la consistance d’un roman de gare. Reste les acteurs, sympathiques, même si on se demande quand De Niro retournera un bon film.
aVoir-aLire.com
Nancy Meyers sait parler à son public qui y trouvera un certain charme désuet, mais s’aliénera tous les autres qui espéraient éventuellement y trouver une (légère) réflexion sur la difficulté de vieillir dans une société liftée par les nouvelles technologies, où l’évanescence des modes évacuent tous ceux qui sont hors du coup.
Les Inrockuptibles
Nancy Meyers ne semble s'intéresser qu'à l'irréprochabilité surhumaine de son personnage, sorte de Mary Poppins au masculin descendue du troisième âge jusqu'à Brooklyn pour y choyer les nouvelles stars de l'économie, et le dosage bulldozer de la quincaillerie tire-larmes habituelle pousse l'écoeurement jusqu'à un degré quasi-hypnotique.
Studio Ciné Live
Un film donneur de leçons à en devenir mièvre. Assez juste pour la nouvelle génération des 20-30 ans, il se révèle rétrograde sur un propos féministe.