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Il y a aussi ces petits films médiocres qui sortent directement en vidéo, ou alors qui le mériteraient, et qui ne semblent avoir aucune utilité particulière si ce n'est le blanchiment d'argent et le fait de permettre à leur spectateurs de paresser devant un écran pendant une heure et demi parce qu'ils n'ont absolument rien d'autre à faire. "Players" (traduction en "français" - ha ha - de "Runner Runner", on croît rêver... - bénéficie quand même de la présence de deux beaux garçons, qui ne sont certes pas des acteurs formidables, mais qui agrémentent l'image (Affleck qui s'amuse en infect salopard, et Timberlake qui ne fait absolument rien de tout le film), approche le sujet intéressant du jeu "on line" - mais ne sait visiblement pas trop quoi en faire. La faute à un script pitoyable qui enchaîne les situations incohérentes et réduit les personnages à des marionnettes sans personnalité : impossible de s'intéresser à quoi que ce soit au cours des 90 minutes de "Players", tant l'absence d'enjeux et la bêtise des situations le disputent à la platitude de la mise en scène et à l'accumulation de clichés - anti Internet bien sûr, mais aussi bassement racistes, quand on considère le "portrait" du Costa Rica qui nous est ici offert. Bref, même en vidéo, un nanar à éviter.
Un bon divertissement du dimanche soir, un petit thriller qui n'a pas l'arrogance d'être un film aussi travaillé et ample que "La Défense Lincoln", premier excellent film de Brad Furman. Sans être d'une grande originalité, le scénario raconte l'arrivée d'un jeune génie des maths dans une entreprise de poker en ligne et qui va découvrir la grande vie, l'argent facile et le revers d'une telle fantaisie entre un patron menaçant et un agent du FBI determiné, une intrigue simple mais qui arrive a remplir le simple contrat de divertir et d'intéressé de bout en bout, un mérite qu'il faut arrêter de nier et de rejeter pour beaucoup d'autres films. Révélé par le "Social Network" de Fincher, Justin Timberlake joue ce golden boy avec une naiveté nécessaire et plutôt correcte, face a un Ben Affleck capable de 2-3 bonnes scènes et a la belle Gemma Artenton, mise de côté par le scénario et par son rôle... Loin de l'ampleur et du génie de "La Défense Lincoln", Brad Furman préfère assumé une mise en scène glamour, plus tape-a-l'oeil et qui veut en premier lieu installer une ambiance de rêve puis de cauchemar a travers le point de vue du golden boy.
Un divertissement honnête et amusant, un petit thriller qui fonctionne et divertit du début a la fin.
Un divertissement honnête et amusant, un petit thriller qui fonctionne et divertit du début a la fin.
ouais bon film du dimanche !!!!!!!!!! une realisation et une intrigue deja vu et un scenario pas assez travailler juste le minimun pour etre commercial !!!! et ces deux acteurs ensemble n ont pas la magie escompté !!!! nan a voir quand ont a deja vu toutes les autres affiches :;;;
ferdinand75
Un film vraiment raté , qui ne tient pas la route, Le scénario est complétement bancal , Rien n'est crédible dans cette histoire, on s'y perd et les scénaristes rajoutent des couches d'invraisemblances les unes sur les autres. On a l'impression d'une improvisation d'écriture . Les acteurs sont mauvais et semblent perdus dans cette galère. La photo est parfois belle et parfois loupée. Arterton est superbe , mais là aussi, semble traverser le film sans bien savoir ce qu'elle fait : une call girl ? une pauvre fille , une perverse , une amoureuse , une espionne... du grand n'importe quoi.
Quand on s'endort devant un film et que l'on est en pleine forme c'est que ce film ne valait pas réellement la peine d'être vu...
Après l’adaptation correcte de l’un des nombreux polars de Michael Connely, La défense Lincoln, Brad Furman revient à la mise en scène avec un projet qui aurait d’avantage mérité d’ambition. Players ou Runner Runner en version originale, les amateurs de poker s’y retrouveront, est lisse comme une planche à repasser, aussi vite expédié qu’un plat au micro-onde. Seul l’univers particulier dans lequel évoluent les personnages, le jeu en ligne, sauve le film de la banqueroute, un sujet qui parviendrait presque à faire que le film soit un tantinet intéressant. Players nous raconte donc comment un étudiant d’une fac américaine chevronnée se retrouve associé d’un mania de l’industrie du jeu en ligne et quelles en seront les conséquences sachant que le sommet de la pyramide est crapuleux.
Pas de quoi s’exciter le moins du monde. Oui, à la vitesse dont Furman traite son sujet, l’on ressent directement les impacts néfastes du film qui se doit d’être vite expédier, d’un film qui ne doit pas trop retenir longtemps le public avec son intrigue plutôt maigrichonne au risque de soulever une frustration générale. La particularité du film de Brad Furman, s’il l’on peut parler en ces thermes, c’est le rôle qu’y tient Ben Affleck. Oui, voilà une première, l’acteur incarne le méchant, fait historique dans sa carrière que l’on définit le sourire mesquin comme trop lisse, trop gentillette. Le fait est que méchant ou gentil, salopard ou héros, Ben Affleck, s’il n’est pas impliqué pleinement dans le projet, passe sensiblement à coté de son rôle, ici anecdotique. Une petite entrave regrettable alors que son récent couronnement pour Argo avait relancé le bonhomme que l’on espère plus dynamique dans la peau de Bruce Wayne.
Le reste du casting se compose donc de Justin Timberlake et Gemma Arterton. Le permier, inégal, est capable du pire comme du meilleur. S’il n’est pas mauvais dans le cas présent, il ne déborde pas non plus d’entrain. La seconde mérite quant à elle nettement mieux que de faire de la figuration dans ce genre de production américaine. Son jeu d’actrice, comme l’avait démontre sa mésaventure dans la peau d’Alice Credd ou lorsqu’elle travaillait pour Stephen Frears, est nettement plus étoffé qu’il ne semble l’être ici. Si la belle anglaise était castée ici pour incarner l’attrait féminin, le charme, disons que c’est raté alors que l’on n’en aperçoit que quelques plans de son décolleté. Maigre consolation, son visage est toujours aussi enchanteur. Inversement, le casting masculin de Players peut lui aussi adoucir son image de film oubliable au regard du public féminin.
Dans le fond, le film n’est pourtant pas si mauvais. C’est simplement sa mise en scène, l’implication toute relative des acteurs et la rapidité avec laquelle se retourne le script qui plombe l’aile d’une production qui aurait mérité plus d’application. A noter que le Costa Rica constitue l’un des quelques atouts du travail de Furman, certains plans de San José y étant remarquables. Si dans l’ensemble le tout est facilement regardable, ne crachons pas impunément sur le film dans son ensemble, le fait est qu’il s’agit là d’un cinéma en mode mineur, sans réelle ambition. En attendant la suite pour chacun des interprètes, pour le réalisateur, profitons d’une soirée perdue pour découvrir les dessous hypothétiques du poker en ligne. Pourquoi pas? 07/20
Pas de quoi s’exciter le moins du monde. Oui, à la vitesse dont Furman traite son sujet, l’on ressent directement les impacts néfastes du film qui se doit d’être vite expédier, d’un film qui ne doit pas trop retenir longtemps le public avec son intrigue plutôt maigrichonne au risque de soulever une frustration générale. La particularité du film de Brad Furman, s’il l’on peut parler en ces thermes, c’est le rôle qu’y tient Ben Affleck. Oui, voilà une première, l’acteur incarne le méchant, fait historique dans sa carrière que l’on définit le sourire mesquin comme trop lisse, trop gentillette. Le fait est que méchant ou gentil, salopard ou héros, Ben Affleck, s’il n’est pas impliqué pleinement dans le projet, passe sensiblement à coté de son rôle, ici anecdotique. Une petite entrave regrettable alors que son récent couronnement pour Argo avait relancé le bonhomme que l’on espère plus dynamique dans la peau de Bruce Wayne.
Le reste du casting se compose donc de Justin Timberlake et Gemma Arterton. Le permier, inégal, est capable du pire comme du meilleur. S’il n’est pas mauvais dans le cas présent, il ne déborde pas non plus d’entrain. La seconde mérite quant à elle nettement mieux que de faire de la figuration dans ce genre de production américaine. Son jeu d’actrice, comme l’avait démontre sa mésaventure dans la peau d’Alice Credd ou lorsqu’elle travaillait pour Stephen Frears, est nettement plus étoffé qu’il ne semble l’être ici. Si la belle anglaise était castée ici pour incarner l’attrait féminin, le charme, disons que c’est raté alors que l’on n’en aperçoit que quelques plans de son décolleté. Maigre consolation, son visage est toujours aussi enchanteur. Inversement, le casting masculin de Players peut lui aussi adoucir son image de film oubliable au regard du public féminin.
Dans le fond, le film n’est pourtant pas si mauvais. C’est simplement sa mise en scène, l’implication toute relative des acteurs et la rapidité avec laquelle se retourne le script qui plombe l’aile d’une production qui aurait mérité plus d’application. A noter que le Costa Rica constitue l’un des quelques atouts du travail de Furman, certains plans de San José y étant remarquables. Si dans l’ensemble le tout est facilement regardable, ne crachons pas impunément sur le film dans son ensemble, le fait est qu’il s’agit là d’un cinéma en mode mineur, sans réelle ambition. En attendant la suite pour chacun des interprètes, pour le réalisateur, profitons d’une soirée perdue pour découvrir les dessous hypothétiques du poker en ligne. Pourquoi pas? 07/20
Jérémie
Players est un thriller actuel, où le poker en ligne domine le marché des jeux sur internet.
D'abord mis en scène brillamment avec une mise en situation à l'américaine, on y retrouve un bon Justin Timberlake avec un bon Ben Affleck (cf. moyen).
On peut faire l'analogie avec les grosses entreprises qui amadouent les "surdoués" pour ensuite les embobiner. De ce principe là, c'est intéressant. Mais, le déroulement du film, trop facile et trop, ouais enfin c'est trop simple.
Un gros hic pour ce film, c'est toutes les pistes non utilisées, on se focalise sur un seul élément de l'histoire. Je trouve ça dommage (peut-être à cause des petites 90min du film ?
Au final, c'est thriller simplet, intéressant un temps, lassant un autre. A voir un jour un temps de pluie.
D'abord mis en scène brillamment avec une mise en situation à l'américaine, on y retrouve un bon Justin Timberlake avec un bon Ben Affleck (cf. moyen).
On peut faire l'analogie avec les grosses entreprises qui amadouent les "surdoués" pour ensuite les embobiner. De ce principe là, c'est intéressant. Mais, le déroulement du film, trop facile et trop, ouais enfin c'est trop simple.
Un gros hic pour ce film, c'est toutes les pistes non utilisées, on se focalise sur un seul élément de l'histoire. Je trouve ça dommage (peut-être à cause des petites 90min du film ?
Au final, c'est thriller simplet, intéressant un temps, lassant un autre. A voir un jour un temps de pluie.
Hormis un bon casting, pas grand chose d'original dans ce petit thriller sur fond de poker en ligne.
Avec un scenario quelque peu fainéant et conventionnel dont on devine à peu près toute la trame du film, et une réalisation passe partout qui ne transcende pas son sujet, le film se laisse quand même regarder pour son duo Affleck/Timberlake et la sublime Gemma Arterton qu'on ne voit malheureusement pas assez.
Avec un scenario quelque peu fainéant et conventionnel dont on devine à peu près toute la trame du film, et une réalisation passe partout qui ne transcende pas son sujet, le film se laisse quand même regarder pour son duo Affleck/Timberlake et la sublime Gemma Arterton qu'on ne voit malheureusement pas assez.
Richie, étudiant à Princeton, joue au poker en ligne pour payer ses frais de scolarité. Lorsqu'il se retrouve ruiné, persuadé d'avoir été arnaqué, il décide de s'envoler pour le Costa Rica afin de retrouver la trace d'Ivan Block, le créateur du site. Ivan prend Richie sous son aile et l'amène à intégrer son business. Sentant grandir le danger et réalisant les ambitions démesurées de son boss, Richie va tenter de renverser la donne en sa faveur.
En dépit d'une brochette d'acteurs sympathiques (et au physique avantageux), le film manque de rythme, on se désintéresse assez vite de ce thriller sans frisson au royaume du poker. Et le sort de Timberlake, particulièrement falot dans ce long métrage, indiffèrre...
De prime à bord j'ai été surpris par ce film, toi amateur de poker t'attendant à des partis sanglantes et de la tension à outrance passe ton chemin très vite. Le film m'a déçus pour une raison : Dans ce film le poker en tant que jeu n'est qu'un prétexte afin de caler une pseudo intrigue mafieuse se déroulant dans un autre pays, sans déconner Ritchie ( lake ) ne joue au poker en tout dans le film que 15 minutes et cuter à la mort qui plus est. Même le titre du film n'a aucun rapport. Malgré ma sympathie pour J. Timberlake et B. Affleck je n'est pas put aller jusqu'a la fin du film, Apres si vous vous en foutez du poker Mater le il est clairement regardable.
Rien d'innovant pour ce thriller... Les acteurs ne sont ni bon, ni mauvais. On connait la chanson. C'est ordinaire.
Embrouilles et entourloupettes au Costa Rica, royaume accueillant des sites de jeu en ligne. Pas révolutionnaire mais j'ai bien aimé avec un petit esprit de "Las Vegas 21" pour ceux qui l'ont vu
Un exemple frappant de ce que les jeux en ligne sont capables de provoquer chez un jeune étudiant qui va connaitre l'argent facile le luxe et la corruption. Justin Timberlake est très bon et Ben Affleck étonnant dans un rôle inhabituel de méchant. Malgré une histoire classique le film passe vite et on ne s'ennuie pas. Un bon divertissement sans prise de tete.
Excellent film, super acteur, à voir absolument👍👍👍👍👍👍👍
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