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Un visiteur
3,0
Publiée le 3 janvier 2014
Une intrigue sans saveur mais les acteurs sont plutôt bons et la présence de la sublime Gemma Arterton illuminé à elle seule un thriller un peu plat et qui manque d originalité. Pour autant on ne s'ennuie pas.
J. Timberlake est pas mauvais et commençe à progresser dans son jeu d'acteur, c'est vrai que les sites de jeu pullulent et que les gars derrière tout ça doivent s'en mettre plein les fouilles, l'action et le rythme sont bon et la fin est attendu; c'est pas parce que vous avez une bonne main que vous allez gagner.
Un thriller "financier" plutôt bien mené par un Ben Affleck au top et la très très belle Gemma Arterton. Sexe, poker et corruption, on ne s'ennuie pas une seconde. Ce n'est pas LE thriller de l'année mais un passe-temps très efficace.
Suspens et vice, c'est le thème de ce film. Il n'a cependant rien particulier par rapport aux autres du même genre. Un bon numéro, un bon trois étoiles. ----Novembre 2015----
C'est pas un mauvais film, mais il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Le casting de qualité et de beaux paysages du Costa Rica sont parmi les atouts du film. Le scénario est malheureusement un peu bâclé, c'est d'ailleurs dommage qu'il ne soit pas plus développé, ça manque de viande sur les os... En contrepartie, il n'y a pas de temps mort et tout s'enchaîne très vite.
Brad Furman dénonce dans ce film un des nouveaux fléaux modernes : les parties de poker en ligne qui font bénéficier des millions de dollars à plusieurs personnes sans scrupules. Tentant de nous dévoiler tout le business qu'il y a derrière tout ça, le scénario n'atteint jamais un grand niveau, tant au niveau de la description de ce monde encore inconnu que du thriller, souvent prévisible et empruntant des raccourcis un peu faciles. Malgré ses défauts, le film parvient quand même à se maintenir à flots pour la façon dont il montre la dégradation du rêve américain et de ses principes (des étudiants qui se retrouvent à jouer en ligne pour payer leurs études), la mise en scène un peu trop épileptique de Brad Furman collant tout de même à son sujet. Mais les grosses bonnes surprises de "Players" viennent de la capacité de Justin Timberlake à tenir un rôle principal sur ses épaules sans problèmes et surtout de Ben Affleck, qui se révèle très à l'aise dans son rôle de méchant avide et arnaqueur.
Encore un film d’action dont on se serait bien passé. Amérique Centrale, univers des jeux en ligne, casting 3 étoiles : tous les éléments étaient réunis pour offrir du grand spectacle au public. Au final, Players ne restera pas dans les annales : la faute à un scénario bancale, une réalisation ratée et des acteurs peu concernés par leurs rôles. Un bon petit désastre…
Runner, Runner intrigue d’abord par le prisme qu’il aborde pour traiter de l’industrie des jeux de hasard, en l’occurrence ici le poker : la disqualification du protagoniste principal par une université qui ne souhaite pas voir sa réputation entachée par des paris en ligne, et qui trouve là un miroir économique dans lequel elle n’aime pas se regarder – les frais de scolarité étant exorbitants aux États-Unis, la gestion d’une université ressemble à celle d’un grande entreprise –, annonce une réflexion sur le prix des savoirs et sur la dématérialisation de l’argent et des pratiques de jeu.
Rien de tel : l’arrivée au Costa Rica réoriente le récit du côté de la dynamique ascension/chute stéréotypée, avec sa galerie de riches corrompus et de policiers aux méthodes peu réglementaires pour obtenir des informations, avec ses réceptions branchées au bord de la piscine – de laquelle sortent des filles bronzées en maillot de bain ! de quoi rêver non ? Alors plus rien ne se passe, le scénario préférant suivre les déboires de ses personnages ; autrement dit, il se fait duper par les formes séduisantes d’une histoire à rebondissements facile hors de toute démarche réflexive sur les images proposées. La mise en scène devient tape-à-l’œil et ne se subordonne plus à une ambition esthétique. Dommage.
Les jeux en ligne, nouvelle forme de mafia? C'est en tout cas le point de départ du film Players. Quand Richie, habitué du poker via internet, flaire une arnaque qui lui a coûté ses frais de scolarité, il n'hésite pas à frapper à la grande porte d'Ivan Block, créateur du site. Il découvre un endroit où l'ambition se paie rubis sur ongle et où chaque mise de "joueurs virtuels" sont autant de chances bien réelles pour d'autres de la remporter. Si Richie ne met pas longtemps à rejoindre le club de ces "autres", il va vite comprendre que les enjeux dépasse l'argent... Ce nouveau film de Brad Furman rappelle un peu son précédent, La défense Lincoln. Comme lui, son intrigue n'est jamais en mesure de nous surprendre. On devine bien vite les tenants et aboutissants dans cette histoire classique du malheureux pris au piège de sa propre avidité. La différence, c'est que cette "nouvelle" création ôte beaucoup d'ambigüités qui aidait bien la précédente. On attend donc que ça se passe. Heureusement, Players partage également avec la Défense Lincoln sa qualité d'interprétation. Justin Timberlake et Gemma Arterton sont assez convaincants, mais c'est bien Ben Affleck qui s'en sort le mieux. L'excellent réalisateur prouve qu'il a encore des choses à offrir en tant qu'acteur. La sobriété lui va décidément très bien (cf. Jeu de Pouvoir, Company Men, The Town ou Argo). Bref, en dehors d'un point de départ intéressant et d'une bonne direction d'acteurs, on reste sur notre faim. Dispensable mais pas désagréable.
Un film vraiment raté , qui ne tient pas la route, Le scénario est complétement bancal , Rien n'est crédible dans cette histoire, on s'y perd et les scénaristes rajoutent des couches d'invraisemblances les unes sur les autres. On a l'impression d'une improvisation d'écriture . Les acteurs sont mauvais et semblent perdus dans cette galère. La photo est parfois belle et parfois loupée. Arterton est superbe , mais là aussi, semble traverser le film sans bien savoir ce qu'elle fait : une call girl ? une pauvre fille , une perverse , une amoureuse , une espionne... du grand n'importe quoi.
Il a fallu attendre quatre ans pour voir revenir Brian Koppelman et David Levien au cinéma. Ce fut avec le scénario de Players, mis à l’écran par Brad Furman, réalisateur de l’excellent The Lincoln Lawyer.
C’est d’ailleurs le retour au monde du poker pour les deux collaborateurs, quinze ans après leur premier scénario, Les Joueurs. Malheureusement, force est de constater que ça ne leur a pas réussi, tant le script de ce Players est plat. Le film n’est qu’un petit thriller sans grand génie qui se regarde sans déplaisir mais qui n’a absolument aucun intérêt et qui sera oublié dans quelques semaines. C’est bien dommage car si Brad Furman ne parvient pas réellement à donner de l’ampleur à son thriller, ses acteurs sont plutôt bons. En effet, Justin Timberlake et Ben Affleck offrent des prestations plus que satisfaisantes, tandis que Christian George, Oliver Cooper, Anthonu Mackie et Ben Schwartz donnent le maximum lors de leurs courtes apparitions. Quelques séquences sont pourtant très réussies, comme la partie de poker en ligne, au début du métrage. Le film a néanmoins le bon goût de ne durer que 90 minutes, ce qui l’empêche de devenir agaçant à force de non-ambition et de trous d’air ennuyeux.
Players n’est pas un mauvais film, il remplit même le cahier des charges, mais il est cependant bien trop peu soigné pour parfaitement convaincre et en devient même oubliable. Dommage, mais ce n'est que partie remise.
Porté par un joli casting (Affleck, Timberlake, Arterton), ce sympathique petit thriller se laisse gentiment suivre sans pour autant nous emballer. En effet, cela reste tout de même assez classique et sans grande originalité. Néanmoins, Players reste un film appréciable qui vaut surtout pour ses acteurs, vraiment impeccables.
Déçu, le film n'est pas une bouse mais c'est tellement vide d'intérêt qu'on n'a même pas envie d'allez jusqu'au bout. Pourtant la bande annonce donne envie, mais les acteurs sont assez décevant et le scénario est vraiment passable. En sortant du ciné je l'avait déjà mis de coté dans ma tête.
Le sujet de départ est intéressant : le poker en ligne, phénomène de société ainsi que la réussite financière démesurée et le pouvoir absolu. Mais le film reste juste un pâle divertissement sans personnalité, du genre aussitôt vu, aussitôt oublié.
Quelques minutes après le démarrage du film et la rencontre entre les deux personnages principaux on comprend très vite le déroulement et la fin. Ben Affleck n’est pas très convaincant en méchant. Bon il faut dire que ce n’est pas non plus un rôle très intéressant. Les faces à faces entre son personnage et celui de Justin Timberlake sont tout aussi insipides ! Justin Timberlake, le beau gosse, n’a pas non plus les épaules pour ce rôle. La très jolie Gemma Artenton est bien dans ce rôle de femme sexy, potiche ! Un intérêt si il faut en trouver un ce sont les décors paradisiaques du Costa Rica !!
Un divertissement pour un dimanche soir devant le petit écran… un film sans personnalité