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Un visiteur
5,0
Publiée le 25 février 2017
Je met toujours ma main devant les yeux pour certaines séquences que je trouve trop gores, cela ne m'a pas empêché de voir ce film au moins 500 voir 600 fois et je suis très sérieux, l'ambiance dans ce film est addictive, l'ambiance de dingue, la musique de dingue, des acteurs de dingue, pas tellement les zombies mais l'histoire du film est dingue le côté apocalypse plus personne sur terre à l'époque des centres commerciaux...les gens sont fans de walking dead, zombieland..et de tous leurs produits dérivés et ne savent même pas que la source d'inspiration est ce film...Évidement il y a eu d'autres film de zombies avant Zombie mais les zombies font parties de la mythologie grace à Zombie , perso je préfére dire Dawn Of The Dead!
Pour tout dire, je n'ai jamais été vraiment attiré par les films de zombies. En fait, les zombies sont pour moi des créatures fantastiques beaucoup moins intéressantes que d'autres comme les vampires qui, eux, possèdent une conscience, un langage et de la psychologie alors que les zombies n'en ont pas, uniquement animés par des pulsions animales. Alors que les vampires suscitent le sentiment de fascination à leur égard, les zombies, eux, génèrent plutôt celui de la répulsion. Pourtant, Zombie de Georges Romero m'a plutôt plu. Le scénario est sympa, la performance des acteurs plutôt bonne et les personnages sont suffisamment charismatiques pour que l'on s'attache à eux. Le film ne manque pas de scènes gores étonnantes pour l'époque, ce qui lui valut d'être censuré dans plusieurs pays. Mais Romero ne fait pas uniquement que de raconter une simple histoire d'horreur. Il dresse ici une critique de la société de consommation comme en témoigne le comportement des protagonistes qui, en plus d'organiser leur survie, n'hésitent à dévaliser le supermarché où ils ont trouvé refuge. Et les scènes où les zombies s'agglutinent contre les vitrines, ça ne vous rappelle rien ?… Malgré quelques défauts comme le maquillage des zombies souvent trop simpliste et mal vieillissant, et une fin plutôt expéditive à l'image du début et qui laisse présager une suite qui n'a jamais été réalisée, cette sanglante histoire de zombies aux effets spéciaux bien gores séduira assurément les fans de film d'horreur.
Zombies est typiquement le genre de film d'horreur que je trouve nul. Au prétexte que le réalisateur fait une critique de société de consommation américaine, ce film est considéré comme un chef-d’œuvre, alors que fondamentalement, ça ne vaut pas grand chose. Déjà, la soi-disant critique de la société de consommation me semble non-seulement facile (mais peut-être qu'elle n'était pas si facile que ça à l'époque, même si j'en doute), mais surtout manquant clairement de subtilité. Le message selon lequel les individus se comportent tels des zombies lorsqu'il s'agit de consommer et que ces shopping malls ne représentent qu'une vie superficielle n'est pas beaucoup dissimulé. Les effets spéciaux sont catastrophiques. Le film aurait pu profiter des recettes de son prédécesseur (La Nuit des Morts-Vivants) pour mettre la barre un petit peu plus haut, parce que là, il n'y a pas de quoi intimider un enfant de quatre ans. Par rapport au précédent film, George Romero s'est seulement contenté de peindre ses zombies en bleu. C'est censé faire peur, ça, de peindre des individus en bleu pour en faire des zombies ? (J'imagine que George Romero doit être terrifié lorsqu'il lit une bande-dessinée des Schtroumpfs). Les zombies sont absolument risibles et je ne comprend pas comment ces individus se déplaçant à la vitesse d'une tortue sous Prozac peuvent être effrayants ou menaçants. On est totalement dans la caricature du mort-vivant : le regard hagard, le bras évoluant dans le vide, des grognements idiots, …. À noter aussi quelques contradictions au sein même du scénario, puisque si la quasi-totalité se comporte comme indiqué précédemment, occasionnellement, certains peuvent faire des gestes vifs comme des croches-pattes. De la même manière, les enfants zombies eux peuvent carrément courir (est-ce une capacité que l'on perd le jour où on entre dans l'âge adulte ?). L'histoire, au-delà de la pseudo-critique de la société de consommation, n'a aucun intérêt. On suit bêtement 4 types pendant deux heures en train de lutter face à des morts-vivants. La plupart des événements sont assez prévisibles. Bref, on a octroyé à ce film le statut de « film d'horreur culte » sur une critique à la mords-moi-le-nœud de la société de consommation, alors que le film est juste nul.
Franchement j'ai trouvé le début du film très bien... L'intrigue est bonne et pas trop lourde, les effets spéciaux sont juste géniaux pour l'époque, les décors ne sont pas mauvais etc... Mais putain c'est loooooooooong... Les 30 premières minutes passées, le film se répète en boucle sans que rien ne se passe, et ça devient vite vraiment chiant. Je recommande ce film mais n'hésitez pas a passer certains moments que vous trouvez chiants parce que la quasi totalité du film n'apporte rien à l'intrigue.
Bientôt quarante années pour ce classique du cinéma d'horreur. Bien évidement les zombies n'ont pas la même gueule que dans The Walking Dead ou comme son remake L'armée des Morts mais pour l'époque ce film devait être vraiment controversé. L'action se déroule dans un supermarché avec des protagonistes plutôt attachants malgré un jeu d'acteurs pas toujours au top. Les dix dernières minutes nous offrent pas mal de scènes gore qui sont vraiment impressionnantes pour l'année du film, aujourd'hui un peu plastique ces scènes valent tout de même plus de valeur que certaines de films de notre époque. Un classique du genre malgré des zombies pas toujours au top.
j'en avais un vague souvenir pour l'avoir vu à l’époque, je dirai aujourd'hui que c'est plus risible qu'horrifique.... Bien sûr les effets spéciaux sont archi-datés , c'était peut-être voulu pour une lecture au second degré ...? Certains y verront une critique de l'american way of life , avec sa musique décalée (de centre commercial?) omniprésente , limite exaspérante..... comme les longueurs ..... je me demande encore comment on a pu encenser ce film.....
Deuxième film de la saga des zombies, Dawn of the Dead arrive pas moins de dix ans après La nuit des morts-vivants, à l’époque du tout premier Halloween. Techniquement plus abouti mais en gardant une approche indépendante, il pointe du doigt la société de consommation déjà très présente à l’aube des années 1980, avec un ton décalé et une photographie très kitsch. Si le précédent film ne montrait que quelques zombies, le monde en est cette fois-ci envahi et leur nombre ne cessent de croître. Un groupe de quatre personnes se réfugie dans un centre commercial qu'ils barricadent afin de se protéger des créatures et de bénéficier de ses ressources ; il va sans dire qu’ils vont devoir coopérer pour survivre, surtout face à d’autres personnes mal intentionnées, montrant une fois de plus que ce ne sont pas les morts-vivants les plus dangereux.
Du haut de ses deux petites heures, le film comporte quelques longueurs et des passages assez mous, mais il trouve son intérêt dans son esthétique gore, malgré les effets spéciaux gravement datés, ainsi que dans son pamphlet politique, les zombies comme une bonne partie des humains profitant de la situation pour saccager le centre commercial, voler des objets et casser le reste. Les phases d’action donnent lieu à de nombreux giclements de peinture, tantôt rosée tantôt orangée, avec un ton décalé vite décelable grâce aux musiques et au jeu d’acteur ne cherchant pas le plus grand sérieux. La critique de la société en consommation atteint des sommets sur la faim avec l’attaque des motards, les zombies qui arrachent les boyaux et les intestins, ou encore les explosions de cervelles. Un film culte qui a largement contribuer à démocratiser le genre !
À la fin de "La nuit des morts-vivants", des militaires tuent les derniers zombies à coups de fusil. Dix ans plus tard, la menace zombie est établie dès le début du film, et les citoyens, majoritairement armés, s'en donnent à cœur joie pour tenter de freiner la progression des morts-vivants. C'est quand quatre personnes réunies par les circonstances trouvent refuge dans un centre commercial que le film trouve son rythme de croisière. Pour les trois hommes, c'est l'occasion de jouer aux cowboys en flinguant les zombies. Ceux-ci errent dans le centre commercial par réflexe, comme une réminiscence de leur vie passée. Serait-ce donc la société de consommation qui "zombifie" les hommes, les pousse à l'aliénation ? Cela ne fait guère de doute quand on voit les mannequins du centre commercial qu'on confond presque avec les morts-vivants, ou cette scène lors de laquelle Francine, maquillée à outrance, semble proche de la transformation. Transformation d'autant plus tentante que l'histoire se déroule sur plusieurs semaines, voire quelques mois, chose rare dans un huis-clos où le temps du récit est généralement beaucoup plus resserré. Ainsi, le rythme oscille entre moments de tension éprouvants et légères périodes d'accalmie sans jamais se disperser. La dernière demi-heure, qui voit l'arrivée d'une bande de pillards dans le centre commercial, rebat brillamment les cartes en faisant des zombies autant des prédateurs que des victimes de ces voyous qui les violentent. Sans atteindre tout à fait l'intensité paroxystique du premier opus, "Dawn of the Dead", de par sa violence graphique inouïe, sa causticité ravageuse et sa lucidité sociologique, reste un film puissant sur l'Amérique de l'après-Vietnam.
Dix ans après "La nuit des morts-vivants", sublime huis-clos se déroulant sur une nuit, George A. Romero continue de nous parler de l'Amérique avec "Zombie", film beaucoup plus étiré dans le temps et qui, s'il garde une unité de lieu - en tout cas à partir d'une demi-heure - passe d'une maison étriquée à un grand centre commercial, endroit rêvé pour développer une critique acerbe de la société de consommation. Car le centre commercial est en définitive le lieu où tout ce dont on a (ou croît avoir) besoin est à disposition, en somme, l'espace idéal pour pouvoir s'installer durablement afin de lutter contre les créatures qui rôdent aux alentours, êtres dépourvus de raison mais comme aimantés par la consommation, souvenir destructeur qui zombifie ceux qui s'y adonnent. Romero n'est pas tendre avec ses personnages, même avec son groupe de quatre survivants, infantilisés par leur volonté de chasser le zombie et rapprochés de ces derniers par la même attraction pour le centre commercial ou encore par la comparaison avec le mannequin. Être un zombie ou être appelé à en devenir un revient au même et, dès lors, le film ne joue plus sur une opposition entre victimes et assaillants, car les morts-vivants ne tuent pas par sadisme mais pour un besoin naturel de se nourrir, mais sur un suspense chorégraphié sur les différents étages du décor où le seul but est de survivre le plus longtemps possible. Dans cette perspective, Romero ménage parfaitement ses rebondissements en conservant une tension permanente, même durant les pauses narratives, avant de se laisser aller à un final joyeusement gore (de quoi faire un magnifique barbecue !) et d'une ironie mordante, qui change habilement notre perception des zombies quand ceux-ci s'attaquent aux pillards. Mélange d'horreur et de drôlerie dans un ensemble à la maîtrise ébouriffante, "Zombie" est un film déchaîné politiquement à la mise en scène perpétuellement inventive.
Un divertissement honorable mais qui a vraiment vieilli : Dawn of the Dead reste cependant indispensable pour les amateurs (comme moi) de film de zombies, un genre et des codes créés de toute pièce par le réalisateur. Apprétez-vous à retrouver de nombreuses thématique vues et revues dans les oeuvres ultérieures. A une époque où les effets spéciaux modernes n'existaient pas, George Romero et son équipe ont fait preuve d'une créativité remarquable, et ont repoussé les limites du gore pour le plus grand bonheur des fans. A noter que Dawn of the Dead, l'histoire d'un groupe de survivants retranchés dans un centre commercial, à bénéficié d'un bon remake dans les années 2010, réalisé par Zack Snyder.
Je dois avouer que je suis très loin d'être un fan de zombies. Ils ne me font pas peur, ils ne m'impressionnent pas et généralement un film de zombie est ou ridiculement kitch ou calibré (World War Z en est le parfait exemple). Alors j'ai aimé Je suis une légende parce qu'il y a ce côté oppressant et cette solitude du héros qui transparaissent bien, et que l'on ne nous montre qu'assez rarement les zombis, j'ai aimé Zombieland et Shaun of the Dead, bien sûr, car ce sont des comédies parodiques, mais ça s'arrête là. Mais bon, étant donné que Roméro a rendu célèbre le genre, je lui ai laissé sa chance à ce Zombie... Et je suis déçu. Bon, ce qui saute aux yeux, c'est que le film fait très kitch niveau mise en scène, maquillage et musique (qui fait penser à un vieux jeu Nintendo)... Après est-ce que je peux le lui reprocher ? Pas sûr. Au moins les effets spéciaux sont plutôt réussis. Pour aborder les points positifs : le film n'est pas ennuyeux, y a pleins de scènes d'action qui ont de la tronche et le propos est assez cynique... Mais bon, je trouve que malheureusement le film se complait dans une surenchère de gore alors qu'il aurait dû aller plus loin, et développer une ambiance, une tension et surtout exploiter le potentiel de ses personnages, dont au final on ne sait quasiment rien. Alors ce n'est pas un film que j'ai détesté, j'en garderai sûrement un souvenir pas trop mauvais, mais je trouve juste que ça fait pas mal de potentiel gâché.
Selon moi, il s'agit du film de zombies par excellence. Survie, armes corps à corps et à feu, centre commercial, pillards, hélico... Il y a tout. Y compris l'état psychologique des personnages qui nagent entre euphorie et pétage de plomb. Une belle réalisation, pas mal de gore et des effets à l'ancienne qui garantissent l'horreur d'une telle situation. Incontournable pour les fans de zombies.
Zombie est un des rares films dans ce style à pouvoir se targuer de tenir le spectateur en haleine pendant pratiquement deux heures sans jamais faiblir ! Les scènes d'actions sont dynamiques et nombreuses, elles sont aussi parfaitement jouées par les acteurs, qui s'en sortent remarquablement bien. Le lieu est aussi un élément très important, l'idée de l'Hypermarché à plusieurs étages a très bien été exploité, surtout pour les scènes de carnage bien gore, comme en témoigne la dernière demi-heure du film! Il faut bien entendu se remettre dans l'ambiance et le contexte de l'époque pour apprécier pleinement ce long-métrage bourré de qualités !
Film de série Z devenu culte avec le temps...... on y met carrément un message politique. Ce qu'il y a de bien avec les films d'horreurs c'est d'y voir toujours la même incohérence de comportement des héros et autres..... c'est stupéfiant.... à part ça, ça reste un nanard, même si c'est la crème du genre....
LA référence absolue du film de zombies avec une action prenante, angoissante et un décor de fond idéal pour ce thème.
Comment oublier ce film ? Suivre ce groupe de survivants dans le centre commercial et lutter pour conserver la propriété du dit centre est délectable. Même avec le temps, le film garde son impact et il est difficile de faire la fine bouche quand on aime le genre.