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Un visiteur
5,0
Publiée le 23 février 2007
J'ai bien aimé ce film, surtout pour l'endroit où cela se passe, le centre commerciale. Qui n'a pas rêvé d'avoir un centre commerciale et y faire ce que l'on veux? Mais bon, ici, c'est rempli de gentils zombies. Enfin, j'ai adoré ce film, même si les zombies verts, ça fait bizarre lol.
Ca c'est un bon vieux film de zombie, ça change des pourris Resident Evil qui était très bien en jeu mais c'est tout. Le film est stréssant, semble ultra réel, et c'est bon!
Excellente suite/remake de La nuit des morts vivants. Cette fois ci, les survivants sont dans un centre commercial. La réalisation est plus moderne, les décors plus vastes et plus beaux, le lieux est plus original, cependant, même s'il s'agit d'un must du genre, l'original est meilleur.
Le film mythique de George Romero. Les effets speciaux ont beaucoup vieillis, mais son impact est toujours aussi fort. En plus d'un film d'horreur effrayant et percutant, Romero nous offre une critique de la société de consommation. Les acteurs y sont incroyable et le scénario est suffisament fort pour passer plus de deux heures de frissons non stop. Un film culte!!!
J'ai bien aimé, même si par rapport à sa réputation ça ne fait plus peur. Le style est assez différent du premier, ça sent les années 70. C'est plus gore, mais moins original peut-être. Mais il y a d'autres films de zombie sympa, sa célébrité est un peu exagérée à mon avis. A voir néanmoins.
Vraiment deçu par ce film.J'ai attendue pendant tout le film de voir une déferlante de gore et a part la scene de l'eventrration on ne voit rien.En plus de ça le film a mal vieilli.
Chef d'oeuvre ultime du genre, Zombie est le meilleur film de Romero et le plus culte. Critique acerbe et gore n'ont jamais fait meilleur ménage que dans cette oeuvre cynique et hautement jouissive. Nous sommes tous des Zombies, ancrés dans nos habitudes et Big George nous le fait savoir à coups de gerbes de sang. Du grand art.
zombie...voilà un nom qui à été evoqué et qui le sera toujours...ce film ayant malheureusement pris un gros coup vieux,reste pourtant un chef d oeuvre du genre...zombie est un film qui se respecte comme tout bon film culte.... ps:ceux qui pense que "ce n est qu'un bête film de zombie" n'ont visiblement rien compris au message politique et anti-américain qui se cache sous cette boucherie.
"Zombie" commence de manière stupéfiante, renvoyant en deux scènes de chaos total filmé avec la nonchalance d'une mauvaise émission télévisée (c'est d'ailleurs ainsi que le film commence, sur un plateau TV) : en 10 minutes, Romero dresse le tableau cruel et désespérant d'une humanité incohérente, défaite par ses faiblesses et ses haines internes. Lorsque le film atterrit (en hélico) dans le shopping mal qui constituera ensuite son unique décor, Romero attaque son vrai sujet - la société de consommation comme ultime zombification, à la fois âme et mort de l'âme : le problème est que l'on sait désormais où il veut en venir, et le film perd peu à peu son pouvoir de sidération. Avant de se resaisir lors de son final barbare, jouissif explosion de violence absurde entre nos survivants et une bande de bikers caricaturaux.
Wahoou...j'ai la tête qui tourne la ! Romero nous a signé un thriller d'épouvante haletant et bien gore. Le film debutait pourtant assez mal, avec un generique trôp long pour nous mettre dans le vif du sujet et expliquer la situation. Le tout sur une B.O des plus enervantes. Mais le film commence réellement lors de la première gunfight entre les malfrats, les forces de l'ordres... et les zombies. Dès ce moment la, le film se déroule parfaitement et nous plonge au coeur de l'enfer des morts-vivants qui, par instinct, reviennent dans leur centre commercial favori, ou nos heros vont finalement hebergés. Avec de nombreux stratagèmes, ces derniers vont réussir a mener une vie presque tranquille,comme a leurs habitudes, mais aussi comme pour oublier la situation apocalyptique que le monde est en train de vivre. Mai sleur objectiif principal est surtout : survivre ! Bon, je vais pas raconter l'histoire entière non plus, mais juste pour dire que Romero a effet eu une idée originale avec ce scenario, et fait coup double avec sa mise en scène soignée. Le effets speciaux de Tom Savini (ca vous rappelle quelqu'un ? ) sont ecoeurants, donc assez bien fait (malgré un sang un peu trôp ecarlate). Les acteurs (et L'actrice) tirent parfaitement leur épingle du jeu dans ce survival culte.
Bon, quoi de bon passer deux bonnes heures, pour ceux qui ont le coeur accrochés.
Ce film est pour l'instant la pièce maitresse de la trilogie des morts de romero déja bien débutée avec Return of the living Dead. Sa critique de la société modèrne et sa vision pessimiste de l'humanité y sont ici clairement éxposées. Toute au long de sa trilogie semble se poser l'éternelle question de qui est le plus monstrueux du zombie ou de l'homme... tout en eclatant quelques têtes par ci par la :D Le 4eme volet débarque bientôt en salle, on verra ce que ça donne. En vacances a New York je me suis payé le coffret collector de Zombie (4 DVD), il est tout simplement fabuleux, je le conseille à tous les fans de george: une plethore de bonus sur george, tom savini, la realisation, préproduction, postproduction de zombie dans 2 grands docus tournés à l'époque du film et aujourd'hui, 3 versions du film (la version américaine, la version longue utilisée pour l'avant première, et la version européene montée par MONSIEUR dario argento). le tout dans un sublime digipak ... le rêve! :)
S'il y a bien un film dans l'histoire du cinéma qui mérite son statut de film-culte, c'est le deuxiéme opus "zombien" de Mr Romero. Car, au-delà de toutes ses limitations (certaines volontaires en un sens, d'autres budgétaires, cinéma de genre oblige), Romero installe parfaitement son décor, celui d'un monde vide de sens, plein d'objets en tous genres, mais où les êtres (les sujets) se font engloutir par une nouvelle espèce, définie par sa voracité seule. Le zombi devient donc le consommateur parfait, l'utilisateur final du monde, le post-moderne en un sens. On pourra trouver cette symbolique facile, mais n'oublions pas qu'elle date d'il y a presque trente ans bien avant les discours pontifiants sur la mondialisation et ses effets, avant qu'Internet ne rende le monde si immédiatement disponible, avant même....José Bové! ( Cabrel a raison, c'était mieux avant). Mais surtout Romero ne s'arrète pas là, car l'irruption des motards semblent dire qu'au-delà de l'inhumanité du zombi, il y a l'inhumanité des hommes, comme un puit sans fond de malfaisance. Et les scènes gore de nous rappeler une simple chose: malgré notre toute puissance, nous sommes avant tout de la viande.